Lettre d’information - 12 janvier 2014 (suite à la réunion du Comité de Direction du 10 janvier 2014)
Sommaire
1 - Élection d'un nouveau président
2 - Élection d'une secrétaire
3 - La seconde place de la "Journée des présidents" de Roland Garros
4 - L'augmentation du montant des licences
5 - Projets
5.1 - Projet de réaménagement du club house
5.2 - Projet du quatrième court couvert
6 - L'élu Christophe Carré est-il un grand malade ?
7 - Quelques autres remarques sur des décisions ou informations de ce 10 janvier
1 - Élection d'un nouveau président.
- Courriel de démission de l'ex-président ( 13 décembre 2013) : "Ce club n’est pas ma propriété et je me sens capable d’exister en dehors de ce mandat."
Ce membre du Bureau démissionne et trouve encore le moyen de me diffamer, voire m'humilier : on comprend aisément que je considére le club comme ma propriété et que je ne me suis pas capable d'éxister en dehors de ce mandat.
- La réunion du 10 janvier a été précipitée par une convocation dans un délai de 4 jours.
Le point n°1 de la réunion d'avril 2011 précise qu'il faut respecter un délai suffisant pour que les "convoqués" puissent s'organiser. Non-respect de ce point. On doit se plier à l'agenda personnel de ce membre du Bureau.
- Nous n'aurions du élire un nouveau président que le 19 janvier. Il sera élu le 10 janvier.
Nous sommes donc sans doute actuellement la seule association de France, après ne pas avoir eu de secrétaire, a avoir eu deux présidents élus et légitimes dans ce rôle, en même temps ! Une présidence bicéphale.
- Ce membre du Bureau a participé à ce vote.
Pourtant, en n'étant plus ni président, ni membre du Comité au moment où il aurait fallu procéder à ce vote (le 19 janvier et pas avant), il participe, sans aucune légitimité à ce vote, l'entachant d'un vice de forme.
- Ce membre du Bureau a également mis à l'ordre du jour la nécessité de prévoir la date de l'Assemblée Générale de l'association de juin 2014.
Une date qui devrait donc être fixée... six mois à l'avance (nous le faisons deux mois à l'avance en général) ! Quel justification personnelle cache cette précipitation ?
- Cet ex-membre du Bureau affirme que (courriel du 6 janvier 2014) : "dans une association de la loi de 1901, le poste important est bien celui de président", ou bien encore ceci : "Une association peut fonctionner avec un président et un trésorier même sans secrétaire mais pas sans président."
Affirmations mensongères. Toutes les sources s'accordant sur l'absence de hiérarchie dans une association: "une association peut fonctionner sur un mode horizontal : il n'est pas nécessaire d'avoir une structure hiérarchisée (président/secrétaire/trésorier). D'autre part, La loi 1901 ne définit pas les mots « président », « trésorier », « secrétaire »". Cf. loi 1901 sur Legifrance.fr ou les sites évoquant ce monde des associations, jusqu’au formulaire de création d’une association téléchargeable sur le site des préfectures.
De plus, des affirmations de la part de ce membre qui restent contraires aux statuts de l'association pourtant très clairs sur ce point (article 15) lorsqu'il affirme opportunément qu'on peut se passer de secrétaire. Nos statuts imposent bien la nécessité d'avoir "au moins trois membres au Bureau dans notre association : un président, un trésorier" ET "un secrétaire" !
A la lecture de tous ces graves dysfonctionnements, comment recevoir cette enième mise en cause de l'ex-président à mon encontre dans son ultime attaque : "épuisement dans des luttes intestines sans fin ou des affaires de personnes avec un tribunal permanent" ? Qui est reponsable de tout cela, de ce "tribunal permanent" sinon les auteurs de tous ces dysfonctionnements ?
-
Le futur nouveau président tient à affirmer très clairement qu'il accepte d'assurer "l'intérim" jusqu'en juin 2014 mais qu'il ne se représentera pas à ce poste pour les élections organisées en Assemblée Générale à cette date.
2 - Élection d'une secrétaire
- L'association doit se doter d'une ou d'un secrétaire, conformément aux statuts. Je le rappelle.
