Questions d'intérêt général transmises à l'Assemblée Générale du Tennis Club de Crépy en Valois du vendredi 3 juillet 2015.

 

Pourquoi toutes ces questions ?

Le président Julien COCONI a refusé de faire examiner par le Comité des questions que j'ai transmises depuis septembre 2014. A ma connaissance, un seul élu a milité pour voir examiner ces questions en réunion de Comité. Il a aujourd'hui démissionné du Comité de Direction.

Si J. COCONI et les membres du Comité avaient régulièrement apporté des réponses à ces questionnements légitimes, ils auraient, en assumant ce devoir de transparence, épargné à l'Assemblée Générale une partie de ce travail de l'examen de toutes ces questions d'intérêt général.

L'Assemblée Générale est statutairement l'institution la plus souveraine de notre association. Cette assemblée est légitime en tout comme le précise les statuts (article 24 : l'AG "d'une manière générale, délibère sur toutes les questions d'intérêt général"), avec le pouvoir de corriger des décisions du Comité de Direction et du Bureau de notre association lorsqu'ils dysfonctionnent gravement. Une délibération se soldant par une décision et donc un vote des adhérents présents, n'en déplaise à ces élu(e)s qui militent ouvertement pour une Assemblée Générale constituée de membres spectateurs, simplement là pour produire les applaudissements attendus.

L'Assemblée Générale reste donc bien pleinement légitime, la plus légitime qui soit pour être saisie de toutes ces questions où l'intérêt général de l'association est en question, des intérêts de l'association remisés au second rang ou volontairement ignorés, au bénéfice d’un copinage indigne trop souvent.

Il y a donc une nécessité à faire figurer ces questions d'intérêt général dans l'ordre du jour distribué aux adhérents.
A défaut, je prendrais la responsabilité de les diffuser directement auprès des adhérents afin qu'ils puissent éventuellement en prendre connaissance, à tête reposée.

J'espère également que l'Assemblée Générale saura consacrer le temps nécessaire à l'examen de ces questions. Voilà trois ans que je ne parviens pas à proposer aux adhérents présents en Assemblée Générale, l'examen de questions aussi graves.

J'espère que ma conception d'une Assemblée Générale qui ne serait pas que le rassemblement de membres beni-oui-oui, sans autre possibilité d'intervention ni d'esprit critique, est une conception pleinement démocratique partagée par le plus grand nombre.

Cordialement
C. Carré

 

1 : Présence des salariés en Assemblée Générale !

L'Assemblée Générale de juin 2014 a vu un salarié de l'association, S. BONNET, prendre un rôle incroyablement envahissant, monopolisant la parole, se positionnant comme un élu devant les adhérents, érigé en porte-parole officiel de certains candidats et leur "programme"... contre d'autres candidats effarés par un tel dysfonctionnement, un salarié qui avait au préalable effectué un envoi hallucinant, en son nom, d'un courriel à l'ensemble des adhérents, disposant on ne sait comment du listing des adhérents, vidéoprojecteur miniaturisé surprise pour son seul bénéfice... bref un ensemble de dysfonctionnements gravissimes, parfaitement inacceptables, une intervention parfaitement illégale dans le cadre démocratique d'une association non bananière.

En effet, ce sont bien les élu(e)s qui sont responsables devant les adhérents réunis en Assemblée Générale. Il est donc primordial que ce soient les élu(e)s, en première ligne, des élu(e)s qui parlent (enfin) avec les adhérents, qui soient en mesure de justifier du fonctionnement de l'association et de leurs décisions. De même les élu(e)s doivent être en mesure d'apporter toutes les informations nécessaires, voire présenter dans le détail leurs projets, et non ceux des salariés, sans nécessiter de recourir à l'intervention plus directe des salariés de l'association.

Le risque reste bien avéré que les intérêts des salariés de l'association ne soient pas ceux... de l'association. Il est essentiel que l'association se préserve de pareils dysfonctionnements, de pareilles suspicions, voire de pareilles collusions.

Les autres salariés qui étaient présents en Assemblée Générale en juin 2014 ont observé un très strict devoir de réserve, n'intervenant en rien dans les débats. C'est bien ce qui reste une règle incontournable.

Il parait même totalement souhaitable que les salariés ne soient plus présents dans la salle durant les travaux de l'Assemblée Générale où il y a des débats entre adhérents. La parole doit y être libre pour les adhérents. Je rappelle que nos statuts définissent clairement qui assiste et participe à l'Assemblée Générale, en l'occurrence : "les membres actifs". Les salariés ne peuvent en être, comme le précise ces mêmes statuts (article 6).


Questions d'intérêt général n°1 :

1.1 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour que les salariés de l'association ne soient pas admis dans la salle durant tous les moments de l'Assemblée Générale où les adhérents débattent et délibèrent sur toutes les questions relatives au fonctionnement de l'association ?

1.2 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour qu'on rappelle très clairement le strict devoir de réserve que doivent observer les salariés de l'association, durant l'Assemblée Générale... comme dans l'enceinte des installations du club ?
...

 

2 : Politique salariale à 4 vitesses !

En août 2014, le Comité a décidé d'augmenter les taux horaires des moniteurs et des AMT de l'association.

Au final ces augmentations s'étalent de + 2.63 % (AMT) à + 17.85 % (S. BONNET). Un second moniteur se voyant quant à lui augmenté de + 6.08 % quand le "dernier" moniteur s'est vu octroyer seulement + 3.88 % !

Alors même que la proposition initiale du Comité était de 2 % pour chacun des trois moniteurs en place et que c'est à la suite d'un courrier de M. LEMAIRE que ces taux deviennent différents comme l'indique J. COCONI (cf. CR d'août 2014).

C'est peut-être, pour le Comité, le souci d'arrondir au demi-euro le montant du salaire horaire en profitant de l'occasion d'une augmentation ? Un souci qui n'est pas décliné de la même manière pour M. LEMAIRE (+ 6.08 %) avec un arrondi par le haut, et pour P. COLAS, avec un arrondi par le bas (+ 3.88 %). Et cela reste un souci inutile puisqu'à la prochaine augmentation, il faudra à nouveau engager une discrimination salariale avec des taux à nouveau différents pour conserver des arrondis !?

Ou c'est peut-être alors le souci de réduire l'écart entre le taux horaire de P. COLAS et celui de M. LEMAIRE ? De 0.93 € il passe à 0.50 €, en défaveur de... P. COLAS !? C'est donc annuler l'ancienneté de P. COLAS au sein de notre "entreprise". Pour quelle raison cette gomme magique, ce reniement ? Pour quelle autre raison sinon que la énième démonstration d’une discrimination insensée en faveur de certains salariés et au détriment d'autres ?

2013/2014 Taux aug. 2014/2015 Aug. en € Taux identiques Aug. en € nv total Taux identiques Aug. en € nv total
PCO 22,14 € 3,88% 23,00 € 0,86 € 6,00% 1,33 € 23,47 € 2,00% 0,44 € 22,58 €
ML 21,21 € 6,08% 22,50 € 1,29 € 6,00% 1,27 € 22,48 € 2,00% 0,42 € 21,63 €
Ecarts 0,93 € 0,50 € 0,99 0,95
SB 17,82 € 17,85% 21,00 € 3,18 €
AMT 11,01 € 2,63% 11,30 € 0,29 €

Quant aux + 17.85 % d'augmentation du salaire de S. BONNET, ils restent aussi plus que troublants, notamment pour J. COCONI qui, volte-face sidérante, vote pour 18 € la saison 2013/2014 en expliquant que c'est le jeu de la négociation pour chaque moniteur dans le monde de l'entreprise, puis, pour la saison 2014/2015, n'hésite pas à procéder à une augmentation de + 17.85 % pour le même salarié, dans les mêmes conditions de diplôme !?* Ha les amis… que ne ferait-on pas pour eux ?

* J. COCONI indiquerait que c'est le passage du statut d'AMT à moniteur DE qui explique ce changement du taux horaire. Or, l'embauche de S. BONNET a toujours été présentée comme celle d'un moniteur. Le diplôme de ce moniteur n'est pas affiché, on sait (DDJS) que ce diplôme a été obtenu le 15 octobre 2013, le contrat de ce moniteur n'est pas présenté, toutes les différentes délibérations du Comité évoquent toujours l'embauche d'un moniteur pour septembre 2013, le président Carrel que j'ai contacté (27 mai 2015) semble refuser d'apporter ces précisions. Pour l'instant, aucune indication ne vient confirmer ce qu'indique J. COCONI. Il faudra donc que l'AG exige ces précisions pour en juger.

Que dire alors, dans ce contexte, des 18 € proposés pour l'embauche de Kévin FIGIEL, en tant que  moniteur, s'il avait eu son diplôme en septembre 2014 ? 21 € pour l'un, 18 € pour l'autre ? L’expérience ?

Je rappelle, à toutes fins utiles, que le Comité a refusé de prendre en compte l'expérience (page 16) (et même le diplôme) pour réévaluer le taux horaire de Sandrine EMERY (page 7), enseignante de longue date, AMT diplômée mais rémunérée au même niveau que les AMT stagiaires non diplomés. Il en aura été de même avec ce professeur d'EPS, au CV long comme le bras, dont le président de l'époque avait validé l'embauche, pour se renier trois jours plus tard sur cette question d'un taux horaire prenant en compte… l'expérience !

