Les questions de Décembre 2014
En tant qu'adhérent de l'association, je communique régulièrement des questions au président COCONI et aux élus du Comité sur des décisions qui paraissent être des dysfonctionnements.
A ce jour je n'ai reçu quasiment aucune réponse officielle à toutes ces questions.
Certaines de ces informations sont donc à prendre au conditionnel.
Sommaire
1 - Coupe des vices, la coupe est pleine !
2 - Des réservations à l'emporte pièce !
3 - Un président recordman des infractions au règlement intérieur de l'association !
4 - 99, 110, 112, 120 ? Surtout... sans Carré !
5 - Des finales... dans la pénombre !
6 - Une finale dames avec 5 spectateurs !
7 - Association d'apéros sur patins !
8 - "Salope", "fils de pute" ! Mais impunité totale avec zéro réaction des élu(e)s du Comité de Direction !
9 - Convocations de la Commission des Litiges.
10 - Un an, un unique compte-rendu !
11 - Un président qui se réveille !
12 - Le trésorier s'exprime...
13 - Convocation "bienséante", suite...
1 - Coupe des vices, la coupe est pleine !
Article du Canard Enchaîné du mercredi 19 novembre 2014 :
Article du Canard Enchaîné du mercredi 26 novembre 2014.
3 - Sur FranceTV Sport, des joueurs chantant la Marseillaise (cliquer sur l'image pour voir directement la vidéo) :
L'ancien Comité, dont plusieurs membres sont encore présents dans le nouveau comité, n'a jamais trouvé utile d'interpeller la FFT sur l'augmentation hallucinante et immorale des licences jeunes (+ 64 % en cinq ans) et adultes. Un scandale sans nom que j'ai dénoncé, avec plus d'une trentaine d'arguments, sur ces autres pages.
Serait-il ridicule que les élus du nouveau Comité s'accordent pour se plaindre officiellement auprès de la FFT de l'image donnée du tennis français à travers une équipe de joueurs censée incarner la France dans ce qu'elle a de plus représentatif (ses couleurs, son équipe nationale, son hymne national, une certaine idée du respect et de la morale (valeurs du sport), etc...) et dont pourtant "13 joueurs sur 15" préfèrent céder à la tentation d'un "exil outre-Léman" ?
Peut-on chanter la Marseillaise, une main sur le coeur... et un pied en Suisse... ?
J'ai l'intention de demander au président de la FFT s'il accorde également le droit aux autres joueurs de tennis français d'aller payer leur licence de tennis dans un "paradis fiscal" (on doit pouvoir trouver moins cher que les niveaux décidés sous la présidence de M. Gachassin) et de pouvoir continuer, comme si de rien n'était, à jouer dans les compétitions françaises ? Après tout, il y a bien une nécessité à pouvoir mettre en oeuvre les mêmes logiques que ces joueurs.
Questions aux élu(e)s du Comité :
Ne rien faire, c'est laisser faire.
Y aurait-il une majorité suffisante des élus de notre association pour se battre sur cette idée d'une certaine éthique de la pratique sportive et dénoncer officiellement auprès de la FFT (un petit courrier ?) son désaccord avec une équipe de France composée en quasi totalité "d'exilés outre-Léman" ?
Question transmise le 14 décembre 2014.
2 - Des réservations... à l'emporte-pièce !
Samedi 13 décembre 2014, il y aura eu 8 matchs :
- deux matchs à 9h (1/2 finale hommes et 1/2 finale hommes consolante 3e série)
- deux matchs à 10h30 (1/2 finales dames consolante 4e série)
- un match à 13h30, puis un autre à 14h (1/8e et 1/4 de finale dames)
- un match à 15h, puis un autre à 17h30 (1/4 de finale dames et 1/2 finale hommes)
A raison de créneaux de deux heures par match (c'est même 1h30 qui est prévue par les organisateurs), un total de 16h à réserver. Or, sur le planning, 28h réservées, bloquées à l'emporte-pièce, avec la plus totale des insouciances très visiblement (9h/22h). Quasiment l'équivalant d'un seul court aurait suffi !
Dimanche 14 décembre 2014, la situation est encore plus déplorable avec 7 matchs prévus :
- deux matchs à 9h (1/2 finales dames)
- deux matchs à 12h (finales consolantes 4e série messieurs et dames)
- finale dames
- finale messieurs consolante 3e série
- finale messieurs
Toujours à raison de deux heures par match, un total de 14h à réserver. Or, sur le planning, jusque au matin du dimanche 14 décembre, 28h sont réservées, bloquées à l'emporte-pièce, à nouveau (9h/22h).
Autant dire que ces réservations auront été passées et laissées en place avec la plus grande insouciance (peut-on parler de mépris ?) pour les intérêts des adhérents de l'association. Un danger et une nécessité pourtant clairement évoqués dans l'article 10 du règlement intérieur de notre association.
Ce type de mauvaises pratiques a déjà été constaté lors de l'organisation du tournoi interne de septembre 2014. Est-ce à dire qu'aucun élu du Comité ne trouve cela regrettable pour y prêter plus d'attention ?
Pour un nombre de matchs forcément connus depuis le weekend dernier, des adhérents qui auraient pu, en ce quatrième weekend successif de portion congrue, se voir mis à disposition quasiment la moitié des créneaux ainsi bloqués !
Bien évidemment, cet affinage des réservations (quel énorme travail !) peut toujours faire l'objet d'autres ajustements (matchs plus longs que prévus) et des adhérents ayant réservé se voir ainsi prévenus du retard voire de l'annulation de leur réservation. Mais c'est un "risque" qu'on peut rappeler aux adhérents concernés, une disposition parfaitement conforme à nos textes (article 5, paragraphe F... de l'ancien règlement intérieur le seul en ligne sur le site du club), quelque chose que l'on met en place, traditionnellement dans l'organisation de nos tournois, et au final, le souci le plus attentif aux intérêts de nos adhérents et notamment leur possibilité d'accéder aux courts couverts.
