4 - Esprit d'équipe es-tu là ? - Connais pas, répond un "capitaine dans le dos", capitaine coupeur de têtes.

 

Publication : 01/05/2017 | Mise à jour : 01/05/2017

 

Lors de la réunion de préparation des équipes du 24 mars 2017, les élu(e)s du Comité, pour la seconde année consécutive, ont fait savoir, outre la composition de ces équipes adultes, le nom du capitaine de chacune d'elle, un capitaine désigné par les élu(e)s du Comité.

A l'époque où j'étais membre de ce Comité, cette "désignation" faisait d'abord l'objet d'une concertation entre le Comité et chaque équipe, le Comité se limitant toujours à entériner les choix de chaque équipe. Quoi de plus normal et de plus constructif pour une équipe !?

Au cours de cette réunion de mars 2017, on apprend également, en guise d'anecdote ici, que l'équipe 1 féminine, dont on sait combien l'association n'aura pas lésiné ces dernières années à en faire une équipe très privilégiée (créneaux sur les courts couverts (deux cette saison) réservés chaque semaine, parfois un moniteur rémunéré par l'association sur au moins l'un de ces créneaux), sera très, très incomplète pour la première rencontre !? 3 joueuses absentes sur... 4 d'après le président !? De quoi pointer du doigt combien cette "préférence" accordée à cette équipe est immorale et pleinement improductive ! Le féminisme de facade fait aussi partie de la démagogie de ces élu(e)s. Passons.

Pour ma part, après avoir été exclu sans aucun motif valable de l'entrainement du samedi, je me vois confirmé comme l'un des six joueurs composant l'équipe 2. Mais c'était sans compter sur ce "coéquipier", devenu capitaine surprise, qui n'aime pas qu'on lui "prenne la tête" et qui aura trouvé là un motif suffisant pour m'exclure manu-militari, la veille de la première rencontre, confondant son tout nouveau statut avec celui d'un petit caporal vengeur.

Le président que j'ai sollicité sur cette exécution à la va-vite, s'est contenté, sans même solliciter les autres membres du Bureau (recours normal et légitime), de me renvoyer vers ce capitaine radical pour conclure tout aussi vite par un "tant pis pour vous", n'oubliant pas de se réjouir de cette enième mésaventure pour moi qui le mérite bien. Finalement rien d'étonnant puisque ce genre de décision illégale, arbitraire, injuste et immorale fait bien partie de sa panoplie habituelle.

Il me reste donc à déplorer que cette association continue ainsi à valider et banaliser des méthodes qui sont celles de gens volontairement hors la loi, pleinement immorales, radicalement contraires à toute éthique sportive.

Sollicités, les trois autres joueurs de cette équipe (R. BENGHORBAL, B. JAUNEAU, S. MONTI), avec lesquels je n'ai jamais eu aucun problème, d'aucune sorte, se sont empressés de me faire part... de leur silence. C'est ce qu'on appelle "l'esprit d'équipe", façon Tennis Club de Crépy en Valois. Une bien chouette "équipe" qui ne manquera pas de grossir mon fan-club. J'ai le don pour me faire des amis.

8 mai, Rémy BERTRAND, qui rejoue lors de cette seconde rencontre, me fait savoir qu'il ne reprend pas le rôle de capitaine. Il m'apprend également que les trois autres joueurs ont voté pour confirmer mon exclusion, sans même me contacter, chercher à faire la part des choses pour une décision nucléaire simplement parce que l'on déplait à M. Daoud. Ni ce dernier, ni aucun d'entre eux ne trouvant nécessaire de me tenir informé. Hypocrisie, duplicité, honte, lâcheté ? Sans doute un bad trip des quatre à la fois. Honte à ces gens ! Écoeurement total !

Le capitaine m'a tué

Farce en trois actes

Personnages : D. DAOUD (le capitaine), J. COCONI (le président), C. CARRÉ (l'exécuté).

