Les questions de juin 2015

1 - Des publications plus que discutables

2 - Le Comité de Tournoi ne sanctionne pas. Le Comité de Direction sanctionne. Qui se compromet ?

3 - Des comptes-rendus ou une présentation mensongère des faits ?

4 - Assurance : 1 800 € par la fenêtre !

5 - Propositions de cotisations 2015/2016 : de quoi se désoler encore !

6 - NTC annulé... en cercle restreint !

7 - Une convention municipale "modernisée"... au détriment de notre association !

8 - Les autres propositions de modifications du règlement intérieur : trop souvent peu pertinentes !

9 - Election du Comité de Direction : un grand zapping décrété par le Président !

10 - Lire un texte... en prenant de la marge !

11 - Pièces comptables

12 - Vérificateurs aux comptes

13 - Consultation des documents qui sont la propriété de l'association

14 - Assemblée Générale : un petit problème... et un gros !

15 - Des publications à décharge... et à charge !

16 - Des "propos irrespectueux" !

16.1 - Ni citation, ni élément précis pour une accusation de "diffamation" du président.

16.2 - Diffamation, puis plus de diffamation : une accusation feu follet.

16.3 - Aucune convocation pour une mise en cause examinée malgré tout par le Comité

16.4 - Des "propos irrespectueux" pour des décisions non respectables!

16.5 - Des propos irrespectueux" "dénoncés" par... un expert en la matière !

16.6 - "Les membres du Comité [...] décident par intelligence" !

16.7 - Diffamons, diffamons... il en reste toujours quelque chose !

16.8 - "Je ne suis pas indigne", "je ne suis pas compromis".

16.9 - Mettre en cause des "propos irrespectueux"... devant une juridiction impartiale !

17 - Après la révocation ad nutum, la radiation ad nutum ?

17.1 - Un long chemin de croix pour un acharnement spectaculaire !

17.2 - Des accusations pour des "délits" qui n'existent pas !

17.3 - Un dossier volontairement vide : diffamation pure et simple, condamnable !

17.4 - Une accusation qui met déjà en question le respect de droits fondamentaux !

17.5 - Une procédure pleinement contraire à nos status, notre règlement intérieur !

17.6 - Une procédure éclair du Comité de Direction d'ici le 3 juillet 2015 ?

17.7 - Des accusations portées par un adhérent fortement hostile, et fortement en question !

17.8 - Prétendre que cette demande de radiation est une question d'intérêt général ?

17.9 - Le jugement avant l'accusation ?

17.10 - Jurisprudence de l'AG pour le cas d'adhérent qui porterait du tort à l'association ?

17.11 - La notion de préjudice pour une radiation à vie !

18 - La responsabilité juridique des dirigeants !

19 - Triple accusation, triple calomnie de la part d'un élu du Comité !

20 - La terre battue... et même martyrisée !

21 - Tournoi jeunes : 38 inscrits, 13 crépynois !?

22 - Pièces comptables : les surprises 2014/2015 !

22.1 - AMT, des taux horaires différents ?

22.2 - GD Conseils, une facture en hausse !

22 - Des remboursements de déplacements pourtant vérifiés "systématiquement" !

22 - Après un ordinateur spécial trésorier, une imprimante spéciale trésorier !

22 - 0.50 € d'augmentation du prix d'un tube de balles, pour arrondir 0.12 € !

22 - Subvention municipale : - 30 % ! La faute à qui ?

22 - Quelques autres remarques sur quelques pièces comptables.

22 - Combien d'euros perdus ou gaspillés sur la saison 2014 / 2015 ?

23 - 17.85 % d'augmentation confirmés !

24 - Le compte de résultat de la saison, la situation de la trésorerie : pour lundi 29 juin 2015 !

 
 

 

1 - Des publications plus que discutables

Je découvre ce 3 juin les documents mis en ligne pour les réunions du Comité du 13 mars et 17 avril 2015.

Et je reste stupéfait de constater que les élu(e)s du Comité ne prennent pas des précautions pourtant élémentaires.

Depuis toujours, les précédents comités, s'ils étaient parfois amenés à prendre des sanctions, prenaient également la très sage précaution d'anonymer les adhérents ainsi rappelés à leurs devoirs. Rappelons-nous cet exemple.

Prendre une sanction pour des élu(e)s ne doit pas s'apparenter à une pratique plus regrettable en indiquant l'identité des adhérents sanctionnés. Il ne peut être question ici de mener sur la place publique un adhérent pour, en définitive, rajouter à sa sanction une humiliation plus générale.

Notre association, si elle prend des sanctions, et elle le doit, le fait dans un but unique : rappeler à tout un chacun que nos règles communes garantissent le bon fonctionnement de l'association. C'est l'exemplarité dans le respect de ces règles qui peut ainsi trouver toute sa "rentabilité" et non le cas particulier d'un tel ou un tel. Et, pour cette raison, il est très clairement inutile, voire dommageable de mentionner l'identité des adhérents sanctionnés. "De mon temps", nous avons toujours agi à l'aune de ces précautions et ces intentions.

J'avais ainsi déjà protesté de voir le nom de l'un de nos salariés mentionné dans un compte-rendu. Autant le reproche semblait pertinent, autant mettre ainsi un nom en place publique, au nom de l'association, me parait des plus inopportuns, lorsqu'il s'agit d'une faute ainsi constatée. Mais rien n'a été fait sur ce CR. Pas plus que pour cette autre photo toujours en ligne sur la page Facebook du club, et ce depuis le 14 mars 2014, et ce malgré mes protestations répétées. Une confirmation, en lisant ce qui suit ci-dessous, que les décisions du Comité ne sont pas les mêmes pour tous nos salariés.

Alors j'imagine assez aisément que lorsque, sur ce site même, je mentionne le nom de certains élu(e)s (deux ou trois) pour des plaintes de ma part, l'on pourrait me reprocher de l'incohérence avec ce point de vue ici développé.

Mais c'est oublié trop vite que les élu(e)s sont des personnes publiques et que leurs décisions doivent être mises sur la place publique. En se présentant aux élections les désignant comme les représentants de tous, ils s'engagent nommément et doivent donc répondre en leur nom, de leurs attitudes, de leurs propos, de leurs décisions.

Et, pour ce qui me concerne ici, je ne représente bien que moi-même. Et je prends bien toutes mes responsabilités lorsque je porte ces nombreuses plaintes en mettant en cause nommément tel élu ou tel individu. Et l'on pourra constater que je m'efforce le plus souvent possible de préserver l'identité des personnes que je mets en cause (hormis le président de l'association qui reste particulièrement indigne de sa fonction).

D'autant que, jamais décevant, la publication de la décision concernant ce juge-arbitre du tournoi open de décembre 2014 ainsi sanctionné, l'est avec un monceau de détails, à répétitions : des délibérations présentes deux fois dans deux CR différents (CR du 13 mars 2015 - réunion de 19h45 puis point 2 de la réunion de 20h30, puis CR 17 avril 2015 - point 2), et la copie du courrier envoyé avec nom et adresse personnelle de ce monsieur, rien de moins, etc... Si on ne sait rien de l'identité de cet adhérent sanctionné... c'est qu'on est sourd, aveugle et de mauvaise volonté !

Alors que, spectaculairement, l'examen des injures et la menace d'un salarié durant la même réunion à priori, avec le statut de simple individu en l'occurence, étranger en tout au tournoi se déroulant ce jour-là, ne fait l'objet d'aucune mention, nulle part, ni dans les comptes-rendus publiés, pas plus que la trace du moindre courrier pourtant évoqué par le président. Un salarié toujours, ô combien, choyé par ces quelques élu(e)s-copains puisque ce salarié de l'association n'aura, pour les mêmes faits gravissimes, récolté strictement aucune sanction de la part d'un Comité ainsi compromis gravement ! Un salarié qui écrit et répète à l'envi "qu'il dit ce qu'il veut, à qui il veut, quand il veut !". Tout est dit, et les élu(e)s n'ont qu'à se taire. Ce qu'ils font.

Et c'est pourtant bien cette agression verbale de juin 2014 qui reste encore plus grave que celle de décembre 2014 à mon sens. En effet, le juge-arbitre du tournoi open de décembre 2014 a prononcé ses injures dans un contexte où il était un juge-arbitre avec les difficultés à organiser des matchs sur les installations du club, sous pression de l'avancée du tournoi. Ce qui n'excuse en rien ses "débordements" et justifie pleinement sa sanction. Mais cette responsabilité de l'organisation d'un tournoi, la pression qui en résulte, restent bien des circonstances atténuantes pour ce cas là.

Des circonstances dont ne peut nullement bénéficier ce salarié, insultant et menaçant à l'identique, sans aucune autre raison, sans aucune autre pression, sans aucun autre "statut" pourrait-on dire que de s'en prendre à un juge-arbitre simplement pour un problème de convocation d'un jeune joueur et son père irrascible. Des "connaissances" de ce salarié qui croit pouvoir ainsi faire tout et n'importe quoi pour faire valoir le point de vue de ce père irrascible. Des circonstances bel et bien aggravantes pour une faute pourtant non-sanctionnée pour ce salarié. Copinage et compromission de la part des élu(e)s.

Enfin, remarquons que si les précédents comités avaient agi de la même manière que l'actuel, en n'anonymant pas les noms des adhérents mis en cause dans ses publications, les adhérents auraient tous pu identifier cet adhérent sanctionné pour trois motifs différents à deux occasions, avec deux avertissements formels (oct.2011, point 1 et fév.2013 (point 17)), un score inégalé depuis. Et tous les adhérents présents lors de l'Assemblée Générale de juin 2014 auraient pu se rendre compte qu'ils s'apprêtaient à élire un futur membre du Comité ainsi assez loin de l'exemplarité qu'on est en droit d'exiger d'un candidat. On imagine les conséquences d'une telle publicité pour ce monsieur. Car oui, on le sait, ne sont élus par nos Assemblées Générales que des candidats... exemplaires en tout. Que pense donc ce candidat élu, l'un des trois membres élus du Bureau de l'association, de publications de l'association qui indiqueraient ainsi le nom des adhérents sanctionnés, leur adresse... alors que lui-même a pu bénéficier d'un Comité bien plus protecteur et attentif à préserver sa "réputation" ?

Questions aux élu(e)s du Comité :

Il est plus que souhaitable d'anonymer le nom des adhérents sanctionnés par le Comité, voire l'Assemblée Générale, dans les publications de l'association. Pourquoi rompre avec cette sage précaution des précédents Comités ?

Et l'occasion de poser à nouveau cette question : pourquoi le salarié qui a insulté le juge-arbitre du tournoi de juin 2014 n'a-t-il fait l'objet d'aucune sanction ? Pourquoi l'examen de ses insultes et sa menace ainsi que la décision du Comité de ne pas le sanctionner, ne sont-ils consignés dans aucun compte-rendu de réunion du Comité, alors même qu'un cas similaire fait l'objet d'un exclusion d'une semaine (forte sanction puisque la récidive entrainerait l'exclusion définitive) et d'une publicité sans limite dans les publications que l'association met en ligne ?

Questions transmises le 6 juin 2015

 

2 - Le Comité de tournoi ne sanctionne pas. Le Comité de Direction sanctionne ! Qui se compromet ?

Faisons le point. C'est nécessaire tant la compromission fait assez mauvais ménage avec la logique et la clarté.

Le joueur ayant exigé avec "véhémence" la falsification du tableau du tournoi interne de septembre 2014 avec l'effacement de son forfait a-t-il été ou non sanctionné ?

A ce jour, on peut résumer la situation ainsi :

Épisode 1

14 octobre 2014 : décision du Comité de Tournoi (J. COCONI, G. FLEURY) : pas de sanction, pas même de mention de ce problème pourtant connu dans tous ses détails, aucune convocation de ce joueur. Politique de l'autruche.

Épisode 2

18 février 2015 - Décision de la Commission des Litiges de la Ligue de Picardie (courrier du 13 mars 2015) : pas de sanction contre ce joueur, de la part de cette commission qui qualifie comme pourtant "véhémente" la demande de ce joueur pour la suppression de son wo mais qui, quelques lignes à peine plus bas, conclut sans cohérence pour ne pas reconnaître un "rôle déterminant" de ce joueur dans la suppression du wo !? Incompréhensible, incohérent.

Épisode 3

Et puis, surprise dans le courrier adressé par le Comité à ce joueur le 16 mars 2015, publié trois mois après la tenue de la réunion ayant statué sur ce problème, six mois après les faits. Quand on peut faire simple...

13 mars 2015 - Décision du Comité de Direction du Tennis Club de Crépy en Valois : sanction d'une semaine d'exclusion pour ce joueur. Une sanction qui porte sur les insultes et les menaces déjà évoquées ici, mais également, comme le laisse clairement entendre ce courrier du 16 mars, sur la : "réaction lors du Tournoi interne à l'évocation d'une possibilité d'un WO vous concernant" jugée par le Comité de Direction à l'unanimité comme "inappropriée". Le Comité met donc bien ici en accusation, à l'aide de doux euphémismes, la demande et la violence accompagnant cette tentative de falsification du tableau. La FFT décrit plutôt tout cela comme un "acte répréhensible" : "le fait de fausser la sincérité des compétitions, par quelque moyen que ce soit" (article 85-17, page 67).

Contrairement à ce qu'indiquait le président dans le compte-rendu d'octobre 2014 et ses conclusions du Comité de Tournoi, "l'affaire tournoi interne" n'était donc pas "close". Elle ne l'est toujours pas d'ailleurs, à mon sens.

(paragraphe ci-dessous rajouté le 29 juin 2015)

Et force est de constater que ces élu(e)s, du Comité de Tournoi, puis du Comité de Direction sont capables dans la plus totale des incohérences, de prendre en compte la "réaction inappropriée" de ce joueur pour l'inclure dans cette sanction d'exclusion qu'ils décident, mais feignent toujours d'ignorer, à la façon d'une autruche, la demande de falsification du tableau effectuée par ce joueur !? Il n'y a strictement aucune cohérence, aucune justification, aucune dignité à reprocher à ce joueur sa colère et à ne strictement rien faire pour sanctionner sa tentative de fraude !? Strictement aucune, sinon de prendre tous les risques, d'être dans l'incapacité la plus totale à se montrer crédible, partial, cohérent, digne, tout cela pour ne pas aller dans le sens de mes plaintes. Indigne, honteux, inacceptable !

Une saga sur ces différentes prises de position qui amène ainsi fatalement à s'interroger : les deux membres du Comité de Tournoi, Julien COCONI et Gilbert FLEURY ont le 14 octobre 2014, en connaissance de tous ces faits (à vérifier pour Gilbert FLEURY qui n'a même pas été consulté par Julien COCONI sur le texte de conclusion du Comité de Tournoi), décidé de ne pas prendre de sanction à l'égard de ce joueur et son comportement "véhément". Et le 13 mars 2015, six mois plus tard, ces deux mêmes élus, siégeant cette fois ci en tant que membres du Comité de Direction, prennent une forte sanction pour cette même demande de falsification du tableau du tournoi interne de septembre 2014 (cf. "unanimité" de la décision).

Mais jusqu'où faudrait-il suivre des décisions aussi incohérentes, jusqu'à quel degré de compromission ?

Pire dans ce trouble puisque le président ose encore affirmer dans son courriel du 6 mai qu'aucune sanction n'a été prise contre ce joueur et son comportement, ni par la Ligue, ni par personne. "L'affaire est close" selon la formule consacrée de ce président zigzaguant. En effet, le 6 mai, ce monsieur sait parfaitement qu'une décision a pourtant été prise par le Comité de Direction du club, et par lui même aussi, lors de sa réunion du 13 mars 2015. Mais bien évidemment, il n'en fait aucun état ce 6 mai, pour un compte-rendu non publié à cette date. Des omissions toujours coupables de la part de ce président empétré dans tant d'incohérences compromettantes.

Question aux élu(e)s du Comité :

En désavouant ainsi la décision et le laxisme révoltant du Comité de Tournoi, les élu(e)s du Comité de Direction, à l'unanimité, indiquent-ils leur défiance à l'égard de ces deux élus ? Est-il prévu de les convoquer (tout au moins le président qui est l'unique rédacteur des conclusions du Comité de Tournoi) pour un tel manquement à leurs devoirs d'élus (article 8, paragraphe C) afin de le sanctionner dûment ?

Pourquoi, si le Comité estime que le comportement de ce joueur durant ce tournoi a été "inapproprié", le Comité a-t-il attendu six mois fermes pour le lui notifier et prendre une sanction forte ? Le courrier adressé à ce joueur indique qu'on tient à le lui "rappeler". Or aucune remarque, aucune réaction, aucune décision d'aucune sorte n'a été prise par le Comité durant six longs mois concernant le comportement de ce joueur !?

Le Comité est-il capable de fermer les yeux sur de tels faits, malgré mes alertes, pour ensuite se convaincre que son réveil, six mois plus tard, est crédible et digne ?

Questions transmises le 15 juin 2015

 

3 - Des comptes-rendus ou... une présentation mensongère des faits ?

Dans le compte-rendu d'octobre 2014, on peut lire ceci :

Et puis, lire ensuite le président qui indique dans son courriel du 6 mai 2015, que ce salarié dont le nom est cité dans ce compte-rendu d'octobre 2014 a fait l'objet d'une décision, "à l'unanimité", du Comité : "Sanction a été prise. Affaire close également." On connait la formule favorite de ce Président qui croit ainsi effacer ses propres errances.

On reste estomaqué du refus de ce salarié, qu'on indique ici, de se présenter à une convocation du Comité de Direction. On a du mal à comprendre si c'est durant cette réunion d'octobre 2014 que le cas de ce salarié a été débattu ou si c'est à l'occasion d'une autre réunion ?

Questions aux élu(e)s du Comité :

Le Comité peut-il préciser à quelle date ce salarié a-t-il été convoqué, reçu, entendu puis "sanctionné" sans sanction ? En octobre 2014 ou plus récemment ?

Avec cette "sanction" prétendument prise par le Comité, pourquoi en octobre 2014, le Comité, qui valide ce compte-rendu, nous présente ce problème comme étant un banal différend entre deux individus, autant coupables l'un que l'autre, et indique la décision du Comité qui se bornera à un banal courrier pour chacun des deux ? Courriers jamais vus du reste !

Faut-il aller jusqu'au mensonge dans ce compte-rendu pour protéger ce salarié fautif en laissant ainsi présenter la victime (le juge-arbitre officiel du tournoi) comme étant également coupable ?

Les élu(e)s du Comité sont-ils en accord avec ce mensonge de la part de leur président, qui indique ensuite qu'une "sanction a été prise" alors qu'aucune sanction n'aurait jamais été prise par le Comité ? L'affaire est-elle close également pour les élu(e)s du Comité ?

Pourquoi ce courrier envoyé à ce salarié pour lui signifier sa sanction n'est-il pas, à l'égal du courrier envoyé au joueur wo du tournoi interne de septembre 2014, publié sur le site du club, avec nom et adresse de ce salarié, ou bien encore publié sur la page facebook du club, avec photo et commentaire désopilant en accompagnement comme on le laisse faire depuis mars 2014 pour un autre salarié ?

Questions transmises le 15 juin 2015

 

4 - Assurance : 1 800 € par la fenêtre !