Une attitude qui était celle des anciens juges-arbitres du club, ceux qui ne se préoccupaient pas d'abord du niveau record de leurs indemnités. Autant dire une autre époque, d'autres préoccupations, une autre tournure d'esprit.
Questions aux élus du Comité :
N'y a t-il pas une nécessité absolue à ce que les élu(e)s du Comité de Direction se montrent attentifs à préserver les intérêts des adhérents dans ces réservations par blocs ?
Ne doit-on pas contraindre le responsable qui passe ces réservations à tout faire pour optimiser ces réservations, avec une attention affirmée pour les adhérents ?
Questions transmises le 14 décembre 2014
3 - Un président recordman des infractions au règlement intérieur !
Je reste stupéfait de n'avoir toujours reçu aucune réponse sur ce grave dysfonctionnement que je dénonce, mois après mois, ni de la part du président J. COCONI, ni d'aucun(e) autre élu(e) du Comité de Direction, et ce malgré de multiples interpellations de ma part, en direction de tous.
Aucune décision, aucun écrit n'a été produit pour indiquer si oui ou non, cette décision prise sans doute par un tout petit nombre d'élus (?) en établissant le planning des cours collectifs, est une décision qui reçoit l'aval des membres du Comité de Direction (ce qui ne peut pas être puisque le règlement intérieur l'interdit).
Dès le 17 septembre 2014, constatant ce dysfonctionnement, j'ai pourtant alerté l'ensemble des élus du Comité :
Lettre d'information de septembre 2014, point n°17 :
"Réservation pour des entraînements sur un second court couvert (n°6) le vendredi de 20h à 22h alors qu'un premier court couvert (n°5) est déjà réservé pour des cours adultes sur ces deux créneaux.
Ce doublon pour des réservations effectuées par le club est strictement interdit par le règlement intérieur de l'association.
Cf. Article 5 - Accès aux courts
G - Sauf pour une rencontre de championnats par équipes ou les matchs de tournois par tableaux, sauf le mercredi ou le samedi matin, il n’est pas possible de procéder à la réservation de plus d’un court couvert à la fois pour des activités club ou nécessitant la réservation par le biais du club."
Voir cette autre relance en octobre également.
Cet article 5, paragraphe G du nouveau règlement intérieur (toujours pas en ligne, un an et demi après son adoption par l'Assemblée générale du 22 juin 2013) stipule donc très très clairement l'impossibilité pour de telles réservations.
Vendredi 19 décembre, nous en serons à 12 infractions volontaires consécutives :
J. COCONI, président du Tennis Club de Crépy en Valois, qui est donc le représentant légal de l'association (cf. statuts) reste donc la personne à mettre en cause, étant donné l'omerta qui règne désormais sur l'ensemble des décisions du Bureau, du Comité (aucune décision n'est communiquée, sous aucune forme, hormis les invitations à boire ou pour aller patiner, ce qui reste fondamental).
J. COCONI, président de notre association se met donc volontairement hors la loi de notre association. Un comble pour un "représentant légal" ne représentant plus rien de légal ici !
En ne tenant strictement aucun compte de cet article 5, J. COCONI, président du Tennis Club tourne même en ridicule d'autres articles. En effet que penser de l'article 1, paragraphe E du même règlement intérieur : "Le Président et son Bureau peuvent prendre toute décision nécessaire pour faire respecter l'application du présent règlement." Sic ! Juge et partie ? Impunité garantie !
J. COCONI, président de notre association, ne peut se prévaloir d'aucune prérogative statutaire pour s'essuyer ainsi les pieds sur le règlement intérieur de l'association. Le législateur dans notre association, comme dans toutes les associations, reste l'Assemblée Générale des adhérents. J. COCONI ne peut pas ne pas se plier aux décisions qui sont prises par cette Assemblée.
J. COCONI, président du Tennis Club de Crépy en Valois, n'a donc, pour répondre à mes interpellations, qu'une unique solution : faire l'autruche et ne jamais rien répondre sur ce point comme sur tous les autres.
Avec un cumul de douze réservations en infraction avec le règlement intérieur depuis septembre 2014, J. COCONI, président du Tennis Club, est donc le plus gros contrevenant aux textes du... Tennis Club. Tout cela dans la plus totale des impunités.
Une véritable forfaiture pour cet élu étant donné le mandat qui lui a été confié en tant que président de l'association, garant du respect des textes de notre association.
Une situation qui, dans toute autre association, se traduirait sans doute par sa révocation immédiate. Mais on reste bien au Tennis Club de Crépy en Valois, une association... particulière.
Questions aux élus du Comité :
Quand donc les élus du Comité prendront-ils leur responsabilité pour invalider cette décision (double réservation du vendredi 20h/22h) en infraction totale avec le règlement intérieur de l'assocation ?
Quand donc les élus du Comité de Direction demanderont-ils la révocation d'un président qui se moque ouvertement du règlement intérieur de l'association qu'il préside ?
Questions transmises le 14 décembre 2014
4 - 99, 110, 112, 120 ? Surtout... sans Carré !