Une élue du Comité a mis à l'ordre du jour de la réunion de ce 10 janvier une "demande de sanction d'un membre du Comité pour remettre sans cesse à l'ordre du jour des points déjà traités mais dont le résultat du vote ne le satisfait pas ( harcèlement?)". Cette élue du Comité me reprochant ainsi de remettre cette élection d'une ou d'un secrétaire à l'ordre du jour.
De façon incohérente, cette élue du Comité indique ensuite en réunion que c'était une blague et qu'elle se présente à cette élection.
- Cette élue du Comité (secrétaire de l'Ecole de Tennis) est élue par six voix, une abstention.
- Cette élue a déjà été rappelée au règlement pour avoir insulté un adhérent en le comparant à un mendiant devant aller se foutre devant Monoprix pour quémander l'aumône.
Cette élue est également toujours sous le coup d'une plainte de ma part pour avoir insulté un adhérent "d'emmerdeur" car "elle sait les reconnaître quand elle en voit un !"
- Un adhérent a fait transmettre une plainte pour de multiples fraudes au règlement sur les réservations. Un adhérent qui veut rester anonyme car déjà victime d'une diffamation déplorable de la part d'un membre du Comité. Un point non à l'ordre du jour (pas de précisions suffisantes dans cette plainte) mais évoqué par le président durant cette réunion.
La nouvelle secrétaire du club a insulté gravement cet adhérent qu'elle ne connait pas (réunion du Comité du 13 décembre 2013). L'insulte qu'elle a utilisé est tellement vulgaire et indigne que je ne peux pas la citer ici.
A ma demande de sanction pour cette troisième insulte proférée par cette élue sur des adhérents absents en réunion du Comité, strictement aucune sanction n'est prise par le Comité.
Quels sont les adhérents, adhérentes qui souhaitent être représenté(e)s par cette dame et qui souhaitent voir cette élue, ainsi indigne de son mandat, assurer les plus hautes responsabilités au sein de notre association ?
Le Comité ignore volontairement l'article 8, paragraphe C du règlement intérieur et son souci de voir notre association attentive aux "règles de bienséance", au "respect des personnes". Cet article est piétiné par la majorité du Comité qui ne veut pas mettre en question le comportement de cette élue. Est-ce acceptable ?
Combien d'insultes cette élue pourra t-elle proférer sans être le moins du monde mise en cause ? Qui sera le prochain adhérent qui se verra ainsi insulter alors qu'il aura simplement transmis une question (c'était le cas ici), une remarque, et ce le plus respectueusement du monde ?
- Cette élue, secrétaire, a pourtant, à de multiples occasions, publiquement indiqué qu'elle n'avait ni l'envie, ni le temps de prendre en charge le poste de secrétaire.
Cette personne le précise d'ailleurs régulièrement, elle n'a pas le temps car, et je la cite : "moi, je travaille", rappelant en cela les nombreuses mises en cause sur le volume de temps que je consacre à l'association et "la chance" que j'ai d'avoir un métier dont elle semble penser les pires maux.
- Je fais remarquer que ce travail de secrétaire nécessite une certaine réactivité, prenant en exemple le cas d'un adhérent s'inscrivant dans l'espace d'une quinzaine de jours où malheureusement Gilbert ne peut assurer sa permanence du dimanche.
Cette personne répond que "l'on n'est pas aux pièces" et que "cet adhérent pourra bien attendre une semaine pour qu'on l'inscrive sur Tennisweb". "On n'est pas aux pièces", à charge pour les adhérents de patienter pour cette personne qui n'a pas le temps mais qui veut être secrétaire.
D’ailleurs ce membre du Bureau, dans son courriel du 12 janvier, le précise : "ce seront Gilbert Fleury et le trésorier qui assureront les inscriptions". Cette personne, secrétaire n’assurera donc pas cette responsabilité relevant pourtant statutairement (article 18) du secrétaire.
- A l'occasion de l'examen de cette nouvelle injure proférée par cette élue, comme très souvent, cette personne, que je contrarie s'emporte, haussant fortement le ton, ne se contrôlant plus.
Et une nouvelle fois cette élue du Comité dérape gravement en m'indiquant la chose suivante : "il y aurait mon frère, tu t'en prendrais !" Après les vulgarités, les injures, voici les menaces. Une panoplie des plus indignes. Que me promet cette élue de la part de ce frère qu'elle présente ainsi : d'autres insultes ? Des coups ? Voire plus si affinités ? Vais-je prendre un risque en sortant dans la cour, à la récréation ?
