Il faut croire que le compte de résultats n'est vraiment pas exact. Il semble bien que l'association soit en faillite, plus aucun euro ne pouvant être dépensé !
Pour preuve ce filet du court n°3 dont des trous béants s'ornent de guirlandes pendouillantes, les vestiges de la bande de ce filet !
Mais pourtant... il restait bien encore quelques 141 619 € en trésorerie en juin dernier ? De même, on peut fort probablement se rassurer avec un excédent de l'exercice 2015/2016 de l'ordre de 10/11 000 € !? Et puis le Comité et l'Assemblée Générale ont été plus que perspicaces pour faire preuve de cette grande sagesse qui a consisté à augmenter les cotisations de l'association, dans des proportions jamais égalées, et s'assurer de revenus suffisants pour au moins... remplacer un filet...
Alors ?
Alors... la Centrale d'achat de la FFT propose pour 94.85 € un premier modèle de filet ! Trop cher ? Trop de temps à passer sur la commande ?
Critiquer, toujours critiquer... peut-être faut-il se proposer pour passer cette commande, les responsables du club étant débordés par l'organisation de la prochaine couscous-party !?
Voici l'état du filet de ce court n°3.
Et voilà la solution !
Mais on n'a pas que ça à faire !
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Question aux élu(e)s du Comité, transmise aux adhérent(e)s :
1 - Resterait-il une petite centaine d'euros pour remplacer le filet du court n°3 ?
Question transmise le 4 octobre 2016.
Pour des informations importantes sur les conditions d'organisation des activités tennistiques de l'association (entraînements d'équipes par exemple), aucune des personnes éventuellement concernées n'en est destinataire (enfin, pas tout à fait, voir le point suivant).
Par contre la totalité des adhérent-e-s, petits et grands, sont sur-informé-e-s de l'organisation de la dernière fête concoctée par le Comité des Fêtes du Comité de Direction de l'association : la couscous-party !
Ainsi, outre l'affiche en première page du site, outre les affiches disposées au club, ce ne sont pas moins de deux courriels qui auront été envoyés à l'ensemble des adhérent-e-s qui ne savent décidément par comprendre que la priorité dans cette association est de faire la fête, n'importe quelle fête, une paëlla géante, une brocante, une couscous-party et bientôt le beaujolais nouveau, la foire aux boudins, la kermesse des bidochons, une rooftop sur les courts 5 et 7, voire une nocture sur la terre battue avec une soirée pyjama et passing-short !
Plus délicat est assurément le blocage du court n°5, le court en meilleur état, le plus agréable à jouer, quasiment jamais accessible durant la saison aux adhérent-e-s qui se contentent de pratiquer le tennis sans cours et sans compétition, et qui est ici bloqué pour la couscous-party !
J'avais déjà alerté les responsables municipaux sur le problème que pouvait soulever l'organisation d'une fête sur des installations qui ne sont pas destinées à cela. A ma connaissance, c'est assez rare que les installations municipales sportives soient ainsi mises au service de manifestations... non sportives (à part le Forum des associations... ?) et en tous cas jamais (?) pour y organiser des fêtes !?
D'autant qu'un court couvert est prévu pour accueillir un certain nombre de joueurs, forcément limité, assurément pas pour autant de fêtards (70 pour la dernière paëlla géante, 15 x plus que pour la finale du tournoi open) !
Qu'en dit la Commission de Sécurité pour une telle dérogation à l'utilisation normale d'installations sportives ?
Tout cela ne met-il pas en difficulté l'association quant au respect des termes de la convention municipale ?
Des questions qu'il me semble nécessaire de soumettre, une fois encore, à l'Adjoint aux Sports.
Au final, c'est bien la pratique du tennis qui sera mise entre parenthèses puisque les fêtards sont dans la place.
Couscous-Party : blocage du court n°5, samedi 8 octobre 2016, de 18h à 23h !
Et que dit la convention municipale sur ce type d'utilisation hors pratique sportive ?
"Les lieux devront être utilisés exclusivement aux activités de l'association, telles qu'elles sont définies dans ses statuts".
Au passage, on se demande bien à quel "article 22 du règlement intérieur" se refére cet article de la convention municipale puisque notre règlement intérieur n'a jamais comporté plus de... 17 articles !?
Dans nos statuts, point de "fêtes", de "couscous-party", de "paëlla géante", et pour cause... puisque son objet est bien :
"d'organiser, d'administrer, de diriger et de développer (tout ça ?) la... pratique du tennis".
Mais pas grave, bloquer le court le plus agréable à jouer et le plus difficile d'accès pour les adhérent-e-s n'est pas de nature à compromettre la...
Les responsables de l'association se sont-ils assurés d'obtenir une "autorisation préalable" pour l'organisation d'une manifestation qui ne correspond pas à l'objet de notre association, sur des installations sportives municipales, une démarche nécessaire comme le stipule la convention municipale ?
Les responsables municipaux valident-ils l'organisation d'une soirée festive sur des installations sportives municipales ?
Des questions qui méritent des réponses.
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Questions aux élu(e)s du Comité, transmises à l'Adjoint aux Sports, transmises aux adhérent(e)s :
2.1 - Les responsables de l'association ont-ils fait des démarches pour faire valider par les responsables municipaux (voire la Commission de sécurité) leur décision de transformer le court n°5 (ou un autre) en salle des fêtes accueillant éventuellement 70 personnes sur un court couvert ?
2.2 - L'association n'est-elle pas ainsi mise en défaut quant au respect des termes de la convention municipale qui lui confie la gestion des installations municipales de tennis pour y "organiser la pratique du tennis" ?
Questions transmises le 4 octobre 2016.
Depuis deux ans, des créneaux horaires sont bloqués pour des "Entraînements Équipes 1 Hommes ou Dames".
En ce qui concerne les entraînements hommes (il n'y en avait pas l'an passé), rien n'a jamais été publié par le Comité de Direction pour définir les conditions pour intégrer ces "entraînements hommes". Qui ? Comment ? Combien ? Pourquoi oui, pourquoi non ? Et l'on n'y trouvait pas que des joueurs de l'équipe 1 !
En ce début de saison, constatant que deux créneaux étaient à nouveau bloqués pour ces "entrainements équipes 1" le samedi midi, j'ai demandé des précisions à deux membres du Comité, par deux fois (deux samedis de suite). Par deux fois, ces élus m'ont indiqué qu'ils n'avaient pas d'informations sur cela, eux aussi.
Aussi, n'est ce pas sans surprise que, suite à ma seconde demande d'informations, quelques instants plus tard, un moniteur est venu nous faire savoir qu'il avait bien l'intention de nous contacter pour voir dans quelles conditions (qui semblent déjà définies) on pouvait organiser des "entraînements". L'un des deux élus contactés ayant fait part au moniteur concerné de mes demandes.