99. C'est le nombre d'inscrits au tournoi open quand je transmets mon inscription. C'est sans compter avec un juge-arbitre, qui est aussi un joueur qui revendique le droit de falsifier un tableau. Un juge-arbitre qui refuse donc mon inscription sans aucun motif valable et qui se paie ainsi une petite vengeance pleinement indigne. Mais pour y parvenir, il a besoin des membres du Comité de Tournoi. Pas de problème. Un soutien assuré puisque ces gens s'accordent pour, non pas refuser mon inscription (il n'y a pour cela aucune justification valable autre que la haine de ce petit juge-arbitre) mais pour me placer sur liste d'attente. Tout cela pour un motif des plus ineptes. "J'aurais pu déposer mon chèque plus tôt". C'est ce que constate le Comité qui, en le formulant ainsi, indique pourtant que ce chèque est bel et bien déposé dans un temps compatible avec mon inscription au tournoi open ! Décision inepte et totalement arbitraire dont la motivation est autre, à l'évidence !
110, c'est le nombre limite pour les inscriptions au tournoi. Le juge-arbitre le dit, il le répète, c'est même son seul argument, au final, pour ne pas m'inscrire au tournoi. A 111 inscrits, je peux donc considérer être inscrit puisqu'il est assez évident que je suis le premier sur liste d'attente, tant mon éviction est décidée avant même d'avoir atteint ce chiffre de 110. Donc à 111 inscrits, c'est bon... je serai inscrit !
Et bien non ! Alors même qu'au final, ce sont 112 inscrits pour le tournoi open... mais toujours pas de Carré dans le tournoi ! C'est comme ça ! Après m'avoir placé sur liste d'attente de manière totalement arbitraire, ça ne gêne en rien le juge-arbitre d'accepter 112 inscrits et continuer à ne pas m'inscrire, restant fidèle à sa pathétique et minable vengeance !
120. C'était pourtant la seule limite figurant sur l'unique document officiel : l'affiche du tournoi 2014. 120 l'an passé. Pourquoi 110 cette année ? Mais, on l'a bien compris, la seule motivation de toutes ces tristes personnes était ailleurs. Et s'il fallait faire mentir le seul document officiel... un biais qui n'était pas de nature à les arrêter !
Il reste, après tout cela, que c'est totalement inutile de me fatiguer à prouver, de multiples façons, les minables intentions de ce juge-arbitre, soutenu de façon inepte par des membres du Comité de tournoi des plus partiaux, des plus indignes.
Nous sommes au Tennis Club de Crépy en Valois et les élus de l'association ne répondent jamais, devant personne, de leurs décisions, de leurs propos, de leurs comportements. L'impunité est un plat local, servi à volonté.
Question aux élu(e)s du Comité :
Jusqu'où les élu(e)s du Comité de Direction vont-ils être complices de pratiques qui sont des pratiques malhonnêtes, totalement arbitraires, au service de la rancune de personnes que je mets en cause pour leurs comportements indignes, des comportements jamais examinés, jamais sanctionnés ?
Etre élu(e) d'une association, est-ce renoncer à son libre arbitre, ne pas dénoncer ces coups de force, se compromettre dans un silence coupable ?
Questions transmises le 14 décembre 2014
5 - Des finales... dans la pénombre.
Il y a plus d'un mois, le 11 novembre, mon partenaire et moi même avions déjà constaté que deux projecteurs du court n°6 étaient hors service, les deux du fond, à droite. Autant dire un court difficilement jouable dans cette zone très assombrie. Une constatation qui n'aura pas pu échapper aux onze membres du Comité.
Un gros mois plus tard, c'est toujours dans ces mêmes conditions qu'ont été jouées la finale du tournoi open dames, puis la finale du tournoi open messieurs, dans un quart de pénombre plus que difficile à gérer, notamment pour des joueurs aux vitesses de balle particulièrement élevées.
Certes l'intervention des services techniques n'est pas forcément diligentée du jour au lendemain (l'utilisation d'une nacelle est nécessaire). Mais il parait assez regrettable que rien ne semble avoir été mis en oeuvre pour permettre à ce court d'accueillir les finales du tournoi open convenablement. Ce sont bien les matchs au niveau le plus élevé de la saison qui se sont joués là. Au besoin, il était bien plus pertinent d'utiliser le court n°5.
Question aux élu(e)s du Comité de Direction :
Pourquoi ces deux projecteurs n'ont-ils pas été remis en état pour l'évènement phare de la saison sportive de notre association ?
Question transmise le 20 décembre 2014
6 - Une finale dames... avec 5 spectateurs !
J'avoue une très grande perplexité à voir, notamment en Assemblée Générale, des candidats prétendre, la main sur le coeur, au sommet d'une démagogie la plus malsaine, que le Tennis Club de Crépy en Valois n'est pas attentif au tennis féminin, alors même que tout, depuis toujours, prouve le contraire. Et ces mêmes "candidats" de déclamer du féminin ici, du féminin là, du féminin plein le powerpoint de ce 20 juin 2014 !
Dans la droite ligne d'une même démagogie inepte, j'avoue plus que de la perplexité à voir le président du Tennis Club tricher volontairement avec un article du règlement intérieur pour réserver 2h pour un entraînement féminin le vendredi soir. Une mesure sans précédent, une infraction au règlement intérieur inacceptable et profondément indigne puisque elle est à mettre au lourd passif de ce président qui ne devrait jamais être fautif.
Et j'avoue encore bien autre chose que de la perplexité en constatant que la finale dames du tournoi open se joue avec... 5 personnes présentes en guise de public, dont les parents des deux joueuses, moi (je sortais d'une heure de jeu et je ne suis pas resté jusqu'au bout) et le responsable de permanence, mais aucune joueuse du club autre que l'épouse d'un élu du Comité.
Il faudra un jour que je parvienne à comprendre qu'au Tennis Club de Crépy en Valois, vraiment, le tennis féminin est "maltraité".
7 - Association d'apéros sur patins !
Pour annoncer un apéro, pour aller patiner sur la glace, les adhérents sont destinataires de courriels nominatifs, d'infos en première page sur le site, voire même de formulaires d'inscription : la croisière s'amuse !