Déjà, en novembre, j'ai été insulté par un autre membre du Comité de "morveux de bac à sable", dans l'impunité la plus totale accordée par une majorité des membres du Comité. Qui accepterait de tels comportements sinon une trop grande majorité de ce Comité ?
3 - La seconde place de la "Journée des Présidents", la mal nommée.
- A l'occasion du tournoi de Roland Garros, la FFT accorde aux présidents des clubs, deux places dans une tribune présidentielle. La première est clairement attribuée aux présidents par la FFT. La seconde est laissée au libre choix des présidents.
Daniel HETTE, secrétaire générale de la FFT explique pourtant ceci : « Ce rendez-vous qui rend hommage aux hommes et aux femmes qui oeuvrent au quotidien sur le terrain ne doit pas être dénaturé ». Ce haut responsable de la FFT dit aussi ceci : « nous voulons que cette initiative permette une valorisation des responsables de clubs ». Extraits d’un article du Tennis Infos de décembre 2011/Janvier 2012, (http://www.fft.fr/actualites/tennis-info/2011).
Il faudrait donc renommer cette journée en « Journée des Responsables de clubs » pour une pleine cohérence. J’en ai déjà fait la proposition à la FFT. Mais cela semble moins... glamour.
La FFT renforce ses contrôles sur la rétrocession de la place déchue aux présidents car cela "dénature" ce dispositif. La FFT promet même d'interdire de stade une infraction à cette "règle". Mais la FFT accorde de la "souplesse" pour l'attribution de cette seconde place ? Ce dispositif doit-il être un "hommage aux hommes et aux femmes qui oeuvrent au quotidien sur le terrain" ou un hommage au seul et unique dirigeant digne de la reconnaissance de la FFT : le présidents de club ? Les autres dirigeants sont-ils aussi déméritants ?
- Un responsable de la FFT explique également que, si ces places sont délivrées aux présidents des associations, c'est pour des raisons pratiques.
On peut donc fortement souhaité que la seconde place soit attribuée à un autre "responsable du club". La FFT, elle même, indique bien que c'est une règle désormais dans le cas où le président d'un club doit rétrocéder sa place. Comment peut-il en être autrement pour cette seconde place ? De quelle "souplesse" parle t-on pour ne pas établir une règle identique pour cette seconde place ?
- Dans notre association, qu'en est-il ?
Et bien le membre du Bureau concerné a toujours refusé catégoriquement de dévoiler à qui il ouvre le privilège de bénéficier de cette seconde place. Ce membre du Bureau montre même une extraordinaire colère lorsqu'on ose seulement aborder cette question de lèse-majesté.
- Si l'on peut considérer que le président, y compris le nôtre, reste bien un responsable du club particulièrement sollicité et donc légitime à bénéficier de cette reconnaissance de la FFT, je milite, contre vents et marées, pour que la seconde place revienne enfin, par un vote démocratique, à un responsable de l'association dont l'action aura été telle qu'elle sera digne de cette reconnaissance et non un "invité mystère" dont on peut même se demander s'il est simplement adhérent ?
Cette abradabrantesque annulation des questions diverses pourtant légales et légitimes durant l'AG de juin 2013, par le président en place. Une abradabrantesque annulation qui n'a pas permis à l'AG de se prononcer sur cette proposition.
A l'occasion du départ du président, j'ai donc saisi l'opportunité de convaincre le Comité pour enfin mettre en place une procédure pleinement démocratique, hautement plus morale, de l'attribution de cette seconde place. Rejet pur et simple, avec les sarcasmes de rigueur.
- L'ex-président indique que les réservations sont ouvertes depuis décembre 2013 pour ces deux places. Je lui demande s'il a donc déjà fait cette réservation ? Il me répond qu'il ne fait qu'indiquer que les réservations sont ouvertes depuis le 18 décembre 2013 (clôture le 5 février 2014). Il me fait ce rappel avec colère, comme toujours sur cette question.