J'avais indiqué début 2012 la nécessité de revoir le contrat d'assurance de l'association. Un contrat en partie en doublon puisque l'assurance de la FFT nous couvre pour une partie de ces risques. Les élus statutairement responsables de ces "actes de la vie civile" (article 18 des statuts), les présidents en l'occurence, n'ont jamais trouvé le temps d'assumer ce si "pesant" dossier.

On apprend dans le compte-rendu du 17 avril 2015 que c'est enfin... en bonne voie ! On nous indique au passage que cela fera "600 € d'économies".

Il aura donc fallu trois ans aux différents responsables de ce dossier (nos présidents successifs) pour enfin prendre en charge une aussi "lourde" démarche, qui reste donc encore... à conclure ce 17 avril 2015.

3 ans x 600 € d'économies = 1 800 € !

Est-ce le prix à payer pour des élus à ce point "zélés" ? Quelle gabegie ! Quelle incohérence ensuite à mobiliser les adhérents de l'association pour aller réparer de telles erreurs avec l'organisation d'une brocante incertaine, et bientôt peut-être celles d'un loto, d'un bal costumé ?

Question aux élu(e)s du Comité :

Pourquoi cette très simple et rapide démarche n'a-t-elle pas été engagée bien plus tôt par les responsables (présidents successifs) ?

Le Comité a-t-il dûment félicité ses responsables pour cette économie ainsi portée au passif des comptes de l'association ?

Questions transmises le 15 juin 2015

 

5 - Propositions de cotisations 2015/2016 : de quoi se désoler encore !

 

Augmentation de 1 € des cotisations au club

Sur l'augmentation de 1 € des cotisations à l'association (hors licence), rien ne le justifie. Notre association n'a aucune charge qui le nécessiterait en étant incontournable. Si la situation financière de notre association se dégradait trop (on évoque un fragile équilibre pour cette saison 2014/2015 alors que, jusqu'alors, on dégageait un excédent d'environ 20 000 €), il conviendrait de réduire nos dépenses (notamment les heures salariées) plutôt que de surenchérir la pratique du tennis, premier et unique objet de notre association.

On peut donc regretter une augmentation non justifiée. Une très regrettable habitude des élus de tout poils quand ils se retrouvent... de l'autre côté du miroir des contribuables. Je voterai donc contre cette augmentation injustifiée.

 

Augmentation des licences FFT

On peut, tout aussi vite, regretter de voir notre association ne pas se plaindre de cette hausse des licences fédérales scandaleuse en tous points.

Merci M. Gachassin pour avoir si bien su faire comprendre que pour développer la pratique du tennis, le meilleur moyen reste, pour des élus en lévitation, d'augmenter le montant des licences ! Un triste triste bilan en vérité !

 

Augmentations des cotisations aux cours collectifs enfants et adultes

Hors licence, c'est + 4.79 % d'augmentation sur la cotisation Ecole de Tennis enfants et c'est + 13.64 % sur la cotisation Mini-Tennis. Des taux d'augmentation importants, en rupture, là encore, avec les augmentations traditionnelles de ces cotisations.

Et c'est d'autant plus choquant de constater que le Comité... d'adultes se contentent de n'augmenter les cotisations aux cours collectifs... adultes que de... + 2.78 % ! Étonnant non !?

Les trois membres du Comité, qui sont aussi les trois membres du Bureau, Julien COCONI président, Thomas JACQUET trésorier, Karine BRETON secrétaire, qui sont aussi les trois élus qui ont proposé au Comité ces évolutions des cotisations des cours collectifs adultes (cf. point n°6 du CR d'avril 2015), et qui participent tous les trois à ces mêmes... cours collectifs adultes... ont-ils expliqué aux autres membres du Comité pourquoi il y avait une telle différence dans les augmentations qu'ils proposaient au Comité puis à l'Assemblée Générale ?

 

La cotisation aux cours collectifs adultes

Cette cotisation était de 180 € pour des groupes à 4. Elle est donc proposée à 185 €, 5 € de mieux, + 2.78 % donc pour la saison 2015/2016.

Ces 185 € permettront de financer 740 € (4 élèves). Une heure d'un moniteur salarié revient approximativement (on a toujours eu beaucoup de mal à le chiffrer précisément) à une quarantaine d'euros (on pourra l'arrondir ainsi avec l'achat des balles). Soit un financement par le club d'un montant de 1 200 € (40 € x 1 h x 30 semaines). Au final, un "manque à gagner" pour ces cours collectifs adultes, de 460 €.

Alors, bien évidemment, en constituant une partie des heures salariées par l'association, et en entrant donc dans une partie de la subvention du Conseil Général (aide calculée sur les salaires versés), on peut revendiquer le droit de consacrer une partie des subventions reçues au financement de ces cours collectifs adultes.

Mais on pourra tout d'abord remarquer que l'association décide de consacrer plus de subventions aux cours collectifs adultes : 6 enfants à 197 € = 1 182 € / "manque à gagner" = 18 €... contre les 460 € pour un cours collectifs adultes ! Une aide accordée à ces cours collectifs adultes qui est donc 25 fois plus importante que pour les cours collectifs enfants !? Un peu gênant tout de même.

Qui viendra prétendre qu'il est plus intéressant et moral pour une association que d'aider plus les cours adultes que les cours enfants ?

D'autant que l'arrêt de la subvention du Conseil Régional (- 9 000 €) réduit fortement le montant des subventions perçues et qui peuvent se voir légitimes dans ce type de dépenses.

Une réflexion qui n'a très certainement pas été explorée par les élu(e)s du Bureau, puis du Comité sollicité, maniant apparemment tout cela avec une louche des plus aléatoires, fantasque en vérité.

Je reste donc convaincu qu'il n'est pas du tout pertinent d'augmenter fortement les cotisations de l'Ecole de Tennis enfants (qui doivent rester à leur niveau) et que, par contre, il parait plus que nécessaire d'augmenter significativement la cotisation des cours collectifs adultes, largement sous-estimée.

Je rappelle ici que ces cours collectifs adultes pour lesquels j'avais fortement milité pour leur création, étaient mis en place par l'association pour répondre à la nécessité de proposer des séances aux néo-adhérents adultes pleinement débutants, sans aucun rudiment de tennis. Une nécessité pour accueillir convenablement ses adeptes néophytes de toute pratique tennistique.

Très vite, ce dispositif a connu une évolution d'une autre nature, en se transformant en une pratique de "perfectionnement", encadrée et régulière. Une pratique majoritaire depuis.

Je reste bien convaincu qu'il faudrait dissocier ces deux propositions de cours collectifs adultes : autant il me parait concevable que, pour la première voire une seconde année de pratique proposées aux adhérents néophytes, on valide une cotisation subventionnée pour une partie non négligeable, autant pour une pratique plus confirmée, on ne doit pas solliciter les fonds de l'association à ce niveau.

Je fais donc des propositions, ci-dessous, dans ce sens.

 

Cotisations supplémentaires pour les groupes enfants compétitions.

En formulant ce sous-titre, je regrette la disparition des groupes tremplin qui laissaient un espace à une pratique pas forcément compétitive pour des enfants simplement attirés par la pratique libre du tennis, qui peut être une pratique passionnée, et non orientée vers la compétition forcément. Une pratique qui n'est plus du tout prise en compte dans notre offre pédagogique.

La proposition 2015/2016 du Comité est de créer une cotisation de 30 € pour les 2e heure (les élèves qui bénéficient d'une heure prise en charge par le club en plus de leur heure de cours "normale"). Le Comité propose ensuite une cotisation à 20 € supplémentaires pour les 3e heure (2h prises en charge par le club en plus de l'heure "normale"), donc 50 € au total.

Sur la question de savoir s'il faut une cotisation spéciale pour les groupes compétition, sur une question où j'ai toujours été opposé à une cotisation supplémentaire, je trouve bien de l'incohérence dans la proposition du Comité.

Tout d'abord parce que je ne vois pas pourquoi on appliquerait, dans cette drôle de logique là, un tarif degressif à la troisième heure ? Si on paye 30 € pour une 2e heure, on devrait même, en toute logique, payer au moins autant, sinon un peu plus pour une troisième heure ? Nous ne sommes pas dans la logique du nombre d'enfants inscrits par famille pour contenir un total de cotisations trop élevé, mais bien dans celle d'une aide supplémentaire du club. On ne peut pas ainsi rajouter de l'aide à de l'aide !?

Ensuite, parce qu'on n'exige rien en supplément pour la 4e heure qui disparait des radars du Comité quand il s'agit d'inventer des cotisations supplémentaires !? Ainsi les enfants les plus aidés seraient... encore plus aidés ! Une logique très personnelle du Comité dans ses propositions. Il y a bien une nécessité, dans la logique de ces élus, à exiger également une cotisation supplémentaire, d'au moins un même montant, pour cette 4e heure et ces 7 bénéficiaires !

D'autant qu'avec l'usine à gaz mise en place par le Comité (ou quelques élus dans le secret des arbitrages ainsi rendus) pour ces heures attribuées aux 7 groupes des enfants aidés par le club, il faudrait, pour que le Comité soit enfin cohérent (mais le sera-t-il un jour ?), imaginer six cotisations supplémentaires différentes pour les six quotas horaires différents des groupes compétitions, de + 30 min. à + 4h15 !? Et la reprise par le Comité de l'ancienne formulation "2e heure" et "3e heure" dans ces propositions de cotisations 2015/2016, une formulation obsolète, témoigne bien de l'embarras du Comité à tirer les conséquences de ces six quotas horaires différents.

Bon courage alors pour échelonner correctement ces six tarifs pour ces cotisations supplémentaires, et tous mes voeux pour ne pas sombrer dans le ridicule.

Si l'association décide d'aider des enfants passionnés de tennis, qu'elle le fasse, sans se donner le faux-semblant de cotisations supplémentaires aussi ridicules et incohérentes. Ou alors, pour avancer de façon cohérente dans cette direction, qu'on exige un montant significatif. Chaque enfant qui est aidé par 1h supplémentaire, bénéficie de 300 € d'aides. Pour 3h15, c'est quasiment 1 000 € par enfant (ils sont sept). Aux élu(e)s du Comité d'être cohérents est exiger des cotisations supplémentaires qui soient significatives et proportionnées avec ces différents montants : 100 €, 200 €, 300 € ?

Pour ma part, je reste encore férocement convaincu que la vraie question reste bien d'établir une répartition plus large, plus équitable, plus morale des aides accordées par l'association en faisant en sorte de le faire sur le plus grand nombre d'élèves et pas qu'au profit d'à peine 20 % des enfants de l'Ecole de tennis ! Et alors, nous n'aurons pas à rentrer dans cette usine à gaz suspecte et dangereuse.

 

A qui doivent profiter les subventions accordées par les pouvoirs publics ?

Plus généralement, je pense que les pouvoirs publics, ces "bailleurs de fonds", s'ils mettent en place des modes de calcul des subventions publiques allouées aux associations sportives en prenant ainsi en compte, pour les uns, les heures salariées des moniteurs, pour les autres, les kms athlètes, ne font jamais que subventionner beaucoup plus largement la pratique du sport dans sa généralité.

C'est bien ce que définit comme objectifs le code du sport dans son article 1er (L100-1) lorsqu'il confie des missions aux fédérations sportives : "l'intégration, la vie sociale, la réduction des inégalités sociales, la promotion et le développement des activités physiques et sportives pour tous, l'intérêt général"

Avec cette analyse qui reste la première à mener, il me semble que l'on peut sans aucune contestation plus pertinente, militer pour qu'une partie non négligeable de ces subventions soit aussi consacrée à la pratique libre, une pratique simplement attentive à un épanouissement par le sport, sans autre cours collectifs encadrés et salariés par l'association, sans autre engagement dans la pratique de la compétition.

Et qui peut nous indiquer quelle est la partie des subventions reçues qui est ainsi consacrée à cette pratique, équivalante quasiment à la moitié de la pratique de nos adhérents ? Quelle somme, dans quelle action ? Bien en peine.

La seule certitude reste bien ces 18 000 € qui vont vers les quelques meilleurs jeunes (33). Et ces 12 heures de cours collectifs adultes aidés à hauteur de 460 € = 5 700 € (il y a un cours à trois inscrits sur le planning publié en mai 2015). Soit un total de presque 24 000 € pour 80 adhérents sur... 416 ! 24 000 € pour, encore une fois, à peine 20 % de nos adhérents !

Propositions que je ferai durant l'Assemblée Générale :

6 enfants versant leur cotisation à l'Ecole de Tennis financent leur heure de cours à hauteur de 1 182 € (6 x 197 € (cotisation Ecole 2015)).

Si l'on suit le même mode de calcul (qui reste celui utilisé pour pérenniser le modèle économique de notre Ecole de Tennis) on ferait le compte suivant : 1 182 € à diviser par 4 "élèves" adultes = 295 €.

Il me semble qu'avec la disparition de cette subvention de 9 000 €, il parait assez équitable que les adultes qui suivent des cours collectifs prennent également en charge un niveau plus en adéquation avec les autres cotisations à des cours collectifs proposées par notre association.

1 - Je proposerai donc à l'Assemblée Générale de porter la cotisation des cours collectifs adultes à un montant d'au moins 250 € et de réintroduire la possibilité de constituer des groupes à six élèves néophytes (en initiation première ou deuxième année) avec une cotisation proportionnée et légitimement plus subventionnée de 120 €, comme dans un passé plus attentif à des cotisations ayant un sens.

2 - Je proposerai de ne pas toucher aux cotisations des cours collectifs enfants. L'augmentation (scandaleuse quand l'on sait que les effectifs jeunes pour le tennis en France continue de baisser) de la licence FFT y suffit.

3 - Je proposerai de ne pas introduire de cotisations supplémentaires pour les groupes d'enfants aidés mais en imposant la nécessité d'élargir au maximum le nombre de ces enfants aidés, notamment en limitant à un maximum de 3h (2h prises en charge par le club) les groupes les plus aidés et en interdisant l'organisation de cours particulier pris en charge par l'association.

 

6 - NTC annulé... en cercle restreint !

Le compte-rendu de mars 2015 indique ceci : "N'ayant pas de juge-arbitre pour le NTC 2015, celui-ci n'aura pas lieu."

Alors que l'association s'égare à mon sens, dans une brocante, qui plus est à la pire des dates (il doit bien y en avoir une quarantaine à la ronde ce weekend là / 8 jours plus tard, c'est la brocante de Crépy !), voilà que le Comité s'avoue pleinement défaillant pour organiser un tournoi qui connaissait un succès certain (environ une centaine d'inscrits) sur une période ne gênant en rien les adhérents, permettant aux compétiteurs du club de solidifier leur saison en affrontant des joueurs de même classement (ce qui reste des occasions très limitées en tournoi traditionnel)... autant dire une épreuve importante dans une saison !

Bref, on aurait aimé que le Comité mette plutôt toutes ses forces dans l'organisation de cette épreuve plutôt que de se transformer en Comité des fêtes ou Comité d'entreprise organisant des manifestations sans aucun rapport avec l'objet de notre association !? D'autant qu'il semble que des frais soient engagés dans cette aventure (panneaux d'affichage, etc...) ?

Et si l'objectif d'une pareille start-up est de récolter des fonds pour aller financer on ne sait quel cours particulier ou quelle cinquième heure pour des groupes compétitions... on aurait assurément récolté beaucoup plus facilement une fort belle somme en se montrant plus réactif sur la redéfinition du contrat d'assurance et ces 1 800 € dilapidés depuis trois ans !?

Il n'y a donc aucun juge-arbitre du club, dont le club a pourtant financé la formation, qui accepte la responsabilité de ce tournoi avec cette indemnité pourtant la plus conséquente de toutes nos indemnités de juge-arbitre : 6 € par joueur + les frais de téléphone (cf. jurisprudence Legay) ?

A priori, le NTC peut être supervisé simplement par un JAT1 (2014). On a donc cette liste impressionnante de 10 juges-arbitres du club qualifiés pour organiser ce type d'épreuve : AUDOUIN Pascal (JAT1), CARRE Christophe (JAT1), CARREL Patrick (JAT2), COLAS Pascal (JAT1), FIGIEL Kévin (JAT1), FLEURY Gilbert (JAT2), LEGAY Sébastien (JAT1), LEMAIRE Maxime (JAT1), LJUBISAVLJEVIC Nicolas (JAT2), MASSIEUX Sylvain (JAT1).

Je connais de jeunes joueurs qui auraient été également volontaires pour être des adjoints zélés de ces juges-arbitres officiels.

Pour ma part, en tant que JAT1, je n'ai reçu aucune sollicitation, d'aucune sorte de la part du Comité. D'autres de nos juges-arbitres m'ont fait savoir qu'ils n'avaient pas été sollicités non plus.

Nous aurons cette saison, une soirée patinoire, une brocante, diverses fêtes... mais une épreuve sportive en moins. Curieuses priorités.

Questions aux élu(e)s du Comité ?

Avant de prendre une décision aussi regrettable sportivement, pourquoi les élu(e)s du Comité n'ont-ils même pas pris la peine de contacter chacun des juges-arbitres de l'association pour leur faire cette proposition de prendre en charge le NTC 2015 ?

Le Comité a-t-il fait la proposition à d'autres juges-arbitres d'autres clubs qui, pour une indemnité de ce type, ont déjà par le passé répondu favorablement à ce genre de sollicitation (M. Eric Delmas) comme je l'avais déjà indiqué au Comité ?

Questions transmises le 15 juin 2015

 

7 - Une convention municipale "modernisée"... au détriment de notre association !

Le 31 mai 2015, sont diffusés sur le site du club, plusieurs documents.

Il m'a donc fallu quelques jours avant de rentrer dans le détail de tous ces documents (5 en une publication) ! C'est pourquoi je ne découvre que ce 11 juin 2015 cette toute première modification au règlement intérieur proposée, par le Comité, à l'approbation de l'Assemblée Générale du vendredi 3 juillet 2015 :

Enrouge barré, la précédente formulation, en bleu, la nouvelle proposition

Article 1 - B/ L'entretien, la rénovation, l'amélioration des installations de tennis sont sous la responsabilité de la ville de Crépy en Valois. Une convention, signée avec la municipalité de Crépy en Valois pour une durée de vingt années, Une convention, signée et renouvelée avec la municipalité de crépy en Valois chaque année par tacite reconduction définit plus amplement droits et devoirs de chacun.

On se demande bien ce qui peut passer parfois dans la tête des élu(e)s du Comité ?

Si ces gens sont capables de proposer une modification au règlement intérieur qui pourra ne pas être, éventuellement, validée le 3 juillet 2015 par l'Assemblée Générale, comment ces mêmes élu(e)s peuvent-ils "donner pouvoir" au président de l'association, dès le 13 mars 2015 pour modifier ainsi, de facto, le règlement intérieur de l'association avec la signature d'une nouvelle convention "effective dès le 1er juin 2015" et qui est en fait signée avant le 17 avril 2015 ?

Une nouvelle convention qui modifie cette "durée de vingt années" pourtant précisée dans le règlement intérieur ?