Nous sommes fin septembre, il y a déjà eu trois samedis pour ces "entraînements" et aucun des joueurs éventuellement concernés n'a été ni contacté, ni informé, ni par le Comité de Direction dont c'est tout de même le rôle, ni même par le moniteur qui semble chargé d'assurer ces "entraînements" !?
Aucun des joueurs ? Pas tout à fait exact puisque depuis trois samedis, deux joueurs bénéficient de ces "Entraînements Equipes 1" plus qu'étonnamment puisque l'un d'eux est en équipe 3 et qu'une dizaine de joueurs le précède dans les équipes supérieures censées définir la participation à ces "entraînements équipes 1" !?
On ne peut donc que, malheureusement, une fois encore, constater que ce club fonctionne différemment selon que l'on est bien vu... ou mal vu par ses responsables. Et il parait assez évident que sans ma curiosité et les demandes successives faites auprès de ces élus du Comité... on était parti pour des "entraînements" réservés à un petit cercle, toujours le même, comme par le passé.
Voilà trois semaines que l'on découvre que deux courts couverts sont réservés pour des "Entrainements Equipes 1 Hommes ou Dames" !? Trois créneaux le weekend du 1er octobre !
Un autre créneau est bloqué le lundi de 19h à 20h, court n°5.
Et lorsque l'on passe son nez les samedis, on peut constater que sur ce court évolue un moniteur et deux joueurs, trois le 1er octobre.
On s'interroge donc assez légitimement sur les conditions nécessaires pour pouvoir bénéficier de ces courts couverts dans le cadre des "Entrainements Equipes 1 Hommes ou Dames" avec un seul joueur de l'équipe 1 sur le court ? On s'interroge aussi sur l'absence totale de communication.
Et l'on interroge donc deux élus du Comité (M. Fleury et M. Caron) qui vous indiquent qu'ils ne savent eux-mêmes rien du tout de ces "Entraînements Equipes 1".
Aussi l'on peut-être très dubitatif de l'intervention, quelques instants plus tard, d'un moniteur qui vient vous "informer" qu'il a l'intention prochaine de vous contacter, incessamment sous peu, pour voir dans quelles conditions on peut constituer des groupes bénéficiant de ces "Entrainements". Voilà trois samedis que ces "Entraînements" sont en route, mais on est bien prié de croire que c'était prévu qu'on vous contacte pour éventuellement les intégrer... !?
Un peu toujours la même histoire. Lassant à force.
A la volée, le moniteur qui intervient entre deux portes lance quelques pistes :
- diffusion de l'information et proposition en direction de tous les joueurs dont le classement leur permet d'intégrer les équipes fanions (1, 2 , 3 ?).
- c'est ce même classement qui posera la limite pour intégrer ces "Entraînements".
- un entraînement proposé par alternance de deux groupes, tous les quinze jours donc.
Sans n'avoir toujours strictement reçu aucune information sur ces "Entraînements", quatre jours plus tard, on est donc bien dans la nécessité d'interpeller les élu-e-s du Comité sur leurs conditions d'organisation.
Dans une association, on voit mal comment ce ne serait pas les élu-e-s du Comité, responsables devant les adhérent-e-s, qui définiraient ces conditions, soucieux d'établir une règle équitable, la même pour tous.
D'autant que, sur cette question des "Entraînements d'Equipes", on ouvre bien là une boîte de Pandore qui risque de créer des discriminations à la source de démotivations en série (pourquoi les équipes "inférieures" et les équipes vétérans ne bénéfieraient-elles pas de ces "entraînements" également ?) pour un bénéfice sportif des plus que discutables.
Mais c'est un autre débât qu'il convient d'engager sur des... informations enfin précises.
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Questions aux élu(e)s du Comité, transmises aux adhérent(e)s :
3.1 - Quels horaires précis pour ces entraînements du samedi 12h (le moniteur a évoqué 1h30) ?
3.2 - Ces entraînements sont-ils pris en charge par un moniteur salarié par l'association ou ce moniteur est-il présent en tant que joueur ? Ou bien alors ces entraînements sont-ils uniquement des créneaux réservés aux équipes (sans moniteur salarié et sans autre responsable désigné, les joueurs se prenant en charge, ce qui était le principe retenu auparavant pour les entraînements hommes) ?
3.3 - Si ces entraînements sont encadrés par un moniteur salarié par l'association, y a-t-il une contribution financière demandée aux bénéficiaires de ces entraînements ?
3.4 - Si aucune contribution financière n'est demandée, quelles exigences seront imposées, en contrepartie, aux bénéficiaires de ces entraînements : participation obligatoire aux 5 rencontres de championnats par équipes d'été, voire d'hiver ? Participation obligatoire aux tournois de l'association et notamment le tournoi interne de l'association (qui fait bien pitié pour sa version 2016) ?
3.5 - Pourquoi ces entraînements ne sont-ils pas proposés à l'ensemble des joueurs évoluant dans les équipes de championnats (ce ne sont très certainement pas les joueurs les mieux classés qui ont besoin d'un entraînement encadré par un moniteur salarié par l'association, qui plus est sans niveau de jeu ni expérience particulière du "haut niveau") ?
3.6 - Pourquoi une organisation par alternance (tous les quinze jours) de ces entraînements alors que deux courts couverts sont réservés à la même heure ? Y a-t-il, en parallèle, un entraînement Dames ? Si non, deux groupes de 4 joueurs, soit 8 joueurs au total ?
Questions transmises le 4 octobre 2016.
4 - Couscous : 60 / Tournoi interne : 50. Un seul perdant : le tennis !
Publication : 25/10/2016 | Mise à jour : 25/10/2016
60 participants à la couscous party du samedi 8 octobre contre 50 participants au tournoi interne de l'association (40 hommes, 10 dames) ! Quand on se rappelle la petite centaine d'inscrits que rassemblait ce tournoi interne auparavant...
Confirmation que cette association se définit désormais plus comme un Comité des Fêtes que comme une association sportive qui aurait pour objet la pratique du tennis.
Très très peu de jeunes inscrits. Pas même celui qui bénéficie depuis deux ans d'un cours particulier financé par le club (1 200 € à l'année) !
Alors qu'une promotion la plus large possible (affiches, deux courriels aux adhérents, info. sur le site du club) aura vanté les attraits d'une soirée couscous, strictement rien sur la promotion des derniers tours du tournoi interne. Il ne s'agit, après tout, que de tennis.
Et deux semaines plus tard, pas même un compte-rendu sur le site du club du déroulement de ce tournoi interne. Pour connaître les noms de la joueuse victorieuse ainsi que du joueur victorieux (P. Colas bien isolé en tête de tableau), il faudra retrouver les rares adhérents présents.