Durant la réunion de mars 2017, le capitaine désigné par le Comité pour l'équipe 2 est Rémy BERTRAND. Quelques jours à peine après cette réunion, au détour d'un court, Rémy BERTRAND fait savoir qu'il est blessé et qu'il ne pourra pas jouer au moins la première, voire la deuxième rencontre. Durant quasiment un mois, pas d'autres informations sur la désignation d'un remplaçant capitaine de la part du Comité.

Acte I - Scène 1

 

Court n°7 - Lundi précédant la première rencontre.

 

C. CARRÉ — Ben 4/6 - 6/1 - 6/1 ! Alors ? Qui c'est le cador ?

D. DAOUD — Ouais, ouais... mais j'ai progressé en revers, hein ?

C. CARRÉ — Alors ? On a des nouvelles pour le capitaine ?

D. DAOUD — Ha ben ça y est ! C'est fait ! C'est moi !

C. CARRÉ — Ha bon ? Ben tu ne nous informes pas ?

D. DAOUD — Ben...

C. CARRÉ — Mais tu ne crois pas que cela aurait été correct de nous consulter, par courtoisie, par... "esprit d'équipe" ?

D. DAOUD — Ben... (se gratte la tête) Ben... Ben oui mais toi... avec le Comité... c'est des problèmes ! Alors quand ils m'ont sollicité... j'ai dit oui.

 

Acte I - Scène 2

 

Parking du club

 

C. CARRÉ — Vraiment je comprends pas ton attitude !

D. DAOUD — Ben... t'as rien dit quand c'était Rémy qui était désigné capitaine par le Comité ? Alors pourquoi tu me reproches ma désignation aujourd'hui ?

C. CARRÉ — Je le crois pas que tu accrédites cette idée que, comme je suis en conflit avec le Comité, je ne pourrais pas être ce capitaine. Ça ne m'intéresse pas spécialement de l'être mais l'idée que toi aussi tu valides l'idée que j'aurais moins de droits dans cette association ou que je dois être mis sur la touche tout simplement parce que je leur pose des questions qui leur font tellement peur, auxquelles ils ne répondent jamais tellement cela les met en difficulté... cette attitude de ta part me désole, m'écoeure même !

D. DAOUD — Ben...

C. CARRÉ — Et c'était déjà pareil quand personne ne s'est révolté contre mon exclusion de l'entraînement du samedi... dont, soit dit en passant, vous avez pu bénéficier sans doute grâce à mon intervention, alors que cette exclusion ne repose sur aucun motif sérieux, juste la haine de ce président autocrate... !? Bravo l'esprit d'équipe ! Alors ça en plus...

D. DAOUD — Ben...

C. CARRÉ — Tu crois vraiment que l' "esprit d'équipe" c'est ça ?

M. Daoud — Mais t'inquiète pas, je serai capitaine comme on a toujours fait, on prendra toutes les décisions tous les joueurs ensemble, comme ce qu'on a toujours fait.

Moi — Ouais. Ben j'ai quand même beaucoup de mal avec la méthode pour ta première décision... qui n'est déjà pas prise "ensemble".

On rejoue jeudi ? Allez, à plus. (petits coucous de la main tandis que la voiture s'éloigne (dur à mettre en scène)) !

 

 

 

 

Acte II - Scène 1

 

C. CARRÉ seul en scène. Écrit un courriel.

 

C. CARRÉ — Salut ! J'ai eu l'écho, par le plus grand des hasards, de quelques évocations de tes échanges avec je ne sais trop qui, les joueurs de l'équipe, d'autres joueurs ?
Des échanges où tu me désignerais comme M. Cercle ou M. Rectangle ?
Et où tu indiquerais que je ne suis pas content que tu sois capitaine parce que j'aurais voulu que cela se fasse démocratiquement...
Bref il semblerait que tu me fasses passer pour l'emmerdeur de service... qui n'est pas content parce qu'il n'est pas capitaine... confortant ainsi une certaine réputation me concernant !?

Me le confirmes-tu ?