Une telle proposition de modification du règlement intérieur est forcément soumise à l'approbation de l'Assemblée Générale comme le précise très clairement l'article 30 des statuts de notre association. Cette délibération peut donc donner lieu à un rejet de cette proposition de modification le 3 juillet 2015. Le Comité a donc très clairement outrepassé ses droits en subordonnant la décision de l'Assemblée Générale.

Cette convention signée par le président qui ne sait décidément pas comprendre que les textes de notre association sont incontournables, n'a donc aucune légalité. Elle est à dénoncer. Dès ce jour, je vais en informer le maire de la commune.

Quant à la publication des documents dans notre association, on sait les habitudes de nos élu(e)s : au 11 juin, on reste ainsi bien en peine de trouver ce texte promis pour le 1er juin 2015.

Et quand c'est "not", c'est "not". On reste donc encore pleinement dans l'ignorance des "modernités" apportées à ce nouveau document. On a quelques raisons de trembler.

Alors pourquoi reprocher tout cela aux élu(e)s du Comité en revendiquant la nécessité d'obtenir une approbation de l'Assemblée Générale avant tout autre démarche du président, et ce conformément à nos statuts ?

Certainement pas par plaisir de contrarier des élu(e)s pourtant tellement approximatifs. Et non.

Mais en remplaçant cette garantie de "20 années" (jusqu'en 2029) donnée à l'association pour l'utilisation "exclusive" des installations de tennis municipales, cette nouvelle convention mettrait désormais notre association dans le danger de se voir retirer cette prérogative, à chaque date anniversaire, chaque année, avec cette nouvelle convention "modernisée" !

Depuis toujours, nous n'avons qu'à nous féliciter des relations que nous avons avec les conseils municipaux successifs. Aujourd'hui encore. Mais qui sait ce que nous réserve l'avenir ? Certainement pas le président qui signe ainsi, de manière illégale, un renoncement pour notre association dont les intérêts fondamentaux semblent grandement lui échapper.

Peut-être ne se souvient-il pas que nos adhérents ont participé volontairement pour plus de 220 000 € dans le financement des installations municipales de tennis (court n°6 (132 000 €), participation court n°5 (85 000 €), différents travaux financés à hauteur de 50%) ? Une excellente raison pour regretter que le président de l'association ne se soit pas montrer plus digne de son mandat en étant pleinement inattentif à la défense d'un héritage ainsi mis en danger !

Question aux élu(e)s du Comité.

De quel droit les élu(e)s du Comité de Direction se sentent-ils investis en subordonnant ainsi la décision de l'Assemblée Générale et en "donnant pouvoir" au président pour la signature d'un document modifiant les précisions données par le règlement intérieur ?

Pourquoi aucun des élu(e)s du Comité de Direction n'a très visiblement pensé qu'il fallait un examen plus approfondi d'une modification de ce texte et ses éventuelles implications contraires aux intérêts de l'association ?

Questions transmises le 15 juin 2015

 

8 - Les autres modifications du règlement intérieur : trop souvent peu pertinentes !

Modification article 4

Article 4 - Inscriptions

C/ Dans tous les cas, l'adhésion ne devient définitive qu'à compter de l'encaissement total du ou des règlements l ’adhésion ne devient définitive qu’à compter de la remise des règlements au trésorier.

Une modification qui n'est pas souhaitable. Elle ne prend pas en compte les chèques en bois qui peuvent être "remis au trésorier" mais qui ne font pas que "l'adhésion devient définitive". La précédente formulation couvre, par contre, cette infortune pour l'association en précisant que c'est "l'encaissement total" qui garantit à l'association de n'avoir que des adhérents ayant effectivement versé les sommes dues, pleinement en droit de refuser l'accès aux installations municipales de tennis pour le versement de chèques en bois. Avec cette modification, nous ne pourrions plus avoir ce recours.

Si l'on voulait vraiment éviter toute déconvenue pour l'association, il faudrait ne plus accepter les versements par trimestre. Mais je pense que personne ne souhaite modifier cela. Quoi qu'il en soit, même si aucune des formulations ne nous assure complètement, cette modification proposée reste bien moins satisfaisante que celle en place.

Modification article 4

Article 4 - Inscriptions

D/ En aucun cas une adhésion ne pourra être remboursée, toute ou partie, pour quelque raison que ce soit (arrêt maladie, blessure, départ). Toute demande de remboursement pour arret maladie, blessure ou départ du club sera soumise par écrit au Comité et etudiée au cas par cas par ce dernier.

Le Comité n'a pas toujours respecté cet article. Et on peut le regretter.

Les demandes qui sont transmises au Comité sont toujours sincères, touchantes en étant parfois le témoignage de difficultés profondes, voire intimes.

Mais il demeure qu'avec cette formulation stricte, l'association se préserve d'autres déconvenues. Et c'est très gênant pour des élu(e)s d'un Comité de ne pas pouvoir ainsi s'appuyer sur une formulation très ferme et voir ses décisions sujettes ensuite à des suspicions légitimes : pourquoi prendre en compte telle ou telle détresse pour ne répondre, pour d'autres, que par la négative ?

D'autant qu'avec les élu(e)s du Comité que nous connaissons, une étude "au cas par cas" donne des frissons !

Je me souviens de ce cas cité dans un compte-rendu de réunion du Comité de décembre 2013 disponible sur le site du club, un Comité qui n'avait jusque là jamais émis de décision favorable sur de telles demandes, en se bornant à ne valider que quelques très rares cas de remboursements partiels de cotisations aux cours collectifs au motif d'un certificat médical précisant une invalidité de longue durée.

On voit là toute la subjectivité qui pourrait mettre en porte-à-faux les élu(e)s du Comité pour accepter ce type de demande très, trop limite, et ensuite en refuser d'autres plus légitimes encore (certificat médical). Et j'en suis l'illustration trop regrettable en ayant cédé sur ce cas, simplement pour tenter de reconstruire une relation sereine avec un adhérent qui avait été sanctionné par deux fois et qui me voue depuis une rancoeur certaine. C'est dire le flot de justifications qu'un Comité ainsi mal armé pourrait être amené à prendre en considération, dans une subjectivité des plus malvenues.

A l'inverse de cette proposition de modification, je reste persuadé, pour assurer les équilibres financiers essentiels à la survie de notre association et donner aux élu(e)s du Comité tous les outils d'une objectivité et d'une impartialité assurées, qu'il faut rester très limitatif dans la définition de cet article.

Ainsi, il me semble qu'il serait très sage de limiter drastiquement ce type de remboursements aux seuls cas médicaux incluant une longue impossibilité de pratiquer le tennis (c'est bien ce que nous prenions uniquement en considération par le passé) ainsi qu'une demande intervenant dans le premier mois d'adhésion (on peut encore trouver des remplaçants sur les listes d'attente).

Mais il me parait extrêmement dangereux pour l'association d'aller plus loin dans cet article.

Modification article 5

Article 5 - Accès aux courts

E/ La réservation n'est pas une nécessité, sauf pour le court en terre battue (court n°1).

Ce paragraphe est présent dans le règlement intérieur parce qu'il est important que l'association soit en mesure de tracer les utilisateurs de ce court.

Si l'entretien de ce court n'est pas convenablement réalisé, cela engendre :

- au minimum, des mécontentements avec le cas des adhérents qui arrivent sur un court que les précédents adhérents n'auront pas correctement entretenu (passage du filet, lignes balayées, court arrosé).

- au pire, des dégradations avec des trous dans la surface de jeu, un défaut d'arrosage entraînant un mélange des couches (terre rouge et calcaire), voire du matériel volé (balais), système d'arrosage...

En imposant la réservation pour ce court, l'association se garantit la possibilité de retrouver trace du passage des adhérents, fautifs dans l'entretien de ce court fragile, ou témoins de ces manquements. Une réservation obligatoire nous faisant également bénéficier d'un effet dissuasif pour de tels manquements.

A l'évidence, un paragraphe qui doit rester dans ce règlement.

 

Modification article 11

Article 11 - Entrainements et leçons de tennis

B/ Les activités libérales des moniteurs devront avoir lieu en dehors des heures d'affluence (avant 17h 18 h en semaine et hors week-end).

Est-ce la stratégie du grignotage qui est ainsi pratiquée par les élu(e)s du Comité ?

La limite de 17h a été fixée en rapport avec le début possible des cours collectifs qui font que les adhérents n'ont plus accès qu'à deux courts couverts sur les trois sur ces fameuses heures rouges, chaudes, d'affluence.

Il semble donc pertinent de laisser 17h comme limite puisque des cours collectifs commencent même à 16h15 les mardis et jeudis, et 17h30 les vendredis, cette saison 2014/2015.

Un cours particulier ne permet qu'à un adhérent de jouer. En limitant ces possibilités de cours particuliers sur les heures rouges, l'association s'assure de préserver l'accès des courts couverts au plus grand nombre possible de ses adhérents. C'est bien un objectif qui reste un devoir de l'association vis à vis de ses adhérents, dans leur tout, notamment en période hivernale.

Nous allons avoir 4 moniteurs l'an prochain (bravo Kévin pour ton succès !). Il parait plus qu'important de cadrer les activités libérales. A trop les autoriser, nous prenons le risque d'une saturation des installations... de nos adhérents !

D'autant que les réservations pour ces cours particuliers, cette saison, se font en dépit du règlement intérieur en n'utilisant pas le nom de l'adhérent qui peut ainsi passer une seconde réservation par avance. Ce qui reste formellement contraire au règlement intérieur, par deux fois : article 5, paragraphe A et B !

 

Modification article 12

Article 12 - Ecole de Tennis

Tous les mercredis des périodes scolaires, tous les courts couverts sont réservés à l'Ecole de Tennis selon des horaires fixés annuellement par le Comité de Direction. Certains courts découverts sont utilisés par le club junior le mercredi. Dans la semaine, d’autres courts peuvent être occupés par les
activités mises en place par le Comité de Direction. Un effort est fait pour que ces activités n’occupent que très exceptionnellement plus d’un court couvert à la fois n’occupent pas plus d’un court à la fois.

Un toilettage nécessaire puisque cette ancienne formulation vient en contradiction avec l'article 5, paragraphe G de la version 2013 du règlement intérieur de notre association (voir ci-dessous).

Une formulation qui doit cependant rejoindre la formulation en place pour le paragraphe G de l'article 5 pour une nécessaire cohérence :

Un effort est fait pour que Ces activités n’occupent que très exceptionnellement plus d’un court couvert à la fois n’occupent pas plus d’un court à la fois, sauf le mercredi (trois courts couverts) et le samedi matin (deux courts couverts)

 

Article 5 transmis par le Comité aux adhérents mais qui n'est pas la bonne version (2013)

La version du règlement intérieur proposée aux adhérents sur le site pour ces propositions de modification du Comité n'est pas la bonne version du règlement intérieur. Un peu embêtant. J'ai pourtant maintes fois signalé ce bug !

En effet, cette ancienne version n'inclut pas la décision de l'Assemblée Générale du 22 juin 2013 qui modifie cet article 5 de la façon suivante :

Article 5 - Accès aux courts

- G - Sauf pour une rencontre de championnats par équipes ou les matchs de tournois par tableaux, il n’est pas possible de procéder à la réservation de plus d’un court couvert à la fois pour des activités club ou nécessitant la réservation par le biais du club sauf le mercredi et le samedi matin.

- le paragraphe G devient le paragraphe H

Modification article 8 (une proposition de ma part)

Article 8 - Tenue dans l'enceinte du club

C/ Une éthique sportive est indispensable au sein du club et les adhérents se doivent de respecter les règles de bienséance, de respect des personnes et de bonne conduite sur les courts et dans l’enceinte des installations mises à disposition de l’association.

Je proposerai en Assemblée Générale de déplacer le paragraphe C de cet article pour le mettre dans l'article 1, comme paragraphe F.

L'objectif clairement affiché pour une telle proposition de modification étant bien de placer les impérieuses nécessités listées dans ce paragraphe à un endroit où elles auraient plus de chance d'être vues, lues et comprises par des élu(e)s du Comité de Direction si souvent à la faute, individuellement et collectivement, sur ces points essentiels. Une place dans l'article 1 pour une haute portée symbolique.

 

9 - Election du Comité de Direction : grand zapping décrété par le président !

Arnaud CHEVREAU a démissionné du Comité de Direction. On l'apprend dans le compte-rendu de mars 2015 publié mi-mai 2015. Jean-Baptiste PIAZZA a également démissionné depuis.

Dans le courriel envoyé par les élu(e)s du Comité à tous les adhérents, le 29 mai, un courriel les informant de certaines modalités de la prochaine Assemblée Générale, il n'y a aucune information quant à la possibilité de se présenter à l'élection du Comité de Direction, une élection qui devrait pourtant être organisée pour l'Assemblée Générale du vendredi 3 juillet 2015.

J'ai donc, dès le 30 mai, fait part de ce problème au président de l'association, l'invitant à réparer au plus vite cet oubli.

Pas de réponse.

Le 10 juin, j'ai transmis ma candidature sous la forme d'un courrier adressé au président de l'association, conformément aux statuts (au moins dix jours avant la date de l'élection). Je l'ai à nouveau alerté sur un enième et grave dysfonctionnement qui serait à porter à son passif, lui soulignant qu'il ne restait plus que 12 jours pour procéder à l'information des adhérents avant de clore l'enregistrement de ces candidatures.

J'ai aussitôt reçu une réponse du président de l'association : "Sauf si les statuts ne sont plus valables, je m'efforce de les lire et de les relire et je ne vois rien qui nous oblige à procéder au remplacement des postes des membres du COMITE (le mot est important) vacants. Le président cite ensuite l'article des statuts qui traite de cette situation (article 14, 4e paragraphe) : "En cas de vacance d’un des membres du bureau, le Comité pourvoira au remplacement du membre, par bulletin secret à la majorité absolue. Il est procédé à son remplacement définitif, par la prochaine Assemblée Générale pour la durée du mandat restant à courir."

Le président poursuit ensuite : "Le comité doit donc (être) composé de 5 à 12 membres : 10 actuellement. Le Bureau est au complet. Aucune obligation à ouvrir des élections dans le cas de renouvellement de membres du COMITE donc votre candidature n'est pas retenue. Bonne soirée."

Nous en sommes là. Ma candidature n'est pas retenue. L'affaire est close, oserais-je rajouter, pour résumer la pensée toujours opportuniste du président. Bonne soirée pour lui car je ne peux pas être simplement candidat.

 

A - Remplacement des membres du Comité : que disent les textes de l'association ?

A.1 - Dans nos statuts, au Titre IV - Administration, on trouve l'article 14 - Election du Comité de Direction. Ce qui est indiqué dans cet article concerne donc bien le fonctionnement du Comité. L'article suivant (15) traite clairement de l'élection du Bureau. Deux articles différents donc pour ne pas mélanger ces deux procédures distinctes.

Une première précision que le président ignore volontairement. Cela ne rentre pas dans la logique de ce président qui semble vouloir ainsi régner sans contestation au sein du Comité.

A.2 - L'article 14 concernant le Comité indique donc ceci : "En cas de vacance d’un des membres du bureau, le Comité pourvoira au remplacement du membre, par bulletin secret à la majorité absolue".

On pourrait donc comprendre que ce n'est que le remplacement d'un membre du "bureau" (président, trésorier, secrétaire) qui est prévu et non le remplacement d'un membre du Comité. C'est ce qu'indique le président. Mais il ne peut en être ainsi puisque dans la phrase qui suit, toujours dans cet article 14, on trouve ceci : Il est procédé à son remplacement définitif, par la prochaine Assemblée Générale pour la durée du mandat restant à courir". C'est donc, semble-t-il, des membres du Comité dont traite cet article, l'Assemblée Générale ne désignant pas les membres du Bureau (article 15, une prérogative du Comité). Une erreur de vocabulaire que j'avais déjà signalée et qui reste à corriger dans nos statuts, comme une incohérence, en remplaçant "bureau" par "comité". Sinon, cette seconde phrase n'a aucun sens, aucune utilité jamais !?

Une seconde précision que le président ignore également superbement. Cela ne rentre toujours pas dans la logique de ce président et sa lecture toute particulière de nos textes. Si le président veut être pleinement pertinent, il doit avoir la nécessité de l'être pour l'ensemble de cet article et pas que pour la partie qui lui convient et qui, à l'évidence de tous, sauf la sienne, comporte bien une erreur de vocabulaire.

B - Remplacement des membres du Comité de Direction : que disent les précédentes Assemblées Générales ?

Cette nécessaire correction est la seule interprétation conforme à l'esprit de nos statuts et reste confirmée par deux décisions successives des deux dernières Assemblées Générales théoriquement "non-électives" (2012 et 2013).

B.1 - On trouve ainsi dans le procès-verbal de l'Assemblée Générale du 30 septembre 2012, la transcription suivante de nos statuts (page 11, point n°7) :

"7 - Renouvellement des membres du Comité de Direction :
Le Comité de Direction est composé de 5 à 12 membres maximum. Les 9 membres élus lors de l'Assemblée Générale du 10 octobre 2010, et encore en responsabilités, le sont pour 4 ans à partir de cette date. Il y a possibilité de porter ce nombre d'élus à 12.
Les candidatures qui ont été adressées au Président de l'association, au moins dix jours avant la date de l'assemblée Générale, soit le 15 septembre 2012 (cf. article 14 des statuts de l'association) sont les suivantes : Ryad ZEMOURI (6 sept.), Eric NICOLAS (12 sept.), Frédérique CAVALLI (12 sept.), Carine BRETON (15 sept.), Céline CASSA (15 sept.)."

Une troisième confirmation qui devrait faire comprendre au président que son obstination à refuser d'organiser cette élection est pleinement contraire au fonctionnement normal de notre association. Mais la logique de ce monsieur n'a visiblement pas pour but de servir l'association.

B.2 - On trouve ensuite dans le procès verbal de l'Assemblée Générale du 22 juin 2013, encore la même transcription, la même interprétation de nos statuts (page 14, point 7), avec des démissions en cours d'année de certains des 12 membres élus en 2012 :

"7 - Renouvellement des membres du Comité de Direction : Le Comité de Direction est composé de 5 à 12 membres maximum. Les 9 membres élus lors de l'Assemblée Générale du 10 octobre 2010, et encore en responsabilités, le sont pour 4 ans à partir de cette date. Il y a possibilité de porter ce nombre d'élus à 12. Les candidatures qui ont été adressées au Président de l'association, au moins dix jours avant la date de l'assemblée Générale, soit le 15 septembre 2012* (cf. article 14 des statuts de l'association) sont les suivantes : Sébastien LEGAY, Éric NICOLAS. "

Une quatrième confirmation pour un président pleinement dans l'erreur, l'abus de pouvoir, sans aucune pertinence dans ses analyses, autre qu'une profonde motivation pour évincer des candidats qu'il refuse de voir ainsi sièger au Comité de Direction.

* On notera au passage que le président et le secrétaire de l'époque ont fait une petite bourde en ne réactualisant pas ce paragraphe avec cette date du 15 septembre 2012 au lieu du 12 juin 2013.

C - Remplacement des membres du Comité : qu'impose la jurisprudence établie et confirmée par les adhérents durant les deux dernières Assemblées Générales ?