Tant d’incohérences ne laissent qu’une explication : copinage à toutes occasions !

Enfin, on pourra se questionner sur le fait que les AMT se voient attribuer les miettes du gâteau distribué avec un taux de + 2.63 %.


Questions d'intérêt général n°2 :

2.1 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour condamner formellement de telles discriminations pourtant validées par les membres du Comité ?  Des décisions pourtant aussi incohérentes et dangereuses pour l'association (cf. prudhommes).

2.2 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour que soit votée une augmentation compensatrice pour P. COLAS afin que l'augmentation dont il puisse bénéficier cette saison 2015/2016 soit équivalente à celle de M. LEMAIRE et qu'il retrouve ainsi tout le bénéfice que son ancienneté lui confère ? Il n'y a strictement aucune raison recevable pour laisser cette discrimination décidée par le Comité de Direction sans réparation.

2.3 - L'Assemblée Générale convient-elle également d'accorder un montant qui compensera la perte de salaire de P. COLAS pour la saison 2014/2015 (120 € environ ?) ?

2.4 - Puisqu'il en est encore temps, l'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour imposer au Comité de ne pas donner suite à cette proposition du Comité d'établir le taux horaire de K. FIGIEL, s'il obtient son DE (c'est fait depuis le 9 juin, félicitations !), à 18 € nets de l'heure, mais bien à un taux en rapport avec celui de S. BONNET justifiant d'un diplôme équivalant et une ancienneté dans notre association non déterminante sur cette question, soit 21 € nets de l'heure ?

2.5 - L'Assemblée Générale exige-t-elle que les augmentations soient, à l'avenir, régies par un souci nettement plus visible d'équité entre nos salariés, avec un taux unique pour des mérites équivalents ?

2.6 - Dans le cas où S. BONNET aurait bien été embauché comme moniteur pour la saison 2013/2014, et non en tant qu’AMT, l'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour la révocation de J. COCONI qui aurait présenté une justification mensongère pour justifier une augmentation record de + 17.84 % pour la  saison 2014/2015 ?*
...

 

3 : Réservations interdites : et quand ce sont les personnes chargées de les sanctionner qui en sont coupables ?

Depuis septembre 2014, le président de l'association, Julien COCONI, fait procéder à une triple réservation le vendredi de 20h à 23h, court n°6. Une triple réservation pour un entrainement équipe dames 1 encadré par S. BONNET et un entrainement équipe hommes 1 (cf. planning officiel).

Deux de ces trois réservations viennent s'ajouter à deux autres réservations en place pour des cours collectifs organisés par l'association et assurés par K. FIGIEL (cours collectifs adultes (20h/22h) sur le court n°5.

Le règlement intérieur de l'association stipule pourtant très clairement que ce type de réservation sur deux courts couverts à la fois pour des activités organisées par le club est très strictement interdit.

Article 8, paragraphe G :

"Sauf pour une rencontre de championnats par équipes ou les matchs de tournois par tableaux, il n’est pas possible de procéder à la réservation de plus d’un court couvert à la fois pour des activités club ou nécessitant la réservation par le biais du club, sauf le mercredi et le samedi matin."

Un article du règlement intérieur débattu, réactualisé puis voté par l'Assemblée Générale du 22 juin 2013 (point 6, page 16), c'est à dire il y a à peine deux ans !? Ne serait-il déjà plus suffisant pour répondre à l'appétit des groupes de pression les plus voraces ?  Un règlement intérieur dont la version 2013 n'a jamais été mise en ligne sur le site du club depuis deux ans !

On ne sait pas si ces réservations interdites ont été validées par les élu(e)s du Comité. Le projet de planning d'aout 2014 (page 2) publié en fait état mais ces réservations n'apparaissent pas dans le planning officiel publié sur le site du club, en catimini, seulement en mai 2015 (Annexe au CR d'octobre 2014) (voir question 4).

J'ai de multiples fois alerté le président Julien COCONI sur le caractère illégal de sa décision et le risque pour lui de devoir en répondre comme pour toutes infractions, conformément au règlement intérieur. Aucune réponse jamais. Du mépris simplement pour mes remarques (page 5) que cet élu se félicite ouvertement d'ignorer volontairement.


Je ne vois pas comment un élu qui se moque aussi ouvertement d'un point essentiel du règlement intérieur de notre association, réaffirmé en 2013, un article dont il devrait pourtant être le premier  garant, peut rester digne d'une fonction élective qu'il aura sali de son mépris pour les textes en place.

Le règlement intérieur est établi pour préserver l'intérêt de l'ensemble des adhérents et pas que quelques uns d'entre eux, dans des décisions opportunistes. Ne pas le respecter, c'est bafouer ce travail et ne servir qu'une pratique du tennis.

Oui, mais il n'y a pas d'adhérents à ces heures là, entend-t-on parfois. Pour expliquer qu'il ne faut pas respecter les règles, nous restons sans doute les champions du monde. S'il n'y a pas d'adhérents, il n'y a donc aucune nécessité à passer des réservations, qui plus est interdites !

Et que répondra le Comité qui sera saisi de demandes de réservations similaires pour l'entraînement de l'équipe 2, puis 3, puis 4... etc ? Le Comité a déjà répondu non à une demande de réservations par le club pour les vétérans qui s'entraînent les mardi et vendredi en matinée (point 27, CR de février 2012). Et pourtant, cela restait sur un temps où les trois courts étaient disponibles !? Pourquoi ? Pour toujours cette même bonne raison qui est de préserver l'accès des courts aux adhérents, dans leur tout, sans privilégier autrement telle ou telle pratique.

Si les élu(e)s du Comité peuvent s'exonérer aussi ouvertement et impunément de l'application du règlement intérieur, qu'on le fasse savoir à l'ensemble des adhérents, notamment ceux qui s'efforcent de respecter nos règles communes et constatent avec désolation comment ils sont ainsi ridiculisés dans leurs efforts par... les élu(e)s du Comité !

D'autres ont déjà pris toute la mesure du comportement de Julien COCONI et éventuellement d'autres élu(e)s avec leurs infractions multiples au règlement intérieur, en les calquant sans vergogne.

A l'évidence, ces réservations interdites du club le vendredi soir en doublon, sont à sanctionner.

Et à ne pas le faire, on peut considérer que l'Assemblée Générale aura établi une jurisprudence pour rendre caduque le règlement intérieur, à jeter à la poubelle des illusions perdues.


Question d'intérêt général n°3 :

En l'absence d'autres précisions sur les votes des membres du Comité, l'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour la révocation de Julien COCONI du Comité, président et personne morale de l'association, pour une trentaine d'infractions consécutives et volontaires au règlement intérieur de l'association sur les réservations de courts (article 5, paragraphe G) ?
...

 

4 : Une association qui plonge dans l'élitisme !

Le planning des cours collectifs n'a été communiqué par la secrétaire de l'association que huit mois après la demande que j'en ai faite. Il aura fallu 4 demandes successives pour l'obtenir. C'est anormal mais habituel avec ces deux dernières secrétaires de l'association qui font ainsi de la rétention de documents.

Ce planning fait apparaitre une baisse drastique des enfants aidés par le club. De 49 en 2012, on est à 33 en 2014/2015. Et c'est plus véritablement seulement 19 élèves qui bénéficient d'une aide cohérente et pertinente (deux rendez-vous par semaine), les 14 autres élèves "aidés" se voyant saupoudrer des miettes sous la forme de 30 minutes supplémentaires, peu productives dans un dispositif d'1h30 par semaine, un seul rendez-vous tennis hebdomadaire.

Elèves Heures*
14 1h30
5 2h
3 2h30
4 3h
3 3h30
4 4h15
* dont 1h correspondant à l'heure-cotisation de l'élève.

(remis à jour le 27 janvier 2016)

Rien moins que 6 quotas horaires différents dénotent un aspect plus que folklorique, pour ne pas dire plus, des attributions de ces aides. Il parait que si l'on crie fort, on peut obtenir quelque chose. De bien curieuses nécessités.

Et j'apprends (31 mai) par le plus grand des hasards (cette information ne figure nulle part, dans aucun compte-rendu, invisible également sur le planning des cours organisés par le club) que le Comité ou quelques élu(e)s (?) ont pris la décision de franchir le Rubicon : un élève bénéficie d'un cours particulier pour les 30 semaines de la saison. Soit 1 200 € investis dans l'encadrement d'un seul élève. Une décision jamais prise par le Comité (on avait déjà attribué une bourse à une élève isolée dans son niveau, mais avec la participation des parents). Une décision très dangereuse : pourquoi cet élève et pas d'autres ? Que répondra-t-on à d'autres demandes légitimes de ce type ? Est-il dans les missions de notre association de privilégier ainsi un élève au détriment de 6 autres qui auraient pu bénéficier de cette heure ? Autant de questions qui semblent avoir été ignorées pour franchir un pas hautement significatif d'une certaine philosophie de l'attribution des aides du club. Alea jacta est !