Et, à l'image du désintérêt de l'association pour la pratique du tennis, un président de l'association même pas présent lors de la finale homme, sans doute trop fatigué de l'investissement nécessaire à la réussite de la couscous party de la veille ?
Des constats bien affligeants pour une association ayant pour objet la pratique du tennis, un objet devenu un prétexte dans cette association curieuse.
5 - Deux ans et demi plus tard, les deux pointes sont enfin coupées !
Publication : 25/10/2016 | Mise à jour : 25/10/2016
Jacky CARON s'est dévoué pour enfin couper les deux pointes du court n°7. Merci à lui.
Comme il a tenu à me le souligner, il ne lui aura fallu que quelques instants pour procéder à cette intervention. Le plus long étant de trouver une rallonge.
Il reste qu'on ne peut que déplorer qu'un tel danger soit resté en l'état, aussi longtemps, sans réaction de la part des différents responsables contactés.
Et pour l'aspirateur ? On verra plus tard.
6 - Entraînement d'équipe : "vous n'êtes pas le bienvenu !"
Publication : 25/10/2016 | Mise à jour : 25/10/2016
Aucune information sur l'organisation des entraînements d'équipes faisant pourtant l'objet de réservations sur le planning du club. D'où cette légitimité à poser des questions pour tenter d'en savoir plus.
Il n'aura pas suffit d'autre chose pour que J. Coconi décide de m'exclure de ces entraînements d'équipe car, c'est ainsi désormais, il suffit de poser une question pour que J. Coconi invente une nouvelle loi pour éviter d'y répondre, soit en vous radiant de l'association, soit en vous excluant, toujours en vous menaçant de ses pires oukases.
Ainsi, après le délit délirant de "diffustion intempestive d'informations", J. Coconi n'en finit plus d'explorer les tréfonds d'une dérive autoritaire pour inventer le délit de "demande d'informations trop impatiente" et le délit de "critiquage sans discernement" ou le délit de "vif esprit critique", au choix.
Dans le pays imaginaire de ce président autocratique, tout est bon pour bien vous faire comprendre qu'il faut avoir la tête dans l'alignement, au risque de se la voir coupée.
Et, comme d'habitude, pas une voix dans cette association pour dénoncer de telles dérives. Et c'est bien en passe de devenir l'aspect le plus affligeant de ce délitement !
Le courriel de J. Coconi, en date du 10 octobre 2016 :
Bonsoir,
Le Club met en place cette année un entraînement d'équipes Hommes.
Cet entraînement, gratuit, sera encadré par un moniteur diplômé d'etat, Maxime Lemaire.
Les objectifs de cette séquence seront notamment de créer une cohésion d'équipes tout en faisant découvrir aux Juniors le jeu des Seniors.
La formule et l'organisation définitive de ces séances viennent d'être validées.
Nous avons longuement réfléchi à vous y inviter. Nous vous l'avons finalement proposé par l'intermédiaire de Maxime.
Mais au vu de votre acharnement à critiquer sans discernement, sans relâche et sans aucune patience, les innovations du Comité et de l'équipe enseignante, je vous informe que vous n'y êtes plus le bienvenu.
Les premiers retours que nous avons de cette formule sont extrêmement positifs. Nous ne tenons pas à ce que votre présence et votre vif esprit critique ne viennent perturber les séances.
Ces entraînements se feront donc sans vous.
Cela ne remet pas en cause, à ce jour, votre participation aux championnats par équipe.
Salutations.
Pour le Bureau,
Le Président, Julien COCONI
Petite revue de détail de J. Coconi, président, et son Bureau, dans leurs incohérences, dans leur indignité :
1 - "Créer une cohésion d'équipe"
Quoi de mieux que la décision de J. Coconi et son Bureau d'exclure un joueur de cette équipe pour "créer une cohésion d'équipe" !? J. Coconi et son Bureau, maîtres ès qualités de la cohésion d'équipe !
En vérité, J. Coconi et ces élu-e-s qui font, comme trop souvent, l'exact contraire de ce qu'ils prétendent en matière de politique sportive !
2 - "en faisant découvrir aux Juniors le jeu des Seniors"
Quand l'on sait que deux des juniors qui fréquentent depuis le début ces entraînements (car eux ont eu droit à l'information dès le premier de ces "entraînements famille") ne jouent jamais avec aucun des autres joueurs de leur niveau en n'en sollicitant jamais aucun, il y a dans le projet du Bureau et du moniteur qui semble avoir eu cette idée quelque chose d'énorme !
Faut-il être à ce point aveugle pour justifier que l'association salarie un moniteur pour faire ce qui devrait être naturel pour des joueurs appartenant à des mêmes équipes : jouer ensemble, sans autre cadre, sans autre nécessité d'investir l'argent des autres adhérents !?
Alors qu'il y a tant à faire (rencontres entre équipes crépynoises, tableau défi, parrainage, aides aux tournois, etc...), une nouvelle fois ces élu-e-s trop accaparés par l'organisation de fêtes, pensent que le développement de la pratique du tennis passe nécessairement par des moniteurs qui seront salariés par l'association. Le grand confort pour des élu-e-s bien à côté de la plaque, stériles sur ces aspects !
3 - "Nous avons longuement réfléchi à vous y inviter."
Quoi de plus inepte qu'un président qui pense qu'il doit réfléchir pour voir s'il va accepter qu'un adhérent bénéficie des mêmes droits que les autres adhérents... !?
C'est "l'entraînement équipe Hommes" de l'aveu même de J. Coconi, mais toujours le même J. Coconi doit réfléchir pour savoir s'il va vous accorder le statut "d'invité" !?
Qui déjà osait parler de "pédance" ?
4 - "Nous vous l'avons finalement proposé par l'intermédiaire de Maxime."
M. Lemaire ne nous a fait l'aumône de quelques infos sur cet entraînement qu'à la suite (15 minutes plus tard) de ma seconde demande d'informations auprès de G. Fleury et J. Caron, ces deux dernières personnes pouvant en attester.
Rien qui ne soit de l'opportunisme le plus affligeant.
Et pour la proposition précise que M. Lemaire avait indiqué ce jour-là nous transmettre prochainement... on attend toujours !
Là encore, quand on ne veut pas...
5 - "Au vu de votre acharnement à critiquer sans discernement, sans relâche et sans aucune patience"
Ce sont les nouveaux délits inventés par J. Coconi qui ne supporte pas qu'on s'interroge sur ses décisions et celles de son Bureau.
J. Coconi ne répond jamais, sur aucune des questions posées, et il ne comprend pas que toutes ces questions ne sont pas de "l'acharnement" mais bien la manifestation de sa gouvernance des plus polémiques et ce cumul spectaculaire de décisions désastreuses de sa part.
Et pour ce qui est de la "patience", au bout de quatre weekends sans info, alors que déjà trois adhérents bénéficient de ces "entraînements équipe Hommes"... on pouvait légitimement se manifester pour ne pas attendre le bon vouloir de responsables volontairement traine-savates.