Mais pour inviter ou simplement informer les adhérents du déroulement des phases finales du tournoi open... rien ! Strictement rien ! Au final, c'est sans doute assez curieusement se tromper de priorités pour les responsables aux commandes.
Questions aux élu(e)s du Comité de Direction :
Pourquoi les phases finales du tournoi open (les matchs du plus haut niveau de la saison) ne font-elles pas l'objet d'un minimum de promotion, au même titre que les apéros ou des manifestations sans grand rapport avec la pratique du tennis ?
Question transmise le 20 décembre.
8 - "Salope", "fils de pute" ! Mais... impunité totale ! Zéro réaction du Comité de Direction !
Pour un simple problème de répartition de courts, vendredi 28 novembre 2014, en début de soirée, le juge-arbitre du tournoi open, par ailleurs un joueur déjà fortement en cause pour une grosse colère et sa demande de falsification d'un tableau du tournoi interne, s'en est apparemment, cette fois-ci, pris à un salarié de l'association en l'insultant, devant plusieurs personnes de : "salope", "fils de pute".
Deux élus du Comité étaient à proximité, dont l'un présent sur le court : S. PONCHAUX et T. JACQUET, trésorier. Quelques instants plus tard, cet incident a donc été évoqué, un élu du Comité me l'a indiqué, en tout début de la réunion du Comité de Direction qui se tenait justement ce soir là.
Que croyez-vous qu'il advint d'un pareil enième incident au Tennis Club de Crépy en Valois, avec des élus de cet acabit ?
Rien ! Un gravissime incident à peine évoqué, très vite étouffé. Aucun examen du Comité de Direction, ni aucune décision à l'encontre de ce juge-arbitre décidément inexcusable et indigne en tout. C'est pourtant bien le Comité qui reste le plus légitime à traiter ce genre de questions !? Tous les "acteurs" étaient présents... Il a semblé, très certainement, que les suites à donner devaient l'être par... J. COCONI au sein d'un bureau réduit. Faudrait-il rappeler ici que J. COCONI n'a jamais sanctionné aucune des nombreuses insultes proférées au sein du club, m'insultant lui même, à tour de bras, de "geek sectaire imbuvable" ?
Depuis le 28 novembre, plus aucune suite pour l'agression de ce salarié de l'association ! On est reparti pour un enterrement de première classe ! A l'image de cette première insulte ("gros con") de cet autre moniteur, fin juin 2014, toujours au détriment de ce salarié, insulte pour laquelle J. COCONI et les élu(e)s du Comité n'ont toujours donné aucune suite depuis neuf mois ! Et il n'y en aura jamais, c'est évident !
Pour le moins, pour de telles attitudes (insultes et menaces de coups), avec la récidive que l'on sait (grosse colère et demande de falsification d'un tableau de tournoi), ce joueur/juge-arbitre devrait écoper d'une exclusion temporaire, au minimum, en guise de dernier avertissement. Des attitudes et des propos jamais connus avant l'arrivée de cette triste équipe. C'est assurément ce qu'on aurait comme réaction dans n'importe quelle autre association avec des élus qui n'accumuleraient pas de telles affaires sans les traiter.
Oui, mais voilà, nous sommes au Tennis Club de Crépy en Valois et son hallucinante faculté à décréter l'impunité pour tous ces propos et attitudes indignes.
Questions aux élu(e)s du Comité de Direction :
Pourquoi ces insultes gravissimes, ces menaces, les circonstances de tout cela, pour ce juge-arbitre indigne, n'ont-elles pas été immédiatement traitées par les élu(e)s du Comité de Direction, le plus légitime pour ce genre de problème ?
Faut-il, avec cette nouvelle impunité, considérer que l'ensemble des onze élu(e)s présent(e)s valident le fait que, dans notre association, les insultes, les menaces de coups ne soient jamais sanctionnées, toujours au profit des proches de quelques élus indignes ?
J'informe les mêmes élu(e)s qu'en l'absence de réponses à ces questions d'ici une toute petite semaine (il est inutile d'espérer ce qui n'advient pas depuis plus de deux ans maintenant), j'adresserais une lettre ouverte à M. le Maire de la commune ainsi qu'aux conseillers municipaux. J'adresserais également cette lettre, dénonçant toutes ces attitudes, tout particulièrement de la part du président J. COCONI, à destination de chacun(e) des adhérent(e)s de notre association. J'adresserais, enfin, cette même lettre à la presse locale, pour peu qu'elle y trouve matière à diffusion.
En effet, en l'absence de toute réaction des instances légitimes de notre association qui ne travaillent plus que dans l'omerta la plus totale, et en constatant l'évidente mauvaise volonté d'autres instances pourtant légitimes à intervenir sur ce genre de problème (article 85, paragraphe 6, page 67 des règlements administratifs de la FFT), je me vois dans la nécessité d'alerter d'autres élus, d'autres personnes, qu'elles soient ou non concernées.
Pour faire cesser tous ces manquements à la loi, il est du devoir de chacun d'entre nous de tout tenter. C'est ce que je m'apprête à faire. J'espère que cette mauvaise "publicité" imposera enfin aux élu(e)s de notre association à prendre toutes leurs responsabilités. Il est grand temps.
Questions transmises le 20 décembre 2014
9 - Convocations devant la Commission des Litiges
Copie du courriel envoyé le 20 décembre au Président de la Ligue de Picardie de Tennis :
Monsieur le Président de la Ligue de Picardie de Tennis
Copie : Monsieur le Directeur de la Ligue
Comme me l'avait indiqué M. Prieur, je viens de recevoir une "convocation" pour le Commission des Litiges qui se tiendra le 14 janvier 2015.
Une première saisine de cette Commission pour la "régularité de l'organisation du tournoi des licenciés du club de Crépy en Valois".