Après avoir contacté les responsables de la FFT de cette Journée des Présidents (23 janvier), que me répond t-on ? Ceci : "En consultant les inscriptions déjà enregistrées, nous avons pu identifier que l’ancien président M. CARREL s’était déjà inscrit pour cette journée. En revanche, dans la mesure où il n’est plus Président du club, nous annulerons automatiquement sa demande après la clôture des inscriptions." Les réservations ont bien été passées par cet élu du club, peut-être avant la réunion, peut-être après, alors même que cet ex-président a indiqué dès le 13 décembre (le jour de l'ouverture de ces réservations) qu'il démissionnait et ne serait plus président ! Cet ex-président sait qu'il ne sera plus président, il n'a donc plus aucune légitimité à représenter l'association en tant que président en juin 2014, et il passe tout de même ces réservations à son nom ?
- Je sollicite le futur nouveau président.
Celui-ci reprend mot pour mot l'argumentaire de président en place pour indiquer clairement que ces deux places sont à la totale disposition du président en place, niant l'esprit de ce dispositif rappelé par Daniel Hette, secrétaire général de la FFT. Ce sont ainsi les autres dirigeants de l'association qui ne peuvent espérer aucune reconnaissance. Sont-ils moins méritants que ce tout récent élu du Comité ?
4 - L'augmentation du montant des licences fédérales.
- Je mets à disposition sur ce site, deux documents concernant cette question.
- Le premier est un courrier argumenté, posant un ensemble de questions à J. Gachassin, président de la FFT.
Des questions que je pose sur cette décision de la FFT. Une décision très polémique et nous restons bien, en tant que licenciés, une voix légitime, un millionnième de voix légitime à poser des questions, espérer des réponses.
Le second est le courrier de réponse du Président de la Fédération. Ce dernier, fort attentif aux principes élémentaires d'une démocratie où les responsables répondent aux citoyens qui les interpellent parce qu'ils ne se considèrent pas comme des personnes inaccessibles au commun des mortels, me renvoie dans mes vingt-deux (il connait le rugby) en ironisant sur mon appartenance à une association (je l'ai déjà largement sollicité en tant que secrétaire, sur un autre dossier, nous en sommes à plusieurs échanges, il me connait parfaitement) pour finir par me préconiser de passer par l'intervention du président de l'association qu'il sait fort probablement opposé à cette démarche (notre président pourrait pourtant en discuter avec le président J. Gachassin, dans la tribune... des présidents durant la Journée des... présidents !).
Donc impossibilité pour moi d'obtenir des réponses à ces questions dérangeantes assurément, notre Comité ayant suivi ce membre du Bureau dans le refus d'engager cette simple démarche.
- Pourtant, élu de notre association, j'estime qu'il est de mon devoir et de celui de l'ensemble des élus de se montrer toujours attentifs à la défense des intérêts de nos adhérents (+ 10 € en 4 ans, y compris les licences jeunes dont les effectifs baissent pourtant !).
Je saisis donc l'opportunité de l'arrivée d'un nouveau président pour communiquer ce document, cette proposition. Pas de réponse sur cette question. Pas de défense des intérêts de nos adhérents. Vous !
5 - Projets.
J'entends d'ici mes détracteurs me résumer encore à l'image d'un polémiste en diable, loin de toutes démarches constructives, d'un triste monsieur qui ne se complait que dans la procédure, l'embrouille, le conflit. Je suis "l'accessoire" alors que d'autres se consacrent au "principal".
- J'ai pourtant un bilan au sein de cette association qui s'illustre autrement, et de mille façons. J'en fais encore la preuve avec ces deux projets, dont je reste à l'initiative, et pour lesquels j'exerce le suivi le plus appliqué, réunion après réunion, comme en témoigne les comptes-rendus du travail du Comité.
5.1 - Projet de réaménagement de club house.
- J'ai initié ce projet. J'en ai dégagé les justifications, les détails, les plans, les profits pour le fonctionnement de l'association, les étapes successives à mener à bien. Pardon de me mettre ainsi en avant. Pas mon habitude. Voilà que je m'y mets... moi aussi.
Il aura fallu ensuite, durant quasiment deux ans, exercer une forte pression (cf. comptes-rendus de réunion) sur les responsables successifs des travaux du Tennis Club de Crépy en Valois (le président puis le trésorier) pour parvenir à obtenir l'installation des arrivées d'eau, premier chantier à engager.