Il reste ainsi que la dérive fortement élitiste de la politique sportive jeunes de notre association est profondément regrettable, incompatible avec ce qui se faisait jusqu'à présent, une faute même en tournant le dos à l'objet de notre association et celui de la FFT : le tennis, un sport réservé à tous... et pas qu'à une élite d'une grosse dizaine d'élèves "bien nés", dont les parents arriveront à avoir suffisamment d'influence pour parvenir à négocier avec les responsables en place.


Questions d'intérêt général n°4 :

4.1 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour que l'aide consentie par le club et qui reste un budget des plus conséquents (environ 18 000 € (12h + 1h (entrainement physique) + 1h cours particulier x 30 semaines x 40 €) / hors subventions) soit répartie sur le plus grand nombre d'enfants possible, en respectant cette nécessité d'au moins deux rendez-vous par semaine pour tous les enfants ainsi pris en charge ? Le dispositif des groupes 3h et des groupes 2h avait, de ce point de vue, apporté une efficacité, une équité et une pertinence bien plus grandes.

4.2 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour qu'on retrouve ce garde-fou qui consiste à ne pas autoriser de cours particulier (1 élève) financé par l'association ? Les groupes à 4 construisent durablement des groupes de niveau. C'est la plus sage et la plus respectable des politiques sportives en matière de compétition jeunes pour notre association.

4.3 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour que le planning des cours collectifs soit obligatoirement diffusé au plus tard avant la fin octobre de chaque saison ? Il est anormal que ce document fasse l'objet d'une rétention de la part des quelques responsables dans le secret de ces arbitrages. La transparence de ce dispositif (la plus grosse activité du club) doit être absolue pour les parents, pour les adhérents.
...

 

5 : Politique sportive jeunes : il faut arrêter avec la pensée unique !

Je n'aurai pas fini d'écrire ces lignes que déjà on me cinglera : mais la Ligue, la FFT, l'ONU indiquent qu'il faut au moins 6h, voire 8h par semaine pour les meilleurs jeunes d'un club ! Et de là, on vous expliquera que 4h, c'est misère à côté de ses préconisations. Et, très vite, vous deviendrez un problème parce que vous n'êtes rien pour venir vous opposer aux sommités qui ont fait ces diagnostics. Pire, vous serez présenté comme le représentant d'un certain immobilisme, voire celui qui a "une stratégie du club d'alignement par le bas" comme le dit si bien un ex-président (12 janvier 2012).

Si l'on pouvait un tant soit peu dépassé des arguments aussi mécaniques et dociles, une pensée molle, l'on pourrait sans doute s'accorder sur un constat : il faut beaucoup d'heures, plusieurs fois par semaine, pour qu'on puisse obtenir des résultats probants dans la progression des jeunes. C'est incontestable, c'est incontournable.

Mais il faudrait tout aussitôt se poser cette question (point 22, page 17), essentielle, sur laquelle la réflexion des uns ne porte pas. Que met-on dans ces heures, dans ces deux ou trois (voire plus) rendez-vous hebdomadaires des meilleurs et/ou des élèves les plus volontaires du club ?

Dans les formations des futurs moniteurs, les formateurs le disent et le répètent : un enseignant n'est "responsable" que d'une part minimale de l'apprentissage et des progrès d'un jeune élève. Il suffit d'avoir enseigner pour le savoir. C'est l'élève lui même qui, en digérant ce qu'on lui apporte, obtiendra la maîtrise pleine et entière des techniques et des savoirs. Mettre un moniteur derrière un élève à chaque fois qu'il monte sur un court est une illusion, une organisation dont la "rentabilité" est minime, voire contreproductive.

Or que se passe-t-il pour les groupes qui ont deux, trois rendez-vous dans la semaine avec un cours encadré par un moniteur salarié ? Et bien c'est 100 % assurément des moments où ces élèves jouent au tennis dans la semaine (à quelques rares exceptions près) avec... un moniteur derrière eux !

L'enseignement de la musique : 30 minutes par semaine avec le professeur... et une forte recommandation des enseignants pour que le même élève répète... 30 minutes à 1h par jour, chez lui, seul, en autonomie totale, en "digestion", en "réapprentissage", en réappropriation pleine et entière. Il fait ses devoirs, comme tous les élèves en réussite.
Il faut arrêter avec ce diktat d'une pensée unique en matière de politique sportive des jeunes que l'association aide. Mobiliser une très large part des moyens de l'association (en salaires, en courts couverts) pour encadrer à 100 % les moments de tennis des meilleurs jeunes est une impasse, un surinvestissement ravageur pour notre structure, pleinement immoral, une folie qui n'est pas l'objet de notre association.

D'autant que je me fais force de propositions pour reprendre cette nécessité de beaucoup d'heures de tennis pour progresser. Ainsi, j'avais déjà fait des propositions alternatives pour atteindre cet objectif.

Il reste encore de ces anciens du club pour se rappeler un temps révolu où ces "meilleurs" jeunes se frottaient à tous ces vétérans, plus ou moins vétérans d'ailleurs, au  jeu retors, non académique, perturbant. Et ils se souviennent sans doute bien que la confrontation entre ces deux générations était pleinement utile, plus que constructive pour tous. Pourquoi ne voit-on jamais un jeune "meilleur" jouer avec ces joueurs au classement parfois modeste, mais tellement expérimentés, disponibles et volontaires ? Qui a exploré cette piste plus avant ? Personne.

J'avais également évoqué l'idée de fournir à chacun des joueurs du club volontaires, un tube de balles neuves qu'il conserverait ensuite, pour d'abord s'engager à jouer avec ces meilleurs jeunes, dans des conditions de réservation normales, respectant un planning prévisionnel du nombre d'heures consacré à ces temps de jeu. Qui a exploré cette piste plus avant ? Personne.

A l'évidence, pour des responsables en mal d'idée, pour d'autres intérêts particuliers encore, il est beaucoup plus confortable d'engager les fonds de l'association pour que ces élèves soient pris en charge par les moniteurs du club. Un grand confort qui pèse d'un poids extrêmement lourd pour l'association, au détriment de quantité d'autres enfants de notre association laissés pour compte.

Et si je dénonce bien ici ce type d'organisation par l'association, ce n'est pas en minimisant ou en dévalorisant autrement l'investissement des parents dont certains se mobilisent ensuite dans les tournois, les rencontres de championnats, voire sur le terrain avec leur(s) enfant(s). L'un et l'autre sont à dissocier ici.


Question d'intérêt général n°5 :

L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour qu'on valide le principe de ces heures d'accompagnement, avec réservation normale (mêmes règles que pour tous les adhérents) pour qu'elles soient mises en oeuvre en remplacement des 4e heure, voire plus encore, et des cours particuliers mis en place cette saison ?
...

 

6 : Des entraînements secrets !

Le planning officiel des cours collectifs n'apporte aucune information sur l'organisation des "entraînements".

L'entrainement du lundi et du vendredi (équipe dames) est encadré par S. BONNET (indications du planning).

cf. compte-rendu du 10 octobre 2014, page 3

Ces deux heures sont-elles salariées ?
Si oui, quelle est la composition de ce groupe ?
Quelle est la cotisation réclamée aux personnes qui bénéficient de cet encadrement ?

L’an passé encore, on réclamait le même montant que pour un cours collectif adulte (180 € pour un groupe de 4, pour 1h encadrée).

L'entraînement du vendredi (équipe hommes) est-il encadré par S. BONNET (pas d'indication sur le planning) ?
Si oui, ces deux heures sont-elles salariées par l'association ?
Quelle est la composition de ce groupe ?

cf. compte-rendu du 29 août 2014, page 2 (les entraînements du vendredi n'apparaissent pas sur le planning officiel)

L'équipe 1 est composée des joueurs suivants : P. COLAS (3/6), S. BONNET (4/6), N. LJUBISAVLJEVIC (15), B. JAUNEAU (15/1), M. LEMAIRE (15/2).

Pourquoi cet entraînement n’a-t-il pas l’objet de proposition auprès des joueurs dont le classement est équivalent au dernier joueur de ce groupe ?
Si ces deux heures sont salariées, quelle cotisation est demandée aux personnes bénéficiant de cet encadrement ?

Sur toutes ces questions, aucune précision de la part du Comité.

Il est évident qu’un devoir d’information permettrait d’éviter d’y consacrer un temps de l’Assemblée Générale. Il est tout aussi évident que ces précisions qui seront obtenues en Assemblée Générale, en dernier ressort, appelleront peut-être de nouvelles questions et délibérations de l’Assemblée Générale.

 

7 : Un moniteur... qui n'enseigne pas !

Il semble que le Comité (aucune délibération, aucun vote n'apparaissent dans les comptes-rendus de réunion de cette saison) ait voté une mesure pour que Maxime LEMAIRE, le moniteur à plein temps de notre association, soit "libéré" 2h par semaine pour assurer... on ne sait pas quoi, des "tâches administratives", la "prise de licences" étant vaguement évoquées un temps.

Ce salarié doit à l'association 30h d'enseignement. La saison passée (juillet 2013 - point 7, page 2), j'avais déjà eu à batailler pour que l'association soit assurée du plein emploi de ce salarié et éviter ainsi une dépense injustifiée.