Je ne sais donc trop si tout cela englobe, la demande exaucée de falsification du tableau d'un tournoi de la part d'un joueur, voire sa grosse colère, et la falsification volontaire du tableau d'un tournoi de la part du juge-arbitre de ce tournoi ?
Nous verrons bien.
Une précision donnée par M. Prieur me fait craindre d'autres subtilités qui tronqueraient l'examen de ces plaintes.
Aussi ai-je sollicité, à de multiples reprises (4 fois déjà ?) la saisie de la Commission d'Arbitrage.
Mais je n'ai toujours strictement aucune réponse de votre part.
Puis-je espérer un jour me voir témoigner la "bienséance" d'une réponse sur cette demande ?
Par contre, surprise du jour (je ne reste pas "déçu"), un second courrier me "convoque", seul, devant la même Commission des Litiges.
Convocation décidée par... vous-même.
Objet de cette convocation ? La "forme de mes courriels" au sujet du déroulement du tournoi des licenciés de notre club, "et qui semble contraire à la bienséance".
Vous m'indiquez que je peux consulter les "pièces du dossier" au secrétariat de la Ligue de Picardie de Tennis.
Vous comprendrez que je ne vais pas engager un déplacement de 200 kms pour simplement pouvoir consulter mes propres "pièces" qui sont ainsi mises en cause par vous.
Aussi je vous demande de me transmettre, dans les plus brefs délais, les expressions précises que vous mettez ainsi en cause dans mes courriels, avec la référence la plus précise possible également des courriels incriminés.
Cela ne devrait poser aucune difficulté pratique dans la mesure où je vous ai déjà, abondamment, communiqué ces éléments par voie électronique.
Je ne saurais vous souligner que je souhaite vous voir attentif aux droits que j'ai en tant que mis en cause, sur la nature précise des éléments que vous m'opposez pour engager une telle démarche.
En l'absence de précisions rapides, je m'estimerais dans l'incapacité, à 20h, ce 14 janvier, de mettre en oeuvre, dans des conditions convenables, ma propre défense.
C'est bien ce qui reste hallucinant quand l'on prend connaissance des faits que je dénonce : me voir aujourd'hui dans la contrainte de devoir me défendre !?
Une fois que vous me communiquerez, sans défaut, ces éléments précis, je pourrais les mettre en regard de votre conception de la "bienséance" avec cette autre sollicitation, dont vous avez eu connaissance, il y a plusieurs mois, pour cet adhérent qui m'avait insulté de "bête", "con", "méchant", puis menacé de "me mettre une claque dans la gueule" pour encore, quelques semaines plus tard, me terrasser de cette formule tout en "bienséance" : "vous vous comportez comme un morveux de bac à sable", et d'autres misérables formulations dans son courriel d'adieu.
Des atteintes à la "bienséance" contre lesquelles vous n'avez jamais estimé devoir engager une action... comme la saisine de la Commission des Litiges.
Et ce malgré l'article 85, paragraphe 6, page 66, des règlements administratifs de la FFT, édition octobre 2014 qui aurait du, théoriquement, vous contraindre à intervenir.
Une fois que vous m'aurez transmis tout cela, je pourrais porter à la connaissance de l'ensemble des membres de la Commission des Litiges ces différents éléments, afin qu'ils soient en mesure de jauger de nos conceptions respectives de la "bienséance".
Je reste perplexe devant d'aussi évidentes discriminations.
Une dernière toute petite chose, que vous jugerez assurément sans importance, mais qui concerne ce joueur déjà en cause pour son comportement durant le tournoi interne de notre club : le vendredi 28 novembre, pour un problème de répartition de court, ce monsieur a insulté un salarié de notre association en train de donner un cours collectif à des enfants, devant de nombreuses autres personnes présentes. Il l'a apparemment insulté de : "salope", "fils de pute", et des menaces physiques.
Le même salarié avait déjà été insulté fin juin 2014, par un autre moniteur du club de : "gros con", par deux fois, là aussi devant témoins. Avec, là encore, des menaces physiques.
Pour ces deux incidents gravissimes, au moins un voire deux membres de notre Comité de Direction étaient présents.
Et que croyez-vous qu'il advint de tout cela une fois porté à la connaissance des membres du Comité de Direction de notre association ?
Rien. Strictement rien. Aucune "convocation", aucun examen, aucune décision, aucune sanction. Impunité totale pour tous ces gens qui se serrent les coudes dans l'indignité la plus totale.
Mais vous avez raison, lorsque vous saisissez la Commission des Litiges pour la "forme" de mes courriels qui viendrait heurter votre conception de la "bienséance", vous êtes assurément attentif au problème fondamental de notre association. Je reste l'unique problème de cette association.
Je mets la dernière main à la diffusion sur mon site des échanges que nous avons eu et que vous mettez en cause. Des "pièces" qui permettront, à qui en trouvera le temps et le courage, de chercher mes atteintes à la "bienséance".
Je diffuse également votre courrier de convocation [ci-dessous] ainsi que ce courriel sur mon site, à destination des adhérents qui en suivent l'actualité.
Et, devant tant de scandales à répétition, j'ai très clairement l'intention, tout prochainement, une fois encore, d'alerter le Maire de la commune, les conseillers municipaux, l'ensemble de nos adhérents, et la presse locale si elle trouve matière à publication.
Il faudra bien que chacun réponde de ses attitudes, d'une manière ou d'une autre.
C. Carré
Adhérent du Tennis Club de Crépy en Valois
(je ne joins plus de formule de politesse du type "cordialement", je crains que vous ne le preniez pour de l'ironie contraire à vos principes de la "bienséance".)
10 - Un an, un unique compte-rendu !
