Lettres d'information

par Christophe Carré, membre du Comité de Direction du Tennis Club de Crépy en Valois

 

Lettre d’information - 22 avril 2014 (suite à la réunion du Comité de Direction du 18 avril 2014)

TC Crépy en Valois : l'impunité toujours de mise !

 

 

1 - Projet de 4e court couvert

Le président fait la lecture du courrier envoyé par le Conseiller en Développement de la Ligue de Picardie, suite à sa visite au club.

Un long courrier qui redit quantité d'éléments et d'analyses que nous avons déjà évoqués en réunion. Mais pourquoi pas ?

Par contre, ce courrier se positionne très clairement sur le projet de construction d'un court couvert complet (couverture + nouveau court) et non le projet de couverture d'un court existant. Une position défendue par le président actuel.

Un projet de création d'un court ne tenant aucun compte d'une quinzaine d'éléments le mettant pourtant en défaut (coût nécessitant des subventions municipales et du Conseil Général, délai de plusieurs années, dix ans si l'on s'en réfère à l'aventure du 3e court couvert, des éléments détaillés dans le courrier que j'ai adressé à Monsieur le Maire, le 21 avril 2014).

Le projet de couverture d'un court existant ne semble l'objet que de contraintes rédhibitoires dans l'analyse présentée dans ce courrier. Ainsi on évoque la nécessité de rénover la surface du court que nous envisageons de couvrir, augmentant d'autant le budget nécessaire, alors même que cette surface a été entièrement rénovée il y a 4 ou 5 ans, pour une durée d'utilisation repartit pour une trentaine d'années ! Dans l'entrevue dont j'ai été écartée par le président actuel, il aurait été évoqué, pour justifier cette "rénovation", ces quelques tâches de rouille apparues dans la semaine suivant la mise en peinture de ce court et qui n'ont, depuis, plus évolué du tout.

De même ce courrier semble mettre en question la résistance dans le temps, la résistance aux climats de cette structure non isolée, non chauffée. Une structure qui est pourtant couverte par une garantie décennale et qui fait l'objet d'une certification Qualisport, à l'égal de l'autre projet étudié. Une structure en toile, comme le court n°6 qui va vaillamment fêter ses trente ans prochainement et dont les seules faiblesses, à ce jour, sont un pourrissement surperficiel du bas de quelques poutres latérales, lié à la dégradation des rondelles des fixations de la toile. La structure envisagée ne présenterait pas ce type de faiblesse avec une structure en acier galvanisé.

Etonnamment, ce courrier se prononce même sur la réalisation d'un nouveau club house, un projet évoqué par l'ex-président, repris donc par l'actuel durant cette entrevue solitaire.

Une idée non reprise par le Comité. Une idée qui correspond peut-être à de bonnes intentions mais qui est incompatible avec le projet premier du club : un 4e court couvert.

En effet, il faudrait y dégager un second budget, d'un montant probablement proche de 100 000 à 200 000 €, voire plus. Autant dire, avec la création d'un nouveau court, entre 500 000 € et 600 000 € à réunir ! Totalement illusoire en cette période de restrictions budgétaires. Aucune chance d'aboutir avant... 10, 15 ans ?

Un second club house sans aucune pertinence avec la vie de notre association. A en juger par l'inutilisation des deux douches existantes qui fournissent pourtant l'intimité et l'eau chaude qu'on peut attendre d'elles. Un club house qui n'est même pas trop petit pour accueillir l'Assemblée Générale, où ces trente personnes qui assistent aux évènements sportifs les plus intenses de notre saison (finales tournoi). Un club house qui serait donc un doublon avec notre club house actuel dans lequel le club et la municipalité viennent à peine de réaliser des travaux de rénovation non négligeables et donnant toute satisfaction !

Un projet qui peut même nuire à l'aboutissement d'un 4e court couvert en grevant d'autant les demandes auprès des élus municipaux et départementaux. Un projet ainsi contreproductif qui ne tient aucun compte des réalités de la vie de notre association. Le mieux est parfois l'ennemi du bien.

