Les questions de mai 2015
1 - Organisation des championnats par équipes
2 - Sanction par la Commission des Litiges de la Ligue de Picardie
3 - Révocation du président de l'association
4 - Bienséance des courriels de Christophe Carré
6 - Une réunion... façon TC Crépy !
7 - Politique "jeunes" : peau de chagrin... mais pas pour tout le monde !
8 - Autres questions dérangeantes que pose ce planning !
9 - Projets : le 4e court couvert sera mis... sous le nouveau tapis miracle des courts 1 et 2 !
10 - Une sanction fantôme, un mensongé éhonté !
12 - Des documents non affichés pourtant obligatoires !?
1 - Organisation des championnats par équipes
En tant que capitaine de l'équipe 2 (depuis le 24 avril), j'ai découvert ce 30 avril, que tous les championnats par équipes (régionaux et départementaux) se jouaient désormais avec 4 simples au lieu de 5 (et parfois 2, parfois 1 double). Nous le savions pour les régionaux mais rien sur une telle réforme pour les championnats départementaux.
Je l'ai découvert par mes propres moyens, n'obtenant aucune réponse à une question pourtant posée dès le 16 mars 2015, à ce sujet, au responsable des championnats par équipes de l'association. Un document pourtant disponible sur le site du CDOT depuis le 21 juillet 2014 !
Comme semble le confirmer le président de l'association (voir courriel ci-dessous), ce n'est pas une surprise que pour moi ! Et cette réforme des règlements sportifs a pourtant de grandes répercussions sur l'organisation des championnats par équipes.
41 joueurs se sont inscrits pour intégrer une équipe de ces championnats d'été 2015.
Le capitaine de l'équipe 1 a "demandé" par courriel, le 26 avril, aux membres du Bureau, de constituer une équipe 1 à 4 joueurs au lieu des 6 qui sont indiqués dans la composition des équipes transmises par le club le 19 avril.
Si l'on suit cette logique, seulement 24 joueurs sur les 41 inscrits intégreront une équipe. A peine plus de la moitié des inscrits. Et on ne voit pas comment les élus instaureraient une politique sportive différente pour les équipes d'une même association ?
Quoi qu'il en soit, en tant que capitaine de l'équipe 2, j'ai interpellé le président de l'association sur deux problèmes :
1 - pourquoi, en janvier 2015, le Comité n'a t-il pas décidé d'inscrire une 7e équipe pour pallier aux conséquences de la réforme des championnats par équipes, passant de 5 à 4 simples par rencontre ? Une mesure qui aurait pu lisser ces conséquences pour parvenir tout de même à intégrer un quasi même volume de joueurs que les années précédentes ?
2 - quelle réponse le Bureau, chargé des décisions urgentes, apporte t-il à la demande du capitaine de l'équipe 1 ? Quelle jurisprudence cette décision entraine t-elle, une jurisprudence devant être appliquée à l'ensemble des équipes du club ?
Je reproduis la réponse du président ci-dessous (chouette, une réponse !), datée du 1er mai :
"Bonjour,
Nous n'avons effectivement pas prevu d'equipe 7 et n'avons peut etre pas assez anticipe les nouveaux formats des rencontres.
Nous avons effectivement reflechi a une nouvelle composition des equipes avec pascal colas et maxime lemaire. Les principaux changements concernent les equipes 1 et 2 que nous avons voulu le plus performantes possible.
Une ultime et derniere composition des equipes sera donc envoyee lundi soir sans faute et dernier delai a l'ensemble des participants.
La reunion de jeudi 7 mai au soir permettra de faire un point, certes tardif, sur les rencontres de championnat.
Bonne journee et bon long week end,
Julien coconi"
A la question 1, le président confesse donc ce loupé du Comité. Un peu déroutant tout de même. Et lourd de conséquences.
Ainsi, à la question 2, le président indique qu'il a bien validé la proposition du capitaine de l'équipe 1 (et d'un autre joueur, sans primo-légitimité aucune sur ces questions !?).