C.1 - Lorsqu'en septembre 2012, l'Assemblée Générale procède à l'élection de trois nouveaux membres du Comité de Direction, Mesdames CASSA C., CAVALLI F. et BRETON C., l'association a-t-elle un bureau incomplet ? Non !

Sont en place le président CARREL, le trésorier COCONI et le secrétaire CARRÉ. Avant le 30 septembre 2012, comme après. C'est bien le Comité qui est incomplet et c'est bien la référence à l'article 14 qui est invoquée pour légitimer l'élection de membres venant compléter l'effectif du Comité de Direction !

Une cinquième confirmation pour un président qui s'avère donc être un président aveugle à autant d'indications pouvant l'aider à mettre en sourdine un ressentiment qui l'égare.

C.2 - Lorsqu'en juin 2013, l'Assemblée Générale procède à l'élection de deux nouveaux membres du Comité de Direction, Messieurs LEGAY S. et NICOLAS E., l'association a-t-elle un bureau incomplet ? Non !

Sont en place le président CARREL, le trésorier COCONI et... pour quelques jours encore avant qu'on sorte la guillotine d'une révocation arbitraire et indigne, le secrétaire CARRÉ. Avant le 22 juin 2013, comme après. C'est bien le Comité qui est incomplet et c'est bien la référence à l'article 14 qui est invoquée pour légitimer l'élection de membres venant compléter l'effectif du Comité de Direction !

Une sixième confirmation pour un président décidément affligeant, qui est donc prêt à tous les renoncements pour garder un territoire qu'il estime visiblement être réservé à des candidats qui se présenteraient à ses conditions et non celles dictées par le textes de l'association et ses multiples jurisprudences.

Remplacement des membres du Comité : les conclusions qui s'imposent !

L'association a toujours procédé, lors de ses Assemblées Générales, à des élections permettant à qui le souhaitait parmi les adhérents de venir rejoindre un Comité incomplet.

Il est très clair que l'Assemblée Générale du vendredi 3 juillet 2015 aurait du prévoir la possibilité de voir élire deux nouveaux membres du Comité. J'ai tout fait pour convaincre le président en place. Mais la décision du président de ce 10 juin, qui n'a été contredite par aucun des élu(e)s du Comité depuis, rend cela impossible.

C'est indigne ! C'est une faute !

Je considère que ma candidature reste pleinement valide et à prendre en compte par l'Assemblée Générale qui restera souveraine sur cette question. Il y a donc un grand risque à ce que je sois le seul candidat validé.

Une situation pour laquelle on a tout de même du mal à suivre le président dans les méandres de son hostilité à mon égard et une obstination hallucinante.

D'autant que les ami(e)s du président ont prouvé leur capacité à mobiliser durant ces Assemblées Générales. Et avec mes pauvres 37 voix de l'an passé, je ne devrais effrayer personne ! Avec un pareil total, j'ai toutes les chances de ne pas obtenir la majorité absolue encore cette année !

Quel risque y avait-il à organiser ces élections normalement, avec d'autres candidats, pour qui c'était aussi l'occasion, notamment pour les candidat(e)s évincé(e)s de l'an passé, d'obtenir une place dans ce Comité ?

Vraiment, je ne comprends pas qu'un président, des élu(e)s qui semblent le soutenir dans ces basses manoeuvres, n'hésitent pas à se mettre une nouvelle fois gravement en infraction avec nos textes, pour le service d'intentions aussi moches. Tellement moches !

Questions aux élu(e)s du Comité :

Pourquoi aucun élu(e) du Comité ne réagit devant de telles incohérences, une telle incompétence de la part de leur président ?

Pourquoi la possibilité d'être candidat pour intégrer le Comité incomplet n'a-t-elle pas fait l'objet d'une information auprès des adhérents, conformément à nos textes et nos jurisprudences ?

Pourquoi les élu(e)s du Comité restent-ils toujours aussi complaisants, passifs, alors que quantité de décisions ne sont pas conformes aux textes de notre association ?

Questions transmises le 15 juin 2015

Quelque chose me laisse penser que la position du président va changer sur ce point et qu'il va consentir... à se renier. Quelque chose dans cet article...

 

10 - Lire un texte... en prenant de la marge !

Le 29 mai 2015, le Comité diffuse ce courriel : "Nous vous remercions de faire parvenir vos questions diverses par mail à Julien Coconi ( julien.coconi@orange.fr ) ou bien par courrier à Thomas Jacquet au 65, rue Henri Laroche, Résidence le Clos des Archers à Crépy-en-Valois avant le 12 Juin 2015."

On y trouve trois indications non conformes aux statuts de l'association, en une phrase. Un record !

1 - L'Assemblée Générale étant fixée au vendredi 3 juillet, c'est donc jusqu'au jeudi 18 juin que les adhérents ont comme délai pour faire parvenir leurs "propositions" pour qu'elles figurent sur l'ordre du jour de cette Assemblée Générale. Et non le "12 juin" comme souhaite l'imposer ce courriel du Comité !? (cf. article 24 des statuts).

2 - Par ailleurs, on peut réaffirmer que nos statuts n'imposent pas de délai pour que soit posée, y compris durant l'Assemblée Générale, une "question d'intérêt général". L'article 24 laisse ainsi une pleine possibilité de poser une "question d'intérêt général", qui donne alors lieu à un débat où les adhérents présents "délibèrent", des délibérations qui se concrétiseront sous la forme d'une décision votée par l'Assemblée Générale, comme l'impose très clairement la dernière ligne de cet article 24.

Nos statuts n'évoquent jamais cette formulation de "questions diverses". Ce sont donc bien toutes ces "questions d'intérêt général" qui constituent la seule diversité à évoquer. Si, dans les procès-verbaux de nos Assemblées Générales, on utilise cette formulation de "questions diverses", c'est bien purement par forme et non la traduction d'une obligation qu'imposeraient nos statuts. Et pour ces "questions d'intérêt général" clairement mentionnées par nos statuts, nulle légalité à se voir imposer un délai, conformément à ces mêmes statuts.

Si je transmets mes "questions d'intérêt général" au Bureau dans le délai évoqué par nos statuts, c'est bien parce qu'elles débouchent toutes sur des "propositions" portées à la délibération de l'Assemblée Générale.

Et c'est sans doute aussi par politesse, par franchise avec les élu(e)s du Comité et les individus que je mets en cause qui peuvent ainsi vérifier mes affirmations, consulter les documents en référence, préparer leurs arguments. Des principes que je reste seul à m'imposer puisque le président refuse de donner quantité de précisions que je souhaite obtenir. Cet élu espére sans doute ainsi jouer de surprises de dernière minute en Assemblée Générale et leurs effets kiss-cool : c'est frais et ça gêle le cerveau le temps de passer à autre chose.

Toutes les interprétations de nos statuts sur ce vocabulaire, ces formulations, ne sont que pur opportuniste et basses manoeuvres pour éviter de répondre aux questions... gênantes. Encore et toujours.

Dans la mesure où nos statuts se positionnent on ne peut plus clairement sur ces "questions d'intérêt général", nos statuts restent bien les seuls textes légitimes, sans autre recours possible au code civil et à ses articles sur... la gestion des co-propriétés et leurs mandataires (cf. recours à la procédure de révocation mise en oeuvre par P. CARREL en juillet 2013 avec ce type de texte à l'appui !).

3 - Enfin, on s'étonne de voir le Comité autoriser la transmission par courriel pour des "propositions". Nos statuts indiquent nettement que cela doit se faire par "courrier".

Cette libéralité ne me gêne pas. Elle reste très pratique. Mais, et c'est un risque, on est assez en droit d'imaginer de se voir refuser l'examen de "propositions" ainsi transmises en se voyant opposer les statuts officiels et une erreur involontaire dans ce courriel mal formulé. Quand on voit le mal partout... c'est que l'expérience est passée par là.

J'ai donc bien transmis le 11 juin, un "courrier adressé au Président", conformément aux statuts, mais à l'adresse du trésorier puisque l'adresse du président n'est pas communiquée, ni dans ce courriel, ni sur le site du club, ni sur aucun document. Une curiosité encore.

Question aux élu(e)s du Comité :

Pourquoi les dispositions définies par les statuts de notre association sont-elles non appliquées dans ce courriel envoyé par le Comité à l'ensemble des adhérents, courriel comportant plusieurs déinsformations de nature à réduire les droits des adhérents en Assemblée Générale ?

Question transmise le 15 juin 2015

 

11 - Pièces comptables

Il est intéressant de mettre à disposition les pièces comptables de l'association. Les adhérents qui le souhaitent peuvent ainsi en prendre connaissance. Si un commissaire aux comptes attestent de la sincérité et l'exactitude des comptes, cet examen n'inclut pas d'autres questions sur la moralité des dépenses engagées, voire leur légitimité quant aux procédures de l'association concernant la prise de décision, voire tout simplement des détails dans l'application des décisions du Comité, voire de l'Assemblée Générale.

Il revient donc bien aux adhérents qui le souhaitent de s'assurer de tout cela. C'est même sans doute une nécessité pour être ensuite en mesure de donner quitus au trésorier de l'association.

Questions aux élu(e)s du Comité

Quand et où pourra-t-on, préalablement à la tenue de l'Assemblée Générale, consulter les pièces comptables de l'association, les seules à même de permettre un examen précis de nos comptes et les questions légitimes en découlant éventuellement ?

Question transmise le 9 juin 2015

Réponse du président, le 9 juin :

"Les pièces comptables sont à ce jour en traitement chez notre expert comptable : elles devraient être diponibles entre le 15 et le 20 Juin (date à confirmer). Elles seront consultables au Club House en présence de Thomas Jacquet."

 

12 - Vérificateurs aux comptes

Dans les procès-verbaux de nos 5 dernières Assemblées Générales, on lit :

10 octobre 2010 (page 9 et les deux attestations, page 18 et 19) : "Compte de résultat et situation de trésorerie 2009-2010 (Annexe 6, p.17) Jean Pierre CADARIO (Trésorier) Lecture est donnée du quitus donné par Laurent NUNS, vérificateur aux comptes (Annexe 7, p.18). Quitus également établi par Christian VETTIER, second vérificateur aux comptes (Annexe 8, p.19)."

22 novembre 2011 (page 7 et les deux attestations, pages 10 et 11) : "Le rapport du vérificateur aux comptes est présenté et lu à l'Assemblée Générale. (document page suivante) - Laurent NUNS - Christian VETTIER"

30 septembre 2012 (page 9) : "L. Nuns assure l’Assemblée Générale de la bonne tenue et de la sincérité des comptes arrêtés par le trésorier de l’association, conformément au compte-rendu de travaux joint aux comptes annuels de l’association."

22 juin 2013 (page 13) : "Le Commissaire aux comptes atteste de la sincérité et de l’exactitude dans la tenue des comptes. (pas de rapport communiqué). "

20 juin 2014 (page 6) : "Le Cabinet d'Expertise Comptable", représenté par M. Laurent NUNS, atteste de la sincérité de la tenue de leur compte et de leur exactitude".

Comme on peut le constater, d'année en année, cette procédure s'étiole, passant de deux à un vérificateurs aux compte, les attestations ne sont même plus publiées dans le procès-verbal, parfois même il ne nous est pas communiqué.

Dans le procès-verbal de juin 2014, on peut peut-être deviner que j'ai protesté contre le fait que le désormais unique vérificateur aux comptes de notre association soit la même personne qui, par une décision de notre Comité de Direction du 3 février 2012, est aussi le représentant du cabinet d'expertise comptable qui gère nos écritures comptables et la gestion des salaires de l'association.

Comme on le voit, un ex-président a indiqué l'an passé que c'était une préconisation de l'USC que de s'assurer les compétences d'un cabinet d'expertise comptable pour cette vérification des comptes.

J'ai indiqué que cela ne réglait en rien le problème que j'évoquais puisque nous avons, en amont, un représentant d'un cabinet d'expertise comptable que les élus ont engagé, par contrat, pour établir les documents relatifs aux salaires de l'association, et que c'est la même personne qui, en aval, se voit chargée d'assurer l'association que nos écritures comptables sont sincères et exactes !?

J'avais indiqué l'an passé qu'il y avait, à mon sens, une grande nécessité à ce que ce soit un autre cabinet d'expertise comptable (ou un ou deux vérificateurs bénévoles, comme par le passé) qui soit chargé de ce travail de vérification des comptes afin d'assurer l'association que notre prestataire de service ne soit pas aussi le contrôleur en titre de notre association !?

D'autant que la personne qui a ce double rôle de façon non souhaitable à mon sens est aussi... un adhérent qui a pris une position très publique dans le soutien apporté au président en place largement mis en question par moi. Un soutien sous la forme d'une indication des plus mensongères, ce monsieur soutenant qu'un secrétaire dans une association n'est qu'un "exécutant" du président et de ses décisions !?

Et je passe aussi rapidement sur cette autre expertise non conforme au fonctionnement de notre association, qui a consisté à affirmer que notre association ne pouvait pas débattre et prendre des décisions sur les "questions diverses" (ce terme ne figurant pas dans nos statuts), pour les confondre de façon très opportuniste avec toutes ces "questions d'intérêt général" et leur grand zapping décrêté par ce président en difficulté en Assemblée Générale du 22 juin 2013 (page 17).

Je redis donc ma plus grande défiance quant à un mélange de ces divers statuts :

1 - Adhérent.

2 - Soutien public et très évident d'un élu contre un autre élu de l'association.

3 - Représentant d'une société en contrat avec notre association.

4 - Vérificateur aux comptes.

Il y a une grande nécessité à faire en sorte que de tels mélanges des genres ne soient pas envisageables et impossibles dans notre association.

Pour étayer ma proposition, on trouve sur quelques sites, les précisions suivantes. Sont en rouge, les remarques qui semblent soutenir les réserves que j'émets sur la situation de notre association depuis trois ans :

Le vérificateur aux comptes

Que l'association soit soumise ou non à la vérification des ses comptes par un commissaire aux comptes, elle se doit de mettre en place une commission de contrôle composée de vérificateurs aux comptes, élus par l'assemblée générale de l'association. Cette modalité est généralement prévue par le règlement intérieur de l'association. Le vérificateur aux comptes d'une association est une personne bénévole, désignée librement par l'assemblée générale de l'association. [...]

Engagement

Le vérificateur doit accepter son mandat et s'engage alors à assurer sa responsabilité morale vis-à-vis de l'association. Il est tenu à la plus grande discrétion, y compris envers les membres de l'assemblée générale. [...]

Mission

La mission du vérificateur aux comptes consiste dans la vérification de l'enregistrement des opérations dans les comptes, de la régularité et de la sincérité du compte d'exploitation et du bilan ; de la tenue effective des registres obligatoires des procès-verbaux des conseils d'administrations et des assemblées générales ; de la sincérité des informations portées sur les rapports du conseil d'administration.

En aucun cas le vérificateur ne doit s'immiscer dans la gestion de l'association.

La régularité et la sincérité des comptes sont donc les bases essentielles de cette mission, que le vérificateur certifiera dans son rapport.

Des observations et réserves peuvent naturellement être formulées

http://isere.franceolympique.com/isere/fichiers/File/le_controle_des_comptes_en_cours.pdf

http://expert-comptable-associations.fr/controle-comptes-dune-association/

Exemple de paragraphe qui pourrait être rajouté dans le règlement intérieur :

Les comptes tenus par le trésorier sont vérifiés annuellement par […] vérificateur(s) aux comptes.
Ceux-ci sont élus pour un an par l'assemblée générale. Ils sont rééligibles.
Ils doivent présenter à l'assemblée générale ordinaire appelée à statuer sur les comptes, un rapport écrit sur leurs opérations de vérification.
Le(s) […] vérificateur(s) aux comptes ne peut (ne peuvent) pas faire partie du Conseil d'Administration.
 "

Questions aux élu(e)s du Comité

Quel est le nom du ou des vérificateurs aux comptes retenu(s) cette année ?

Des dispositions ont-elles été prises suite aux réserves que j'ai émises l'an passé en Assemblée Générale et qui semblent reprises par les sites spécialisés ?

Questions transmises le 15 juin 2015

 

13 - Consultation des documents qui sont la propriété de l'association

Il aura donc fallu que j'aille jusqu'à l'envoi d'un courrier en recommandé avec accusé de réception pour que le président de l'association se résigne à m'autoriser la consultation du contrat de travail de l'un des salariés de l'association.

Questions aux élu(e)s du Comité :

Est-il normal et acceptable de la part du président, d'obliger un adhérent à le mettre en demeure (LRAR) et engager la première étape menant à une procédure judiciaire pour parvenir à consulter les documents appartenant à l'association ?

L'envoi de cette LRAR m'a coûté 4.72 €. J'estime que ce coût est entièrement imputable à la décision prise par le président de l'association, de me refuser la consultation de ce document. J'aimerais que l'association me rembourse cette dépense imputable à ce dysfonctionnement de l'association.

Questions transmises le 22 juin 2015

 

14 - Ordre du jour de l'AG : un petit problème... et un gros.

14.1 - "Questions diverses"

L'ordre du jour adressé aux adhérents ce 19 juin 2015 fait référence à des "questions diverses". Nos statuts n'utilisent jamais cette expression. Il n'y a donc aucun légitimité à l'utiliser d'autant que nos statuts précisent très clairement le cadre de ces questions que les adhérents sont légitimes à poser durant nos assemblées générales :

Article 24 :

L'Assemblée Générale "[...] d'une manière générale, délibère sur toutes les questions d'intérêt général et sur toutes celles qui lui sont soumises par le Comité de direction."

Il conviendrait donc de ne mentionner que cette expression dans nos documents officiels et notamment cet ordre du jour adressé aux adhérents : "questions d'intérêt général", voire aussi "questions soumises par le Comité de Direction".

C'est vrai qu'on a le sentiment qu'il faut distinguer les deux.

Quoi qu'il en soit, j'ai bien transmis des "questions d'intérêt général" figurant bien à l'ordre du jour de cette Assemblée Générale mais elles ne peuvent être réduites à ces "questions diverses" évoquées par cet ordre du jour.

14.2 - Election des membres du Comité de Direction

Compte-rendu de réunion du Comité de Direction du 22 mai 2015, point 1 :

Au vu de l'article 14 des statuts (« l'association est administrée par un Comité de Direction, composée de membres, 5 au moins et 12 élus... en cas de vacance d'un des membres du bureau, le comité pourvoira au remplacement du membre ») le comité décide de ne pas procéder aux remplacements des 2 postes vacants au comité.

L'ordre du jour de l'Assemblée Générale du 3 juillet confirme cette "décision".

Je constate donc que les élu(e)s du Comité de Direction refusent unanimement d'organiser les élections au Comité de Direction de juin 2015.

Un membre du Comité me confirmant même qu'il ne voulait pas me voir revenir au sein du Comité, ce qui semble être la principale motivation pour cette décision illégale : "je ne veux pas que nos réunions durent trois heures". Une bien belle motivation pour un Comité où l'unanimité semble être une règle (aucune autre indication d'aucune sorte sur les votes).

J'ai pourtant pris la peine de démontrer amplement qu'il y avait la nécessité d'organiser ces élections ce 3 juillet 2015.