Un courrier qui ne répond pas non plus sur cette question des 249 000 € évoqués par le président et que la Ligue verserait, d'après lui. Un courrier qui reprend largement deux projets défendus par... l'ex-président et le nouveau président, qui excluent des entrevues, les élus qui ne défendent pas ces deux projets.

J'imagine donc que le courrier du Conseiller en Développement aurait sans doute été autre s'il avait pu être informé de la multitude des éléments à prendre en compte, spécifiques à notre association !

 

2 - Décision unilatérale, arbitraire et illégale du président

A l'occasion de l'examen de cette question, je porte plainte auprès du Comité sur la décision suivante du président de l'association : "Voici quelques raisons, qui font que j'ai décidé de ne pas te mêler aux projets, vu ton comportement, et ce jusque la fin de mon mandat de président."

A consulter ce courriel dans son intégralité.

N'ayant aucun espoir de voir le président sanctionné autrement pour cette décision unilatérale, arbitraire et illégale, ce qui resterait pourtant trois réels motifs de révocation, je pose la question suivante aux membres du Comité : suis-je légitime à prendre une pleine part à ces démarches concernant le projet de 4e court couvert, en participant pleinement aux réunions et rendez-vous ainsi qu'en ayant la possibilité de consulter tous les documents utiles ?

Le Comité se positionne ainsi :

- 3 membres se prononcent pour me reconnaitre le droit de m'investir dans ces projets et suivre pleinement ces dossiers et donc assister aux rendez-vous.
- 1 autre membre adopte la position suivante : on peut "suivre un dossier" sans avoir le droit d'assister aux rendez-vous où l'on peut constituer ces dossiers. Une curiosité rhétorique au service d'autre chose que l'avancée normale de ce dossier, à l'évidence.
- 1 ne se prononce pas.
- 2 valident l'exclusion de ma personne (le président et le trésorier) du suivi de ces projets.
Je tiens à souligner que c'est une faute dans la conduite de leur mandat dont ils devraient, dans une association "normale", avoir à répondre devant l'Assemblée Générale, une faute qui, à mes yeux, légitime d'autant toutes démarches futures de ma part.

Par ce vote, le Comité donne tort au président, qui n'en tire aucune conséquence.

Sa réaction est même des plus affligeantes : après avoir refusé quelques instants de se conformer à cette décision, le président ne sait plus comment tergiverser pour continuer de m'exclure de ces dossiers. Il indique ainsi successivement et de façon contradictoire qu'il ne me communiquerait pas les rendez-vous pris (notamment avec la municipalité) puis qu'il me les communiquera comme je l'exige, mais qu'il ne sera pas présent à ces rendez-vous.

Je reste donc pleinement légitime pour assister à toutes les réunions concernant ce projet et les autres.

A ce jour, le président Legay ne m'a toujours pas communiqué la date du rendez-vous pris avec la municipalité, en infraction totale avec la décision du Comité.

J'ai donc pris la décision de contacter directement Monsieur le Maire ainsi que Monsieur le Conseiller Général et le responsable de la société Veldeman (21 avril 2014), conformément à la décision du Comité et la réponse du président : "je n'assisterai pas aux réunions où tu seras présent".

 

3 - Coup de théâtre : départ de quatre élus

Une première personne présente dans la public est intervenue plusieurs fois, sans que l'on se pose même la question de vérifier l'unanimité du Comité pour valider cette prise de parole (c'est pourtant la règle pour l'intervention d'un non-membre du Comité).

Lorsqu'une seconde personne souhaite intervenir, quelques membres refusent d'emblée cette prise de parole. D'autres membres font valoir qu'une première personne a pu bénéficier de ce droit, sans autre décision du Comité. Cette personne est donc autorisée à prendre la parole, sur la base de cette liberté accordée par le Comité, ce jour là.

Cette personne souligne un climat très tendu dans les travaux du Comité et souligne notamment que les interventions du trésorier sont quasi-exclusivement agressives, volontairement provocatrices. Une autre personne du public souligne également cette attitude totalement non-constructive de la part du trésorier.

Le trésorier se lève et décide de quitter la réunion, sans autre réponse.