Le président indique que "nous" (le Bureau ?) a "réfléchi à une nouvelle composition des équipes". Or ce président se borne à valider intégralement la "décision" du capitaine de l'équipe 1 (qui m'a transmis le courriel envoyé aux membres du Bureau). J'ai donc demandé au président de me préciser si c'était bien les élus de l'association qui prenaient des décisions, ou un ou deux joueurs de l'équipe 1, puisque cette proposition est contraire à la composition des équipes transmises pourtant par le club, très officiellement, le 19 avril ?
D'autant que cette réponse implique de lourdes conséquences. En effet, l'équipe 2 se retrouvant avec 8 joueurs, il parait à son tour nécessaire et raisonnable d'en transférer au moins 3, voire 4 dans l'équipe 3, qui devient l'équipe 4. Etc..., etc... avec au final, 40 % des joueurs inscrits ne pouvant plus intégrer une équipe (17 sur 41).
Que me répond le président sur cet aspect des choses, conséquence de cette première tergiversation de sa part ? Il se borne à me souhaiter une "bonne journée et un bon long weekend" !
Le Comité a fait une grosse bourde, les membres du Bureau ont visiblement mis au panier la décision du Comité transmise le 19 avril, les capitaines attendent de savoir quels joueurs sont vraiment dans leur équipe, la première rencontre a lieu dans moins de dix jours, le président avoue que la réunion du 7 mai ne servira à rien car trop tardive... et... le président décide de ne rien décider avec les membres du Bureau avant lundi soir, dans quatre et effectivement longs jours !
"Bonne journée et bon long weekend" !
J'ai donc demandé au président si les membres du Bureau n'étaient des élus que les jours ouvrables, de 10h à 12h et de 14h à 17h sauf le vendredi am ?
Il est évident que la décision du Bureau doit être rapide et transmise, sans autre délai, aux capitaines des 6 équipes et aux 41 joueurs concernés qui attendent que le Bureau daigne prendre... une troisième décision !
Sur le fond, je crois qu'il ne reste que deux possibilités à ces élus :
1 - Privilégier une logique sportive en faisant en sorte que chaque équipe aligne les meilleurs joueurs, pour rester dans une logique de performance sportive qui régit les championnats de la plupart des sports collectifs. C'est le sens de la proposition du capitaine de l'équipe 1. Et elle est respectable.
Mais le risque est bien de laisser sur le carreau des inscrits à qui on n'a pas expliqué cette philosophie et ses conséquences pour beaucoup d'entre eux. Des joueurs qui se motivent depuis leur inscription (voire plus) pour leur participation à ces championnats et qui n'en seront que des spectateurs forcément passifs.
2 - Tenter d'assumer les conséquences de la bourde du Comité en lissant chaque équipe à six joueurs (comme ce qui avait été indiqué le 19 avril).
Une solution qui lisse, équipe par équipe, la "surcharge" d'inscrits. Bien évidemment cette solution amoindrit le potentiel des performances des équipes, en cascade, et donc de l'association toute entière. Mais c'est, je crois, le compromis pour cette année, qui présente l'équité la plus grande, pleinement nécessaire dans les décisions des élus de l'association.
3 - Je dois avouer qu'à lire le président, j'ai des craintes quant à une décision des membres du Bureau, familiers de ce genre de compromissions, qui ferait état d'une logique pour l'équipe 1 (dont plusieurs membres, ont déjà été l'objet de toutes les attentions bienveillantes, pour ne pas dire plus, de la part des membres du Bureau) et d'un traitement différent pour les autres équipes. 4 joueurs de l'équipe 1 se voyant autoriser une pleine implication dans leur championnat, tandis que toutes les autres équipes seraient laissées à leurs difficultés dans la gestion d'un effectif aussi pléthorique.
Il suffira donc, simples joueurs, de rester attentifs à la décision de ces quelques élus incertains, au pire de leur possibilité seulement lundi soir, "sans faute", on est rassurés. Une troisième décision.
Questions aux élu(e)s du Comité :
Pourquoi la réforme des championnats n'a t-elle pas fait l'objet d'un travail de fond avant janvier 2015 (date limite pour les inscriptions d'équipe) pour un texte paru six mois auparavant (juillet 2014) ?