 

Je te redis ce que je t'ai dit puisqu'il semble bien que ton intervention auprès des autres joueurs soit à ma charge ?
- c'est par le plus grand des hasards que j'apprends que tu es le nouveau capitaine (lundi quand on joue ensemble)
- et c'est parce que je te pose la question que je l'apprends (à 5 jours de la première rencontre).
- et lorsque je te questionne sur le mode de désignation tu me réponds que : "oui mais toi (moi donc) avec les autres" (le Comité)... sous-entendu que comme ça les contrarierait que je sois capitaine, tu t'es... dévoué !

 

Si tu tiens tellement à "informer" les autres joueurs de l'équipe, voici donc ce que tu peux transmettre et qui correspond à mes regrets :


- je t'ai reproché de n'avoir informé aucun joueur de l'équipe (à moins que je sois le seul ?) du fait d'avoir été sollicité par le comité pour être le nouveau capitaine. Pas d'information non plus sur le fait que tu aies accepté. On a un nouveau capitaine... mais on ne le sait pas ?
- je confirme que je regrette profondément ce mode de désignation autoritaire qui met tous les joueurs de l'équipe devant le fait accompli, un capitaine par autorité, ce qui est, à mon  sens, pas la meilleure façon de fonder un "esprit d'équipe".
- non je ne tiens pas plus que ça à être capitaine. Si nous avions été concertés, il est certain que je t'aurais crédité de mon soutien !
- mais oui c'est bien la méthode et cette façon de faire tout ça dans le dos de tout le monde qui me parait très improductive, sans doute bien contraire à... "l'esprit d'équipe" !
- et oui la même "méthode" m'avait autant choqué l'an passé pour la désignation de M. Lemaire par le Comité ou même celle de Rémy cette année (mais je n'ai rien dit, par... "esprit d'équipe").
- et oui, l'an passé, quand ML est monté en équipe 1, nous nous sommes bien concertés pour désigner un nouveau capitaine (tu as d'ailleurs refusé de l'être, comme l'année précédente malgré mes nombreuses sollicitations pour que tu le sois).
- et oui ton "souci" de ne pas contrarier les membres du Comité me désole puisqu'il établit comme un élément de décision à mon encontre le harcèlement qu'ils m'imposent !

 

Si le contenu de ton "message" (une copie ?) se trouvait ainsi confirmé, je regrette les éléments suivants :


1 - La politesse voudrait que tu m'appelles par mon nom quand, en tant que capitaine, tu diffuses des messages aux autres joueurs de l'équipe.
2 - La politesse voudrait que tu ne me prêtes pas des propos, des attitudes, dans mon dos. Quand j'ai quelque chose à te dire je le fais de vive voix, pas dans ton dos. Je l'ai fait lundi en pleine franchise.
3 - Si j'avais voulu diffuser mes regrets plus largement, j'en aurais fait un courriel aux autres joueurs ou un post sur mon blog, qui n'est lu que par moi. En le diffusant ainsi aux autres joueurs, en m'y présentant comme un problème, tu génères une situation conflictuelle.

 

Quel est ton but : me virer de l'équipe pour "mauvais esprit" d'équipe ?

 

Tu es capitaine.
Hormis les remarques que je t'ai faite lundi et qui restaient bien légitimes devant la surprise, j'en ai pris acte, sans autre démarche militante ou de contestation.
C'est tes écrits qui me font ici réagir.
J'ai pris l'engagement de faire ce championnat. Je tiendrai donc cet engagement.

Mais, en tant que joueur, je tiens à rappeler ces évidences, histoire d'éviter d'autres situations problématiques. C'est bien ma motivation dans ces deux remarques :

1 - Une rencontre de championnats, c'est avec les doubles, qu'on gagne ou qu'on perde, qu'on soit pressé ou pas. Ne pas les jouer, c'est ne pas respecter les règlements sportifs.
Pour moi, il est donc anormal de se poser la question de savoir si on joue les doubles ou pas.
Pas de compromission pour une décision qui serait ainsi frauduleuse.