Par solidarité sans doute, la secrétaire, une autre membre du Comité, le président enfin, qui voit ses soutiens partir, décident également de quitter la réunion.

J'interviens pour souligner que nous avons à peine traité une dizaine de points sur une trentaine à l'ordre du jour, dont certains importants pour la vie de l'association.

Je rappelle à ses responsabilités le président qui ne dit plus un mot.

Après ces départs théâtraux, force est de constater que nous ne sommes plus en mesure de continuer la réunion puisqu'il n'y a pas la moitié des membres du Comité présents, condition nécessaire pour la validité des délibérations.

La réunion prend donc fin, faute d'élus suffisamment responsables ce soir là pour assurer la bonne marche de notre association.

 

Les autres dysfonctionnements à l'ordre du jour mais non traités

4 - Absence d'un membre du Comité

Ce membre a été rembarré par le président alors qu'il prenait les dimensions d'une fenêtre à occulter dans le club house. Le tout pour rendre service comme il le fait depuis toujours, au plus grand bénéfice de l'association. Ce membre semble avoir également été l'objet d'un propos fort désobligeant, quasi insultant lors de la réunion du mercredi 26 mars 2014. La présence de ce membre au sein du Comité aurait été comparée à "un meuble".

Autant d'éléments qui explique l'absence probablement "diplomatique" de ce membre pourtant très présent dans la vie quotidienne du club, n'ayant loupé quasiment aucune réunion du Comité.

 

5 - Réunion précipitée du mercredi 26 mars

Le président a informé les membres du Comité d'une réunion avec les moniteurs le mercredi 26 mars en envoyant un courriel le lundi 24 mars. Une précipitation sans aucune justification, ne laissant pas le temps de s'organiser pour être présent à cette réunion pour les membres du Comité le souhaitant. Courriel du président truffé d'ironie, comme autant de provocations infantiles.

Délai non conforme aux prescriptions du Comité qui a souhaité des délais suffisant dans l'organisation des réunions des responsables du club.

 

6 - Discrimination pour les activités libérales

Il semble que durant cette réunion, les membres du Bureau présents (la secrétaire, le trésorier et le président pour les 45 premières minutes) aient laissé dire, sans autres réactions, que le stagiaire DE ne pourrait pas exercer en temps que travailleur indépendant, l'an prochain, s'il obtient son diplôme, à l'égal des droits qui sont pourtant reconnus pour les autres moniteurs diplomés du club. Une absence de réaction regrettable puisqu'elle laisse penser que ce sont les moniteurs en place qui se distribuent les droits d'exercer des activités libérales sur les installations du club. Nos textes, notre jurisprudence restent pourtant très clairs sur ces sujets. A voir avec les élus présents ce jour-là, lors de la prochaine réunion du Comité, pour l'affirmation d'un droit égal, sans l'ombre d'une discrimination pour nos quatre salariés.

 

7 - Refus d'une location de court

Une ancienne élève de l'Ecole de Tennis a fait une demande auprès de la secrétaire pour louer un court avec une autre ancienne élève de l'Ecole de tennis. La secrétaire a opposé un non définitif. Ce n'est pas en conformité avec le règlement intérieur de l'association qui permet, sous certaines conditions, la location d'un court à deux non-adhérents. A l'égard de deux ex-élèves de l'Ecole de Tennis, on appréciera ce refus catégorique d'une secrétaire faisant preuve de méconnaissance des textes de l'association, pourtant très clairs à ce sujet. Il existe même un texte spécifique à ce type de demandes !

 

8 - Monopolisation du court n°5 par des activités libérales

J'ai protesté contre la monopolisation du court n°5 pour l'organisation des stages durant les vacances scolaires, par les moniteurs du club. Lorsque j'étais en charge de cela, je veillais à alterner ces réservations afin que les adhérents de notre association puissent utiliser ce court le plus agréable (meilleure lumière, isolation, chauffage) qu'ils ont, en partie, financé (80 000 €).