L'attitude des membres du Bureau, qui modifient la composition des équipes transmise le 19 avril sur la simple demande du capitaine et d'un joueur de l'équipe 1, avec les conséquences que l'on est dans le devoir d'en tirer mais que ces membres ne semblent pas vouloir reconnaître pour tous, est-elle une prise de position que vous partagez ?
Questions transmises le 1er mai 2015
2 - Décisions de la Commission des Litiges de la Ligue de Picardie du mercredi 18 février 2015 - Organisation du tournoi interne de septembre 2014
1 - Sur le forfait mensonger imposé à un joueur par le juge-arbitre du tournoi interne de septembre 2014, la Commission a laissé en l'état le bilan sportif (pas d'impact sur le classement du joueur-victime) mais a "regretté la décision du juge-arbitre". Pour le moins.
2 - Sur la décision du Comité de Tournoi de ne pas sanctionner le juge-arbitre qui a volontairement falsifié un tableau du tournoi en effaçant purement et simplement deux forfaits avérés, la Commission indique "qu'il n'y a donc pas lieu de sanctionner les membres de ce Comité".
Je n'avais rien exigé de tel (seulement parce que je ne savais pas que c'était possible, je vous rassure). Mais, avec ces précisions dans les délibérés de la commission des litiges, on reste stupéfait, tant l'incohérence est manifeste. La Commission explique même que "le Comité de Tournoi a répondu aux réclamations de Christophe Carré [en] décidant de ne pas sanctionner son juge arbitre" ! Je le ressens comme une moquerie ! Et j'ai peu envie de rire sur ces problèmes.
Il suffit donc, d'après la Commission des litiges de la Ligue de Picardie, que le Comité d'un tournoi constate une infraction manifeste et grave aux règlements de la FFT, pour être ensuite autorisé à ne pas la sanctionner, se montrant ainsi complice de mauvaises pratiques encouragées car dans l'impunité ? Une jurisprudence des plus dangereuses, nécessitant des recours systématiques auprès de la Commission des litiges de la Ligue. Si, sur le terrain, en première instance, il peut être reconnu un droit au déni de justice...
Incohérent.
3 - D'autant que la Commission des litiges, sur la question de la suppression de ces deux forfaits par le juge-arbitre, conclut en reconnaissant les "actes répréhensibles" commis par ce juge-arbitre et... en le sanctionnant d'un "avertissement" ! (article 87 des règlements administratifs de la FFT). La commission indique ainsi que ce juge-arbitre "a failli à sa mission" et au respect des "règles déontologiques de loyauté" en commentant "l'infraction prévue à l'article 85-13 des règlements administratifs" (en fait c'est plus surement le 85-11, voire le 85-17 (page 67), "acte répréhensible" juste au dessus de celui sur... la bienséance (le 18)).
Bref, des constats très lourds de la Commission des litiges, constats qui rendent d'autant plus troublante cette disculpation par la même Commission des litiges de la décision du Comité de Tournoi... de ne pas sanctionner de tels manquements !
Les deux instances judiciaires (Comité de Tournoi et Commission des litiges) font les mêmes constats, rigoureusement, mais prennent deux décisions radicalement différentes (pas de sanction, sanction) et la Commission des Litiges prend la peine d'un paragraphe pour confirmer que les deux décisions sont possibles, cohérentes, justifiables, pour excuser pleinement l'incompétence de ce Comité de Tournoi des plus réduits, plus que partial (voir point 3) ?
A quoi donc répondent ces précautions stupéfiantes et incohérentes ? Doit-on faire en sorte de ne pas me laisser légitime sur toutes ces accusations, sur tous les aspects de ce dossier ?
Oui, ce Comité de Tournoi n'a pas fait son travail, nécessitant le recours devant la Commission des Litiges qui vient donc de corriger spectaculairement la décision du Comité de Tournoi. Oui, ce Comité de Tournoi a gravement dysfonctionné, faisant la part belle au copinage le plus éhonté de l'un de ses membres (sur les deux). Oui, il y avait bien une grande légitimité à mettre en cause et sanctionner le fonctionnement d'un pareil Comité de Tournoi, exemple à ne pas suivre.