6 - "les innovations du Comité et de l'équipe enseignante"
Réserver encore deux courts couverts sur le même créneau horaire, salarier encore un moniteur... ce sont là les "innovations du Comité et de l'équipe enseignante" ?
En vérité, une solution de facilité pour des élu-e-s qui se débarassent à coup de salaires payés par l'association de tout ce qui peut ressembler au développement de la pratique du tennis. Un moniteur, sinon rien !
Pauvreté d'idées et incompétences restent bien les seules "innovations" qu'on voit là.
7 - "je vous informe que vous n'y êtes pas le bienvenu. [...] Nous ne tenons pas à ce que votre présence et votre vif esprit critique ne viennent perturber les séances. Ces entraînements se feront donc sans vous."
J. Coconi et son Bureau (le trésorier qui m'adore, et la secrétaire) ont donc pris la décision de m'exclure de cet "entraînement d'équipe hommes" pour lequel je remplissais néanmoins les critères de sélection.
C'est donc une décision qui est une sanction, une exclusion telle que ce principe est énoncé dans le règlement intérieur. Je vais donc subir un préjudice puisque je ne pourrais pas bénéficier d'un droit qui est pourtant reconnu aux autres adhérents.
Rien ni personne ne trouve choquant que trois élu-e-s du Bureau ne fassent même pas valider par au moins les élu-e-s du Comité de Direction une telle sanction d'exclusion ?
Rien ni personne ne trouve choquant que trois élu-e-s prononcent une sanction forte et valable pour toute la saison, sur de simples motifs tels que : "impatience", "vif esprit critique" (ce qui reste une qualité indéniable malgré ce qu'en dit J. Coconi, président inquestionnable) ?
Rien ni personne ne trouve choquant que la procédure voulue par nos textes lorsqu'ils évoquent la possibilité d'une sanction ne soit pas mise en oeuvre, les droits de "l'accusé" respectés (invitation de l'adhérent concerné à se défendre devant une instance de l'association (au moins le Comité)) ?
8 - "Cela ne remet pas en cause, à ce jour, votre participation aux championnats par équipe."
J. Coconi 1er est trop bon avec moi. Il m'autorise encore à participer aux championnats par équipe.
Mais comment dire suffisamment merci pour une telle bonté... pleinement condescendante ?
Mais suis-je bête, c'était de l'humour, J. Coconi le précisait pourtant, c'était valable pour seulement "à ce jour" du 10 octobre.
Et mieux qu'une exclusion plus générale, les élu-e-s de ce Bureau étaient peut-être, même inconsciemment, déjà pleinement enclins à ce que ma "participation aux championnats par équipe" soit l'objet d'une "solution" plus sournoise. Voir le point suivant.
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Questions aux élu(e)s du Comité, transmises aux adhérent(e)s :
6.1 - Les élu-e-s du Comité ont-ils validé cette sanction, une exclusion définitive du bénéfice d'un entraînement d'équipe, au motif que l'adhérent en cause est accusé de délits imaginaires comme "trop d'impatience" ou "vif esprit critique" là où on ne peut lire que des questions et des interrogations très légitimes ?
6.2 - Une telle décision (exclusion d'un entrainement d'équipe) est-elle cohérente avec l'objectif affiché de cet entraînement : "créer une cohésion d'équipe" ? Je tiens à préciser ici que je n'ai jamais fait l'objet de la moindre mise en cause en tant que joueur participant à des championnats par équipe.
6.3 - Pour infliger une telle décision (exclusion d'un entrainement d'équipe) n'est-il pas nécessaire de respecter la procédure voulue par nos textes lorsqu'ils évoquent des sanctions, c'est à dire recevoir l'adhérent concerné pour au moins l'entendre et lui laisser la possibilité de se défendre d'une pareille sanction ? N'y a-t-il aucun élu pour se manifester contre une façon de faire aussi arbitraire, aussi peu conforme à l'esprit de justice ?
Questions transmises le 25 octobre 2016.
J. Coconi l'avait prédit, je n'étais admis à participer aux championnats par équipes que "à ce jour". On était le 10 octobre.
Prémonition, autre chose ? Quoi qu'il en soit, lundi 17 octobre, J. Coconi prend à nouveau la plume (trop, trop de courriels) pour faire savoir à tous les adhérents concernés par le championnat d'hiver de l'équipe 1 hommes que deux sanctions frappent cette équipe pour sa première rencontre. Motif : un joueur n'a pas été licencié dans les temps.
C'est donc un forfait qui est comptabilisé pour l'équipe, recontre perdue (mais elle l'était déjà) avec - 1 point. Et c'est aussi la disqualification du joueur concerné pour le reste de ces championnats d'hiver par équipe.
Et devinez qui est le joueur concerné ? C. Carré.
Étonnant non ?
Négligeance, autre chose ? Il reste qu'on aimerait bien que ce ne soit que les vrais responsables qui soient sanctionnés ainsi par la Ligue (une amende pour le club par exemple ?) et non un joueur qui n'est fautif en rien et qui se voit radié de cette équipe. Sans véritablement strictement aucune pertinence sportive. Mais c'est ainsi.
Le courriel de J. Coconi, en date du 17 octobre 2016 :
Bonjour,
Ce message est adressé aux joueurs susceptibles de représenter Crépy lors du championnat par équipe d'hiver.
Une erreur a malheureusement était commise lors de notre saisie des nouvelles licences 2017.
La licence de Christophe Carré a mal été saisie, elle n'était donc pas enregistrée et Christophe n'était pas qualifiable pour la première rencontre d'hier.
Nous avons joint la ligue ce jour pour récupérer notre erreur. Sans succès. La sanction est assez lourde : la première rencontre est considérée perdue 3/0 par forfait et Christophe est disqualifié pour le restant des championnats des matchs de championnat par hiver.
Dans un contexte de tensions personnelles, cela ne tombe pas au meilleur des moments : croyez-bien que cette méprise est très involontaire.
Nous vous présentons nos excuses pour le désagrément, à l'ensemble de l'équipe, avec une pensée particulière pour Pascal, auteur d'une jolie victoire hier.
Celà doit toutefois rappeler à vous tous, capitaines et joueurs engagés en championnat par équipe, qu'il est impératif d'avoir avec vous votre licence en cours de validité lors d'une rencontre de championnat par équipe. Le capitaine de l'équipe adverse doit pouvoir la demander à tout moment à vous ou à votre capitaine.
Avec toutes nos excuses une nouvelle fois, nous vous souhaitons une bonne soirée.
Cordialement,
Pour le Bureau,
Le Président, Julien COCONI
1 - Plutôt que de m'appeler par mon prénom, dans une forme de commisération qui ne trompe personne, et qui me gêne même (s'il y a bien des gens dont je ne suis pas proche...), j'aurais préféré des précisions de la part de J. Coconi.
