2 - Quand le président de la F.F.T. prétend, en matière de moralité, faire ce qu'il faut contre "un mauvais exemple"...
Publication : 01/05/2017 | Mise à jour : 01/05/2017
Dans l'édition du 14 avril 2017 du magazine Le Parisien, on peut lire que, pour le nouveau président de la F.F.T., B. Giudicelli, inviter Maria Sharapova à participer à Roland Garros 2017, "cela donnerait un mauvais exemple" !?
Secrétaire général de la F.F.T., c'est pourtant bien ce même monsieur qui, avec d'autres (?), a décidé d'une "amnistie générale" (cf. page 19, fin du 1er paragraphe de la note de la D.D.J.S. de 2016) pour le plus grand bénéfice des adeptes des trafics de billets de Roland Garros qui semblaient apparemment pulluler au sein de la F.F.T. !? (voir d'autres "indications" de cet article de Capital ci-dessus) !?
Une "amnistie générale" que la morale nécessite de présenter comme assurément aussi coupable que les faits qu'elle couvrait.
Comment peut-on après oser prétendre incarner une quelconque "moralité" pour bénéficier d'une crédibillté suffisante dans la dénonciation d'un "mauvais exemple" ?
Ridicule, immoral, révoltant.
Extrait de la page 19, fin du 1er paragraphe de la note de la D.D.J.S. de 2016 :