Au passage, je ne manquerai pas également de faire remarquer que la "protection" accordée par l'un des membres de ce Comité de Tournoi à son "copain" juge-arbitre, aura été le plus mauvais des services à lui rendre. Quand on a des amis comme cela...
Le Comité de Tournoi, qui aurait réagi au plus tôt, sans jouer la montre (9 jours pour me répondre) aurait pu, même avant de penser à une sanction, tenter de procéder à la correction des décisions d'un juge-arbitre qui était sous pression (voir ci-dessous). Au lieu de cela, c'est un juge-arbitre discrédité qui doit aujourd'hui assumer un "avertissement" adressé par la Commission des litiges de la Ligue à son encontre. Merci monsieur le président de l'association !
4 - Enfin, sur ces délibérations de la Commission des Litiges, comment ne pas s'offusquer également de deux précisions aussi incohérentes pour justifier de l'impunité accordée également à ce joueur, le premier fautif dans toute cette triste histoire :
- le joueur "a demandé de manière véhémente [au juge-arbitre] de retirer son w/o et son nom du tournoi". Un élément donc retenu par la Commission des Litiges.
- et sur la même page : "attendu qu'il ne résulte pas de l'enquête que [le joueur] a eu un rôle déterminant dans la suppression de son w/o [...] il n'y a pas lieu à sanction contre ce dernier".
"Manière véhémente" = une grosse colère, un violent coup porté sur la porte-fenêtre du club, puis sur les poubelles du club = "pas de rôle déterminant" ?
Qu'il me soit permis ici de prendre la défense de ce juge-arbitre qui n'aura finalement que trop porté les fautes, en amont et en aval, de ses "amis" : ce joueur qui exige de lui une tricherie, ce membre du Comité de Tournoi qui croit le protéger tout en l'exposant à la saisine de la Commission des litiges.
Il me parait essentiel ici (et malheureusement, c'était bien ce que j'attendais de la Commission des litiges) de reconnaître à ce juge-arbitre, ces circonstances atténuantes pour ne pas devoir évincer la responsabilité très grande de ces deux autres acteurs : ce joueur coléreux, violent (excusez du peu) et qui n'hésite pas à vouloir tricher avec le règlement en place (l'article 85-17 des règlements administratifs (page 67) semble pourtant écrit pleinement pour ce type de comportement) et ce responsable élu, qui plus est président de l'association, qui s'est montré... tellement peu responsable.
Pas de questions transmises au Comité.
Je n'ai pas non plus le courage de faire appel auprès de la FFT pour faire reconnaître que le juge-arbitre est très loin d'être le seul et le premier fautif.
Ses "amis" le feront peut-être pour lui ?
3 - Révocation du président
La Commission des litiges de la Ligue de Picardie de tennis reconnait le bien fondé des dénonciations de tricherie (la Commission dit : "actes répréhensibles") que je lui ai transmises.
Malgré les incohérences des précisions données par cette commission dans ses délibérations quant à la validité de la décision du Comité de Tournoi, je pense que les élu(e)s du Comité sauront ne pas se voiler la face sur le copinage éhonté qui a été la seule motivation, très visiblement, du président de l'association dans la non sanction "d'actes répréhensibles", et donc à répréhender (!?). Strictement aucune autre explication ne tient la route.
Il me semble que notre association prend la très facheuse habitude de se donner l'image de responsables à ce point mis en question. Il est grand temps de redonner à cette association la dignité qu'elle a égarée depuis trop longtemps avec un président au passif moins chargé (il doit bien y avoir un ou une élue du Comité qui a encore ce profil requis ?)
Un autre membre du Comité faisait partie du Comité de Tournoi. Dans la mesure où il n'a même pas été tenu informé des conclusions écrites transmises par le président seul, on se fera sans doute une image assez précise de la manière dont ont été gérées les questions que j'avais transmises, par un président, seul à la manoeuvre.