Avec l'interprétation très opportuniste et variable de nos statuts par ce Comité, l'ensemble de ces élu(e)s devraient confirmer qu'il y avait une profonde irrégularité, une totale illégalité à avoir procédé à l'élection de K. BRETON en septembre 2012, ainsi que l'élection de S. LEGAY en juin 2013, deux élus qui siègent encore aujourd'hui au sein du Comité de Direction.

Mais non, rien entendu de tel à l'époque, ni aujourd'hui.

Il semble que rien ne choque ces élu(e)s pour refuser aujourd'hui d'appliquer la même jurisprudence qu'à l'occasion de l'intégralité de nos assemblées générales depuis 40 ans. Quand des amis toquent à la porte du Comité, on organise les élections, quand il s'agit de "geek sectaire imbuvable" comme me désigne à de multiples reprises J. COCONI, il y a nécessité à cadenasser solidement nos institutions, serait-ce au prix d'une posture intenable.

Qui ne finira pas par être convaincu de ce copinage éhonté qui reste la seule explication à de pareilles approximations !? Copinage éhonté et indigne, une fois encore ! Comme toujours.

En réfléchissant un peu plus à tout cela, même si les élu(e)s du Comité me trouve inintelligent, je trouve une septième raison à la nécessité d'organiser cette élection. Si le président et les élu(e)s du Comité appuient leur décision sur le 4e paragraphe de l'article 14 qui évoque le remplacement d'un membre du Bureau et non d'un membre du Comité, en adoptant ce point de vue opportuniste, on suivrait donc cette logique et on ne retiendrait donc pas ce paragraphe puisqu'il concernerait le Bureau. Chiche !

Que resterait-il donc concernant le Comité et ses élections dans nos statuts ? Cette simple remarque : "un Comité de Direction composé de membres (cinq au moins et douze au plus) élus, ces membres sont élus par l'Assemblée Générale ordinaire pour une durée de quatre ans correspondant à l'Olympiade". En n'étant plus que 9 membres, strictement rien ne s'oppose à ce que des élections soient organisées, conformément à nos statuts et nos multiples jurisprudences établies à tous les niveaux de notre association (Comité, Assemblée Générale), sur l'intégralité de notre histoire... sauf 2015 ! "Douze membres au plus". Ils sont neuf... anciens (1 membre est indisponible temporairement). Place pour deux nouveaux.

Mais, on l'aura bien compris, l'objectif affiché d'un pareil parjure de la part de ces élu(e)s reste bien cette indigne posture : tout sauf Carré qui menace notre belle et systématique unanimité !

Je demanderai à l'Assemblée Générale de confirmer la légitimité de l'élection des membres du Comité lors de sa session du 3 juillet 2015.

Je ne re-re-transmets pas de questions aux élu(e)s du Comité volontairement ignorants de tout sur cette question.

14.3 - Autres inquiétudes

L'Assemblée Générale de juin 2014 a rassemblé 57 personnes dont 3 invités et 4 salariés de l'association.

Questions aux élu(e)s du Comité :

La tenue de l'Assemblée Générale du 3 juillet 2015 dans notre club-house permettra-t-elle à un nombre potentiellement aussi important d'être convenablement installé pour participer activement aux délibérations sur toutes les questions posées ?

Avoir déterminé une date en juillet pour l'Assemblée Générale n'est-il pas trop tardif ? On sait très bien que nombre de personnes n'attend pas la fin de l'année scolaire pour partir en vacances et bénéficier ainsi des avantages d'une première semaine pour cette période estivale.

N'y avait-il pas plus de pertinence à fixer cette date plus tôt (19 juin comme cela a semble-t-il été envisagé, voire le 26 juin) puisque la seule contrainte (trouver une salle) n'est pas non plus la raison qui aura déterminé la date du 3 juillet (notre club-house était aussi libre le 19, le 26 !?) ?

Questions transmises le 22 juin 2015

 

15 - Des publications... à décharge... et à charge !

On trouve dans le numéro du Picardie Tennis d'avril 2015, page 8 cet encart :

Comme on peut le lire, pour ce qui me concerne, cette publication présente le motif de la saisie de la Commission Régionale des Litiges, dans sa forme accusatoire : "la forme de [mes] courriels [...] semble contraire à la bienséance".

Puis, dans un raccourci étonnant, cette publication se borne à mentionner la sanction que cette Commission... n'a pas prise !? "Aucune sanction". Cette publication ne mentionne donc rien de la décision effectivement prise par cette Commission, telle qu'elle m'a pourtant été communiquée par le Président de cette Commission, par courrier, à savoir : la Commission Régionale des Litiges "dit que Christophe CARRE n'a commis aucun acte répréhensible portant atteinte à la bienséance".

Ainsi, avec la formulation utilisée par ce magazine, je reste présenté comme mis-en-cause mais pas dédouané, pas lavé de cette accusation infondée du Président de la Ligue, je reste simplement non poursuivi, mais toujours soupçonnable. Mes courriels "semble contraire à la bienséance". C'est ce qu'on peut encore lire ici. Et rien ne vient infirmer cela précisément.

Et, par un saisissant effet de contraste (mais encore faut-il avoir de bonnes lunettes), pour le cas des membres du Comité de Tournoi qui sont eux aussi "discuplés" par cette Commission, plus qu'étonnamment d'ailleurs, la mention publiée dans ce magazine prend bien la bonne précaution pour préciser très clairement que ces trois personnes n'ont "commis aucun acte répréhensible". Plus une longue phrase encore pour bien insister sur cette idée déroutante : "dit n'y avoir lieu à prononcer une sanction à leur égard". Bien des égards effectivement pour ces trois personnes pourtant lourdement fautives eut... égard aux articles 85-11 et 85-17 des règlements administratifs de la FFT.

Pire encore dans cette inégalité de traitement de la part de la publication officielle de la Ligue de Picardie de Tennis puisque la mise-en-cause qu'on aurait pu signifier à ces trois personnes, à savoir de n'avoir pris aucune sanction concernant cet "acte" pourtant "répréhensible" commis par ce juge-arbitre, alors même que la Commission de la Ligue a sanctionné cela, ne fait l'objet d'aucune mention, aucune référence. Rien de rien.

On aurait du pourtant, dans un traitement équivalant, la trouver formulée ainsi : Saisine concernant la décision des trois membres du Comité de Tournoi pour n'avoir pas sanctionné, en infraction avec les articles 85-11 et 85-17 des règlements administratifs de la FFT, la faute avérée d'un juge-arbitre ayant "failli à sa mission" sans respect pour les "règles déontologiques de loyauté".

Mais non rien, juste cette décision incohérente de ne rien reprocher à ces trois membres du Comité de Tournoi.

Tout confirme donc une intention plus défavorable à mon égard dans cette publication. Un article qui me porte donc préjudice. Je le dénonce et je vais donc interroger le directeur de la publication de ce magazine sur la réparation d'un tel préjudice ?

Question transmise à la Ligue de Picardie de Tennis et au directeur de la publication du Picardie Tennis.

 

16 - "Des propos irrespectueux" !

Dans le compte-rendu du 22 mai 2015, publié le 20 juin, page 5, point 9, on peut lire ceci :

Les neuf membres du Comité, à l'unanimité !

Neuf raisons pour me permettre de dénoncer, une fois encore, le caractère indigne et honteux des décisions de ces élu(e)s.

 

16.1 - Aucune citation, aucun élément précis pour étayer cette accusation de "diffamation" portée par le président.

Strictement rien ne figure dans ce compte-rendu pour venir illustrer l'accusation prévue par le président.

Je publie donc ici l'intégralité des échanges de courriels que le président met en cause. Il y a bien une nécessité à diffuser cette correspondance puisque cette "décision" du Comité y fait explicitement référence et que, en l'état, les adhérents ne peuvent se faire une opinion que sur la présentation de ces écrits par le président. Ce qui reste déjà un procédé des plus indignes. Toujours le même.

Pour gagner du temps, les passages que le président cible, fort probablement, sont ceux du dernier échange.

Il reste que pour que cette accusation du président partagée par les autres élu(e)s du Comité, soit recevable et figure dans ce compte-rendu officiel de cette réunion, il y avait une grande nécessité à présenter les passages incriminés.

Or, ici comme ailleurs, rien n'est produit, strictement rien ! C'est la tactique de l'almagame, de la pure diffamation. C'est indigne, c'est honteux ! Comme toujours.

 

16.2 - Diffamation, puis plus de diffamation : une accusation feu follet.

Dans des échanges de courriels de début mai 2015, ayant pour premier thème l'organisation des rencontres de championnats par équipes 2015, le président a indiqué son intention de demander "une sanction à [mon] égard pour ces diffamations inadmissibles".

On note avec ce compte-rendu du 22 mai, que le président ne l'a pas fait durant cette réunion !? Pourquoi le président ne va-t-il pas au bout de sa "promesse" ? Quelque chose a-t-il retenu le président ? Est-il à ce point convaincu qu'il n'y a strictement rien de diffamatoire dans mes écrits ? Manque-t-il du courage qui nécessite que quand quelqu'un porte une accusation, il en assume les conséquences jusqu'à leur terme ?

La triste vérité du président et, comme il en témoigne de façon pathétique lors de cette réunion, en ne reprenant visiblement même pas le terme de "diffamation", qu'il sait pertinemment que rien dans mes écrits n'est diffamatoire.

Un président qui accuse, mais se dérobe tout aussitôt devant le danger d'être ridicule dans une procédure qu'il a lui même lancée. C'est insensé, c'est indigne, c'est honteux. Encore et toujours.

 

16.3 - Aucune convocation pour une mise en cause examinée malgré tout par le Comité

Durant cette réunion, les élu(e)s du Comité ont examiné cette mise en cause dont je fais l'objet et qui a été mise à l'ordre du jour par le président.

La procédure pour mettre en cause un adhérent est pourtant très clairement précisée et exige que cet adhérent soit convoqué pour fournir des explications, en préalable à toute décision du Comité.

C'est l'article 15 du règlement intérieur :

Article 15 : Discipline

[...] Tout manquement au présent règlement pourra entraîner un avertissement, une exclusion temporaire, voire définitive du contrevenant.

L'intéressé, invité à fournir ses explications préalablement à toute décision, pourra exercer un recours auprès de l'Assemblée générale ordinaire, devant laquelle il bénéficiera des mêmes droits pour assurer sa défense.

C'est aussi l'article 9 de nos statuts. qui réaffirme une telle procédure.

Si dans ce Comité on devait penser qu'on n'y trouve que des élu(e)s dignes de leur mandat, on devrait ici trouver la trace de ces élu(e)s qui ont émis ces réserves, qui ont fait ces rappels, qui se sont opposés à une procédure illégale, partiale et malsaine.

Mais non, rien n'arrête ces élu(e)s pour examiner cette question où un adhérent est mis en cause, en l'absence de convocation de l'adhérent, en l'absence de la présence de l'adhérent, en l'absence d'éléments étayant l'accusation portée, en l'absence de tout !

Les neufs élu(e)s du Comité qui s'abaissent à ce genre de procédure traquenard, de procédure spécieuse atteignent ici un niveau d'indignité qui me sidère ! Comme trop souvent.

 

16.4 - "Des propos irrespectueux" pour des décisions non respectables.

Pour ne pas perdre la face, la "diffamation" évoquée par le président devient donc des "propos irrespectueux" dans ce compte-rendu. Nous n'avons plus droit qu'à une question de "bienséance" en somme ?

Et c'est sans assurément un terrain sur lequel j'ai fait toutes mes preuves, ce qui a du sacrément refroidir le président et les élu(e)s du Comité.

Mais je vais tout de même aller dans le sens de ces élu(e)s pour confirmer ici, noir sur blanc, que je n'ai strictement aucun respect pour la quantité phénoménale des décisions indignes des élu(e)s de ce Comité durant cette saison. Je ne vois pas comment on pourrait éprouver du respect pour le non-respect de nos textes, ce copinage insensé, éhonté et indigne, aux multiples facettes. C'est même ce manque total de respect pour de telles décisions qui me pousse à me révolter dans ses longues explications.

 

16.5 - "Des propos irrespectueux" "dénoncés" par... un expert en la matière !

En matière de manque de respect, je ne manque pas de saluer ici l'expertise d'un maître en la personne de J. COCONI qui, en avril 2014, s'adressait à moi ainsi : "je t'em... toi, ta syntaxe et ta rhétorique de geek sectaire imbuvable".

Tout cela parce que je le questionnais sur le fait que ce soit le président qui rédige les comptes-rendus de notre association à la place de la secrétaire de l'époque.

"Geek sectaire imbuvable", une expression utilisée à de multiples occasions, jamais examinée, encore moins sanctionnée par le Comité de Direction malgré mes plaintes réitérées.

Sans doute très exactement ce que vise... le président quand il évoque des "excès de langage". En fait, les siens !

Le président, un habitué dans cette invraisemblablement jurisprudence de notre association à admettre qu'on puisse tenir de tels propos sans jamais avoir à en répondre, sans jamais les sanctionner !

Il parait donc assez évident qu'avant de me mettre en cause sur des pseudo-"propos irrespectueux", cela ne pourrait se faire sans traiter ce "lourd passif" du président avec moi, une expression utilisée par le président lui même, dans un rare éclair de lucidité.

 

16.6 - "les membres du Comité [...] décident par intelligence"

On reste... interloqué par la formule !

Interprétation 1 : ce que je dis est tellement bête que, fatalement, ce que dit le Comité est intelligent. Le coup de l'intelligence supérieure.

Interprétation 2 : je suis un mauvais garçon, et le Comité veut me signifier qu'il est au dessus de cela. Le coup du mépris.

Merci pour ces deux possibilités et pour l'évidence du caractère "respectueux" de ces "propos" tenus par les élu(e)s du Comité... qui font ce qu'ils croient pouvoir dénoncer dans mes écrits !?

La vraie explication d'une formulation qui ne correspond à rien (pas de "délit", pas de décision, pas de sanction) : la dérobade du présient pour une accusation de diffamation qui reste pleinement diffamatoire et l'unanimité catastrophique d'élu(e)s qui ne se révoltent jamais.

Un conseil non-amical aux élu(e)s du Comité : quand on ne trouve rien à dire... on ne dit rien. Et l'on s'évite un grand ridicule.

 

16.7 - Diffamons, diffamons... il en reste toujours quelque chose !

Voilà maintenant de multiples exemples de diffamation qui jamais ne donnent lieu à un traitement normal, suivant des procédures établies clairement.

C'est bien tout le principe que dénonce cette maxime : diffamons, diffamons, il en reste toujours quelque chose.

Ici encore, avec ce genre de coup dans l'eau, le trouble est là. Je suis mis en cause, je reste très involontairement dans l'impossibilité d'être confronté avec ces détracteurs, toujours les mêmes, aucune démonstration ne vient étayer ces accusations... et que vont retenir les adhérents qui n'auront accès qu'à ce compte-rendu diffamatoire : c'est encore le Carré qui fait des siennes ! Qu'on le vire ! C'est prévu apparemment.

Tout l'art d'une bonne diffamation est là.

J'estime, avec cette publication du Comité de Direction, être à nouveau victime de cet indigne procédé. Je vais donc ajouter cet exemple au courrier que j'adresse au Procureur de la République pour porter plainte contre le président et les élu(e)s du Comité de Direction qui s'abaissent à ce genre de parodie de justice, un coup bas en vérité.

 

16.8 - "Je ne suis pas indigne", "je ne suis pas compromis"

Le président, dans son long courriel du 6 mai indique ceci : "Je ne suis pas indigne de la mission qui m’a été confié. Je ne suis compromis dans aucun fait grave".

Je prétends tout le contraire.

Quand, entre autres exemples, on ne sanctionne pas du tout la faute d'un juge-arbitre qui reçoit ensuite un "avertissement" de la Commission Régionale des Litiges, pour des faits dénoncés exactement similaires, on est forcément en faute soi-même, compromis gravement dans ce copinage que je dénonce.

Quand, entre autres exemples, on nomme comme juge-arbitre du tournoi open de décembre 2014, un juge-arbitre qui est aussi un joueur qui vient tout juste d'engager une manoeuvre visant à "fausser la sincérité d'une compétition" (article 85.17 des règlements administratifs de la FFT), on est indigne de son mandat. On est même gravement irresponsable.

 

16.9 - Mettre en cause des "propos irrespectueux"... devant une juridiction impartiale !

Pour en terminer (quel travail génèrent toutes ces décisions indignes), si le Comité est saisi par le président dans cette réunion du 22 mai, parce qu'il estime que mes "propos sont irrespectueux", qu'elle était la démarche "normale" ?

Comme l'a fait le Président de la Ligue de Picardie de Tennis lorsqu'il se questionne sur la "bienséance" de mes courriels, il est impossible, immoral et illégal que ce soit le plaignant, là le Président de la Ligue, ici le président et les élu(e)s du Comité, qui soient aussi les juges !?

Comment pourrait-on imaginer l'impartialité d'un tel jury, à la fois juge et partie ?

Comme l'a fait le Président de la Ligue, il convient donc, il est même une nécessité que ce soit un organe neutre, indépendant qui statue sur de telles accusations. Il faut donc demander à ce que la Commission Régionale des Litiges soit saisie de cette plainte.

Je propose donc aux élu(e)s, unanimes, de ce Comité de déposer une plainte auprès du Président de la Ligue de Picardie de Tennis, en vertu de l'article 85-18 des règlements administratifs de la FFT (page 67) :

Est considéré comme un "acte répréhensible", "toute atteinte à la bienséance, à la discipline, à la déontologie ou à l’éthique sportive, ainsi qu'à l’honneur, l’image, la réputation, la notoriété de la Fédération, d’une ligue, d’un comité départemental, des Commissions, de l’une des associations affiliées à la Fédération, d’un licencié ou d’un tiers ;"

J'attends donc cette... troisième convocation.

Une telle procédure aurait évité que les élu(e)s du Comité se montrent à ce point indignes pour juger de faits où ils sont en cause, où ils jugent sans même entendre la personne qu'ils jugent, et où ils manquent du courage le plus nécessaire pour être cohérents avec une telle accusation qu'ils reprennent, unanimement... pour ne pas la sanctionner ! En un mot comme en trois... ri...di...cule !

Proposition transmise le 22 juin 2015

 

17 - Après la révocation ad nutum, la radiation ad nutum ?

 

17.1 - Un long chemin de croix pour un acharnement spectaculaire !

Peut-être certains se souviennent de cette formidable croisade de la part de P. CARREL pour me voir révoqué de mon mandat de secrétaire de l'association. Eliminer un élu du jeu démocratique pour ne pas avoir à supporter le débat public. Tout un art.

Peut-être certains se souviennent aussi de cette demande de cet autre joueur pour me voir radié de l'association parce que j'avais mis en cause son comportement lors du tournoi interne de septembre 2014, un comportement non sanctionné par le Comité de Tournoi à l'époque et pourtant sanctionné depuis par le Comité de Direction, six mois après. Sic !

Voilà donc que cette "solution" définitive ressurgit à nouveau dans l'ordre du jour de l'Assemblée Générale de juillet 2015. Une "solution" radicale proposée par... P. CARREL, cet ex-président démissionnaire opportunément, ex-candidat car non réélu malgré une candidature portée "en équipe", en juin 2014. Sans doute à cause d'un bilan... contrasté.