 

2 - Moi aussi, dans certaines conditions (comme à Ailly sur Noye l'an passé, avec la fraicheur, la luminosité rasante du matin, etc) j'aurais préféré jouer dedans plutôt que dehors. Et je ne pense pas être le seul joueur à réagir ainsi.
Il me parait donc curieux qu'un joueur interagisse pour s'assurer absolument de jouer en court couvert. En championnats par équipes, il y a sans doute d'autres considérations à prendre en compte.


Pour info, pour ce championnat, je ne pourrai pas prendre ma voiture. Quand j'ai fini de jouer j'ai de fortes douleurs au tendon droit (il me faut une journée pour que ça se calme, en général) et conduire aggrave considérablement ces douleurs (pied droit en extension).

 

J'espère bien retrouver demain le plaisir d'une rencontre de championnats... par équipe.
A demain donc.
M. Cercle

 

Acte II - Scène 2

 

D. DAOUD — Salut. Hors de questions que je rentre dans cette bataille de mails que tu apprecies tant !
De plus, concernant  tes histoires de cercle, de rectangle, de polygones....etc....ton informateur s'est trompé ou a du mal à lire...ce ne sont pas mes écrits  mais les écrits d'un autre (preuve juste devant moi...)...enfin bref !
Pour finir et car ma santé mentale est très  importante pour moi, je t'informe qu'il est hors de question que tu me prennes la tête durant ce championnat et par conséquent en tant que CAPITAINE de cette équipe j'ai décidé de t'EXCLURE de cette équipe, je ne ferai donc pas appel  à toi pour les rencontres. Tu ne dois donc pas te présenter demain à 7h car tu ne joueras, je t'ai remplacé par un autre joueur ayant une vision plus seine des championnats par équipes.
Si tu as besoin de l'adresse de la ligue pour te plaindre, n'hésite pas....mais je pense que tu l'as déjà. 

Aux plaisirs de te voir sur le cours hors championnat. 

 

Acte II - Scène 3

 

C. CARRÉ — Monsieur le président. Je vous joins ce courriel que j'ai envoyé à M. Daoud en début de soirée.

Je voulais savoir si vous confirmiez sa décision de m'exclure (cf. SMS de M. Daoud également joint) de l'équipe 2 pour un motif au choix : - "prise de tête" ou - "santé mental du capitaine" ? Je reste bien sûr disponible pour la rencontre de demain. Je souhaiterais donc une réponse avant de me coucher si possible.

Je reste confiant dans votre décision pour contredire cette décision invraisemblable, pleinement arbitraire et injuste.

C. Carré dit "le Cercle".

P.S. : La conversation, franche et courtoise, que nous avons eu avec M. Daoud lundi soir n'a absolument pas été diffusée par moi. Contrairement à ce que dit M. Daoud, c'est donc bien lui qui est allé me casser du sucre sur le dos, à travers ces échanges numériques (des SMS (?) avec d'autres joueurs, (des écrits que M. Daoud indique pourtant ne pas aimer !?) pour que d'autres (?) comprennent bien que je reste bien un problème, en tout.

 

 

 

 

Acte III - Scène 1

 

J. COCONI — Bonsoir,Je ne sais que vous répondre.

J'apprends hier soir que vous êtes exclu de l'équipe. Je découvre votre mail ce jour. Je ne fais pas partie des "échanges numériques" évoqués ci-dessous. 
Je constate que vous jouez très régulièrement avec Djilali et malgré tout celui-ci en arrive à vous exclure de l'équipe. 
Alors comme vous l'évoquez ci-dessous, parlez-en entre grandes personnes. Si votre capitaine et votre équipe acceptent de vous donner une deuxième chance pour les journées à venir et vous ré intègre, tant mieux pour vous.
Celà pourrait être intelligent et constructif mais je peux comprendre la décision de votre capitaine.
Et donc, sinon tant pis pour vous. Je suis trop bien placé pour savoir que vos mails à rallonge peuvent être fortement agaçants.