Je rappelle que ce court est quasiment toujours réservé, en période scolaire, à l'usage des activités encadrées, c'est à dire très rarement accessible aux adhérents qui n'ont pas d'activités encadrées. Il me semble que durant la période des vacances scolaires, en journée ou en soirée, c'est l'occasion pour eux de profiter enfin de cette superbe structure.

Aucune retour, aucune correction de la part de la secrétaire. Sans doute le témoignage d'un certain mépris pour moi et les adhérents dont je défends les intérêts.

 

9 - Insultes du trésorier

Dans un courriel daté du 15 avril, à l'occasion de la remarque sur le fait que c'est le trésorier qui a établi le compte-rendu de la réunion du 21 février et non, comme le prévoit nos statuts, la secrétaire (je l'apprend par hasard lorsque le trésorier me diffuse, par erreur, un précédent courriel), le trésorier m'insulte gravement par écrit : "le trésorier, il t'em... toi et ta rhétorique de geek sectaire imbuvable". Une dernière insulte qu'il a pourtant nié m'avoir adressée et qu'il réutilise pour la quatrième fois, cette fois sans en dissimuler l'intention profondément injurieuse, son intention de toujours.

Un trésorier jouissant toujours d'une totale impunité pour ses multiples insultes.

Nulle part ailleurs de tels comportements ne pourraient perdurer. Une association comme une zone de non-droit.

 

10 - Insultes de la secrétaire

A cette même occasion, la secrétaire écrit ceci : "arrête de faire ton clébart qui s'est fait piquer son os", ou ceci encore "Mais va te faire soigner".

Impunité totale pour cette personne, multirécidiviste dans l'insulte et la vulgarité.

 

11 - Diffamation du président

Toujours dans ces échanges, le président est capable d'écrire ceci : "Parce que que quand je vais à l'église, à la Pharmacie, à l'ecole, ou que j'entends dire que ta mere ne veut pas revenir à crépy à cause de toi, c'est pas ma réputation que est mis en avant.... )"

Je pourrais certes me réconforter en constatant que ce triste monsieur est désormais devenu une vedette familiale, voire plus, mais j'avoue rester pleinement blessé par ce type de propos qui font suite à ceux de l'ex-président n'hésitant pas à me présenter comme un mauvais père.

Il est certain que ces personnes font bien partie de ces gens qui ne reculent devant rien pour démolir leur contradicteur. Tout est permis. Et, après tout, cette association, jusqu'à présent, semble bien leur avoir donné raison.

 

12 - Mes réactions à ces insultes réccurrentes

Ne cherchez pas, je ne réponds jamais aux insultes par l'insulte. Ce n'est pas faute pourtant d'y songer fortement. Mais je sais pertinemment que c'est le jeu de ces personnes. En les insultant nous ne formerions plus qu'un amas de personnes injurieuses, réunies dans ces pathétiques attitudes.

Je sais également pertinemment qu'en dénonçant mois après mois tous ces excès de la part de ces élus, dans ces longs écrits indigestes, on m'assimile désormais à eux. J'ai donc déjà perdu tous ces combats. Ce sera bien là ma plus grande défaite. Mais j'ai atteint l'âge où l'aigreur est aussi organique...

 

13 - Courrier de l'inspection du travail toujours secret

Ce courrier datant du 16 septembre, gardé volontairement secret par l'ex-président, n'a toujours pas été transmis par le nouveau président. Bientôt un an de rétention. Il est pourtant dans le rôle du nouveau président que de réclamer ce courrier à l'ex-président qui n'a plus strictement aucune légitimité pour le conserver et verser ce document dans les archives de l'association.

Hormis le fait que cette rétention de document reste bien une faute lourde pour l'ex-président, c'est en passe de devenir (troisième demande) également un reproche important à faire contre le nouveau président.

Nous allons organiser les cours collectifs de la rentrée 2014 sans connaitre les préconisations énumérées dans ce courrier de l'Inspection du travail. Une attitude de ces deux présidents qui va donc faire courir à l'association le risque de valider des dispositifs en infraction avec le code du travail. Est-ce raisonnable ? Est-ce acceptable ?