Ordre du jour de l'Assemblée Générale du vendredi 3 juillet (transmis le 19 juin) :

Question de Patrick Carrel : « Radiation en qualité de membre du Tennis Club de Crépy-en-Valois de Christophe Carré à compter du 1er octobre 2015 pour entraves répétées au fonctionnement du club et diffusion réitérée à l’extérieur nuisible pour l’image du club. »

Je ne salue plus ce monsieur depuis que, pour venir à la défense d'un adhérent m'ayant plus que gravement insulté et menacé, P. CARREL n'a pas hésité à me mettre gravement en cause dans mon rôle de père (point n°2, page 8, colonne de gauche, deuxième remarque de "PC"). On n'a parfois guère plus que l'attaque personnelle et diffamatoire pour se justifier de ne pas sanctionner les insultes et les menaces.

Aussi quel double étonnement que de voir ce monsieur me forcer la main... pour lui serrer la sienne, il y a de cela trois semaines, à la surprise des adhérents présents !? J'ai donc été contraint de le saluer, sans plaisir aucun, mais n'ayant aucun goût pour l'humiliation publique.

Double étonnement donc que de constater que c'est ce même monsieur qui vient ainsi vous forcer à le saluer et qui, sans aucun autre contact, demande ensuite à une Assemblée Générale de vous radier à vie de la liste de ses membres, sanction nucléaire !? On appréciera comme il se doit la personnalité, la méthode, l'élégance de tout cela.

J'ai été révoqué "ad nutum" de mon mandat de secrétaire (juillet 2013). C'est à dire sans justification aucune, pour aucune faute.

Je dénonce donc ici, une nouvelle fois, une procédure qui semble vouloir s'épargner toutes les nécessités qui doivent pourtant être respectées pour rendre cette procédure légitime et recevable.

Pour récuser cette procédure, de multiples motifs :

 

17.2 - Des accusations pour des délits qui n'existent pas !

Accusation 1 : "entraves répétées au fonctionnement du club"

P. CARREL invoque-t-il des chaînes, des cordes, des manifestations, un sitting, des barrages, des barricades, la pose de cadenas, une action terroriste, la pose d'un explosif sur le compteur électrique... où sont ces "entraves" au fonctionnement du club dont je serais coupable ?

En n'ayant plus aucun mandat officiel au sein de cette association, il est plus que diffamatoire de prétendre que je puisse imposer des "entraves" au bon fonctionnement de l'association. Ma liberté d'opinion ne peut, à elle seule, être assimilée à une "entrave". Les quelques très très rares modifications des décisions du Comité ou du président, suite à des alertes que j'ai pu lancer, l'ont été de la propre décision de ces gens. Nulle action terroriste de ma part au sein du club.

Et lorsque je contacte divers interlocuteurs (mairie, DDJS, Conseil Départemental), c'est en mon nom, et c'est bien le droit le plus absolu de chaque citoyen de notre République que d'interroger ses institutions. Nous ne sommes pas en Corée du Nord !

Accusation 2 : "diffusion réitérée à l’extérieur"

Les lois qui cadrent la liberté d'expression sont connues, très clairement établies. Aucun des délits qui y sont définis ne correspondent à pareille formulation : "diffusion réitérée à l'extérieur". A l'extérieur de quoi ? De la bulle du Tennis Club de Crépy en Valois, nouvelle planète de la constellation du Grand N'importe Quoi ? Le Tennis Club de Crépy en Valois reste-t-il cet aquarium mal fréquenté dont il est interdit de dénoncer les excés, les écarts ?

Accusation 3 : "Nuisible pour l'image du club". Quelle image du club ? Celle que donne le président et ces élu(e)s aux décisions régulièrement injustiables et ces multiples exemples de discriminations toujours au profit d'un cercle restreint, ce copinage éhonté, ou celle que je défends d'une association irréprochable, cohérente et impartiale, soucieuse des droits équitables de chacun de ses adhérents et non d'un petit groupe, tout petit groupe ?

Si P. CARREL estime que je suis "nuisible", et s'il a le courage qu'il y faut, libre à lui d'engager une action en justice pour ce qu'il estimerait être une diffamation de ma part, une injure, une calomnie, une incitation à la haine, un complot terroriste ou que sais-je encore !? Si aucune démarche de ce type n'est engagée, c'est bien parce que ce que je dénonce repose sur des éléments plus que tangibles, et tous le savent fort bien.

Et, pour moi, les dénoncer participe, bien au contraire, du souci de restaurer une bonne "image" de notre association !

Et toujours sur cette seconde question, je me désole de dénoncer, encore et encore, ce raccourci hallucinant de la part de tous ces gens, et qui consiste à décliner à l'infini cet axiome inepte :

Quand il y a un problème, le problème n'est pas le problème mais bien la personne qui dénonce le problème.

Une logique pleinement absurde, Kafka qui s'acoquine d'un Shadok, un raisonnement spécieux, ravageur pour notre association.

Dénoncer les problèmes, lancer des alertes, à l'évidence le seul reproche que l'on soit capable de me faire. Un délit qui n'existe que dans la tête de ces gens.

Le seul problème pour P. CARREL reste bien de justifier de manquements à la loi dans mes écrits. En ne produisant aucun élément, aucune citation précise, cette triple accusation montre bien toute sa dimension diffamatoire, sans écho aucun avec nos textes ni même avec la loi.

En un mot comme en trois, trois accusations ri...di...cules !

Passons sur le fond de cette triple accusation dont il serait bien temps de l'examiner, si d'aventure...

 

17.3 - Aucun élément dans un dossier volontairement vide : des accusations qui restent donc de la diffamation pure et simple, un procédé préjudiciable et condamnable !

A ce stade des accusations portées par P. CARREL, en n'étant que des accusations, sans autre élément communiqué par P. CARREL et par le Bureau, tout cela reste de la diffamation pure et simple.

J'ai exigé le 20 juin que me soit communiqué les éléments qui viendraient justifier cette double accusation, des éléments de "preuves" comme l'on dit.

Et depuis bientôt une semaine, strictement aucune réponse, ni du Bureau, ni de la part de P. CARREL ! Politique de l'autruche.

Dans un état de droit, dans une procédure "judiciaire" (disciplinaire ici) digne de ce nom, le premier des principes de justice reste bien qu'une mise en accusation soit transmise sur la base d'éléments connus, précis, tangibles, circonstanciés, faisant référence à des textes de loi adéquats, pour des infractions dûment établies. Sinon, une telle procédure ne dépasse même pas la porte du magistrat instructeur. Ici, le Bureau. Mais bon, avec ce Bureau...

Quand, pour ma part, je mets en cause des décisions, voire des personnes, je m'impose de documenter ces démarches, de les documenter solidement et aussi exhaustivement que possible. Voyez ces 19 pages transmises. Et c'est bien tout ce que l'on me reproche.

La procédure qui est engagée ici par P. CARREL impose également, pour assurer les droits que j'ai en tant que mis-en-cause, de me donner la possibilité et le temps d'aller vérifier et confronter les éléments qui auraient du être fournis par P. CARREL, afin de m'assurer de leur exactitude, et ce bien au préalable à ma "comparution" au tribunal de cette association.

Quand je pense que c'est ce même monsieur qui se plaignait constamment de devoir être dans un "tribunal permanent"... alors que c'est la quatrième fois qu'il m'y traine !

Ici, impossibilité de consulter le moindre élément car rien n'est transmis par P. CARREL. Impossibilité pour moi de préparer convenablement une défense. Un droit pourtant ! Une faute dans cette procédure qui la rend irrecevable, avant même sa diffusion.

 

17.4 - Une accusation qui met déjà en question le respect de droits fondamentaux !

Les statuts de notre association sont très clairs et, fort judicieusement, les législateurs de notre association ont rejoint, dans un même article et dans un même point, deux notions totalement bafouées avec cette triple accusation portée par P. CARREL et relayée, avidement sans doute, par les membres du Bureau de notre association qui transmettent complaisamment cet ordre du jour :

Article 12, quatrième devoir de l'association : "L'association s'engage : [...] à assurer la liberté d'opinion, et le respect des droits de la défense".

Peut-être cet article de nos statuts est inconnu de ce monsieur et ces élu(e)s ? Peut-être ne s'applique t-il pas à notre association car il y a aurait dans le droit concernant la désignation des mandataires dans la gestion des co-propriétés...

Ailleurs, on a aussi voulu me faire taire. Je gêne. La décision de la Commission des Litiges de la Ligue de Picardie de Tennis saisie par le Président de la Ligue de Picardie de Tennis, a pourtant confirmé pleinement le droit que j'avais à ne pas être d'accord avec une procédure anormale, et à le dire... et à l'écrire. Et je ne doute pas un seul instant que l'ensemble de mes communications sur ce site et ailleurs ne s'inscrivent dans ce cadre universel (sauf sur la planète Tennis Club de Crépy en Valois ?) des libertés d'opinion et d'expression, ni plus, ni moins.

Mes questions sont gênantes, "irritantes" pour reprendre un certain vocabulaire, mais elles restent pleinement légitimes et assurément salvatrices pour l'association. N'en déplaise à P. CARREL.

Nous ne sommes pas en Corée du Nord !

 

17.5 - Une procédure pleinement contraire à nos statuts et notre règlement intérieur.

Nos statuts précisent que la radiation d'un membre de l'association est prononcée "par le Comité de Direction pour non paiement de la cotisation ou pour motifs graves" (article 9, point 2) ou, comme justification, "selon les règlements de la Fédération Française de Tennis" (article 9, point 3). Ce sont les seules références qu'on peut invoquer pour cette procédure.

Il n'est donc pas possible, statutairement, à un adhérent de transmettre une demande formulée sous la forme d'une radiation proposée à l'Assemblée Générale.

C'est bien au Comité de Direction de prendre cette décision, en première instance, en la justifiant par un "motif grave".

Quand je propose dans les questions que j'ai transmises à l'Assemblée Générale du 3 juillet 2015, la révocation de tel ou tel élu pour des fautes que je caractérise, éléments de preuves à l'appui, je reste bien dans l'exercice d'une prérogative de l'Assemblée Générale. Comme se plaisait à le souligner P. CARREL, on considére que c'est l'assemblée qui a nommé un responsable qui a aussi la légitimité à le révoquer de son mandat. Ni le Bureau, ni le Comité ne peuvent révoquer un élu du Comité de Direction. L'Assemblée Générale reste donc bien, dans ce cas, cette première juridiction à solliciter. Je reste donc dans cette logique dans mes propositions.

Quand P. CARREL propose ma radiation directement en Assemblée Générale, il zappe totalement la procédure décrite dans nos statuts. Ce n'est donc pas une procédure recevable pour cette seule raison, parmi de nombreuses autres.

Seul l'adhérent sanctionné éventuellement par le Comité de Direction peut donc ensuite, en appel, solliciter l'Assemblée Générale pour un éventuel recours sur cette procédure de radiation.

P. CARREL n'a donc en aucun cas cette légitimité à transmettre une telle demande à l'Assemblée Générale. Les trois membres du Bureau auraient également du être attentifs à cette impossibilité et non se féliciter trop rapidement, assurément, de voir P. CARREL engager cette démarche, ces quatre personnes zappant tout bonnement cette première étape nécessaire pour une telle procédure. Une faute encore.

 

17.6 - Une procédure éclair du Comité de Direction d'ici le 3 juillet 2015 ?

Voilà dix mois que je transmets toutes ces questions que P. CARREL évoque sans doute, dans un almagame opportuniste. J'y mets régulièrement et gravement en cause le élu(e)s du Comité.

Pourtant, aucune procédure de radiation n'a été engagée et/ou portée à ma connaissance de la part du Comité !? Je n'ai rien lu non plus sur un tel projet dans les comptes-rendus publiés par le Comité à ce jour !? Or c'est bien au Comité de reprendre à son compte, en première instance, une telle démarche.

D'autant qu'il apparait que le Comité s'est déjà penché sur la "qualité" de mes écrits ce 22 mai 2015, pour s'accorder unanimement, mais uniquement par "intelligence", pour ne me décerner aucune "sanction".

Je ne pense pas que d'ici la date de l'Assemblée Générale (dans 14 jours), le Comité de Direction diligente, dans la précipitation la plus absolue, une nouvelle réunion du Comité de Direction avec cet unique point à l'ordre du jour : faut-il radier C. CARRÉ ?

Quoi qu'il en soit, une telle mise-en-cause qui serait reprise au vol par le Comité de Direction, devrait nécessairement respecter plusieurs étapes avec autant de délais respectables. On imagine assez difficilement une procédure aussi bâclée que téléguidée d'ici le 3 juillet.

 

17.7 - Des accusations portées par un adhérent fortement hostile, et fortement en question.

P. CARREL a le projet de m'infliger la sanction la plus lourde qui soit dans notre association : une radiation à vie.

Ha, si ce monsieur avait su faire preuve de la même sévérité pour cet adhérent qu'il a pris sous son aile pour le disculpter d'insultes forcenées et de cette menace de "me mettre une claque dans la gueule", tout secrétaire pleinement légitime que j'étais... P. CARREL serait assurément plus crédible aujourd'hui.

Je n'ai connu aucun problème cette saison avec cet adhérent, qui n'est qu'adhérent. C'est donc toute cette rancoeur passée de la part de cet ex-président qui semble être la motivation profonde de cette démarche nucléaire.

Peut-être aussi, ce monsieur veut me faire compenser toute l'amertume de sa non-réélection en juin 2014 ?

Mais il faut croire qu'un nombre suffisant d'adhérents partageaient mon indignation pour toutes ces libéralités prises par cet élu durant ses précédents mandats au sein de notre association.

A l'évidence, la personnalité de cet adhérent, son passé dans notre association, son passif surtout, sont des éléments qui ne peuvent pas être ignorés dans la démarche qu'il engage en son nom, ou trop présompteusement au nom du club... on ne sait plus trop, pour atomiser mon adhésion !?

Il y a ici l'expression d'un acharnement qui reste spectaculaire et qui nécessiterait donc pleinement qu'un traitement équitable de cette question soit contradictoire et que les nombreuses mises-en-cause que j'ai déjà diffusées sur cet ex-dirigeant soient également présentées et enfin examinées dans une telle procédure.

On ne peut ainsi pérenniser un total déni de démocratie doublé d'un déni de justice.

 

17.8 - Prétendre que cette demande de radiation est une question d'intérêt général recevable par l'Assemblée Générale ?

Telle qu'elle est formulée dans l'ordre du jour, la question transmise par l'adhérent P. CARREL reste, pour d'autres multiples raisons, totalement irrecevable en tant que question d'intérêt général posée à l'Assemblée Générale.

Rendons-nous compte que le premier mot de cette... "question" est : "Radiation" ! P. CARREL qui me reproche d'être un "manipulateur" ne voit ainsi aucune gêne à faire précéder sa "question" par la réponse nucléaire qu'il impose à tous, avant même tout examen, toute réflexion !? C'est le jugement avant l'accusation ! Obtempérez adhérents !

On pourra aussi souligner que la formulation complète de la question posée par P. CARREL n'est pas une interrogation... mais bien une affirmation, péremptoire et définitive, une injonction adressée à l'Assemblée Générale, une formulation des plus troublantes en se confondant avec la formulation d'une décision déjà prise !

« Radiation en qualité de membre du Tennis Club de Crépy-en-Valois de Christophe Carré à compter du 1er octobre 2015 pour entraves répétées au fonctionnement du club et diffusion réitérée à l’extérieur nuisible pour l’image du club. »

Du prêt à voter, du trois en un (plaignant, magistrat, jury), un coup dans le micro-onde et zou.

Qui saura expliquer à P. CARREL qu'il n'est plus ni président, ni même membre du Comité de Direction ? Qui saurait lui expliquer qu'aller jusqu'à indiquer la date à laquelle la radiation deviendra effective est une pathétique illustration de l'état d'esprit de cette demande où le plaignant est tout : plaignant, magistrat, jury, et exécuteur de la sentence dans ses détails les plus administratifs. Dans quelle mauvaise comédie sommes-nous ?

D'ailleurs pourquoi le 1er octobre 2015 ? Si je suis fautif de faits qui s'apparentent à ce point à de la haute trahison, je mérite une radiation sur le champ, voire rétroactive pour toutes ces quatre années où j'ai dénoncé de la même façon tous ces dysfonctionnements !? Pourquoi faudrait-il attendre le 1er octobre 2015 ? Radiation, à compter du 3 juillet 2015 ! C'est ce qu'il y a de plus cohérent !

En présentant comme une condition incontournable cette sanction de "radiation" pour l'examen de deux fautes supposées, P. CARREL demande à l'Assemblée Générale de s'approprier une prérogative du Comité de Direction qui doit statuer en première instance. Ce sont nos statuts. Un vice de procédure rédhibitoire et pourtant imposé à l'Assemblée Générale par P. CARREL. Un vice de procédure rendant impossible un appel devant l'Assemblée Générale. Inacceptable, impensable.

Pour que cette question ne soit qu'une question d'intérêt général, avec un point d'interrogation à la fin, il aurait donc fallu que l'adhérent P. CARREL dégrossisse sa question pour lui donner la forme de deux questions d'intérêt général. Et pour rester dans le monde curieux de ces questions de P. CARREL, ce monsieur aurait pu imaginer quelque chose dans ce goût là :

1 - C. CARRÉ [c'est moi] entrave t-il le bon fonctionnement de l'association ?

2 - Les publications régulières de C. CARRÉ [toujours moi] sont-elles nuisibles à l'image de l'association ?

Autant de questions d'intérêt général qui, c'est assez évident de le constater, présentent d'emblée ce caractère hautement anti-démocratique que je dénonce.

Nous ne sommes pas en Corée du Nord !

Pour cette année, avec la formulation transmise, cette question-injonction-sanction reste bien irrecevable.

 

17.9 - Une radiation nucléaire

P. CARREL réclame la sanction la plus lourde qui soit, jamais prise dans toute l'histoire de l'association, une sanction qui me priverait à vie de pouvoir jouer au tennis sur les installations municipales de tennis, ce que je fais pourtant depuis 41 ans, sans problème jusqu'à l'arrivée de... P. CARREL président !

Non seulement, ce n'est très certainement pas à P. CARREL de dicter ainsi la sanction qu'on m'infligerait dans une procédure aussi délirante. P. CARREL n'est pas procureur mais simple plaignant.

Et je rappelle qu'une révocation n'est pas une sanction et que lorsque je la réclame pour certains élu(e)s, c'est bien la moindre des décisions qu'on puisse espérer. Des sanctions pourraient aussi accompagner une décision de révocation, à la libre appréciation des membres de l'Assemblée Générale. Autant de poursuites que, pour ma part, je n'évoque même pas autrement !

Mais encore, il appartient bien à ce "jury" (que ce soit le Comité ou, en recours, les adhérents en Assemblée Générale) de jauger de la mesure à prendre. Et je ne vois pas au nom de quoi un "prévenu" ne pourrait pas prétendre à bénéficier de la pédagogie de l'échelle des sanctions possibles au sein de notre association, pour une première mise-en-cause ainsi officialisée. Et de ce point de vue, la sanction nucléaire proposée par P. CARREL au firmament d'une certaine haine à mon encontre, est totalement décalée avec la pseudo-gravité ce qu'il met en question dans mes actions et que je récuse bien évidemment.