- Je me réjouis de voir que, enfin, nous ayons pu ensemble mener à bien les premières étapes de ce projet qui me motive tout particulièrement.
Mais écoeuré par l'élection d'une secrétaire indigne de ce mandat, j'ai décidé de ne plus m'investir dans la réalité des travaux de ce projet.
Il y aura surement d'autres nombreux volontaires (nous n'étions pas une "bonne quinzaine" comme l'indique ce membre du Bureau qui n'a pas pris la précaution de demander des précisions, mais plutôt une toute petite dizaine le premier weekend et seulement deux seuls rescapés durant plusieurs autres demi-journées de travaux nécessaires (S. Legay et moi même)). Ceci dit sans aucun reproche pour les premiers volontaires. Et j'accompagne cette dernière précision de tous les remerciements mérités à leur adresser.
- Quoi qu'il en soit, un projet qui fera de notre club, un club où l'on accueillera les adhérents de face et non de côté comme auparavant.
Et je ne manque pas de me dire que c'est un peu à l'image de tous ces combats que je dois mener pour un accueil et un accompagnement respectueux et francs des adhérents et non un club où les adhérents sont insultés par certains élus, en leur absence, dans les réunions officielles de l'association. Tout un symbole ! Vivement la fin des "travaux" !
5.2 - Projet de quatrième court couvert.
- Je me réjouis également de voir que nous disposons, enfin, d'éléments concrets qui permettent d'envisager les étapes à venir.
Maintenant que le projet surprise (annonce unilatérale en AG) d'un membre du Bureau de deux courts couverts supplémentaires a été enterré par les réalités financières du dossier, réalités que je présentais pourtant dès le départ de cette démarche en Comité. Après qu'une élue du Comité, un temps en charge de ce dossier, aura avoué n'avoir rien fait parce que "c'est un boulot d'homme".
- A l'initiative de ce projet, j'ai fait la proposition d'un dossier réaliste sur la base d'un autofinancement, la seule ayant une chance d'aboutir dans un délai motivant et dans le contexte actuel.
- Depuis toujours, notre association se montre très sérieuse dans sa gestion. Depuis toujours. C'est pourquoi, avec un héritage aussi sain (merci M. Gourdain et les élus de l'époque) l'équipe en place aujourd'hui peut disposer d'une trésorerie qui permet le plus sérieusement du monde d’envisager dès à présent de mettre en route ce projet, officiellement.
- A ma demande, S. Legay a présenté un devis de 78 000 euros HT pour la couverture d'un court existant. Ce projet a les caractéristiques suivantes :
- il rentre dans notre capacité d'autofinancement (globalement, éclairage compris et autres aménagements annexes, il rentre dans ce budget d'environ 100 000 euros).
- ce projet ne nécessitera pas d'emprunt. Dans une période où nous perdons une cinquantaine d'adhérents (mais nous ne sommes qu'à la mi-saison) et où la situation économique reste incertaine, cela représente une assurance dont l'association doit se doter.
- ce budget correspond bien à un court couvert d'appoint. Nous sommes conscients de ses limites. C'est à ces conditions que ce projet est réaliste.
Il reste encore beaucoup de questions à préciser. Cette structure a-t-elle les agréments décernés par la FFT ? Cette structure, en étant une structure low-cost, est-elle une structure suffisamment pérenne ? Cette structure recueillera-t-elle l'assentiment des services municipaux (du point de vue technique), des élus locaux qui, sans devoir y consacrer une partie du budget municipal, doivent tout de même examiner la création de ce nouveau bâtiment qui sera municipal ? Quelle implantation pourra être retenue ?
- Là aussi ce projet me tient à coeur. Il est au plus proche des souhaits des adhérents, au profit de l'intégralité de nos 450 adhérents, une solution pour amoindrir les pressions exercées sur nos installations couvertes existantes (450 adhérents pour 3 courts couverts, soit beaucoup plus de 100 adhérents par court couvert, ce qui reste pourtant le ratio à atteindre, préconisé par la FFT).
- D'ores et déjà, je suis le responsable désigné par le Comité pour poursuivre ces recherches, ces investigations sur les réalisations de ce constructeur belge (Veldeman). Ainsi nous recherchons des adhérents qui souhaiteraient nous accompagner, par exemple pour visiter une structure construite par cette société, ou pour nous apporter une expertise plus affirmée dans ce domaine de construction.