Je ne retrouve pas la trace, pour cette saison, sur le planning officiel, non pas de 2h mais de 3h. La 4e heure que je recherchais venant d'être retrouvée (31 mai) avec ce cours particulier secret.

Un doute d'une heure encore, qui laisse entrevoir deux situations, pleinement catastrophiques, l'une comme l'autre.

Avec cette mesure, le Comité engage à coup sûr un budget de 2 400 € environ (2h x 30 semaines x 40 €) pour salarier un moniteur diplômé afin qu'il n'enseigne pas et accomplisse des tâches administratives alors même que l'association dispose de onze bénévoles membres du Comité, dont deux secrétaires et d'un stagiaire DE qu'on charge également de ce type de tâches, tout cela pour la gestion de... 416 adhérents ! J'ai assumé ces tâches, entre autres, seul, durant 26 ans !

Si c'est bien 3h qui s'évaporent ainsi, c'est un cumul de 3 600 € qui est soustrait à l'enseignement du tennis dans notre association !

D'autant que c'est aussi la nécessité (parce que la demande est là) d'embaucher opportunément un quatrième enseignant (S. BONNET) pour assurer encore 3h de cours collectifs, voire 5h si les entraînements de l'équipe 1 dames sont 2h salariées.
Soit, au total pour ces dépenses superflues avec l'argent des autres, un coût supplémentaire pour l'association oscillant entre + 2 400 € (2h x 30 semaines x 40 €), voire + 3 600 € (3h x 30 semaines x 40 €) !?

Quelle association, quel particulier décideraient une dépense superflue de tels montants ? La préservation du modèle économique de notre association, dans le contexte actuel (non renouvellement de la subvention du Conseil Régional qui était prévisible (- 9 000 € tout de même))  ne passe assurément pas par de telles largesses avec l'argent des autres, celui des adhérents !

Depuis toujours, les élu(e)s du Comité de Direction sont des bénévoles actifs, ne reléguant pas la charge de leurs attributions aux salariés de l'association. Cela a apparemment changé.


Question d'intérêt général n°7 :

L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour que le Comité se voit exiger d'organiser les 30h du contrat de ce moniteur en 30h effectives d'enseignement, sur le court, en présence d'élèves jeunes ou adultes, en cours collectifs ?
...

 

8 : Désinscription arbitraire !

Le 18 octobre 2014, j'ai été désinscrit du tournoi open sur une proposition forcenée du juge-arbitre. Un juge-arbitre qui conçoit qu’on puisse demander de falsifier un tableau, un juge-arbitre désigné de façon hallucinante pour organiser le tournoi open du club ! Une personne qui m'est férocement hostile depuis que je l'ai mise en cause pour cela et son comportement anti-sportif durant le tournoi interne du club, un comportement sanctionné par le Comité de Direction en mars 2015.

J'ai bien été "désinscrit" parce que j'étais bel et bien inscrit en transmettant mon inscription à un moment où ce juge-arbitre indigne précise de lui-même que j'étais encore parfaitement dans le quota défini pour ce tournoi, remettant mon engagement sur le champ sous la forme d'un chèque !


Le Comité de Tournoi, composé de Julien COCONI, Sébastien LEGAY et Gilbert FLEURY, a confirmé cette vengeance du juge-arbitre, 9 jours après ma plainte !

L'unique justification d'une décision aussi inique de la part de ces personnes et de me reprocher d'avoir remis "tardivement" un autre chèque qu'on me réclamait (remis une première fois mais il y manquait ma signature), un deuxième chèque pourtant remis avec le premier, le jour même de mon inscription au tournoi, 73 minutes très exactement après l'ultimatum d'un juge-arbitre en plein délire !?


"Tant que le solde n'aura pas été réglé". Mot pour mot, c'est la délibération du Comité de Direction du 10 octobre 2014 (point 4, page 3) concernant la remise de ce chèque. Le 18 octobre, c'est donc fait, diligemment.

Comment puis-je voir mon inscription refusée parce que j'aurais pu "régulariser ma situation un peu plus tôt", et constater que les mêmes élus ne voient strictement aucun problème pour l'inscription d'un joueur qui a revendiqué le droit de voir un tableau de tournoi falsifié, qui plus est avec "véhémence", une attitue qui sera sanctionné par une semaine d'exclusion, six mois plus tard ? Lequel de ces deux cas méritait qu'on rejette une inscription ? Lequel de ces deux joueurs a ainsi une "mauvaise réputation" ? Lequel de ces deux cas pouvait être sanctionné pour une "bonne raison", un "argument solide" ?

A l'évidence le Comité de Tournoi qui se compromet ensuite dans une argutie approximative, est pleinement complice de l'arbitraire de ce joueur, choisi comme juge-arbitre de façon hallucinante.

Un Comité de Tournoi trop content de pouvoir se prononcer à l'appui de la croisade punitive menée par ce juge-arbitre qui milite pour me voir radié de l’association pour avoir dénoncé son comportement.

Comment peut-on accorder le moindre crédit à l'objectivité de S. LEGAY, un des trois membres de ce Comité de Tournoi, un élu qui a bien failli me porter des coups le 7 mai 2015 en réunion de championnats, S. LEGAY sanctionné par la commission disciplinaire de la Ligue de Picardie pour ne pas avoir respecté les "règles déontologiques de loyauté" et "avoir failli à sa mission" dans le tenue d'un tournoi officiel ?

Comment peut-on accorder le moindre crédit à l'objectivité de J. COCONI qui m'insulte, à de multiples reprises : "Geek sectaire et imbuvable est un faible mot en fait..." en février 2014 puis par ces mots en avril 2014 : "je t'em... toi, ta syntaxe et ta rhétorique de geek sectaire imbuvable" et que je mets en cause sur de multiples et graves dysfonctionnements pour l'indignité de ses propos, ses attitudes et ses décisions ?

N'y avait-il pas dans ce club des adhérents qui auraient pu constituer un Comité de Tournoi moins à la faute, plus impartial, moins contestable, moins indigne ?

Si je peux ainsi voir mon inscription refusée sans aucun motif valable (la charte des tournois (page 67) parlent de "bonne raisons",  des "arguments solides" devant justifier une telle mesure), de tels irresponsables revanchards pourront arguer de n'importe quel motif farfelu pour refuser tel ou tel inscrit les contrariant trop douloureusement.


Dans le passé, le Comité de Direction de l'association avait corrigé, sous ma forte impulsion, une décision du Comité de Tournoi qui avait prononcé le rejet de l'inscription d'un adhérent, sans motif grave. Autre temps, autres mœurs !

Je demande néanmoins à pouvoir bénéficier de la même jurisprudence pour voir corrigée cette décision arbitraire et indigne.


Questions d'intérêt général n°8 :

8.1 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour condamner la décision du Comité de Tournoi, un pur règlement de comptes, afin d'assurer l'association qu'un tel coupe-gorge ne soit pas à déplorer une nouvelle fois ?

La charte des tournois de la FFT doit avoir la nécessité d'être appliquée dans ce type de situation, cf. "arguments solides". On ne peut ainsi la laisser piétiner par des élus dans une décision pleinement arbitraire.

8.2 – L’Assemblée Générale ne trouve-t-elle pas ici des motifs pour révoquer des élus aussi partiaux ?
...

 

9 : Réserver un court... par tous les moyens !

Les réservations de courts font l'objet de multiples tricheries dont les mécanismes sont fort bien connus de tous.

On m'en a rapporté un exemple désolant tout récemment encore. Vous avez tous été, très certainement, les témoins de ces libéralités. Certains adhérents présents sur les courts ne correspondant en rien aux réservations passées. D'autres réservations avec des prête-noms étant effacées opportunément au bénéfice de membres de la même famille ou de partenaires réguliers.

Nous sommes nombreux à regretter que les règles n'engagent que ceux qui y croient.
On évoque même un exemple à regretter avec un élu du Comité. Je ne vois pas comment un Comité de Direction peut rester crédible à tolérer cela. Ne serait-ce que parce que ces comportements indignes viennent entacher l'image des autres membres non-fautifs d'un Comité malgré tout trop laxiste en la matière.


Questions d'intérêt général n°9 :

9.1 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour que, contrairement à cette saison où aucun problème de ce type ne semble avoir été traité par des élus (cf. CR de réunions du Comité), soit par indifférence, soit par compromission, ces infractions aux dispositions du règlement intérieur soient systématiquement traitées en les sanctionnant pour en  limiter le nombre à l'avenir ?

9.2 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour qu'une disposition particulière soit proposée pour nos statuts (à voter en Assemblée Générale Extraordinaire) en imposant automatiquement la révocation d'un(e) élu(e) qui serait ainsi convaincu d'une tricherie manifeste aux réservations, sanctionnée par le Comité ?

Non pas une révocation ad nutum et pleinement arbitraire sur la base des articles de loi concernant… la gestion des co-propriétés, mais bien une révocation pour une infraction clairement établie (Tennisweb le permet aisément avec ses archives).
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10 : Les cours compétitions... un pré carré réservé à certains moniteurs !