Puisque l'heure est au bilan de 2014, comment ne pas dénoncer, une fois encore, quel scandale constitue pour les adhérents la publication d'un unique compte-rendu des décisions du Bureau, du Comité, pour une année entière !
La non-information des adhérents reste donc l'image d'élus qui témoignent ainsi de grandes carences dans le fonctionnement de la démocratie. Faut-il y voir du mépris pour les adhérents ? Y a-t-il des décisions qui restent tellement honteuses qu'on veuille ainsi les cacher (cf. le planning des cours collectifs qui reste un document classé secret-défense) ?
Questions aux élu(e)s du Comité de Direction :
Quand donc les élu(e)s du Comité de Direction feront-ils ce qu'il faut pour que leurs décisions soient communiquées aux adhérents sous la forme de comptes-rendus réguliers et suffisamment détaillés ?
Les 3 ans et demi de mandat qui restent ne donneront-ils lieu à aucune publication, d'aucune information sur les décisions prises par les élu(e)s du Comité qui ne se sentiraient donc pas cette obligation devant les adhérents de l'association ?
Questions transmises le 29 décembre 2014
11 - Un Président qui se réveille !
J'ai dénoncé au point n°8 de cette lettre de décembre 2014, la récurrente passivité du Président de l'association dans la lutte contre les injures et les menaces, un fléau de notre association.
J'ai transmis ce point n°8 aux élu(e)s du Comité de Direction, samedi 20 décembre à 18h29.
Quarante petites minutes plus tard, à 19h10, le Président de l'association demandait à "rencontrer", par courriel (que deux élus du Comité m'ont transmis), le juge-arbitre en cause, et le salarié insulté. Un réveil donc très très tardif du Président (les faits datent du 28 novembre 2014) qui attend donc d'être mis en cause publiquement par moi pour réagir. Cette attitude de la part du Président de l'association laisse donc pas mal d'inquiétudes en suspens pour l'examen de ce problème :
J. COCONI indique dans ce courriel que si tous ne parviennent pas à se mettre d'accord sur un rendez-vous, il enverra une "convocation officielle" pour janvier. Est-ce à dire que ce courriel n'est pas une "convocation officielle" ? J. COCONI a-t-il décidé de traiter seul cette question, sous la forme d'une négociation informelle, une procédure sous le manteau qui, à l'évidence, ne tiendrait pas compte de la gravité des faits ?
Dans la même attitude, pourquoi le moniteur qui a insulté ("gros con") et menacé le même salarié en juin 2014 n'est-il pas "convoqué" par la même occasion ? J. COCONI, président, a-t-il décidé de céder aux injonctions hallucinantes et irresponsables de ce moniteur qui n'hésite pas à écrire à J. COCONI (courriel du 7 octobre adressé aux membres du Comité, courriel que l'un d'eux m'a transmis) que ce moniteur "peut nous dire qu'il dit à qui il veut et quand il veut, ce qu'il veut", qualifiant l'examen de ses attitudes par le Bureau de "mascarade de réunion inutile", pour finir par refuser de se présenter devant les membres du Bureau ! J. COCONI, les membres du Bureau, du Comité, qui n'ont depuis strictement eu aucune autre réaction sur ce problème et après avoir vu leurs prérogatives niées par ce moniteur, se font-ils dicter leur conduite par ce salarié ? Hallucinant ! Qui est aux commandes dans cette association ?
Est-ce à dire qu'on ne contrarie pas les amis ? On ne veut très visiblement pas prendre le risque de devoir sanctionner cet animateur-salarié de la liste de l'ex-ex-président, animateur omniprésent durant l'Assemblée Générale de l'association ! J. COCONI, président, pense-t-il qu'avec le temps, tout s'efface ?
Dans ces conditions, avec un Président d'une mauvaise volonté aussi spectaculaire ou d'une faiblesse encore plus fautive sur ces questions des injures et des menaces, pourquoi les élu(e)s du Comité de Direction ne sont-ils pas invités clairement à siéger pour cette séance et assurer un examen impartial de ce problème ? J. COCONI veut-il traiter tout cela seul, entre "amis", avec le passif qu'il a dans ce domaine ?
Je resterai extrêmement vigilant aux conditions dans lesquelles sera tenue cette séance ainsi qu'aux décisions prises (ou aux non-décisions) par... on ne sait qui finalement : J. COCONI seul, le Bureau, le Comité ?
Si, comme de multiples exemples dans notre association le font malheureusement et fortement craindre (on n'est guère rassuré par ce curieux courriel), ces insultes et ces menaces de coups ne faisaient pas l'objet d'une sanction à la hauteur de faits aussi graves, pour se conclure par un dérisoire avertissement par exemple, le tout petit premier niveau de sanction, j'aurais la nécessité, en tant que citoyen, de transmettre un signalement au Procureur de la République. Un de plus de ma part.
Nous avons bien tous le devoir de porter assistance à une personne en danger. La passivité du Président de cette association et des élu(e)s du Comité qui n'engagent strictement aucune procédure (cf. insultes et menace de juin 2014 pour lesquelles je les ai alertés) seront alors à mettre en cause à ce titre, peut-être par d'autres juridictions.
Questions aux élu(e)s du Comité de Direction :
Pourquoi les injures et menaces de juin 2014 ne sont-elles toujours pas traitées par les élu(e)s du Comité (aucune convocation officielle, aucun examen, aucune décision, aucune sanction) ?
Pourquoi les injures et menaces de coups de novembre 2014 ne font pas l'objet d'une procédure déclenchée par le Président J. COCONI dès qu'il en est informé, voire de l'ensemble des membres du Comité présents (c'est à dire le soir même du 28 novembre 2014), J. COCONI qui attend que je les dénonce publiquement pour réagir (aggravant ainsi un problème qui n'a pas besoin d'une telle publicité) ?