Par ailleurs, du deux fois "Christophe" dont J. Coconi n'a pas pensé qu'il pouvait l'utiliser dans son courriel du 10 octobre, tout péremptoire qu'il s'y montrait ?
2 - Je transmets donc ces demande de précisions ci-dessous mais sans aucun espoir d'obtenir des réponses de la part d'élu-e-s opaques et rétifs en la matière.
Et qui sait même peut-être est-ce que je risque ainsi de nouvelles sanctions pour de nouveaux délits inventés par un J. Coconi des plus prolixes dans ce domaine : "demande de précisions embêtantes", "demande de précisions trop embarrassantes".
3 - Lorsque j'étais secrétaire et en charge du renouvellement de ces licences, deux ou trois fois le même type de problème s'est produit.
Soit la fiche de l'adhérent ne m'était pas parvenue dans le délai nécessaire, soit l'adhérent n'avait pas encore procédé au renouvellement de son adhésion, malgré sa participation aux championnats d'hiver.
Et à chaque fois, nous n'avons pu que déplorer un disfonctionnement de notre circuit dans le recueil des fiches d'inscription.
Je n'ai pas de souvenir sur une "erreur [de] saisie", une licence "mal saisie" et donc "pas enregistrée". D'autant que, à ma connaissance, il suffit de cocher une case puis de valider l'enregistrement des licences ainsi sélectionnées.
D'autant que j'effectuais aussi un croisement avec les inscriptions qui permettait aussi de remarquer des anomalies de ce type.
Des précautions qui semblent avoir été étrangères aux méthodes du responsable fautif.
4 - A l'époque, on ne manquait pas aussi d'invoquer les défaillances du capitaine de l'équipe concernée, à qui il appartient de rassembler et présenter les licences à jour des joueurs engagés. Sans omettre aussi la responsabilité du joueur concerné.
5 - A ce propos, en tant que joueur concerné, j'ai fait part de ma toute bonne foi auprès du Président de la Ligue (un recours que j'ai tenté), puisque, une semaine avant cette rencontre, je suis allé sur l'espace licencié pour y imprimer ma nouvelle licence et que, à aucun moment, aucun élément de ce site ne m'a alerté sur le non renouvellement de ma licence. J'ai ainsi pu éditer ma licence, l'imprimer, sans même m'alerter du mauvais millésime de celle-ci. Mon classement n'ayant pas évolué d'une saison à l'autre, tout apparaissant le plus normalement du monde, je n'ai pas une seule seconde eu le réflexe de remettre en question la validité de cette licence éditée par le site de la FFT.
6 - Ici la fiche est parvenue au responsable, de l'aveu même de J. Coconi. Et c'est ensuite qu'il y a eu problème.
Mauvaise volonté de la part d'un responsable qui a vu la licence de ce Carré très désagréable et qui se serait dit : lui, on verra plus tard, plus tard se révélant trop tard ? Rien ne permet d'aller jusque là.
Il reste que j'ai renouvelé mon adhésion le 24 septembre et que durant ces trois semaines il y a sans doute eu des occasions où moins de négligeance aurait pu permettre de s'apercevoir de ce problème.
Au final, si "à ce jour" du 10 octobre, J. Coconi était bien dans la nécessité de ne pas pouvoir m'exclure de la participation à ces championnats d'hiver, c'est encore le même J. Coconi qui peut annoncer que j'en suis, au 17 octobre 2016, définitivement "disqualifié".
Pas fautif mais interdit de participer à une épreuve sportive organisée par l'association, c'est la seconde fois que cela m'est infligé, et toujours par la faute des responsables de l'association.
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Questions aux élu(e)s du Comité, transmises aux adhérent(e)s :
7.1 - Qui est le responsable de l'association qui est responsable de cette négligence ?
7.2 - Quelle est la nature précise de "l'erreur" de "saisie" invoquée ? Est-ce la case correspondant à ma licence qui n'a pas été cochée ? Est-ce la page-écran des licences ainsi cochées qui n'a pas été validée ? Si c'est cette page qui n'a pas été validée, pourquoi seule ma licence n'a pas été validée (au 24 septembre, je n'étais assurément pas le seul concerné par un renouvellement de licence) ?
7.3 - Pourquoi le responsable n'effectue-t-il pas de croisement entre les données Tennisweb et les données de la Ligue ?
7.4 - Pourquoi la proximité des premières rencontres de championnats par équipes n'a-t-elle pas fait l'objet d'une vérification de la validité des licences des joueurs engagés ?
Questions transmises le 25 octobre 2016.
8 - Stages : à quand le troisième court couvert ?
Publication : 25/10/2016 | Mise à jour : 25/10/2016
On sait que depuis que les membres du Comité ont voté une quasi gratuité pour les réservations de courts pour les moniteurs travailleurs indépendants, il n'y a plus de raisons pour que ces mêmes travailleurs indépendants limitent leur emprise sur les installations sportives municipales.
Une quasi gratuité qui reste d'ailleurs pleinement illégale puisque les tarifs de l'association, y compris le montant de ces locations de courts pour les activités libérales des travailleurs indépendants, sont du ressort de l'assemblée générale.
Et comment ne pas dénoncer ici une nouvelle aggravation au profit des travailleurs indépendants, lorsque l'on constate que ce n'est plus un court couvert qui est ainsi privatisé pour que les travailleurs indépendants puissent y organiser leurs activités lucratives mais deux courts couverts ! Deux courts couverts qui sont bloqués plusieurs fois (12 créneaux horaires) sur cette semaine des vacances de la Toussaint pour l'organisation des stages des travailleurs indépendants.
Il est un devoir pour les élu-e-s de l'association de défendre les intérêts des adhérents. En donnant leur bénédiction pour que ces "stages en troupeau" (plus on a d'inscrits, plus c'est rentable) occupent désormais deux courts couverts, les élu-e-s de l'association ne sont pas attentifs aux intérêts des adhérents.
Et cette décision reste assurément non conforme aux possibilités offertes par le règlement intérieur !
Mais, même pas peur... ce Comité n'a jamais hésité à piétiner ce même règlement intérieur de l'association. Alors... une fois encore...
1 - Le planning des réservations pour ces stages durant la semaine du 24 octobre au 28 octobre 2016 :
2 - En guise de préambule, à noter que, une fois n'est pas coutume, mes remarques amènent les élu-e-s du Comité (ou tout au moins le responsable (inconnu) qui se charge de passer ce type de réservations) à modifier leur façon de faire. Ainsi on pourra apprécier (et on le fait) de pouvoir enfin utiliser le court n°5, le court le plus agréable à utiliser.
Cela n'a pas toujours été le cas, loin s'en faut.