 

Acte III - Scène 2

 

C. CARRÉ — Bonsoir. Je vous rappelle que le seul motif de mon exclusion est de "prendre la tête" à ce capitaine !?
Même sans jauger de la pertinence de cette expression, ce "motif" est-il un motif suffisant pour exclure un joueur d'une équipe (première fois que cela arrive dans cette association) ?
Tout cela parce que :
1 - J'ai regretté que M. Daoud n'ait informé aucun joueur de sa démarche pour être ce capitaine, ni de sa nomination. Curieux non ? (honte, doute sur sa légitimité ?)
2 - Et que j'ai ensuite du regretter qu'il décide d'aller me présenter, dans ses sms, comme un emmerdeur auprès d'autres joueurs (?).
Pour quelle mystérieuse motivation ?

Autant de comportements de sa part, par définition contraires à l'esprit d'équipe et à la définition de ce qu'est un capitaine (modérateur, rassembleur).
En l'occurence ce n'est pas mon courriel qui est en cause mais, en premier lieu le ou les sms de ce monsieur.
Et mon amertume est bien ainsi légitimée.

Je suis donc exclu de cette équipe sans motif sérieux, simplement parce que je déplais à ce capitaine.
Je rappelle que je joue en championnats depuis sans doute une quarantaine d'années et que je n'ai jamais eu ni causé aucun problème.

Il me semble qu'il vous revient (le Bureau) de ramener à la raison ce capitaine de remplacement, ce capitaine dans le dos, pour que sa petite tyrannie ne soit pas légitimée.

J'aurais espérer également que les joueurs de cette équipe se prononce sur mon exclusion ?
Ils sont à mon sens tout autant légitimes que ce capitaine surprise qui m'assurait lundi de sa volonté de ne prendre des décisions qu'en nous consultant et dont la première décision qu'il aura prise aura finalement été complètement traitreuse et contraire aux intérêts de cette équipe.
Je note que vous pensez la même chose à propos de cette légitimité des autres joueurs de cette équipe pour se prononcer sur la décision de M. Daoud.

 

La question qu'il leur est donc posée est la suivante : M. Daoud, capitaine par interim, peut-il, au seul motif que je lui "prends la tête" parce que je regrette qu'il travaille à ma mauvaise réputation, m'exclure de cette équipe ?

 

La lourde défaite de cette équipe aujourd'hui (5/1) ne plaide pas en la faveur de l'affaiblissement de cette équipe du seul fait de la décision de M. Daoud (notre dernière confrontation avec M. Daoud s'est soldée par un 4/6 - 6/1 - 6/1 en ma faveur. Si M. Daoud a sa place, j'ai donc sans doute aussi la mienne ?).

Pourquoi faudrait-il faire peser sur cette équipe les états d'âme d'un joueur ayant régulièrement démontré combien il était étranger à l'état d'esprit d'une équipe ?
Je fais référence aux "magouilles" de ce joueur pour toujours se débrouiller pour jouer en court couvert, son seul vrai et premier souci dans une rencontre de championnats.
Je fais aussi référence à son insistance pour frauder les résultats des doubles (non-joués avec un faux score) quand ils ne sont plus de nature à changer le résultat d'une rencontre (comme si ces doubles ne pouvaient pas être très importants dans la préparation de doubles plus déterminants...).
Est-ce là des témoignages d'un "esprit d'équipe" sain ?
Tous les joueurs ayant évolué auprès de ce joueur en championnats par équipes vous confirmeront cette très curieuse mentalité.

 

Il me semble donc que vous êtes (le Bureau) un recours normal, pleinement légitimes à trancher ce type de conflit, sans doute attentifs à la décision la plus proche de l'intérêt sportif de ces championnats.

Me retrouver exclu pour des justifications aussi bancales m'est insupportable.

 

Comme vous le soulignez, ce capitaine coupeur de têtes était mon partenaire le plus régulier, je pense qu'on peut dire un "ami" (?).
Mais vous savez que j'ai la franchise chevillée au corps. Et je croyais, naïvement, que c'était une qualité dans ce genre de relation.
Bien mal m'en a pris puisque c'est donc bien deux coups de couteau que j'ai pris dans le dos de la part de ce monsieur.
Vous pourrez donc corriger votre appréciation sur notre relation à l'aune de ces éléments.
Au besoin, on pourra légitimer mon exclusion par ce défaut : "trop de franchise".