Pascal COLAS est champion de l'Oise et de Picardie dans sa catégorie d'âge, régulièrement depuis quatre à cinq ans ! Un crépynois à Roland Garros chaque mois de juin ! Excusez du peu. Il reste par ailleurs le joueur au niveau le plus élevé jamais atteint dans notre association (- 4/6). Il le sera sans doute encore pour des décennies tant ce niveau reste un autre monde.

2014

P. COLAS est également un des moniteurs salariés par notre association.
L'expérience de ce haut niveau qui n'est connue et maîtrisée que de lui seul, devrait faire l'objet d'une valorisation au sein de notre structure pédagogique. Et que croyez-vous qu’il advint ? Et bien il advint que P. COLAS ne se voit plus attribuer depuis maintenant trois ans, aucun cours compétition ! J'avais fortement regretté cela dès la première année.

Alors que les deux autres moniteurs se voient confier ces groupes à 4 élèves et au niveau de jeu intéressant car motivant, P. COLAS se voit, lui, cantonné à de l'initiation ou du perfectionnement pour des groupes à 6 élèves.

Pire puisque lorsque le Comité s’égare et valide le principe d'un cours particulier, il le confie à un moniteur... qui a le même classement que son élève !? Je ne dénigre en rien le professionnalisme, le sérieux et les qualités de pédagogue et les qualités humaines incontestables de l'enseignant choisi, mais il parait assez évident que pour partager une expérience de haut niveau, ce n'était pas le meilleur choix de la part du Comité, dans une logique toujours assez... particulière.


Question d'intérêt général n°10 :

L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour que l'expérience et le niveau de jeu de ce moniteur soit bien mieux mise à profit par l'association en imposant au Comité que P. COLAS se voit à nouveau confier les meilleurs jeunes de notre école, au moins durant la journée du mercredi où il intervient ?
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11 : Un juge arbitre sanctionné par la Ligue mais toujours élu du Comité !

La Commission des Litiges de la Ligue de Picardie de Tennis a sanctionné par un avertissement  (article 87 des règlements administratifs de la FFT, page 69) le juge-arbitre du tournoi interne de septembre 2014.

Motifs donnés par cette Commission dans ses attendus : ce juge-arbitre a "failli à sa mission" et au respect des "règles déontologiques de loyauté" en commettant "l'infraction prévue" à l'article 85-11 des règlements administratifs, estimant que l'effacement pur et simple de deux forfaits est un "acte répréhensible".

Dans ces conditions, comment une association peut-elle donner sa confiance à une personne qui fausse volontairement la sincérité d'une épreuve sportive ? Le mandat de représentant de l'association et de ses adhérents est-il compatible avec une telle mentalité, une telle moralité ? Voulez-vous être représenté par ce type d'élu ?


Question d'intérêt général n°11 :

L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour la révocation du Comité de cet élu en qui on ne peut plus avoir confiance quant à son respect des textes en place ?
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12 : Des fautes... mais pas de sanctions !

Le président Julien COCONI, un des membres du Comité de Tournoi (sur deux), a pris la décision de ne pas sanctionner ni le joueur à l'origine de cette fraude, ni ce juge-arbitre qui a "failli à sa mission" selon les termes de la Commission des Litiges de la Ligue de Picardie de Tennis. A l'évidence, l'unique explication d'une décision à l'exact opposé de celle de la Commission des Litiges de la Ligue de Picardie reste de la part de Julien COCONI... un copinage éhonté !

Julien COCONI reconnait la faute du juge-arbitre dans ses conclusions (Comité de Tournoi), mais renonce à toute dignité pour prétendre qu'il ne faut pas la sanctionner, proposant des arguments aussi insensés qu'éhontés : on comprend qu’on peut ainsi tricher, ce n'est qu'un tournoi interne (pourtant très officiellement homologué et pris en compte pour les palmarès des joueurs, comme n'importe quel autre tournoi), que la tricherie ne perturbe pas l'organisation d'un tournoi, etc... !

Dans ces conditions, comment une association peut-elle accepter d'être représentée par un élu qui fait passer l'intérêt de ses proches amis avant le respect des textes de la FFT et la moralité sportive la plus élémentaire ?


Question d'intérêt général n°12 :

L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour la révocation du Comité de Julien COCONI, personne morale de l'association, en qui on ne peut plus avoir confiance quant à la défense des intérêts fondamentaux de l'association : le respect de ses textes fondateurs ?
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13 : Des insultes toujours non-sanctionnées !

Un salarié a insulté ("gros con" x 2) et menacé le stagiaire-moniteur de notre association en juin 2014 durant le tournoi jeunes.

Ce stagiaire-moniteur  en était pourtant le juge-arbitre officiel, désigné par le Comité de Direction de l'association, pleinement dans ses fonctions, sans qu'aucune faute ni maladresse ne lui soient reprochées depuis.

Il aura fallu quatre longs mois et plusieurs relances de ma part pour que Julien COCONI et le Comité (le trésorier était présent le jour de l'incident) daignent évoquer ce grave dysfonctionnement. Cette passivité témoigne encore de ce copinage le plus détestable qui soit, indigne et dangereux au plus haut point pour notre association.

Sans mes interventions, il est évident que Julien COCONI n'aurait jamais mis en cause le comportement de ce salarié insulteur.

Cette prévenance de Julien COCONI, personne morale de l'association, met l'association dans une situation où les prudhommes, une fois saisis, pourraient très certainement pointer la responsabilité d'un employeur et d'une association aussi complaisante avec certains salariés, au détriment d’autres, pour des faits aussi graves.
Des écarts qu'il aurait fallu également fortement sanctionner dans la mesure où agresser un juge-arbitre dans l'exercice de ses fonctions relève assurément des articles 85-6 et 85-18 des règlements administratifs de la FFT*.

Des écarts que notre propre règlement intérieur condamne encore avec l'article 8, paragraphe C :

"Une éthique sportive est indispensable au sein du club et les adhérents se doivent de respecter les règles de bienséance, de respect des personnes et de bonne conduite sur les courts et dans l’enceinte des installations mises à disposition de l’association."

Alors quelle "sanction" Julien COCONI a-t-il faire prendre pour sanctionner ces injures caractérisées et cette menace ?

Aucune trace dans aucun compte-rendu faisant état de la sanction prise par le Comité de Direction ! Seul un point du CR d'octobre 2014 évoque la responsabilité partagée pour le coupable... et la victime, d'après le Comité de Direction unanime !? Hallucinant aveuglement ! Des élus qui en arrivent là… sont allés plus loin que loin.


En fait, le Comité semble n’avoir consenti qu'un indolore rappel au règlement, justifiant sa non-sanction sur on ne sait quel témoignage puisque ce salarié mis en cause a refusé de se présenter à sa convocation, ce que le Comité a également admis, sans autre réaction !? Pas d’autres témoins entendus également apparemment !?

Aucune sanction ne semble donc prise contrairement à ce qu’affirme Julien COCONI dans un courriel du 6 mai 2015, un président qui serait ainsi pleinement dans le mensonge ! Juste cette petite remontrance pour un proche ami qu'on ne veut pas contrarier. Un salarié qui déclare par écrit, par oral, qu'il dit ce qu'il veut, à qui il veut, quand il veut. Au Comité de se mettre dans le rang, sans qu'aucune tête ne dépasse. Ce qu’il fait.
Un scandale en vérité.

Rendons nous compte que pour un autre joueur, pour des faits exactement similaires (insultes et menace), les mêmes responsables prennent en mars 2015, une sanction, une vraie cette fois-ci, une sévère même (mais méritée) d’une semaine d’exclusion, la seconde sanction possible sur une échelle de trois, juste avant l’exclusion définitive pour une éventuelle récidive !

Allez comprendre autre chose dans ce deux poids, deux mesures, que ce copinage systématique et éhonté qui aura transformé notre association en quelque chose d'indigne et de révoltant, sanctuarisant au passage ce salarié.

Notre association valide t-elle le principe que des insultes et une menace physique ne peuvent pas faire l'objet d'une sanction véritable ? Notre association valide t-elle cette jurisprudence terrible pour des faits détestables ?

* article 85-6 des règlements administratifs de la FFT, page 67 : est considéré comme un "acte répréhensible", "les injures ou les violences dans l’enceinte d’un club".
* article 85-18 des règlements administratifs de la FFT, page 67 : est considéré comme un "acte répréhensible", "toute atteinte à la bienséance" !


Questions d'intérêt général n°13 :

13.1 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour la révocation du Comité de Julien COCONI, personne morale de l’association, pour une proximité trop évidente avec les intérêts de ce salarié, pour des décisions gravement contraires aux textes en place, au détriment du stagiaire de l'association, avec qui plus est la fragilisation irresponsable des intérêts de notre association ?

12.2 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour corriger la décision du Comité de Direction avec une sanction identique à notre "jurisprudence" toute récente (mars 2015 : une semaine d'exclusion) pour cet individu, insulteur et menaçant ?

Il faudrait que le Comité convoque ce salarié devant l'Assemblée Générale sur cette question précise afin qu'il puisse présenter sa défense, conformément aux statuts de l'association. Il conviendra aussi de convoquer le moniteur-stagiaire victime des écarts de ce salarié, ainsi que les témoins de cette scène qui n'ont jamais été entendus par le Comité.
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14 : Président d'honneur pour 21 ans de bénévolat. Et pour 26 ans, rien ?