3 - Alors, des réservations sur deux courts couverts pour des stages organisés dans le cadre des activités libérales des moniteurs travailleurs indépendants, c'est possible ou pas d'après le règlement intérieur ?
D'après l'article 5, paragraphe G, clairement non.
Ces stages sont des activités libérales commerciales lucratives qui ne sont pas listées dans les exceptions évoquées dans cet article 5, pourtant déjà taillé sur mesure pour ouvrir la plus grande porte aux activités encadrées. Un moniteur, sinon rien !
Il n'y a donc aucune possibilité pour les élu-e-s du Comité à autoriser le blocage de deux courts couverts pour ce type d'activités "nécessitant la réservation par le biais du club".
Pour autre preuve, par le passé, avec des élu-e-s du Comité se montrant plus attentifs aux intérêts des adhérents, cela n'a jamais été autorisé, voire même rendu impossible puisque les moniteurs n'étaient pas autorisés à occuper simultanément chacun un court.
3 - Là, on est allé bien plus loin encore pour rendre possible ces stages-troupeau en autorisant ce moniteur à s'étaler sur deux courts couverts. En effet, quelle autre justification pour bloquer deux courts couverts si ce n'est d'accueillir un nombre important (plus d'une dizaine) d'enfants simultanément ?
4 - Au moins ce moniteur n'est-il plus dans la nécessité d'impliquer un jeune AMT du club pour frauder les réservations et s'étaler ainsi sur les trois courts couverts.
Plusieurs fraudes volontaires et spectaculaires jamais examinées par le Comité pourtant alerté, jamais sanctionnées, des infractions au règlement intérieur absoutes par des élu-e-s ainsi compromis.
Rien que du très habituel dans cette association bananière.
5 - Le paragraphe H de cet article 5 prévoit que des manquements à ces contraintes de réservation peuvent faire l'objet de sanctions.
Il y a donc nécessité, pour ces nouvelles infractions, à ce que le Comité sanctionne fermement le responsable qui a passé des réservations ainsi proscrites. On y croit.
6 - Les vacances de la Toussaint sont des vacances où les adhérents sont présents. Il y a donc une grande nécessité à laisser l'accès le plus important aux installations de tennis.
7 - Et comment ici, une nouvelle fois, ne pas déplorer l'abandon des élu-e-s du Comité qui ne mettent strictement rien en place pour inciter les enfants inscrits à l'Ecole de Tennis du club notamment, à fréquenter en dehors de leur cours hebdomadaire, les courts de tennis.
Tableau défi pour les jeunes, accueil avec un responsable rétribué mais chargé uniquement d'assurer la sécurité pour des enfants qui seraient incités à réserver un court par eux-mêmes sur ces créneaux surveillés, "réservations obligatoires" d'un certain nombre d'heures de jeu à passer par les enfants eux-mêmes, notamment ceux bénéficiant de cours supplémentaires, des incitations faites dans le cadre des cours collectifs assurés par les moniteurs salariés par l'association...
Autant de pistes, autant de projets qui nécessiteraient que les élu-e-s du Comité s'investissent enfin dans le développement de la pratique du tennis. Sans doute au dessus de leurs forces.
8 - Et si la réponse pour ne pas respecter le règlement intérieur (toujours la même) et d'invoquer le peu de réservations passées par les adhérents, c'est ignorer volontairement trois autres arguments :
- un triste bilan pour une Ecole de Tennis, ses enseignants, les élu-e-s derrière tout cela, pour constater qu'aucun élève de cette Ecole ne semble incité à fréquenter les cours en dehors de leur heure de cours collectifs.
- aucune nécessité à bloquer des courts puisque, selon ce point de vue, ils ne sont pas occupés par les adhérents !? Un argument vice et versa. Surtout vice.
- et pourquoi bloquer ces courts, alors qu'il suffit aux moniteurs concernés de profiter des courts non réservés, qui sont donc libres pour s'étaler sur les courts non occupés. Un dispositif qui était celui en place et qui avait le mérite de tenir compte des intérêts des uns (les adhérents d'abord) et des autres (les travailleurs indépendants). Et pas l'inverse comme dorénavant !
9 - A noter que les publicités des deux moniteurs travailleurs indépendants ne comportent pas une mention pourtant voulue par le Comité et qui précise, en toutes lettres, que ces stages ne sont pas des activités organisées par l'association. Une grande nécessité à le préciser.
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Questions aux élu(e)s du Comité, transmises aux adhérent(e)s :
8.1 - L'article 5, paragraphe G ne prévoit pas de possibilité de réserver plusieurs courts couverts simultanément pour une activité libérale. Pourquoi cette infraction caractérisée au règlement intérieur est-elle le fait d'un responsable de l'association ? Quelle sanction pour ce responsable, conformément au paragraphe H du même article ?
8.2 - Quand les élu-e-s du Comité s'investiront-ils effectivement dans le développement de la pratique du tennis, avec de véritables "innovations", sans se borner à ouvrir de plus en plus grande les portes aux activités libérales lucratives en guise de seul projet sportif de l'association ?
8.3 - L'intérêt général des adhérents ne passe pas par la réduction à peau de chagrin de l'accès aux courts couverts. N'y a-t-il aucun-e élu-e du Comité qui soit en mesure de rester fidèle à ses obligations premières à ce sujet ?
8.4 - La mention "Stages qui ne sont pas des activités organisées par l'association" ne figure pas sur les publicités des deux moniteurs. Il y a pourtant une grande nécessité à ce que ces "stages-troupeau" ne soient pas confondus, en aucune manière, avec les activités proposées par l'association. Quels élu-e-s y veillent ?
Questions transmises le 25 octobre 2016.
9 - Tournoi open de l'association : interdit aux adhérent-e-s !?
Publication : 25/10/2016 | Mise à jour : 25/10/2016
On avait déjà eu l'occasion de déplorer cette décision hallucinante de l'an passé.
Mais revoilà que les élu-e-s du Comité de tournoi (mais qui sont-ils ?) se fourvoient à nouveau dans une décision insensée, un véritable abandon des intérêts des adhérent-e-s de l'association.
Comment ne pas réagir, comment les élu-e-s du Comité ne réagissent-ils pas lorsque le Comité de Tournoi s'adresse à tous les adhérent-e-s de l'association pour les informer qu'ils et elles ne seront peut-être pas, même s'ils s'y prennent à temps, inscrit-e-s au tournoi open du club !?
Faut-il être à ce point étranger aux intérêts de nos adhérent-e-s pour les désigner comme victimes choisies d'une discrimination illégitime, illégale, inepte et indigne ? Rien, aucun principe, aucune morale, aucun bon sens, aucune éthique sportive ne vient justifier une pareille décision.
A moins que... à moins que, une nouvelle fois on constate l'extraordinaire faculté des responsables de l'association à faire en sorte que la pratique du tennis au sein de notre association subisse une dégradation significative, une baisse de fréquentation déjà conséquente des installations de l'association par ses propres adhérent-e-s ?