 

14 - Absence de suivi des activités libérales des moniteurs

Les réservations pour cours particuliers ne sont plus indiquées sur le planning des réservations. Les membres du Comité n'ont donc plus aucun moyen de controler la déclaration de ces heures auprès de la responsable, la secrétaire. Un dispositif qui permettait pourtant de juguler les manquements à ces obligations des moniteurs.

Je rappelle également que c'est le seul moyen pour l'association de ne pas se voir condamnée par les services de l'URSSAF pour travail dissimulé. En effet, sans déclaration de ces heures à louer par les moniteurs, un inspecteur peut être améné à sanctionner l'association pour ce qu'il estimera être du travail dissimulé.

La secrétaire ne fait pas ce travail sur le planning. C'est pourtant son rôle. Il ne suffit pas de se plaindre de l'absence de déclarations des moniteurs, d'évoquer des fraudes de leur part, faut-il encore être capable de faire fonctionner correctement les outils mis en place pour s'assurer de ces déclarations de cours particuliers.

 

15 - Achat du mobilier : non respect de la décision du Comité

Le Comité avait décidé qu'une membre ferait des propositions, par courriels, aux membres du Comité, pour le choix final.

Quelle surprise de constater que l'achat a été effectué sans aucune concertation avec la totalité des membres du Comité. Le trésorier signant le chèque ne respecte pas cette décision du Comité qui n'a pas donné son aval pour cet achat. C'était pourtant peu de chose que de faire cette simple consultation par courriel, comme prévu.

On répond que "là au moins, on avance". Si faire un chèque est la seule nécessité pour donner à une décision sa légalité, il y a fort à parier que nous allons au devant d'autres surprises dignes de celles du trésorier dépensant 91.46 € pour l'achat d'une suite logicielle totalement inutile. C'est bien pour éviter ces gâchis que le recours au Comité reste une nécessité lorsque c'est la décision... du Comité !

 

16 - Page Facebook du Tennis Club de Crépy en Valois : photographie désobligeante

Alors que la page du site officiel de l'association est désormais "morte", figée dans l'hiver où je l'ai laissée, les informations se révélant difficilement lisibles avec des couleurs contradictoires, ne bougeant plus que par soubresauts, l'idée a été lancée de cette page Facebook comme un doublon.

On préfererait que la secrétaire assume plus pleinement les tâches qui lui incombent (planning cours particuliers, rédaction des comptes-rendus de réunion) plutôt que de s'investir dans l'animation d'un site-doublon. Mais bon...

Or quel est le premier document posté sur cette page, le 14 mars 2014, comme un acte de naissance ?

Celui-ci :

Une photo peu flatteuse d'un moniteur immobile, sans raquette, pris de dos. Avec ce commentaire pour souligner l'intention d'une telle publication : "Pas belle la vie de BE à Crépy??!!!"

Une photographie laissée libre d'accès pour... la terre entière.

On répondra sans doute qu'on ne comprend rien à l'humour ?

Par égard pour un salarié, qui a aussi une activité libérale, il me semble hautement souhaitable de n'avoir jamais fait une telle publication, anonyme qui plus est.

D'autant que ce salarié de l'association (le plus fidèle à notre association) n'a pas été prévenu, n'a pas été sollicité au préalable pour donner son accord sur la publication d'une photographie aussi peu flatteuse. Nous apprécierons la méthode.

Quand on sait que c'est ce même salarié qui est pris à partie par le président qui le menace directement dans l'un de ses écrits... on peut aussi se poser d'autres questions.

J'aurais donc demandé, si ces élus étaient restés en réunion suffisamment longtemps, pour qu'on retire immédiatement cette photographie d'un site qui montre décidément très vite "l'utilité" relative qu'on peut en attendre.

Il y a sans doute beaucoup mieux à faire en animant correctement le site officiel de l'association.

 

17 - Le défibrillateur : un courriel non envoyé pour une démarche importante

Je fais remarquer que lors de la réunion du 21 février, nous avions indiqué qu'un courriel serait envoyé aux adhérents pour leur rappeler ou leur apprendre la procédure à suivre pour accéder au défibrillateur.

Ce courriel n'a pas été envoyé.

Or l'on sait que dans le cas où on est dans l'obligation d'utiliser ce matériel, le minutes sont comptées.