Questions transmises le 29 décembre 2014
12 - Le trésorier s'exprime...
Toujours à propos de ce point n°8 que je diffuse ici, le trésorier prend sa plume, le 22 décembre.
C'est consternant de constater qu'un élu est capable de s'exprimer publiquement de la sorte.
Évoquant le risque que je cours de "prendre une main courante" (j'ai cité son nom), le trésorier fait la même promesse à tous : "J'aurais le même traitement envers les personnes qui pleures auprès de lui [c'est moi] (stagiaire DE ou membres du comités), les gars se reconnaîtrons (et devrez regarder si leurs entre-jambe est bien garni*) et que ces mêmes personnes ne vienne même pas discuter avec les membres du bureau."
* mis en relief par moi.
Voilà un élu, qui n'a pas compris qu'il ne représente pas lui même mais bien les adhérents, et pas que le petit nombre qui l'a élu sans avoir l'occasion ni de l'entendre, ni de le lire. Voilà un élu qui n'a pas compris que la grossiereté, la vulgarité dans la bouche d'un élu, le rend indigne de son mandat. Qui pourra expliquer à ce monsieur que la valeur et le courage d'une personne ne se soupèsent pas au poids de ce qui est entre ses jambes ?
Et dire que ce monsieur, qui veut ainsi interdire à tout le monde de me parler, est trésorier de notre association...
Comment ne pas comprendre ensuite que ce type de raisonnement, ce type de propos, cette grossiereté, cette vulgarité, ne permettent pas à des élus de ce genre de se révolter contre les insultes, les menaces proférées par ailleurs dans ce club ?
Question aux élu(e)s du Comité :
Les élu(e)s du Comité souhaitent-ils que l'image donnée par cet élu et les propos qu'il tient, éclabousse ainsi le Comité de Direction si ce dernier ne réagit pas comme il convient ?
Puisque la "bienséance" est un thème d'actualité, quel(le)s élu(e)s aura le courage de rappeler à ce trésorier l'article 8, paragraphe C du règlement intérieur ?
Les élu(e)s du Comité vont-ils longtemps cautionner le fait que le Tennis Club de Crépy en Valois puisse être une association où les grossieretés, les vulgarités, les insultes, les menaces volent en escadrille, en extrême rase-motte en vérité ?
Questions transmises le 29 décembre.
13 - Convocation "bienséante", suite...
J'ai transmis le courriel ci-dessous, dès le 21 décembre, au Président de la Fédération Française de Tennis (copie Ligue).
Le 22 décembre, par téléphone, j'ai demandé au Directeur de la Ligue de Picardie qui avait souhaité que je l'appelle, qu'on me précise le vocabulaire, les expressions qui étaient invoquées pour justifier la décision de M. de Saint-Martin de saisir la Commission des Ligites pour la "forme de [mes] courriels" qui lui "semble contraire à la bienséance".
On m'indique qu'on ne peut pas, qu'on ne sait pas, qu'on ne peut pas se mettre à la place de, qu'on imagine que, peut-être, éventuellement... !?
J'insiste. Mais rien. Aucune citation précise ! Strictement aucune ! Bien en peine, en vérité.
Je reste donc accusé... de rien !
Pour cette raison et bien d'autres, j'ai depuis transmis un courriel au Président de la Commission des Litiges pour me plaindre d'une convocation hallucinante, ne reposant que sur la contrariété d'un élu qui refuse de formuler des reproches plus précis, suffisamment précis pour légitimer une pareille procédure.
J'attends une réponse de la Commission des Litiges. On verra bien.
Le trésorier de l'association m'adresse (courriel évoqué point n°12) un message de réconfort : " je suis athée mais je prie tous les soirs pour que la ligue prenne la bonne décision." J'espère seulement que ce monsieur, "poète" à ses heures, s'adresse à ses divinités, auxquelles il ne croit pas, autrement qu'aux simples mortels que nous sommes. Sinon, je suis mal parti !
FFT/Ligue : Courriel du 21 décembre 2014
Monsieur le Président de la Fédération française de Tennis
Je viens de recevoir une convocation faisant suite à la saisine de la Commission des Litiges de la Ligue de Picardie de Tennis par le Président de la Ligue de Tennis de Picardie, pour cette séance du mercredi 14 janvier 2015.
Dès le 3 octobre 2014, j'ai sollicité cette saisine pour une falsification volontaire d'un tableau du tournoi interne de notre association en septembre 2014, de la part d'un joueur et du juge-arbitre en charge de ce tournoi. Le Comité de Tournoi de notre drôle d'association ayant constaté ces falsifications pour décider tout de go... de ne strictement rien sanctionné dans les comportements ainsi mis en cause.
Mais je ne reste jamais déçu bien longtemps. Mes déroutes s'enchaînent à un rythme endiablé.
Samedi 20 décembre, j'ai aussi la surprise de constater que M. de Saint-Martin, sur sa propre décision, me fait également convoquer (voir lien ci-dessous), seul, devant cette commission, au motif que "la forme de [mes] courriels [...] semble contraire à la bienséance".
Je vous avoue une perplexité la plus grande pour cette décision de M. de Saint-Martin.
En effet, vous n'êtes sans doute pas sans vous rappeler qu'avec un courrier en date du 25 juin 2013 (lien ci-joint également), j'avais sollicité votre intervention pour des problèmes d'insultes et de menace de coup de la part d'un adhérent à mon encontre, alors que je n'étais que dans mon rôle de secrétaire de l'association : "psychorigide", "bête", "con", "méchant", "je ne sais pas ce qui me retient de vous mettre une claque dans la gueule". Puis une seconde volée de bois très vert avec, en pleine réunion de Comité : "vous vous comportez comme un morveux de bac à sable" et d'autres formulations toujours insultantes par la suite dans le courriel d'adieu de ce bref secrétaire démissionnaire.