Il suffira de demander leur sentiment aux adhérent-e-s crépynois-e-s radié-e-s du tournoi organisé par leur propre association pour se convaincre du bien fondé d'une telle décision.
Au final, puisque la décision a été prise par les différents responsables de l'association d'interdire à des adhérent-e-s crépynois-e-s, pourtant dans le respect des conditions indiquées, de participer au tournoi organisé par leur association, on est en droit d'exiger que ces mêmes élu-e-s du Comité et du Comité de Tournoi montrent l'exemple en se radiant eux-mêmes de la liste des chanceux bénéficiaires ! L'exemple doit venir de haut et le sens du sacrifice est aussi une qualité qu'on peut attendre des élu-e-s.
1 - Tous les adhérent-e-s ont reçu un courriel les informant des mêmes précisions que l'on retrouve également sur la page info du site de l'association.
2 - Quelle autre réaction que de dénoncer ce qu'il fallait déjà dénoncer l'an passé, pour la même aberration.
Rien de tout cela n'a pris une seule ride, malheureusement.
Décréter que les crépynois et les crépynoises doivent être minoritaires est toujours une absurdité extraordinaire !
3 - Cette politique de quotas en fonction du club d'origine ne correspond à rien des précisions données par les textes de la FFT pour ces conditions qui font qu'une inscription à un tournoi open peut-être ou pas acceptée par le Comité de Tournoi. Cette décision de la part du Comité de Tournoi, sans doute confirmée par le Comité de Direction de l'association (ce sont toujours les mêmes) est donc sans doute pleinement illégale. Et il y a donc une grande nécessité à en référer au Président de la Ligue, garant de l'application équitable de ces textes.
Voici donc ce courriel :
Monsieur le Président de la Ligue de Picardie de Tennis
(copie M. le Directeur)
Bien désolé d'être dans la nécessité de vous solliciter une nouvelle fois.
L'ensemble des adhérent-e-s du Tennis Club de Crépy en Valois a été destinataire de ce courriel (22 octobre) envoyé par les membres du Comité de Tournoi du tournoi open organisé prochainement par notre association.
[le courriel du Comité (voir ci-dessus)]
Il y est donc notamment indiqué que "les Crépynois et Crépynoises ne seront donc pas majoritaires".
Ainsi, ces responsables nous informent que des licenciés de la FFT, aux droits égaux, simplement parce qu'ils sont crépynois, vont donc peut-être voir leur inscription à ce tournoi open refusée, même si cette inscription est parvenue dans les délais et en deça du nombre maximal de joueurs, même si cette inscription est parvenue avant l'inscription de licenciés d'autres clubs, simplement parce qu'ils sont crépynois !?
Aussi, je souhaiterais savoir si vous pensez que cette discrimination volontaire et proclamée est compatible avec les textes régissant les inscriptions à une épreuve sportive sous l'égide de la FFT ?
Pour ma part, je n'ai pas trouvé de mention permettant à un Comité de Tournoi de mettre en place le tri sélectif des inscrits à un tournoi open sur la simple indication de leur club d'origine. Et s'il est dit dans l'article 74 des règlements sportifs que "le comité de tournoi arrête sans recours la liste des joueurs admis à participer", on peut comprendre que "arrêter" cette liste ne signifie pas mettre en place une discrimination sur la seule indication du club d'origine. Du reste la charte le redit avec clarté, s'il en est besoin : "En tout état de cause, s’il faut refuser des joueurs, le premier critère à retenir devrait être l’ordre chronologique de leurs demandes d’inscription : il ne serait pas correct de refuser un joueur un jour pour en accepter un autre, d’un classement voisin, le lendemain". C'est pourtant exactement ce qui va être appliqué pour ce tournoi, une mauvaise règle pour des motivations qui n'ont aucun sens. Et c'est la seconde année qu'une pareille mesure est mise en oeuvre. J'en avais déjà dénoncé tous les aspects, l'an passé, au sein de notre association.
Vous comprendrez sans doute que, là encore, c'est bien la défense des intérêts des adhérents de notre association qui me motive ici, comme ailleurs. Pour ma part, ayant droit à un traitement particulier dans cette association, j'ai pris les devants et me suis vu confirmer mon inscription par le juge-arbitre (tout au moins pour l'instant).
Il me parait important d'informer le plus rapidement possible nos adhérents et les élus de ce Comité de tournoi (liste des membres non communiquée) de la validité ou non d'une décision aussi hallucinante de la part des élus de notre association qui le sont pour veiller aux intérêts... de nos adhérents d'abord !
Veuillez agréer, Monsieur le Président, mes salutations respectueuses.
Cordialement
C. Carré
4 - A noter, une petite faille dans le barrage mis en place par ces élu-e-s. Puisque ce ne sont que les "Crépynois et Crépynoises" qui sont concernés, totale possibilité pour les adhérent-e-s non crépynois-e-s à exiger que leur inscription soit prise en compte à l'égal des licencié-e-s d'autres clubs et non-crépynois-e-s !
5 - Enfin, comment ici ne pas rappeler que plutôt que de prendre des décisions pour limiter le succès de ce tournoi open, les élu-e-s du Comité auraient été mieux inspirés pour ne pas torpiller le projet de 4e court couvert, et y préférer, dans un délire collectif, un projet inepte de courts extérieurs supplémentaires prétendument "tout temps".
Comment ces élu-e-s, englués dans cet unique projet, ne parviennent-ils pas à organiser des matchs sur ces courts extérieurs supplémentaires ! Quand on voit la météo de cette fin d'octobre, on se dit qu'en novembre et décembre, c'est sûr, ce seront ces prochains courts extérieurs "tout temps" qui sauveront la situation ! Pour sûr !
Quelle tristesse de voir cette association partir à ce point en lambeaux, en pleine dérive !
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Questions aux élu(e)s du Comité de Direction, du Comité de Tournoi, transmises aux adhérent(e)s :
9.1 - Comment des élu-e-s de l'association et du Comité de Tournoi, élus par les adhérent-e-s de l'association, chargés par eux de défendre leurs intérêts, peuvent-ils prendre une décision radicalement contraire à ces mêmes intérêts, en faisant des adhérents "crépynois" des parias à qui l'on renie le droit le plus légitime à participer au tournoi open de l'association ?
9.2 - Aucun texte de la FFT ne permet la mise en place d'une telle discrimination. De quel droit les élu-e-s de l'association et du Comité de Tournoi mettent-ils en place une mesure aussi arbitraire et discriminatoire ?
9.3 - L'information transmise par les élu-e-s du Comité de Tournoi au sujet de ce tri sélectif des inscriptions ne désigne que les "crépynois" et "crépynoises". On peut donc supposer que les adhérent-e-s mais non-crépynois pourront se voir reconnaitre le bénéfice de "l'exactitude" du texte transmis par ces responsables maladroits qui ne sauraient se renier ?