Il convient donc que la secrétaire procède à cette information à destination de l'ensemble des adhérents, ce qui aurait du être fait depuis deux mois déjà, conformément à la décision du Comité du 21 février 2014.

Je le fais donc ici. Des précisions à reprendre dans ce courriel, tellement nécessaire.

1 - Se rendre dans le hall d'accueil

2 - Saisir le petit marteau accroché à la boite rouge située à droite de la porte d'entrée du club house, elle même située dans ce hall.

3 - Casser la vitre de ce boitier pour saisir la clef d'entrée du club house.

4 - Ouvrir le club house. Ne tenir aucun compte de l'alarme qui se déclenchera (elle fera venir plus vite les secours et le code ne peut, de toute façon, pas être donné à tous les adhérents).

5 - Se saisir du défibrillateur (à gauche en rentrant, boitier vert fixé au mur) et procéder à la manipulation conformément aux indications données sur ce matériel. Procédure sans risque pour le manipulateur et le manipulé (d'après ce que j'en ai compris. A vérifier).

Le Comité a également rappelé autrefois qu'il conviendrait de proposer une initiation pour les adhérents qui le souhaiteraient. Une proposition jamais mise en oeuvre.

 

18 - Forfait URSSAF : pas de démarche ?

La démarche qui avait été décidée lors de la réunion du 21 février 2014 n'a pas été faite par le président. Il s'agit de savoir si un moniteur peut bénéficier d'un forfait lorsqu'il a une activité libérale.

 

19 - Contrat d'assurance : toujours rien ?

Visiblement ce contrat n'a toujours pas fait l'objet de la mise à jour décidée par le Comité. Le trésorier ne donne aucune nouvelle (pas de point prévu à l'ordre du jour). Là aussi, un délai de réaction proche de l'année, pour l'instant.

 

20 - Décollage des fixations des arceaux du court couvert n°6

Je n'ai pas été suffisamment rapide pour transmettre ce point dans l'ordre du jour réglementaire (48h avant le début de la réunion). Aussi l'avais-je rajouté pour le proposer à l'issue de l'examen de l'ordre du jour... examen qui s'est interrompu brutalement et précocément.

A. Nowak m'a signalé le décollage (de 1 à 2/3 cm) des fixations de certains des arceaux du court couvert n°6, suite à la dernière tempête.

Sans doute un signalement à effectuer auprès des services techniques.

 

21 - La rénovation de la terre battue

Devis en cours au niveau de la municipalité. Les délais (vote du budget) ne permettront pas la rénovation avant début juin.

Un débât s'engage : faut-il rénover ce court, avec ce délai tardif et une saison ainsi raccourcie ? Le montant est de 2160 €.

J'indique que je suis pour une solution plutôt radicale : la non rénovation définitive de ce court.

Pour plusieurs raisons :

- certes la pratique sur terre battue est agréable, notamment pour ces "vieux" dont je fais désormais partie.

- c'est aussi un plus pour l'association qui peut ainsi offrir la pleine panoplie des surfaces que l'on rencontre dans les tournois, les rencontres par équipe, et donc permet aux joueurs de s'y préparer convenablement.

- sans rénovation, ce court sera un court en moins pour l'association, une éventuelle rénovation en un court en dur ou une terre-battue "sempervirente" (type classic-clay) prendra plusieurs années pour que le dossier aboutisse.

- mais, je ne peux m'empêcher de réagir aussi en tant que citoyen et contribuable crépynois.

- et la rénovation de ce court pour 2160 € chaque année n'est pas "rentable" car ce court ne bénéficie pas de la maintenance absolument nécessaire pour que sa rénovation soit cohérente, pérenne. Si l'on achète une voiture mais qu'on n'est pas en mesure de remettre du carburant... on a fait un achat totalement inutile !