D'autant que, si l'on se réfère à l'échelle des valeurs que cet ex-président a mise en oeuvre dans notre association, si des insultes telles que "psychorigide", "bête", "con", si des menaces telles que "je ne sais pas ce qui me retient de vous mettre une claque dans la gueule", ne valent strictement aucune sanction d'après P. CARREL, on se demande bien quel aveuglement halluciant pourrait justifier de réclamer ma radiation pour des écrits qui n'ont que le souci de sauvegarder notre association de tous les graves dysfonctionnements que j'y dénonce ?

 

17.10 - Et la jurisprudence de l'Assemblée Générale pour examiner le cas d'adhérent qui porterait du tort à l'association ?

3 juillet 2015 : P. CARREL a le projet de poser une question devant l'Assemblée Générale pour me mettre en cause car il estime que je porte tort à l'association.

C'est très exactement la même procédure que j'ai engagée à l'occasion de l'Assemblée Générale de juin 2013 (page 14, point 8). A ceci près que je me contentais de poser des questions sur les postures, sur les propos, sur les décisions de P. CARREL, et non en imposant un jugement.

J'avais aussi l'honnêteté intellectuelle d'adjoindre à chacune de mes mises en cause, des citations directes des écrits de P. CARREL, parfaitement référencés. Un dossier on ne peut plus documenté, solide, consultable, transmis bien en préalable à la tenue de l'Assemblée Générale.

Deux démarches identiques pour deux méthodes radicalement différentes. Passons.

Quel traitement a-t-il été donné à cette même démarche de ma part en juin 2013 ?

Et bien un certain P. CARREL, président, a pris la décision de ne pas faire examiner ce dossier que je présentais en mettant en cause les dysfonctionnements très graves de notre association liés aux décisions, propos et attitudes d'un certain... P. CARREL, président.

Pour ma démarche de voir P. CARREL répondre de ses décisions, propos, attitudes, autoamnistie de P. CARREL qui n'a pas fait procéder à l'examen de cette question, alors que ces questions figuraient à l'ordre du jour, transmises de manière parfaitement conformes à nos statuts.

Comment, dans ces conditions, en 2015, la démarche de P. CARREL pour exiger ma radiation de l'association pourrait-elle être examinée et aboutir éventuellement à cette sanction définitive et radicale ?

P. CARREL peut-il revendiquer un droit aujourd'hui, qu'il m'a refusé spectaculairement, il y a à peine trois ans, en étant tout à la fois juge et partie ?

Jusqu'où cette association, ou son Assemblée Générale, sont-elles prêtes à aller pour donner une justification digne à ce deux poids, deux mesures ?

 

17.11 - La notion de préjudice pour une radiation à vie !

Si l'Assemblée Générale suivait, malgré tout, P. CARREL pour lui donner raison, je serais donc radié à vie de l'association.

17.11.1 - Préjudice en tant que contribuable crépynois

Je me retrouverais donc dans l'impossibilité d'utiliser les installations municipales de tennis. J'interrogerais alors le maire de la commune sur cette mesure qui me porterait gravement préjudice en tant que contribuable crépynois. Les installations de tennis restent bien des installations... municipales. Et dans la mesure où, en tant que contribuable crépynois, je ne serais dans aucune faute, je conserverais bien ce droit à pouvoir utiliser, comme tous crépynois, les installations municipales de tennis, sauf à prétendre d'un préjudice manifeste.

La convention municipale, si elle confie la gestion "exclusive" (est-ce encore dans la nouvelle convention toujours secrète ?) des installations de tennis à l'association Tennis Club, ne peut à elle seule justifier qu'un crépynois qui se verrait interdire l'adhésion au Tennis Club, ne puisse pas utiliser des installations municipales. A moins d'être aussi condamné à être un sous-crépynois aux droits amputés de façon incohérente ?

Toutes ces considérations se situant également dans ce contexte si particulier d'une association de très nombreuses fois en question sur ses pratiques démocratiques. A voir donc.

17.11.2 - Un préjudice en tant que joueur de tennis

Radié, je serais donc dans la nécessité d'effectuer de nombreux kilomètres pour pouvoir trouver un nouveau club et continuer à pratiquer le tennis.

Ces frais supplémentaires constitueraient un préjudice financier important puisque je serais radié à vie du Tennis Club de Crépy en Valois.

C'est bien évidemment un élément important de ce qui constituera les demandes de réparations qui accompagneraient mon recours.

17.11.3 - Un recours devant une juridiction civile

Car bien évidemment, ces préjudices étant importants, j'intenterais, devant la juridiction adéquate, un recours contre cette décision du Tennis Club de Crépy en Valois. Je me porterais donc partie civile et me ferais représenter par un avocat. Des frais qui pourront sans doute également être imputables à la partie adverse. Il en ira de même pour moi si je perdais ce recours.

17.11.4 - Préjudice moral

Cet acharnement pour m'évincer physiquement des installations de tennis municipales justifierait également que j'invoque un préjudice moral important. Il conviendra également à un avocat de le préciser.

J'aurai donc l'occasion, en Assemblée Générale, éventuellement, si toute cette procédure viciée dès son entame parvenait tout de même à y être "légitimée", à interroger les adhérents présents sur la certitude qu'accompagne les accusations portées par P. CARREL, sur les éventuelles conséquences pour l'association d'une décision de radiation me concernant, sur les enjeux à moyen terme d'une telle délibération plus qu'incertaine juridiquement, tant dans sa forme que sur le fond ?

J'entends déjà la clameur : il nous menace !

J'ai la grande certitude de voir mes droits reconnus... non pas devant l'Assemblée Générale (je revois encore ce clan droit de la salle me cracher à la figure une haine non dissimulée) mais bien devant la justice civile. C'est donc en étant attentif aux intérêts de l'association que j'alerterai les adhérents des conséquences d'une procédure qu'ils engageraient ainsi, trop à la légère, trop dans cette désastreuse logique de clan.

Je ne cache pas que j'ai engagé, dès le 23 juin 2015, la première étape d'une procédure de ce type, m'estimant dès à présent, par deux récentes publications du Comité de Direction, gravement diffamé.

Questions transmises aux élu(e)s du Comité :

Pourquoi les trois élu(e)s du Bureau de l'association, qui transmettent cet ordre du jour et ces accusations à mon encontre, se mettent-ils volontairement en infraction avec les précisions apportées par les statuts de l'association concernant cette procédure de radiation ?

Pourquoi les trois élu(e)s du Bureau, qui n'ont très visiblement rien exigé d'autres comme éléments, se rendent-ils ainsi coupables de la diffusion de ces simples accusations de P. CARREL, de graves diffamations à mon encontre, forcément préjudiciable pour moi dans les délibérations de l'Assemblée Générale ?

Questions transmises le 28 juin 2015

 

18 - La responsabilité juridique des dirigeants

On trouve ce paragraphe dans le compte-rendu du 22 mai 2015 :

L'article 11 de nos statuts prévoient certaines dispositions.

Les formulaires de notre association imposent également la limitation d'autres risques encore (prise en charge des enfants).

L'assurance de la Fédération Française de Tennis couvre très probablement tous les autres risques encourus, notamment ceux de la responsabilité civile des dirigeants. Exactement le souci invoqué par le président pour justifier de la nouveauté de sa proposition et cette dépense supplémentaire.

Alors, il y a bien sûr ce dernier paragraphe de ce document qui écarte de cette couverture les "fautes de gestion, la violation des dispositions législatives ou réglementaires ou encore la violation des statuts".

Et c'est très vrai que de constater que des élu(e)s qui prennent des décisions illégales, ouvertement en infraction avec les textes en place, ou des élu(e)s qui se permettent de tenir ou de ne pas sanctionner des propos punis par la loi, ou des élu(e)s qui prennent des décisions discriminatoires, ou des élu(e)s qui se compromettent dans des attitudes indignes par pur copinage, ou des élu(e)s qui diffusent des accusations diffamatoires... prennent des risques avérés de se voir convoqués par la justice pour répondre de fautes à ce point indignes de leur mandat.

Mais il reste comme une nécessité, pour tous ces cas de figure, qui sont assurément des situations de notre association, que ces types d'élu doivent répondre en leur nom propre, à leurs frais, de pareils manquements, et non au nom de l'association pour engendrer ainsi une dépense plus qu'injustifiable.

On reste donc bien en droit de s'interroger sur la motivation d'une telle proposition de dépense pour des risques qui ne seraient pas déjà couverts par le contrat FFT ?

Et on ne cesse de relire ce paragraphe : "fautes de gestion, la violation des dispositions législatives ou réglementaires ou encore la violation des statuts". On croirait que ce paragraphe a été écrit spécialement pour notre association !

Questions transmises aux élu(e)s du Comité :

Peut-on savoir quels sont les risques qu'encourent les élu(e)s de notre association et qui ne seraient pas déjà fort bien couverts par l'assurance FFT ou des dispositifs déjà en place, et qui engendreraient la nécessité d'une nouvelle dépense pour notre association ?

Les multiples questions que je transmets depuis des mois (deux années) aux élu(e)s du Comité de direction qui ne "réagissent" jamais que par mutisme et mépris, ne font-elles pas un écho douloureux avec ce paragraphe d'exceptions aux assurances prises par la FFT qui, elle, ne se méprend pas sur la nature de telles fautes ?

Questions transmises le 28 juin 2015

 

19 - Triple accusation, triple calomnie de la part d'un même élu du Comité !

Trois petits paragraphes pour évoquer la démarche de cet élu du Comité de Direction de notre association qui me met en cause, trois fois bêtement ce 24 juin.

C'est tout d'abord une "source anonyme" qui lui a rapporté que mon partenaire et moi n'avions pas balayé les lignes sur le court en terre battue. Nous sommes donc deux à lui confirmer tout le contraire, mais rien n'y fait. S. LEGAY insiste, c'est surement en arrosant le court que la terre est revenue sur les lignes ? Il fallait rebalayer d'après S. LEGAY ! Il est allé sur place, vérifier après l'alerte de son "indic" comme S. LEGAY les appelle. Ce monsieur ne veut pas comprendre ce que nous sommes pourtant deux à lui confirmer : il y avait coupure totale de l'alimentation en eau sur ce court ce soir là ! Un arrosage à sec donc ! Une insistance de la part de S. LEGAY, très... border line ! Pour des lignes pourtant on ne peut mieux balayées !

C'est ensuite le même qui met en cause un moniteur du club qui aurait donné des cours particuliers en infraction avec les dispositions du club. Et c'est ma faute aussi car je ne l'ai pas dénoncé et pire, je n'ai pas interrompu ce cours particuliers ! C'est deux fois risibles de la part de S. LEGAY, dans le délire d'un procès extraplanétaire, quand l'on sait que ce cours particulier a effectivement eu lieu entre ce père-moniteur et... ses deux fils... en guise de clients !

Et la passe de trois pour ce monsieur qui étale de rares incompétences lorsqu'il en vient à évoquer l'état de ce court en terre battue. Mais il y faut un point dédié (voir point 20 ci-dessous).

Au final, deux courriels de ce monsieur pour me dire tout le délire de sa haine. La Commission Régionale des Litiges l'a sanctionné. Et je vais bien payer longtemps encore le prix de la rancune de ce monsieur qui confond son mandat avec sa croisade.

Question aux élu(e)s du Comité :

Vais-je devoir subir ad vitam æternam la rancoeur de ce juge-arbitre fautif, qui, en tant qu'élu du Comité, confond très visiblement une soif de vengeance toute personnelle (cf. incident du 7 mai 2015) et la pseudo défense des textes et des intérêts de l'association ?

Question transmise le 28 juin 2015

 

20 - La terre battue... et même martyrisée !

Cet élu précise donc qu'il n'a pas attendu le lendemain de la réfection de ce court pour se plaindre de l'intervention de l'entreprise chargée de sa rénovation [...] et dont le travail est à la hauteur de ses tarifs (sic !). Et dès ce mardi (23 juin ?), cette dernière remettait de la brique pilée ! Mazette ! Quelle efficacité, quelle pertinence !

Toute la littérature sur le sujet permet pourtant, assez simplement, de comprendre la grande problématique d'un court en terre battue.

Quatre couches : une drainante en profondeur, une intermédiaire (mâchefer) dont le rôle est d'emmagasiner de l'humidité pour la redistribuer en surface du court dans la journée, un liant qui est la véritable surface de jeu, composé de calcaire (pour sa capacité à se compacter avec l'humidité) qu'on appelle aussi le craon, et une fine couche de brique pilée, la fameuse terre battue, pour éviter la réverbération trop forte d'un calcaire... trop blanc par nature.

Dans ces conditions, il reste une priorité absolue dans l'entretien d'un tel court : arrosage à saturation (flaques d'eau) tous les soirs quand en journée le soleil s'est montré impérial.

Cinq lignes, voire un schéma si on n'aime pas lire... et on a tout compris.

Quel est le premier problème de notre court en terre battue ?

Depuis sa réfection, à priori, strictement aucun arrosage de ce type ! La chape calcaire est donc sèche, ultra sèche, les rares arrosages en journée étant, de ce point de vue, largement inopérants, 90 % de cette humidité partant directement en évaporation.

Cet élu, s'il voulait faire preuve des compétences nécessaires et être le représentant crédible de notre association sur ce dossier, n'aurait pas demandé à cette entreprise* de revenir passer du fond de teint sur les rides de la surface d'un court en grande déshydratation... à cause de nos insuffisances dans son entretien !

Il aurait par contre du être beaucoup plus pugnace dans sa démarche auprès de la municipalité pour obtenir une procédure où chaque soir entre juin et septembre (quatre mois), par temps sec, entre 20h et 20h20, un employé municipal viendrait ouvrir un robinet pour arroser à saturation ce court. Cet élu de l'association aurait pu expliquer que c'était une condition sine qua non pour ne pas faire que les 2 000 € environs (?) de la réfection annuelle de ce court ne soient pas de l'argent municipal... parti lui aussi en évaporation en l'absence de cet entretien.

Mais non, pour cet élu, le souci est ailleurs : ce court a soif à cause... de C. Carré, cet adhérent à radier à vie.

Et peut-être la dégradation encore plus rapide que d'habitude de ce court saura servir d'argument pour justifier de le transformer en surface "tout temps", pour un investissement nécessaire de 24 à 36 000 €, soit l'équivalent d'une vingtaine d'années d'une rénovation traditionnelle ! Un investissement dont on ne sait sur qui il reposerait (club, municipalité) ? Un projet qui pourrait donc bien enterrer définitivement le projet de 4e court couvert, pourtant mille fois plus pertinent !

* : pour ma part, pour ce qui est de questionner la qualité de cette rénovation de la part de cette entreprise, je pense qu'on peut peut-être se poser des questions sur la présence de gros agrégats en surface (dont la présence s'explique sans doute aussi à cause du désséchement excessif et anormal de ce court) ? Le griffage a-t-il été trop profond ?

Question transmise aux élu(e)s :

Pourquoi l'élu, apparemment chargé du suivi de ce dossier auprès de la municipalité, fait-il preuve d'autant d'approximations, alors même qu'une pleine documentation est disponible sur ce thème de l'entretien d'une terre battue ?

Question transmise le 28 juin 2015

 

21 - Tournoi jeunes 38 inscrits, 13 crépynois !?

A l'occasion d'un tournoi, je me renseigne : le TC Creil a organisé un tournoi jeunes cette saison et il y a accueilli... 180 inscrits ! L'an passé encore le tournoi jeunes organisé par notre club accueillait environ 80 inscrits.

Comment expliquer ce nombre d'inscrits le plus catastrophique de notre histoire ?

Une adhérente me fait remarquer qu'on peut toujours chercher la moindre affiche annonçant ce tournoi au sein du club. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir un trésorier super équipé pour faire des tirages couleur !?

Et c'est assez hallucinant de constater que seulement 13 de ces 40 inscrits sont des crépynois !? 13 enfants du club sur... 170 inscrits à l'École de Tennis !? 13 inscrits sur 31 enfants aidés par le club !?

Je découvre avec surprise que la première réaction parfois, consiste à laisser penser que c'est une preuve qu'on a bien raison de ne pas distribuer d'aides à plus de 31, voire 15 élèves ! Regardez, semble t-on me signifier, tous ces autres enfants du club n'aiment pas le tennis, ils ne s'inscrivent même pas au tournoi du club !?

Au final, on reste sans voix devant ce genre d'explications.

Les enseignants ont-ils suffisamment motivé ces élèves pour les inscrire à cette compétition organisée sur place, dans une période extrèmement favorable à la pratique du tennis (effet Roland Garros, temps estival, fin d'année scolaire...) ? On en doute.

Pourquoi les élu(e)s du Comité n'ont-ils pas reconduit ce tarif spécial pour les enfants crépynois (5 € contre 10 €) ? Plutôt que de salarier un moniteur 3h par semaine pour ne pas enseigner et y consacrer un budget de 3 600 €, ces élu(e)s pensent-ils que consentir un manque à gagner d'environ 150 € (3 € x 50 inscrits crépynois ?) est hors de portée de notre association pour motiver un maximum des enfants de notre Ecole de Tennis ? Est-ce parce que cette aide d'un montant infinitésimale risque de concerner également d'autres enfants que les 31 déjà choyés par l'association ?

Une adhérente me rapporte que le même problème de la disparition de ce tarif spécial enfants crépynois avait été dénoncé par moi l'an passé. Elle fait référence à une décision qui avait suivie, une contre-mesure pour opérer un remboursement de cette différence... un remboursement qu'elle attend toujours !?

Encore une décision scandaleuse de la part de ces élu(e)s qui dépensent sans compter, sans même réfléchir parfois, de multiples exemples ci-dessous, pour des justifications pleinement improductives voire immorales trop souvent, et qui prennent ensuite des mesures hallucinantes sur des bugets minimes pour ne pas favoriser la pratique de tous les tennis !

Un peu à l'image de la Ligue et la FFT qui continuent à se lamenter sur le fait que "les jeunes sont ceux qui abandonnent le plus" comme le rapporte le président assistant à l'Assemblée Générale de la Ligue en janvier 2015, sans que jamais personne ne s'interroge autrement sur l'augmentation de la licence jeunes de + 64 % en cinq ans !?

Une grande responsabilité également pour une telle politique sportive jeunes de la part des élu(e)s du Comité !

 

22 - Consultation des pièces comptables : les surprises 2014/2015 !

Consultation possible, ce mercredi 24 juin, 19h, sous l'étroite surveillance du président et du trésorier.

Une rare opportunité d'obtenir quelques éléments de réponse, en direct. J'en ai donc profité.

Une consultation émaillée par quelques autres réflexes de ces deux élus, que je résume en deux formulations types, l'une lucide, l'autre ironique : "Quoi qu'on fasse, ça ne convient pas !" et "Ha ben oui... cette erreur est grave ! Ouh la la, que c'est grave !".

 

22.1 - AMT, des taux horaires différents !

Un AMT a été rémunéré 0.40 € de plus (base horaire) qu'un autre AMT (BJ : 12.70 € / TC : 12.30 €). Le président et le trésorier découvrent ce problème. Une erreur de contrat indique le président qui fouille dans ses documents !? Une erreur à réparer assurément.