Des insultes, une menace confirmées par cet adhérent, devant notre Bureau (président, trésorier, secrétaire), actées dans un compte-rendu (il est présent dans le courrier de juin 2013) dont le caractère non-mensonger de ce qui y est rapporté est attesté par le trésorier, enregistrement audio à la clef. Plus, on ne peut pas.
M. de Saint-Martin, à qui était également adressé ce courrier de juin 2013, vous-même, avez décidé de ne strictement rien engagé comme procédure.
Et ce malgré l'article 85, paragraphe 6, page 67 des règlements administratifs de la FFT, édition octobre 2014 (mais cet article était déjà le même en juin 2013) qui liste pourtant on ne peut plus clairement comme "actes répréhensibles commis par un licencié", les "injures ou les violences dans l'enceinte d'un club" !
Plus précis sur la forme de mon malheur, il n'y a pas.
Une décision rejetant ma demande que je garde comme un profond déni de justice.
Aussi je reste consterné par cette nouvelle décision de M. de Saint-Martin, de saisir la Commission des Litiges pour des expressions qu'il n'a même pas pris la peine, pour l'instant, de me préciser.
Et si je prends la liberté dès aujourd'hui de solliciter votre intervention, avant même de me les voir précisées, c'est bien parce que j'ai l'entière assurance que rien, dans mes écrits, ne me vaut cette convocation.
Et vous avez sans doute pu vous apercevoir que je ne reste pourtant pas avare de ces écrits. Je ne pratique jamais l'injure, chacun sa nature profonde, et si l'acidité pour certains échanges est parfois présente, c'est bien en réponse à des provocations adverses.
Je vous joins l'intégralité des échanges (lien ci-dessous) que j'ai pu avoir avec M. Prieur (Directeur de la Ligue). M. de Saint-Martin est comme vous, il ne s'adresse pas au simple licencié que je suis (cf. votre courrier du 8 novembre 2013).
Vous pourrez constater que rien dans mes écrits n'est de nature à me valoir cette convocation que je prends déjà comme tout autre chose que la simple instruction de ma plainte pour ces graves manquements à leurs devoirs pour ce joueur et ce juge-arbitre.
Des problèmes qui devraient tout de même rester la préoccupation première de M. de Saint-Martin et pour lesquels je dois batailler comme un forcené pour simplement les voir examinés.
Le grand malheur restant que, pour ces faits, ni de près, ni de loin, je ne peux être mis en cause. Il fallait bien tenter autre chose pour me compromettre ici. C'est chose faite avec cette hallucinante convocation.
Je ne vous cache que j'ai décidé de faire de ces courriers, des lettres-ouvertes qui sont ainsi à la disposition de l'ensemble de nos adhérents (site perso) et d'autres personnes que je vais encore solliciter prochainement (élus municipaux, presse locale).
Pour ce courrier, je vais faire l'immense effort de patienter jusqu'au vendredi 26 décembre avant de le mettre en ligne.
J'ose encore espérer que cette sollicitation que je vous adresse saura faire comprendre à M. de Saint-Martin qu'il se mobilise étrangement dans une démarche extraordinairement discriminatoire lorsqu'il décide, en son nom, d'engager une procédure, comme déjà une accusation, sur "la forme de [mes] courriels qui semble contraire à la bienséance", sans autre précision, alors qu'il n'a strictement rien décidé de tel quand j'étais l'évidente victime d'expressions au caractère injurieux autrement plus spectaculaire !
Si M. de Saint-Martin veut ainsi, dans une nouvelle attitude, venir établir les manquements à la "bienséance" dans notre association, qu'il ne se limite donc pas à mes courriels et se promène quelque peu sur ce site perso (adresse et identifiants ci-dessous).
Par exemple, que M. de Saint-Martin diligente au plus vite une séance de la Commission des Litiges en convoquant deux de nos salariés qui, tour à tour, auront gravement insulté et menacé notre stagiaire DE, entre autres misères : "gros con" (en juin 2014), "salope", "fils de pute" (28 novembre 2014). Des injures accompagnées de menaces de coups, à chaque fois. Et bien évidemment strictement aucune réaction, aucune convocation, aucun examen, aucune décision, aucune sanction de ces drôles d'élus de notre association qui ne doivent, ni jamais, ni devant personne, répondre d'une telle incurie. (lien ci-dessous)
M. de Saint-Martin... qu'attendez-vous pour vous saisir de pareils manquements... à la "bienséance" dans notre association ?
Suis-je le seul à devoir être l'objet de votre attention ?
Deux poids, deux mesures.
Je veux encore croire qu'un Président de Ligue n'a pas de légitimité à adopter de telles attitudes.
Cordialement
C. Carré
Adhérent du Tennis Club de Crépy en Valois
Adresse de mon site perso : http://kristophe.carre.free.fr/Site/2014DecembreQuestions.html
Identifiants (accès restreint, pour préserver ce qui peut l'être encore. Que d'efforts de ma part !) :
Identifiant : tt
Mot de passe : tt
Convocation de la Ligue de Picardie de tennis : http://kristophe.carre.free.fr/Site/2014DecembreQuestions.html#A40
Courrier du 25 juin 2013 : http://kristophe.carre.free.fr/Site/2013JuinCourrierFFT.pdf
Echanges de courriels avec M. Prieur notamment : http://kristophe.carre.free.fr/Site/EchangescourrielsLigue.html
Derniers manquements à la "bienséance" au sein de notre association (mais les exemples sont légions) : http://kristophe.carre.free.fr/Site/2014DecembreQuestions.html#A8