 

Pour finir, je comprends bien que c'est du velours que de se contenter de me renvoyer à cette réputation d'emmerdeur que je traine (vous n'y êtes pas étranger) puisque je ne cesse de poser des questions, rien que cela.
Mais quel sacré défaut décidément dans cette curieuse association.
Je souhaiterais donc, si possible, avoir une réponse officielle du Bureau, recours normal et légitime, sur cette exclusion arbitraire de la part d'un capitaine par interim qui est incapable de la justifier, sauf à mettre en avant ses propres contradictions, ses propres incohérences.

Vous me pardonnerez les traces d'amertume dans ce courriel, quelques expressions, quelques formulations qui pourraient vous paraître excessives.
Mais vous saurez, je l'espère, la jauger à la même hauteur que ma déception de ne pas pouvoir participer à ces championnats par équipes.
Je crois pouvoir penser que vous ne doutez pas de ma passion pour ce sport et mon attachement à ces championnats par équipes.

Je ne me défendrai pas autrement (sauf peut-être un petit post sur mon blog... qui n'est lu que par moi, pour relater tout cela, histoire d'en laisser une trace).

Pas d'autre courriel de ma part, je vous rassure.
Je me conformerai donc à votre décision ou celle des autres joueurs de cette équipe (?).

 

 

 

 

Acte IV - Scène 1

 

R. BERTRAND — Hey ! Salut Tof ! Suite à ta sollicitation, je te rappelle parce que je n'ai pas tout compris de cette histoire !?

C. CARRÉ — Salut ! J'ai vu que tu avais joué lors de la deuxième rencontre. Je me suis donc dit que tu étais à nouveau le capitaine de l'équipe 2. Et je voulais donc savoir si tu validais la décision prise par ton "remplaçant", M. Daoud, ce capitaine qui se prend aussi, dans sa tête, pour le "sélectionneur" de l'équipe, un capitaine qui vire un joueur simplement parce qu'il lui déplait, une pitrerie qu'on ne voit qu'au Tennis Club de Crépy en Valois !? Un capitaine qui est aussi sélectionneur n'est par contre jamais aussi un joueur de l'équipe ! Sinon, comme ici, c'est la garantie de l'arbitraire, place à la rancoeur, à la vengeance !

R. BERTRAND — Alors comme je ne suis pas sûr de faire toutes les autres rencontres, j'ai laissé Djilali capitaine.

Sur cette histoire d'exclusion, je peux te dire que les joueurs ont voté et qu'ils ont décidé de confirmer ton exclusion. Moi, je n'ai pas tout saisi, j'en ai discuté avec eux... mais je n'ai pas tout compris.

C. CARRÉ — Quoi ? Ils ont procédé à ce vote ? Et ils ne trouvent ni nécessaire, ni poli, ni rien de simplement me tenir informé de leur décision ?

Quand je pense que ce genre de personnage te sourit, te dit bonjour, je joue même parfois avec l'un d'entre eux, on s'entend plutôt bien... et là, sans même me contacter, sans même m'entendre, ils prennent la décision de faire confiance à la présentation que fait M. Daoud de ce problème pour confirmer cette décision nucléaire, me virer de l'équipe, une décision jamais prise au sein du club... !?

Mais jusqu'où peut aller leur duplicité, leur hypocrisie, leur lâcheté ?

Quelle honte pour ces gens ! Ils m'écoeurent !

Et bien évidemment, J. COCONI qui n'assume pas ses responsabilités, en tant que président et membre du Bureau, les seuls habilités à prononcer une sanction...

R. BERTRAND — Bon, je vais leur en reparler lundi !

 

...

 

Acte IV - Scène 2

 

Recours auprès de l'assemblée générale de l'association (à venir)

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