Je reste, avec 26 années en tant que secrétaire de l'association, le bénévole de l'association qui a consacré le plus de temps et autant d'énergie à garantir le bon fonctionnement de cette association. M. Gourdain, président durant 21 ans, a vu son propre investissement, non moins déméritant, être souligné comme il se doit par le titre de président d'honneur décerné à l'unanimité des membres présents en Assemblée Générale (page 27 du procès-verbal de l'Assemblée Générale du 10 octobre 2010.

Je ne vois pas ce qui justifierait que l'association ne me témoigne pas la même reconnaissance ?

Je rappelle que je n'ai jamais été sanctionné pour quelque manquement que ce soit, ni pour des injures, ni pour des menaces physiques, ni pour un défaut de respect des textes en place, ni sur le plan de la morale, ni sur le plan de l'éthique sportive, ni sur le plan des valeurs humaines. Avant l'arrivée de cette triste équipe qui mène l'association depuis quatre ans maintenant, on saluait même unanimement, à chaque Assemblée Générale, mon dévouement remarquable. Désormais, trop propre, une tâche dans le paysage local, on me fait bien payer tout le prix d'une telle différence.

La révocation de mon mandat de secrétaire, en juillet 2013, au bout de la troisième tentative d'un président en mal de hiérarchie, a été prononcée ad nutum. Une précision importante pour ce président aveugle à la bêtise d’une telle précision. Une précision qui vient en fait auréoler plus encore le bilan dont je peux faire état ici : j'ai été révoqué "sans aucune justification". De la part de mes détracteurs les plus zélés, c'est l'aveu le plus spectaculaire qui soit... qu'on est bien dans l'incapacité de me reprocher quoi que ce soit dans l'exercice de mon mandat.

A ceux qui trouveraient un peu impudique d'aller ainsi requérir des honneurs pour soi-même (un sentiment que je partage), je préciserais que c'est bien l'indignité de ces autres élu(e)s que je dénonce depuis quatre longues années maintenant qui me fait espérer que je sois ainsi distingué autrement. J'ai assez honte à être confondu avec ces gens. J'ai le sentiment assez clair que c'est bien ce qui m'est arrivé durant l'assemblée générale de juin 2014.


Question d'intérêt général n°14 :

Pour ces 26 années de bénévolat intégral et passionné, sans faute aucune, jamais, l'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour que ces 26 années de bénévolat sans tâche, puisse bénéficier de la même reconnaissance de la part de notre association, en me voyant attribuer le titre de président d'honneur ?
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15 : Un projet de 4e court couvert... qui n'aura pas avancé d'un pouce !

Durant toute la dernière moitié de la saison 2013/2014, le président S. LEGAY a tout fait pour enrayer l'avancée des études sur le projet de 4e court couvert, aucune entrevue avec la municipalité n'étant organisée par sa faute.

L'assemblée générale de juin 2014 s'était accordée sur l'organisation d'une assemblée générale extraordinaire pour procéder à ce choix. C'est bien dans la mémoire de tous les adhérents présents, et c'est très clairement consigné dans le procès-verbal officiel de cette Assemblée Générale (point 8, page 8) disponible sur le site du club.

Durant neuf longs mois Julien COCONI est pourtant resté dans cette même regrettable passivité (page 6) pour ne pas faire avancer les études sur ce projet. Rien, malgré mes relances durant la saison. J. COCONI se contentant d'un aveu pathétique : ce projet "n'a pas avancé" oubliant de s'en attribuer tout le mérite.

Et ce n'est que dans le compte-rendu d'avril 2015 que l'on a enfin quelques lignes sur une rencontre avec les élus municipaux. Et ces quelques maigrelettes indications ne font état d'aucune véritable réponse sur un oui ou sur un non pour autoriser notre association à engager ce projet sur un financement par l'association.

On reste même incrédule sur ce nouveau projet sorti d'on ne sait où qui consiste à modifier la nature du court en terre battue pour le rendre "tout temps" par, semble-t-il, un procédé miracle belge dont nous serions les "pionniers" !

"Tout temps" !? Comme si notre association souffrait d'un manque de courts extérieurs plutôt que de courts couverts ?

Comme si ces revêtements "tout temps" permettaient aux adhérents de le rendre jouable toute l'année !? De jouer de nuit ? Ou sous la pluie ? Ou par cinq degrés ? Ou par moins dix degrés ? Ou dans l'obscurité de nos fin d'après-midi automnales (six mois en Picardie) ? Ou quand le vent souffle trop fort ? …

On envisage même apparemment très sérieusement de modifier également la surface du court n°2 (rénové il y a 4/5 ans pour être à nouveau jouable durant trente ans) pour qu'il y ait... "deux surfaces identiques" !? Comme si notre association manquait de courts aux surfaces identiques tant en extérieur qu'en intérieur ? Comme si le contribuable pouvait accepter qu'on fasse une dépense avec de l’argent public... sur un court qui n'en a aucunement besoin pour rester parfaitement jouable !?

Un projet sous forme d'histoire belge sans aucun rapport avec les enjeux réels que doit relever notre association (un 4e court couvert), sans cohérence aucune avec notre capacité de financement pour d'aussi multiples projets : revêtements miracles courts 1 et 2, préau courts 1 et 2, éclairage courts 3 et 4... Quelle incohérence dans cette démultiplication de projets coûteux... alors même que le Comité se révèle incapable de poursuivre sérieusement et efficacement l'étude du premier de ces projets ?

Au final, aucune Assemblée Générale Extraordinaire n'aura été organisée sur cette saison, un véritable parjure pour des élu(e)s qui se sont souciés de ce projet comme d'une guigne... avec une réunion à la veille de rendre leur copie à l'Assemblée Générale, sans réponse à présenter aux adhérents, se satisfaisant apparemment d'en être toujours à la même étape qu'il y a un an : la recherche de devis !


Questions d'intérêt général n°15 :

15.1 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour exiger des explications de la part du Comité et son président pour ne pas avoir volontairement appliqué une décision de l'assemblée générale de juin 2014 avec l'organisation d'une assemblée générale extraordinaire consacrée au projet de 4e court couvert ?

Il faudrait ensuite que l'Assemblée Générale s'accorde à tirer les conclusions d'un tel parjure.

15.2 - L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour valider une priorité claire au projet de couverture d'un court existant, sans s'égarer inutilement sur d'autres projets incompatibles avec ce premier projet ?
...

 

16 : Roland Garros : la journée des Présidents et qui ?

Par deux fois, en réunion de Comité (mars et avril 2013) j'ai proposé une répartition plus morale des deux places délivrées par la FFT pour la mal intitulée « Journée des Présidents ».

Dans ma seconde intervention, j’ai cité une réponse de la FFT se montrant très favorable à cette proposition.

En appui de la proposition que je réitère ci-dessous je cite également cet extrait d’un article du Tennis Infos de décembre 2011/Janvier 2012, page 48 :

« Ce rendez-vous qui rend hommage aux hommes et aux femmes qui oeuvrent au quotidien sur le terrain ne doit pas être dénaturé, rappelle le secrétaire général de la FFT, Daniel HETTE ».

Cet autre extrait du même article :

« Nous nous sommes rendu compte que des dirigeants rétrocédaient leur place à des tiers, alors que nous voulons que cette initiative permette une valorisation des responsables de clubs, fait remarquer Daniel HETTE ».

Deux fois, les saisons passées, les membres du Comité ont accueilli cette proposition, avec des ricanements, des applaudissements ironiques, et un rejet unanime exprimé par leur vote.

Je dénonce le caractère non démocratique de l’affectation de ces deux places, puisque l’une d’elle (la place du président est verrouillée désormais je crois) allait au bénéfice de quelqu’un n’étant absolument pas investi dans le fonctionnement de l’association, en tant que dirigeant ou simple bénévole actif. Ce qui reste totalement étranger à l’esprit de cette institution rappelée ici par le secrétaire général de la FFT.

Depuis quatre ans, la personne bénéficiant de cette seconde place reste le secret de notre petite république le plus secret car le plus honteux fort probablement. On ne sait jamais qui bénéficie ainsi de ce rare geste qui consiste à remercier un bénévole actif de l'association : une épouse, un fils, un ami de la famille, le chien de M. Legay (une proposition de ce monsieur) ?

En juin 2013, j'ai tenté de faire la proposition qui suit à une Assemblée Générale des plus houleuses. Le président de l'époque a décidé de zapper autoritairement (page 17) cette question et toutes les autres que j'avais transmises, pleinement dans l’illégalité, au mépris de la nécessité de les examiner comme toutes les questions d'intérêt général à l'ordre du jour.

Je retente donc ma chance en 2014.


Question d'intérêt général n°16

 L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour que ces deux places* offertes par la FFT, symboles de la reconnaissance du tennis français pour les dirigeants de club et leur dévouement, soient, dans notre association, confiées à deux dirigeants de notre association (président et un membre du Comité ou responsable officiel et bénévole) ?

Un second responsable dont le "mérite" serait déterminé à l’issue d’un choix majoritaire des membres du Comité de Direction, dans les mêmes conditions que pour les autres votes du Comité.