- Prochaine étape également : le plus rapidement possible, rencontrer les élus municipaux afin d'envisager avec eux la mise en place d'une telle structure.
- Un projet raisonnable, ne mettant pas en péril l'association et son fonctionnement, un projet au service du plus grand nombre de nos adhérents. Je m'y retrouve pleinement.
6 - L'élu Carré est-il un grand malade ?
J'ai très clairement conscience qu'avec ce site, ces longs longs courriers, ce dernier ne faisant pas exception, ces déballages publics, je vais contribuer à renforcer une réputation que j'ai calamiteuse : grand malade, fanatique, marginal sans vie sociale, névrosé, écrivain raté... Je me surprends à en inventer. Il n'y a rien de plus doux que la victimisation.
- J'ai pourtant la conviction que les valeurs que je défends au travers de toutes mes investigations, mes réactions, mes décisions, mes communications sont des valeurs qui restent essentielles au bien vivre ensemble : le respect des autres, la morale, la défense de l'intérêt de nos adhérents, l'idée qu'un élu n'est pas là pour servir d'abord un petit groupe d'amis, la non-discrimination, le service du plus grand nombre, le respect des règles. Et je reste encore plus convaincu que toutes ces valeurs sont partagées par le plus grand nombre des adhérents du Tennis Club de Crépy en Valois.
J'espère bien, un jour, parvenir à ce que le Comité de Direction du Tennis Club de Crépy en Valois se montre, lui aussi, régulièrement digne de tout cela.
Et je m'inquiète encore. J'en veux pour preuve ce simple extrait d'un courriel d'un nouvel élu du Bureau (11 janvier 2014) que j'interpelle sur des propos désobligeants qu'on me rapporte et tenus aussi sur un autre membre du Comité : "il ne faut pas laisser le pouvoir dans les mains de Christophe. Et on ne peut pas laisser (un autre élu du Comité) être président, il est trop influençable et Christophe en fera ce qu'il veut."
Que répond ce nouvel élu du Bureau ? "Ces propos ne sont pas sortis de ma bouche. Ils ont été déformés ou mal interprétés ( je retiendrai cette solution). Tu te sers des gens. Je peux faire énormément de mal à ton indic mystérieux mais je ne rentrerai pas dans ton jeu. J'irai parler avec cette personne [...]", désignant ainsi injustement un salarié de l'association.
"Je peux faire énormément de mal à ton indic" ! Ce membre qui dit n'avoir pas tenu ces propos, promet tout de même les pires choses à un "indic" qui n'a rien pu indiquer puisque ce membre n'a rien dit et que ce qu'il n'a pas dit a été "déformé" ou "mal interprété". Autant les premiers propos, non confirmés pas ce membre, sur des motivations curieuses, resteraient simplement navrants, désobligeants, mais sans plus. Autant cette seconde réaction par courriel, avérée, reste des plus troublantes, des plus incohérentes, des plus effrayantes ! Quelle hallucinante violence !
Des membres du Comité, du Bureau, qui diffament, qui insultent, qui menacent, dans l'impunité la plus totale ! Notre association est-elle tombée si bas ?
Cordialement
Christophe Carré
Membre du Comité de Direction du Tennis Club de Crépy en Valois
Quelques autres remarques sur des décisions ou informations de ce 10 janvier :
- Le président adresse ses vœux 2014 aux membres du Comité, notamment de "convivialité sur les courts". Rien sur un vœu concernant la lutte contre les injures, les menaces dans l'enceinte des installations municipales de tennis. Dommage.
- Voilà deux réunions que je fais remarquer que le défibrillateur doit sans doute subir une révision. En fait ce matériel faisait l’objet d’un rappel en usine pour un problème de série ! Sic ! On est content de l’apprendre avant d’avoir eu à s’en servir car personne au club n'aurait pu imaginer un tel problème. Retour d’un nouvel appareil, gratuitement, et maintenance de la batterie pour un coût total d’environ 230 €.
- Pas d’approbation du compte-rendu de la réunion du 13 décembre 2013, parce que pas de compte-rendu, parce que pas de secrétaire pour le préparer.