On entend aussi : "Ha ben oui... cette erreur est grave ! Ouh la la, que c'est grave !"

 

22.2 - GD Conseils, une facture en hausse !

En janvier 2012, le contrat passé avec ce cabinet d'expertise comptable avait fait l'objet de la délibération suivante de la part du Comité de Direction :

Nous avions donc validé 957 € TTC pour la gestion des fiches de paie et des déclarations sociales. Nous avions opté également pour une dépense de 602 € TTC pour nos écritures comptables de fin de saison. Un total théorique de 1559 € TTC dans cette délibération. En fait 1310 € en 2013, et 1624 € en 2014 (cf. documents comptables des procès-verbaux des Assemblées Générales 2013 et 2014).

On peut déjà souligner une hausse de + 24 % du montant de ces frais entre 2013 et 2014 ? Était-ce lié au nombre de salariés ? J'en compte pourtant, sauf erreur de ma part, 7 en 2012/2013 (ML, PC, SE, DV, TC, KF, NB) et seulement 6 en 2013/2014 (ML, PC, KF, SB, TC, NL) !?

Dans le survol forcément rapide (1h15) que j'ai pu effectuer des factures au nom de cette société, de juillet 2014 à janvier 2015 (plus rien après), on remarque des paiements mensuels réguliers (144 €) jusqu'en décembre 2014. On se dit donc que ce contrat fait l'objet de paiements mensuels et que 144 € x 12 font 1728 € pour 2015. Soit une nouvelle hausse de 7 % au passage. 32 % en deux ans pour une prestation à priori similaire !?

Mais on remarque aussi un paiement de 660 € en octobre 2014 (A865) venant alourdir ce bilan 2015 ? Puis un nouveau paiement de 738 € en janvier 2015 (A964).

Au final, en ne prenant en compte que les paiements s'échelonnant entre juin 2014 et mai 2015 (plus rien d'ailleurs après janvier 2015), ce qui correspond à notre saison comptable (juin à mai), on trouve un cumul de 2 406 € (A808 + A829 + A846 + A865 + A866 + A867 + A896 (montant non indiqué sur la pièce comptable, 144 € ?) + A938 + A964).

Un cumul assez empirique au final, de ma part. On attend donc avec impatience le compte de résultat pour avoir l'indication exacte de ce cumul de factures.

Lorsque je m'étonne d'une possible hausse de l'ordre de 780 € du montant versé à GD Conseils (+ 48 %), le président ne me contredit pas et m'indique d'emblée, sans que j'ai autrement à insister, que c'est sans doute à cause de sa demande de faire établir les contrats de nos salariés par GD Conseils. Le président indique que cette prestation a coûté 558 € à l'association. Peut-être ces 660 € d'octobre 2014 ?

Lorsque j'indique mon très grand étonnement pour cette nouvelle dépense qu'indique le président, alors que jamais l'association n'a eu besoin de ce type de prestation puisque les contrats sont des contrats types disponibles sur le site du gouvernement comme ailleurs, et que l'association n'a pas embauché de nouveau salarié en 2014/2015..., le président essaie de m'expliquer qu'il y a eu aussi les DUE, des avenants aux contrats...

Bien évidemment, comme trop souvent, aucune trace, d'aucune délibération dans aucun- compte-rendu de réunion sur cette décision qui semble bien être unilatérale de la part du président, pour décider puis faire procéder à cette nouvelle dépense très loin d'être négligeable (à priori 660 €) !

Pour ma part, cette nouvelle dépense reste bien des plus étonnantes tant elle semble injustifiée !

On entend : "Quoi qu'on fasse, ça ne convient pas !"

 

22.3 - Des remboursements de déplacements pourtant vérifiés "systématiquement" !

T. JACQUET l'assure, pour toutes ces demandes, il fait "systématiquement" une vérification sur Mappy. La règle qui veut qu'on ne rembourse un déplacement d'équipes que lorsque les kilomètres-aller dépassent les 100 kms est parfaitement appliquée, d'après le trésorier de l'assocation.

On reste donc surpris de constater qu'un déplacement d'équipe (vétérans) sur Rosières-en-Santerre (Somme) a fait l'objet d'une demande de remboursement (A905) où il est clairement indiqué que ce déplacement aller-retour est de... 185 kms ! Sans autre vérification, pourquoi diable ce trésorier procède t-il à ce remboursement ? 100 kms + 100 kms ne font-ils que... 185 kms pour ce trésorier ? Alors même, qu'avec une rapide consultation du juge Mappy, dont le trésorier nous assure qu'il l'a fait "systématiquement", on ne trouve, en définitive, que 154 kms aller-retour !?

Pas de souci pour ce trésorier aussi rigoureux que le précédent : remboursement effectué en infraction avec les règles de l'association.

Et on ne manque pas de se confirmer que ce type de remboursement est toujours l'objet de l'austère rigueur du trésorier de l'association avec cet autre exemple : déplacement de l'équipe 1 en championnat d'hiver sur Tourly (A957). On trouve, en guise de vérification du trésorier ce type de document :

Crépy en Valois - Tourly, via Goussainville ! Et pouquoi pas via Stasbourg ? Un large détour qui ne pose aucun problème au trésorier. Après tout, on lit bien ici qu'il y a 102 kms ! Pile poil le kilométrage nécessaire pour valider ce remboursement. Or nul adhérent, à part l'adhérent qui transmet cette demande (?) et le trésorier, n'ignore qu'on effectue un remboursement sur la base du kilométrage au plus court. On aurait donc du trouver dans les justificatifs validés par le trésorier ce document :

Et là, avec 88 kms aller... quelle devait donc être la réponse du trésorier pour cette demande de l'équipe 1 et de cet adhérent buissonnier inconnu ?

Au final, 116.70 € (55.50 € + 61.20 €) indûment remboursés par un trésorier pour la deuxième fois à la faute... mais qui vérifie "systématiquement" !

"Ha ben oui... cette erreur est grave ! Ouh la la, que c'est grave !"

 

22.4 - Après un ordinateur spécial pour le trésorier, une imprimante spéciale pour le trésorier...

Peut-être certains se souviennent de cette dépense non-urgente, jamais validée par le Bureau, jamais validée par le Comité, lorsque le trésorier de l'époque, un certain J. COCONI, avait procédé à l'achat d'un ordinateur portable avec une facture à son nom, accompagné de l'achat d'une suite logiciel d'une valeur de 96 €... une suite totalement inutile, l'équivalant gratuit étant disponible sur internet (novembre 2013). Un achat décidé en total solo avec lui même, par un trésorier à ce point en faute. Autant de "dysfonctionnements ordinaires" qui peuvent, dans notre association, rester ainsi totalement dans l'impunité.

C'est donc à nouveau avec surprise qu'on découvre que le nouveau trésorier a demandé et obtenu du Bureau, du Comité (?) l'achat d'une imprimante, pour son usage exclusif donc. Ce n'est pas tant le coût de cet achat (39.30 €) que le coût des consommables qui posent question. Lorsque j'interroge les deux élus présents sur les 4 ou 5 factures (56.97 € ici, 31.90 € là, mais je n'ai pas fait le total de toutes ces factures) qui font état d'achat de consommables pour cette imprimante, et que je rappelle que le club a investi dans une imprimante laser monochrome (Brother HL 2032) dont chaque cartouche peut assurer l'impression de... 2 500 tirages, le trésorier répond qu'il ne va tout de même pas venir au club pour effectuer ses tirages ! On se demande bien à quoi peut donc lui servir l'achat d'une clef USB également (20.96 €) ?

Bref, au final, une nouvelle dépense dont l'association aurait très aisément pu se passer pour un trésorier un peu plus organisé pour des tirages malgré tout fort modestes dans une saison.

D'autant qu'on trouve pour 60 € de photocopies (600 / formulaires d'inscription). Je gage que, comme chaque année, avec la sollicitation de l'un ou l'autre de nos adhérents, l'association aurait également pu faire l'économie d'une telle dépense.

A ce propos je reste étonné d'entendre le trésorier indiquer qu'il doit tirer les bulletins de salaires des salariés !? Je pensais que c'était compris dans la prestation assurée par GD Conseils ?

Quant au président, qui se souvient sans doute de ses achats injustifiés en tant qu'ex-trésorier, il explique qu'une imprimante couleur était nécessaire pour des tirages couleur... dont on peine à trouver trace dans le club et qui sont assurément bien inutiles quand on connait le coût des consommables d'imprimante de ce type. Une explication pleinement curieuse quand on cherche la moindre affiche du tournoi jeune de juin 2015 dans le club ?

Pour cet achat, aucune délibération, dans aucun compte-rendu de réunion du Comité, etc...

Au final, un ensemble de dépenses à nouveau très discutables (100/150 € ?) pour un trésorier qui avait toute possibilité d'utiliser l'imprimante laser du club.

"Ha ben oui... cette erreur est grave ! Ouh la la, que c'est grave !"

 

22.5 - 0.50 € d'augmentation du prix d'un tube de balles, pour arrondir 0.12 € !

Je souhaitais vérifier le prix d'achat des balles Technifibre XOne (les tubes rouges) vendues par le club aux adhérents. Peine perdue, il semble bien qu'on ne trouve dans les pièces comptables aucune trace de l'achat de ce type de balles !? On trouve bien deux factures pour des tubes de Technifibre Club (les tubes jaunes), mais rien sur les Technifibre XOne. Je le fais remarquer aux deux élus.

Le président m'explique alors que le total des achats de balles est de l'ordre de 4 000 € pour cette saison, quand le trésorier se lance dans une explication obscure et inaboutie sur l'absence de ces pièces comptables pour les Technifibre XOne !?

J'interroge donc ces deux élus sur le prix d'achat d'un tube de Technifibre XOne. Le président m'indique 6.12 € et m'explique que les XOne nous sont facturées au même prix que les Club, et que ce prix d'achat prendrait également en compte les dotations qui sont fonction du volume de nos achats !? Pas sûr d'avoir tout compris !

Quand le président m'indique que le Comité propose de passer ce prix de 6.12 € à 6.50 € pour arrondir à un compte rond, je lui fais remarquer que l'association reverse presque 24 000 € sous forme de prise en charge de salaires pour les enfants aidés et pour les adultes qui suivent des cours collectifs... et qu'il ne parait pas immoral qu'à travers ce prix proposé aux adhérents (6 €) légèrement inférieur au prix d'achat de ces tubes (- 0.12 €) l'association propose également ce juste retour sur l'ensemble des adhérents qui utilise cette possibilité d'acheter des balles au club !

"Quoi qu'on fasse, ça ne convient pas !"

 

22.6 - Subvention municipale : - 30 % ! La faute à qui ?

Le 7 mai 2014, l'association a reçu la subvention USC 2014 d'un montant de 14 288.40 €. Je demande donc au président comment s'explique le montant annoncé dans le compte-rendu du 22 mai 2015 qui indique que la subvention USC 2015 ne sera plus que de 10 000 € ? Plus de 4 000 €... en moins ? 30 % de baisse pour le Tennis Club quand l'effort demandé aux associations crépynoises sera de 9 % (cf. CrépyMag&Infos de mars 2015, n°413, page 11)?

Le président indique également que la baisse des kilomètres athlètes explique pour beaucoup la baisse de la subvention municipale. Le président invoque une "récolte" exceptionnelle en 2014 (les montants précédents étant de l'ordre de 12 000 €).

On peut donc s'interroger sur la baisse de ces kilomètres athlètes et les efforts ainsi très visiblement insuffisants des élu(e)s du Comité pour en assurer la collecte, puisque notre association n'a connu fort probablement aucune baisse du nombre de ses compétitions et de ses compétiteurs, sans doute même une hausse ?

Le président s'embrouille donc sur la difficulté à récolter ces données.

On ne comprend pas qu'un tel travail ne soit pas plus et mieux assuré par les élu(e)s du Comité, d'autant que l'Espace Licencié de la FFT permet de récolter très aisément l'intégralité des matchs disputés par un adhérent du club dans la saison (cf. colonne "Palmarès"), avec quasi toujours le lieu, ce qui reste la donnée essentielle (kilomètres de déplacement).

A charge pour le ou les responsables de demander ensuite des précisions aux quelques adhérent(e)s dont des matchs ne seraient pas clairement localisés (championnats individuels notamment / les championnats par équipes sont localisables sur les calendriers ad hoc, voire les feuilles de matchs, voir le site de la Gestion Sportive).

Un travail non négligeable, certes, mais qui reste tout à fait réalisable... pour peu qu'on veuille s'y investir !

Force est de reconnaître que les précédents comités y consacraient plus d'efforts (A. NOWAK et P. CARREL notamment) et que ce bilan est tout à la défaveur de ces derniers élu(e)s qui en étaient responsables !

Plutôt que de se transformer en organisateurs de brocante pour récolter, au risque d'une telle aventure, des fonds qu'on perd bêtement par ailleurs (voir ci-dessous), il y avait assurément, dans ce dossier de la subvention USC, bien des efforts qu'on aurait pu attendre de la part de ce Comité.

"Quoi qu'on fasse, ça ne convient pas !"

 

22.7 - Quelques autres remarques sur quelques pièces comptables.

A947 : un cadeau pour une naissance pour un membre du Comité pour un montant de 49.18 € (pas de problème) mais... aucune délibération dans aucun compte-rendu !? Anormal.

Je n'ai pas pu consulter le relevé des locations de courts pour les activités libérales des moniteurs du club. J'avais pourtant fait cette demande expresse voulant croiser ces données avec quelques relevés, notamment pour des moniteurs exercant ce type d'activités le dimanche, sans autre réservation que celles des adhérents. Il est donc anormal qu'on ne donne pas d'accès à ce type de vérifications. D'autant que ces réservations ne font pas systématiquement non plus l'objet d'une réservation par le club, et donc empêche tout contrôle efficace sur place.

Sans recherche plus poussée, je n'ai d'ailleurs pu repérer qu'une unique pièce comptable pour un versement de 78 € en date du 30 avril 2015 !?

A953, SLC Valois Sport Diffusion (Sport 2000) verse à l'association des sommes, en contrepartie de nos achats. C'est le trésorier qui l'explique au président... qui le découvre !? A l'évidence, on aimerait bien nous aussi être informés de la forme de ces accords et du montant ainsi redistribué à l'association. Nulle trace, dans aucun compte-rendu... vous connaissez la rengaine.

A893, A842, A889... bien en peine de comprendre un imbroglio de pièces comptables pour le NTC 2014. Au final, on a du mal à dégager un bilan clair de ce tournoi et des reversements qui semblent inférieurs à ce qu'ils auraient du être. On aimerait pourtant l'obtenir.

A826, un ensemble de factures pour de l'alimentation (boissons) pour le tournoi NTC 2014. Je rappelle que ce tournoi est entièrement pris en charge, dans les nécessités de son organisation, par l'association nationale NTC. Il n'y a donc pas lieu à ce que l'association dépense un seul centime d'euros pour ce tournoi. Pas un seul ! Or c'est un total de 86 € environs qui est facturé à l'association pour des boissons... pourtant fournies par le NTC ! Ce sont donc 86 € qui ne sont pas à supporter pour l'association !

A voir avec le bilan exact de ce tournoi NTC 2014 puisqu'il semble que les bénévoles qui ont pris en charge cette organisation (S. LEGAY et T. JACQUET) ne se soient pas reversés la totalité des indemnités qui auraient pu leur être reversées (chacun perçevant un montant d'environ 150 € pour un total de droits retournés de 498 €). Tout cela étant à vérifier donc.

Le 5 juillet 2014, remboursement d'une bière pour 7.18 € ? Une poire pour la soif.

Autant de remarques pour une consultation contrainte dans le temps et donc rapide (1h15) avec un trésorier qui vous culpabilise en évoquant ses obligations familiales. Autant dire des annotations qui demandent à être confirmées en Assemblée Générale.

 

22.8 - Combien d'euros perdus ou gaspillés sur cette saison 2014/2015 ?

Si l'on additionne :

3 600 € des 3h salariées d'un moniteur de tennis qui n'enseigne pas,

+ 1 800 € d'une assurance-doublon durant trois ans,

+ 558 € pour établir des contrats-types,

+ 116 € de frais de déplacements indus,

+ 100/150 € de frais de l'imprimante exclusive du trésorier,

+ 2 500 € de perdus en kms/athlètes (déduction comprise des 9 % de baisse demandés par la municipalité),

+ plus d'autres déperditions encore, sans doute... force est de constater que le bilan de ce Comité commence à peser plus que lourdement sur les équilibres économiques de notre association avec un cumul potentiel de pertes indues de près de 9 000 € !

"Quoi qu'on fasse, ça ne convient pas !"

"Ha ben oui... cette erreur est grave ! Ouh la la, que c'est grave !"

 

23 - 17.85 % d'augmentation confirmés !

Le Contrat de Travail Intermittent d'une Durée Indéterminée à temps partiel (ouf) signé le 9 septembre 2013 par le salarié évoqué ici, indique très clairement que c'est bien "un moniteur de tennis DE" (groupe 3 de la Convention Nationale du Sport) qui a été embauché par le Tennis Club de Crépy en Valois.

Il est à noter d'ailleurs que la signature de ce contrat, le 9 septembre 2013, pour un salarié, seulement AMT et qui n'obtiendra son diplôme de moniteur DE que... le 15 octobre 2013, soit plus d'un mois plus tard, était fort probablement quelque chose d'illégal, mettant durant un peu plus d'un mois, l'association dans le risque d'une situation avec un salarié sans contrat de travail valable !

Il est à noter également que cet AMT aura donc probablement perçu du 9 septembre 2013 au 15 octobre 2013 un salaire horaire de 18 € attribué à un moniteur DE qu'il n'était pas ! Mais cela reste assurément une incohérence que l'association peut feindre d'ignorer pour des élu(e)s approximatifs quand il s'agit de personnes favorables.

En passant, d'après le compte-rendu du Comité de Direction d'août 2014, de 17.82 € nets à 21 € nets, il reste que ce salarié, a donc bénéficié de 17.85 % d'augmentation en septembre 2014 grâce à la décision des neuf élu(e)s du Comité présents !

Un pourcentage bien évidemment absent de ce compte-rendu ! L'écrire posait déjà assurément des questions, voire une grosse gêne au rédacteur de ce compte-rendu !

Je ne reviens pas ici sur l'évidence de l'incohérence des positions du président notamment (mais aussi C. BRETON présente ce 7 juin 2013) qui votent une saison pour 18 € puis votent, dans les mêmes conditions de contrat, pour 21 € la saison qui suit, et ce apparemment sans négocier autrement la demande de ce salarié ! L'essentiel étant bien de rester fidèle... à la majorité du moment.

 

24 - Le compte de résultat de la saison, la situation de la trésorerie : pour lundi 29 juin 2015 !

Lorsque j'interroge le président et le trésorier sur l'absence de ces deux documents parmi ceux transmis aux adhérents pour la préparation d'une Assemblée Générale imminente (3 juillet), le président me répond que ces deux documents seront mis à disposition des adhérents dès ce lundi 29 juin 2015.

Une nécessité absolue pour permettre aux adhérents qui le souhaitent d'examiner plus en détail les évolutions de la saison 2013/2014 sur la saison 2014/2015.

On attend donc.