Un dispositif qui serait ainsi, enfin, pleinement moral, parfaitement conforme à l'esprit de ce dispositif tel qu'il est défini par la FFT.

* La place du président est verrouillée pour le président mais, en cas d’impossibilité pour le président, il convient de statuer pour notre association.
...

 

17 : Le pouvoir... de faire n'importe quoi !

La possibilité d'être représenté en Assemblée Générale par un pouvoir, introduite en 2010, donne désormais lieu à des dérives pleinement étrangères à l'esprit de ce dispositif.

On a pu ainsi observer, l'an passé, des votes d'adhérents fantômes qui n'ont jamais mis les pieds sur un court de tennis depuis, parfois, plusieurs saisons, indifférents au fonctionnement de notre association, encore totalement absents de son assemblée générale ! Pas illégal, mais indigne d'une certaine moralité !

Un dispositif qui engendre aussi des comportements méprisables, des réunions petitement secrètes et sélectives listant les adhérents de l’association que l'on peut convaincre que le camp adverse est le camp des méchants pour ensuite leur téléphoner nuitamment et les abreuver de contre-vérités d'autant plus énormes qu'elles ne peuvent être démasquées plus publiquement puisque l'adhérent sollicité n'est pas là pour entendre les différents points de vue... en Assemblée Générale.

Un dispositif où, après une récolte rondement menée, on distribue, au hasard, des pouvoirs à qui n'en aurait pas encore, un adhérent présent se retrouvant alors en mains le pouvoir d'un adhérent absent qu'il ne connait pas et dont il ne sait aucunement le mode de pensée, les convictions, les aspirations. Autant d'éléments qui ne peuvent être écartées dans la détermination d'un vote éclairé et respectable.

Un dispositif finalement utile à personne, les uns et les autres en usant. Sans doute plus les uns que les autres ?

A l'évidence, un dispositif qui rabaisse le déroulement de nos assemblées à une regrettable et sordide logique d'un vote systématique et partisan, une logique de clan, au mépris des idées, de la réflexion et de l'esprit critique de chacun, les raisons d'être d'une Assemblée Générale.

Le Comité de Direction se réunit une dizaine de fois par an, le bureau, sans doute encore plus. Des contraintes qui sont donc importantes, lourdes. Or dans ces deux institutions, le vote par procuration n'est pas autorisé. On considère bien sûr que prendre des décisions nécessite que les "décideurs" soient présents, au minimum. Sinon, ce serait des décisions à l'aveugle, sans capacité à se justifier sur une décision... qu'on aurait fait prendre en son nom !? Inconcevable quand on veut prendre part à une décision !

Et pour un unique rendez-vous dans l'année, donné aux adhérents en prenant le plus grand soin de le placer à un horaire le plus ouvert qui soit, il faudrait considérer qu'un adhérent doit avoir le droit de se prononcer... sans entendre aucune des personnes s'exprimant ce jour là, sans prendre aucunement en compte les arguments sur toute la diversité des questions qui se feront jour en Assemblée Générale ? Est-ce un principe démocratique qui a du sens ? Incite-t-on ici nos adhérents à s'impliquer dans la vie de l'association ?


Question d'intérêt général n°17

L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour mettre à l'ordre du jour d'une Assemblée Générale Extraordinaire la suppression de nos statuts de ce dispositif du vote par procuration, indigne de la sincérité et l'authenticité nécessaires des décisions prises par les Assemblées Générales, tant ordinaires qu'extraordinaires ?
...

 

18 : Refus d'organiser les élections au Comité de Direction !

Arnaud CHEVREAU a démissionné du Comité de Direction. Jean-Baptiste PIAZZA a également démissionné.

Dans le courriel envoyé par les élu(e)s du Comité à tous les adhérents, le 29 mai, il n'y a aucune information quant à la possibilité de se présenter à l'élection du Comité de Direction, une élection qui devrait pourtant être organisée pour l'Assemblée Générale du vendredi 3 juillet 2015.

Malgré deux alertes de ma part (30 mai et 10 juin), Julien COCONI et les membres du Comité ont refusé d'organiser ces élections, concluant le 11 juin par ces mots : "votre candidature n'est pas retenue."

Il y a pourtant six raisons d'organiser ces élections, toutes connues par ces élu(e)s :

1 - Deux articles distincts dans nos statuts

Dans nos statuts, au Titre IV - Administration, on trouve l'article 14 - Election du Comité de Direction. Ce qui est indiqué dans cet article concerne donc bien le fonctionnement du Comité. L'article suivant (15) traite de l'élection du Bureau. Deux articles différents donc. L'article 14 traite donc bien des élections du Comité de Direction.

2 - Deux phrases en contradiction. Julien COCONI ne retient que celle qui l'arrange.

L'article 14 concernant le Comité indique donc ceci :

"En cas de vacance d’un des membres du bureau, le Comité pourvoira au remplacement du membre, par bulletin secret à la majorité absolue".

On pourrait donc comprendre que ce n'est que le remplacement d'un membre du "bureau" (président, trésorier, secrétaire) qui est prévu et non le remplacement d'un membre du Comité. C'est ce qu'indique Julien COCONI. Mais il ne peut en être ainsi puisque dans la phrase qui suit, toujours dans cet article 14, on trouve ceci :

"Il est procédé à son remplacement définitif, par la prochaine Assemblée Générale pour la durée du mandat restant à courir".

C'est donc bien des membres du Comité dont traite cet article, l'Assemblée Générale ne désignant pas les membres du Bureau (article 15, une prérogative du Comité). Une erreur de vocabulaire que j'avais déjà signalée et qui reste à corriger dans nos statuts, comme une incohérence, en remplaçant "bureau" par "comité". Sinon, cette seconde phrase n'a aucun sens !?

3 - Une troisième précision, donnée dans le procès-verbal de l'Assemblée Générale du 30 septembre 2012.

On y trouve ainsi la transcription suivante de nos statuts (page 11, point n°7) ce qui correspond bien à ce que j'indique :

"7 - Renouvellement des membres du Comité de Direction :
Le Comité de Direction est composé de 5 à 12 membres maximum. Les 9 membres élus lors de l'Assemblée Générale du 10 octobre 2010, et encore en responsabilités, le sont pour 4 ans à partir de cette date. Il y a possibilité de porter ce nombre d'élus à 12.
Les candidatures qui ont été adressées au Président de l'association, au moins dix jours avant la date de l'assemblée Générale, soit le 15 septembre 2012 (cf. article 14 des statuts de l'association) sont les suivantes : Ryad ZEMOURI (6 sept.), Eric NICOLAS (12 sept.), Frédérique CAVALLI (12 sept.), Carine BRETON (15 sept.), Céline CASSA (15 sept.)."

4 - Une quatrième précision dans le procès-verbal de l'Assemblée Générale du 22 juin 2013.

La même transcription de nos statuts (page 14, point 7), toujours dans le sens que j'indique :

"7 - Renouvellement des membres du Comité de Direction : Le Comité de Direction est composé de 5 à 12 membres maximum. Les 9 membres élus lors de l'Assemblée Générale du 10 octobre 2010, et encore en responsabilités, le sont pour 4 ans à partir de cette date. Il y a possibilité de porter ce nombre d'élus à 12. Les candidatures qui ont été adressées au Président de l'association, au moins dix jours avant la date de l'assemblée Générale, soit le 15 septembre 2012 (cf. article 14 des statuts de l'association) sont les suivantes : Sébastien LEGAY, Éric NICOLAS. Sont élus : Sébastien LEGAY (29 voix), Éric NICOLAS (24 voix)."

5 - Une cinquième précision avec le vote des adhérents en Assemblée Générale de septembre 2012 point 11, page 7.

Lorsqu'en septembre 2012, l'Assemblée Générale procède à l'élection de trois nouveaux membres du Comité de Direction, Mesdames CASSA C., CAVALLI F. et BRETON C., l'association a-t-elle un bureau incomplet ?

Non ! Sont en place le président CARREL, le trésorier COCONI et le secrétaire CARRÉ. Avant le 30 septembre 2012, comme après, le Bureau est au complet. Et pourtant l'Assemblée Générale procède bien à l'élection de membres du Comité. C'est bien le Comité qui est incomplet et c'est bien la référence à l'article 14 qui est invoquée pour légitimer l'élection de membres par l'Assemblée Générale venant compléter l'effectif du Comité de Direction !

6 - Une sixième précision avec à nouveau le vote des adhérents en Assemblée Générale de juin 2013 (point 7, page 14).

Lorsqu'en juin 2013, l'Assemblée Générale procède à l'élection de deux nouveaux membres du Comité de Direction, Messieurs LEGAY S. et NICOLAS E., l'association a-t-elle un bureau incomplet ?

Non ! Sont en place le président CARREL, le trésorier COCONI et... pour quelques jours encore... avant qu'on sorte la guillotine d'une révocation arbitraire et indigne, le secrétaire CARRÉ. Avant le 22 juin 2013, comme après, le Bureau est au complet. Et pourtant l'Assemblée Générale procède bien à l'élection de membres du Comité.

"Il y a possibilité de porter ce nombre d'élus à 12."