9.4 - Puisque les élu-e-s de l'association et du Comité de Tournoi ont décidé que des adhérent-e-s de l'association pourraient se voir refuser leur inscription au tournoi open au bénéfice premier d'adhérents d'autres clubs, on est assurément en droit d'exiger que ces mêmes élu-e-s s'appliquent à eux-mêmes ce qu'ils imposent de façon inique aux adhérents de l'association. On restera donc attentif à ne trouver aucune inscription au tournoi open concernant les élu-e-s du Comité.
Questions transmises le 25 octobre 2016.
10 - Et les milliers d'euros absents du compte de résultats, on en est où ?
Publication : 25/10/2016 | Mise à jour : 25/10/2016
Les quelques milliers d'euros absents du compte de résultats de l'association restent toujours une énigme parmi les plus absolues.
Pour ce qui concerne le courrier transmis au conseil municipal et le maire de la commune, un mois et demi plus tard, zéro retour. Pas même un accusé de réception. Pas même l'ombre de quelque chose qui ressemblerait à de la simple politesse, une formule toute faite, un service minimum : bien reçu... vous recontacterons, cordialement...
Je dois faire l'aveu que je ne m'attendais pas à une telle forme de mépris. A croire que le conseil municipal se moque éperdument de l'utilisation qui est faite de l'argent des contribuables crépynois consacré au développement du sport dans la commune !? Je vogue de désillusions en désillusions !
Quant au cabinet comptable, j'ai croisé sur un court son représentant le 14 octobre. Et, sans que j'aborde le moins du monde cette question, il m'a indiqué que si je n'avais pas eu de réponse de sa part (malgré l'assurance du contraire qu'il m'en avait faite début juillet), c'est parce que son "client" est "le Tennis Club représenté par son président, comment il s'appelle déjà ?". Et même en faisant remarquer qu'en tant qu'adhérent de cette association, j'avais aussi une forme de légitimité à pouvoir obtenir ces réponses, rien n'y fait. Tout au plus lorsque j'ai indiqué que j'allais poursuivre mes recours, m'a t-on une nouvelle fois assuré qu'on allait voir avec M. Coconi, ha oui, c'est ça, Coconi, pour enfin organiser une entrevue : je vois ça avec M. Coconi. Dix jours ont passé...
J'avais également sollicité une élue du Comité, Mme Milon, qui avait accepté de relayer ces questions en réunion du Comité. Mais là encore, pschittt de cette démarche puisqu'on se sera contenté... de ne poser aucune des questions précises qui se posent pourtant. Une nouvelle fois, une impasse, une nouvelle fois, une dérobade !
Autant de nécessités à poursuivre cette quête pour des réponses à des questions légitimes et, à en juger par toutes ces réactions, ces fins de non-recevoir qui ne disent pas de mots, des questions plutôt embarrassantes.
Ci-dessous la réponse du conseil municipal et du maire de la commune :
Ceci est un trou noir qui absorbe toute matière qui disparait on ne sait trop où, on ne sait trop comment. Un mystère effrayant. Jai donc choisi une photo avec un peu de couleurs pour rendre la chose moins affligeante, moins inquiétante.
Ci-dessous la réponse du cabinet comptable :
J'ai choisi un cliché avec un peu de bleu car sinon on pourrait croire que l'étoile filante est une promesse qui restera insaisissable et s'évanouira, à chaque fois, dans la nuit profonde de l'univers. Mais, avec le bleu, on garde espoir d'un jour prochain.
Ci-dessous la réponse de Mme Milon (23 octobre) :
Monsieur Carré,
Lors de notre réunion de comité vendredi 21 octobre, j’ai présenté avec le président votre question. Nous en avons longuement débattu et avons appris que la Mairie vérifierait chaque année les comptes de trois associations dès cette saison, afin d’éviter les dérives éventuelles.
Nous avons revu le grand livre des comptes sur lequel nous avons constaté que le résultat est le même que celui présenté à l’assemblée générale. Par contre, il ne m’a pas été autorisé de vous le communiquer.
Néanmoins, si vous souhaitez poursuivre vos recherches, le comité vous suggère de vous rapprocher de notre expert-comptable.
Cordialement
Nathalie MILON
1 - Aucune des questions que je pose ne semble donc avoir été abordée.
Ainsi strictement aucune réponse sur cette question pourtant fondamentale : où sont plusieurs milliers d'euros (8 000/10 000 €) qui n'apparaissent nulle part dans ce compte de résultats !?
Et donc aucune réponse sur les ratios appliqués aux recettes de la saison 2015/2016 et qui doivent apparaitre dans le grand-livre et qui doivent être bien différents de ceux qu'on pourrait y attendre !?
2 - Et bien évidemment, comme depuis quatre mois maintenant, blockhaus et blackout pour la communication du moindre élément permettant d'y voir clair dans les opérations décidées puis validées par les élu-e-s du Comité et le cabinet comptable, aucune possibilité d'aller établir quelle sorte d'opérations a été effectuée dans cette arrière cuisine des comptes de l'association !?
Et qui sont donc ces personnes qui n'autorisent pas une élue du Comité, Mme Milon, à me communiquer des documents pourtant consultables de droit par n'importe lequel des adhérents de l'association ? Qui sont donc ces personnes qui ont, très visiblement, des choses à cacher ?
Pourquoi se montrer aussi docile et se laisser dicter sa conduite lorsqu'on est une élue légitime pour communiquer des informations auprès des adhérents ?
3 - Et que dire de cette dernière boutade du Comité, cynique en vérité, pour m'inviter à me rapprocher de l'expert-comptable... qui lui même m'invite à me rapprocher du président de l'association... qui m'invite à me rapprocher de l'expert comptable... qui m'invite à me rapprocher de...
Faire tourner le Carré en rond, une méthode des plus distrayantes semble-t-il.
4 - Je vais donc tenter d'autres recours, encore.
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Questions aux élu(e)s du Comité, transmises aux adhérent(e)s :
10.1 - Qui sont les personnes qui n'autorisent pas Mme Milon à communiquer le grand-livre, un document pourtant parfaitement consultable, sur simple demande, par n'importe lequel des adhérent-e-s de l'association ?
Qui sont donc ces personnes qui ont, très visiblement, des choses à cacher ?
10.2 - Un représentant du cabinet comptable qui indique qu'il ne peut rien répondre sans l'accord du président de l'assocation, puis un Comité qui propose de se rapprocher du cabinet comptable pour obtenir des réponses ? La farce est-elle drôle ?
Y a-t-il quelqu'un capable de prendre ses responsabilités pour ne pas les fuire ?
Questions transmises le 25 octobre 2016.