- nous ne sommes pas une association qui peut avoir une terre battue. La terre battue est, en fait, un court en calcaire (le rouge, en surface, n'est là que pour éviter d'être aveuglé et faciliter la glisse) qui a la nécessité d'être inondé quasiment chaque soir des journées ensoleillées, avec le risque avéré sinon de voir le calcaire se désagréger durablement, se mélangeant à la brique pilée, perdant à jamais ses facultés de cohésion. Au final un court poussiéreux que plus aucun arrosage ne parviendra à agglomérer convenablement. Un court désagréable, trop injouable.

Nous n'avons jamais su instaurer un entretien régulier et sérieux de cette surface, soit que les adhérents ne s'y astreignent pas (il faut 20 minutes pour l'inonder pour les derniers joueurs, qui ne savent parfois pas s'ils sont vraiment les derniers et ne procédent donc pas, de bonne foi, à cet entretien), soit que le matériel d'arrosage disparaisse systématiquement, comme ces dernières années.

Les clubs qui disposent de plusieurs courts en terre battue ont un permanent (mais nous n'allons pas embaucher un salarié pour arroser le court) ou un système d'arrosage automatique (un arrosage automatique a été estimé à plus de 10 000 € (à préciser, cf. recherche effectuée par Denis V. auprès du club de Compiègne)).

Rénover cette surface est donc un investissement incohérent pour notre capacité à l'assumer, totalement non "rentable", et ce depuis plusieurs années.

Le Comité décide néanmoins de confirmer la demande de cette rénovation auprès de la municipalité.

 

Les autres points traités par le Comité

22 - Autres délibérations, pêle-mêle (je fatigue)

- barbecue : deux livrés par la municipalité, un seul sera largement suffisant, un sera rendu aux services techniques. Problème du rangement.

- aménagement vélos : ils seront disposés au coin des courts 4 et 3. Je fais remarquer que c'est très loin de l'entrée des courts, dans un endroit isolé et qu'il y a fort à parier qu'ils ne seront jamais utilisés. On me fait remarquer que certains adhérents rentrent leur vélo dans les courts couverts.

- vitres teintées : un des deux vantaux de la porte fenêtre donnant sur l'extérieur a été équipé. Le problème reste pour l'autre vantail dont la lumière reste toujours gênante pour le jeu sur le court n°6. Je n'ai pas tout compris des autres solutions envisagées. Je milite pour la pose d'un rideau amovible devant le dernier vantail.

- vitrines : les trois seront fixées sur le même mur, à droite de la porte fenêtre.

- déménagement du matériel pédagogique. Il sera demandé au moniteur de vider le local ordinateur de tout matériel pédagogique. De même, le matériel informatique prêté par un adhérent sera proposé pour reprise par cet adhérent. A défaut, ce matériel sera évacué, permettant ainsi de rendre à ce local une forme "humaine".

- bilan animation double surprise. KF indique que 36 adhérents ont participé à cette animation. Tous satisfaits. KF indique qu'il souhaite organiser une nouvelle animation de ce type où il cherchera à mobiliser les adhérents récents de l'association. Le Comité valide la date du samedi 5 juillet 2014 de 14h à 18h.

 

23 - Points figurant à l'ordre du jour mais non traités (départ théâtral de quatre élus).

- Entrevue avec la société Veldeman pour une implantation sur le court n°3 du futur court couvert

- Bilan entrainement physique

- Situation des AMT

- Point sur le matériel pédagogique

- Consultation des parents pour le planning des cours collectifs 2014/2015

- Compte-rendu de la réunion du mercredi 26 mars 2014 avec les moniteurs

- Planning de la fin de saison

- Présentation des équipes et du planning des rencontres par équipes

- Organisation du tournoi NTC de juillet/août 2014

- Dates et homologations des tournois internes et open

- Point sur la sortie prévue à Roland Garros

- Opération "Mes premiers pas en match"

- Point sur les contrats partenaires

- Préparation de l'Assemblée Générale de juin 2014 (dates, remise des comptes, consultation des comptes au préalable)

- Point sur le dossier de demande de subvention CNDS

- Point sur le dossier de demandes de subventions AVSL (Conseil Général)

- Décollage des fixations de certains arceaux du court n°6

Autant de points importants qui n'ont pas pu être normalement examinés durant cette réunion.

 

 

Le sommaire ? Demandez lui !