Par deux fois le président COCONI peut s'en convaincre avec l'ensemble des adhérents qui lui disent et redisent cela. Mais non..., le président COCONI a raison contre tout le monde, les textes, les Comités, les Assemblées Générales !


Question d'intérêt général n°18

L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour révoquer Julien COCONI de son mandat au Comité de Direction pour avoir, avec simplement le souci malsain d'interdire l'arrivée de candidats qui le contrarieraient trop, refusé d'organiser une élection dont tout indique qu'elle devait l'être ?
...

 

19 : Une modification hautement symbolique pour l'article 8, paragraphe C !

L'article 8 du règlement intérieur est intitulé : "Tenue dans l'enceinte du club". On peut y lire ceci au paragraphe C :

"Une éthique sportive est indispensable au sein du club et les adhérents se doivent de respecter les règles de bienséance, de respect des personnes et de bonne conduite sur les courts et dans l’enceinte des installations mises à disposition de l’association."

Je propose de déplacer le paragraphe C de cet article pour le mettre dans l'article 1, comme paragraphe F. L'objectif clairement affiché pour une telle proposition de modification étant bien de placer les impérieuses nécessités listées dans ce paragraphe à un endroit où elles auraient plus de chance d'être vues, lues et comprises et respectées, également par le Comité de Direction qui a encore cette année laissé passé des insultes et une menace.

Une place dans l'article 1 pour une haute portée symbolique.


Question d'intérêt général n°19

L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour déplacer ce paragraphe C de l'article 8 à l'article 1 (il devrait le paragraphe F de cet article) ?
...

 

20 : Réservations pour cours particuliers : deux fois en infraction avec le règlement intérieur

Pourquoi les réservations pour cours particuliers n'utilisent-elles pas le nom de l'adhérent-client sur le planning de Tennisweb ?

Un adhérent qui bénéficie de cette réservation du club se retrouve ainsi avec la possibilité de passer une seconde réservation par avance, ce qui reste contraire au règlement intérieur.

De plus, son nom ne figure pas sur la réservation.

Deux infractions au règlement intérieur en une seule réservation.

Article 5 - A : Il n'est ni autorisé ni possible de réserver une deuxième tranche horaire avant d'avoir terminé la première.

Article 5 - B : Pour toute réservation, le nom des joueurs indiqués sur le site correspondent aux joueurs présents sur le court.


Question d'intérêt général n°20

L'Assemblée Générale se prononce-t-elle pour exiger que les élu(e)s du Comité, le ou la responsable qui se charge de passer ces réservations sur Tennisweb, utilisent, comme par le passé, la possibilité d'utiliser le nom de l'adhérent concerné afin de garantir l'association du respect des deux paragraphes A et B de l'article 5 du règlement intérieur ?
...

 

21 - Vérificateurs aux comptes

Dans les procès-verbaux de nos 5 dernières Assemblées Générales, on lit :

10 octobre 2010 (page 9 et les deux attestations, page 18 et 19) : "Compte de résultat et situation de trésorerie 2009-2010 (Annexe 6, p.17) Jean Pierre CADARIO (Trésorier) Lecture est donnée du quitus donné par Laurent NUNS, vérificateur aux comptes (Annexe 7, p.18). Quitus également établi par Christian VETTIER, second vérificateur aux comptes (Annexe 8, p.19)."

22 novembre 2011 (page 7 et les deux attestations, pages 10 et 11) : "Le rapport du vérificateur aux comptes est présenté et lu à l'Assemblée Générale. (document page suivante) - Laurent NUNS - Christian VETTIER"

30 septembre 2012 (page 9) : "L. Nuns assure l’Assemblée Générale de la bonne tenue et de la sincérité des comptes arrêtés par le trésorier de l’association, conformément au compte-rendu de travaux joint aux comptes annuels de l’association."

22 juin 2013 (page 13) : "Le Commissaire aux comptes atteste de la sincérité et de l’exactitude dans la tenue des comptes. (pas de rapport communiqué). "

20 juin 2014 (page 6) : "Le Cabinet d'Expertise Comptable", représenté par M. Laurent NUNS, atteste de la sincérité de la tenue de leur compte et de leur exactitude".

Comme on peut le constater, d'année en année, cette procédure s'étiole, passant de deux à un vérificateurs aux compte, les attestations ne sont même plus publiées dans le procès-verbal, parfois même il ne nous est pas communiqué.

Dans le procès-verbal de juin 2014, on peut peut-être deviner que j'ai protesté contre le fait que le désormais unique vérificateur aux comptes de notre association soit la même personne qui, par une décision de notre Comité de Direction du 3 février 2012, est aussi le représentant du cabinet d'expertise comptable qui gère nos écritures comptables et la gestion des salaires de l'association.

Comme on le voit, un ex-président a indiqué l'an passé que c'était une préconisation de l'USC que de s'assurer les compétences d'un cabinet d'expertise comptable pour cette vérification des comptes.

J'ai indiqué que cela ne réglait en rien le problème que j'évoquais puisque nous avons, en amont, un représentant d'un cabinet d'expertise comptable que les élus ont engagé, par contrat, pour établir les documents relatifs aux salaires de l'association, et que c'est la même personne qui, en aval, se voit charger d'assurer l'association que nos écritures comptables sont sincères et exactes !?

J'avais indiqué l'an passé qu'il y avait, à mon sens, une grande nécessité à ce que ce soit un autre cabinet d'expertise comptable (ou un ou deux vérificateurs bénévoles, comme par le passé) qui soit chargé de ce travail de vérification des comptes afin d'assurer l'association que notre prestataire de service ne soit pas aussi le contrôleur en titre de notre association !?

D'autant que la personne qui a ce double rôle de façon non souhaitable à mon sens est aussi... un adhérent qui a pris une position très publique dans le soutien apporté au président en place largement mis en question par moi. Un soutien sous la forme d'une indication des plus mensongères, ce monsieur soutenant qu'un secrétaire dans une association n'est qu'un "exécutant" du président et de ses décisions !?

Et je passe aussi rapidement sur le cette autre expertise non conforme au fonctionnement de notre association, qui a consisté à affirmer que notre association ne pouvait pas débattre et prendre des décisions sur les "questions diverses" (ce terme ne figurant pas dans nos statuts), pour les confondre de façon très opportuniste avec toutes ces "questions d'intérêt général" et leur grand zapping décrêté par ce président en difficulté en Assemblée Générale du 22 juin 2013 (page 17).

Je redis donc ma plus grande défiance quant à un mélange de ces divers statuts :

1 - Adhérent.

2 - Soutien public et très évident d'un élu contre un autre élu de l'association.

3 - Représentant d'une société en contrat avec notre association.

4 - Vérificateur aux comptes.

Il y a une grande nécessité à faire en sorte que de tels mélanges des genres ne soient pas envisageables et impossibles dans notre association.

Pour étayer ma proposition, on trouve sur quelques sites, les précisions suivantes. Sont en rouge, les remarques qui semblent soutenir les réserves que j'émets sur la situation de notre association depuis trois ans :

Le vérificateur aux comptes

Que l'association soit soumise ou non à la vérification des ses comptes par un commissaire aux comptes, elle se doit de mettre en place une commission de contrôle composée de vérificateurs aux comptes, élus par l'assemblée générale de l'association. Cette modalité est généralement prévue par le règlement intérieur de l'association. Le vérificateur aux comptes d'une association est une personne bénévole, désignée librement par l'assemblée générale de l'association. [...]

Engagement

Le vérificateur doit accepter son mandat et s'engage alors à assurer sa responsabilité morale vis-à-vis de l'association. Il est tenu à la plus grande discrétion, y compris envers les membres de l'assemblée générale. [...]

Mission

La mission du vérificateur aux comptes consiste dans la vérification de l'enregistrement des opérations dans les comptes, de la régularité et de la sincérité du compte d'exploitation et du bilan ; de la tenue effective des registres obligatoires des procès-verbaux des conseils d'administrations et des assemblées générales ; de la sincérité des informations portées sur les rapports du conseil d'administration.

En aucun cas le vérificateur ne doit s'immiscer dans la gestion de l'association.

La régularité et la sincérité des comptes sont donc les bases essentielles de cette mission, que le vérificateur certifiera dans son rapport.

Des observations et réserves peuvent naturellement être formulées

http://isere.franceolympique.com/isere/fichiers/File/le_controle_des_comptes_en_cours.pdf

http://expert-comptable-associations.fr/controle-comptes-dune-association/

Exemple de paragraphe qui pourrait être rajouté dans le règlement intérieur :

Les comptes tenus par le trésorier sont vérifiés annuellement par […] vérificateur(s) aux comptes.
Ceux-ci sont élus pour un an par l'assemblée générale. Ils sont rééligibles.
Ils doivent présenter à l'assemblée générale ordinaire appelée à statuer sur les comptes, un rapport écrit sur leurs opérations de vérification.
Le(s) […] vérificateur(s) aux comptes ne peut (ne peuvent) pas faire partie du Conseil d'Administration.
 "


Question d'intérêt général n°21

Des dispositions ont-elles été prises suite aux réserves que j'ai émises l'an passé en Assemblée Générale et qui semblent reprises par des sites spécialisés ?
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