- Les peintures du nouveau club house : vert anis sur deux murs et blanc cassé sur les deux autres. (pas le choix pour le club, mais pourquoi pas). En attente : grande fenêtre extérieure murée et pose d’une porte-fenêtre (deux devis en cours).
- Contrôle d’accès : en panne depuis six mois (foudre de juillet 2013). La Société Serrurerie Moderne Creilloise refuse de venir paramétrer convenablement le logiciel. Blocage total malgré nos efforts (merci Kévin). Un responsable municipal viendra constater que le logiciel n’est pas convenablement paramétré (mercredi).
- La réalisation d’une liaison couverte (autre projet pour lequel je milite depuis des années) entre le club house et le court couvert n°5 sera inscrite au budget municipal en 2014.
- Une élue du Comité, secrétaire de l’Ecole de Tennis, ne m’a toujours pas remis, ainsi qu’au président qui en fait la demande également, le planning des cours collectifs. Il faut que je fasse une quatrième demande. J’espère avoir celui de 2013/2014 avant celui de 2014/2015.
- Officiellement, à la préfecture, je suis toujours secrétaire (chouette !) et François Delcourt est toujours trésorier (le cachotier). Le président, que j’informe du non-respect de cette démarche administrative non négligeable (délai : trois mois après la décision), me dit que c’était au secrétaire que j’étais de le faire, tout en avouant que c’est lui qui a fait la dernière démarche en date, le 29 octobre 2010. Et pour cause les statuts sont très clairs : le président « représente l'association en justice et dans tous les actes de la vie civile » (article 18).
- De même j’informe le président que, suite aux recherches que j’ai effectuées sur le fonctionnement d’une association, il s’avère que notre association ne dispose pas du premier document que l’administration préfectorale peut exiger : le registre spécial. Un document à établir par le président puisqu’il doit apposer sa signature pour chaque modification concernant les changements dans les responsables de l’association. Il reste une semaine au président pour doter l'association de ce document.
- Il semble que la FFT vient de décider que les responsables d’un club pouvait procéder au classement d’un(e) joueur(euse) simplement méritant(e) (sic) en le(la) classant 40. Une possibilité qui me semble un peu démotivante pour les "vrais(es)" 40 qui ont acquis ce droit par leur(s) victoire(s). Le mieux est peut-être parfois l’ennemi du bien ? A voir plus précisément.
- Le 31 janvier, a lieu l’AG de l’USC. Le club doit y être représenté par 7 membres, même les "simples" adhérent(e)s sont "représentatifs(ves)" de l’association. Il y a de la galette. Si le cœur vous en dit, manifestez-vous auprès du nouveau président S. Legay.
- Cherche volontaire pour l’installation d’un coffrage haut (à l’aplomb du comptoir de notre nouvelle "cuisine" ). Une proposition que j’ai faite et que le Comité a validée en lui attribuant un budget mais que je ne réaliserai pas (il faudrait y consacrer une petite dizaine d’heures) par la faute d’un écoeurement rédhibitoire. Volontaire(s), se manifester auprès de S. Legay (fixation, découpe du bois, installation de six spots lumineux, le tout avec goût).
- Pourrissement du poteau du court n°6 (au fond, près de la porte de secours). Seul un poteau semble affecté. J’ai souhaité une expertise plus complète de l’ensemble de la structure à ce niveau.
- Mise à jour contrat assurance. Demande que j’ai transmise il y a un an. Nous payons, d’après un responsable de la FFT, probablement, une partie en double (la FFT assure déjà ce risque).
- Six équipes hommes seront inscrites en championnats par équipes d’été. Deux équipes dames. Deux équipes dames également pour les "Raquettes". Mais une seule rencontre "Raquettes" sur les installations du club.
- Dix adhérents ne sont pas licenciés. Sans doute une conséquence d’une désorganisation du fonctionnement du club au niveau du secrétariat. Mais le président me dit que c’était pire avant ! Il évoque ces adhérents qui continuaient à jouer en n'étant plus adhérents et donc pas licenciés, forcément. Rien à voir avec des adhérents... adhérents et non licenciés par le club ! Il reste donc dix adhérents qui jouent… sans assurance.
- A l’issue de la réunion, j’ai rangé les chaises. Mais, je le jure, ce n’était pas pour piquer la place de l'un ou l'autre.
Le sommaire ? Demandez lui !