Question transmise aux élu(e)s du Comité :
C'est donc la raison (entre autres) pour laquelle je demande aux élu(e)s du Comité de Direction de prononcer la révocation d'un président qui se montre ainsi plus attentif aux intérêts de ses amis qu'au respect des textes réglementaires de la FFT et l'éthique sportive d'une compétition organisée au nom de l'association. Un manquement des plus graves.
Question transmise le 1er mai 2015
4 - Décision de la Commission des Litiges de la Ligue de Picardie du mercredi 18 février 2015 - Bienséance des courriels de Christophe Carré
Votre trésorier me souhaitait sans doute la pire des sanctions pour me voir endurer un châtiment féroce, lorsque j'ai fait état de cette convocation stupéfiante. Il allait même jusqu'à prier un dieu en lequel il ne croyait pourtant pas. Il aurait pu se douter que ça ne marcherait pas !?
Ces quelques lignes donc pour lui faire part de la décision de la Commission des litiges quant à la bienséance de mes courriels, des courriels qui sont reconnus "conformes en la forme et au fond à la bienséance que tout licencié doit respecter dans l'exercice de son droit d'action et d'expression ; qu'ils ne sont ni menaçants et ni outrageants à l'égard des autorités institutionnelles du Tennis et de toute personne". "Christophe Carré n'a commis aucun acte répréhensible portant atteinte à la bienséance".
Et de conclure qu'aucune sanction ne pouvait m'être adressée.
Bien désolé donc pour votre trésorier qui reste, nous le savons tous, un expert en bienséance, n'hésitant pas à évoquer son anatomie intime ou celle des autres élus dans ses écrits (qu'il me transmet) pour vous convaincre de vous taire (remarquons que cela semble néanmoins très efficace).
Pas de question transmise aux élu(e)s du Comité de Direction.
5 - Planning des cours collectifs jeunes et adultes
Je profite de ce joli mois de mai pour renouveler ma demande de consultation du planning des cours collectifs organisés par l'association.
Xième demande.
Combien d'élu(e)s du Comité de Direction peuvent prétendre avoir pu un jour simplement consulter ce document top secret ?
Je rappelle que ce sont les élu(e)s du Comité qui ont une légitimité supérieure à celle du Bureau restreint et que, à ce titre, n'importe lequel des élu(e)s du Comité peut exiger que lui soit communiqué ce document pour ensuite le diffuser aux membres de l'association, tout autant légitimes à prendre connaissance de la gestion de leur association.
Derrière cette rétention de document, c'est bien la politique en matière de cours collectifs des meilleurs jeunes qui est à cacher absolument par le nombre restreint de ces quelques élus qui ont pu prendre des décisions sur la ligne budgétaire pourtant la plus conséquente pour nos finances ! Aucune délibération d'aucune sorte sur cela dans les comptes-rendus spartiates qui nous sont accessibles. A croire que la majorité des élu(e)s ne connait pas ces détails.
Je me permettrai de vous contacter personnellement, chaque élu(e), afin de m'assurer de votre refus (ou votre acceptation) de me transmettre ce document qui reste essentiel à la définition de la politive sportive de l'association.
Je pourrais ainsi affiner les questions que je vais transmettre à l'ordre du jour de notre prochaine assemblée. Au fait, quand l'AG ?
Questions transmises aux élu(e)s du Comité :
- qui pour me transmettre ce planning des cours collectifs de l'association (adultes et jeunes) avec suffisamment de précisions pour me le rendre exploitable ?
Question re-transmise le 1er mai 2015
Réponse de la secrétaire de l'association (chouette, une réponse !) reçue le 3 mai 2015 :
"Bonsoir, nous avions prévu de joindre le planning de l'école de tennis avec le compte-rendu du 10 Octobre 2014, c'est un oubli de notre part. Il sera rajouté d'ici la fin de semaine."
Avec cette 4e demande de ma part, on pourrait se diriger désormais vers un 4e oubli consécutif (demandes transmises en octobre 2014, puis décembre 2014, puis janvier 2015). Attendons et voyons.
6 - Une réunion... à la mode du TC Crépy !
Jeudi 7 mai 2015, se tenait une réunion d'organisation des championnats par équipes.
A l'issue de cette réunion, un salarié de l'association interpelle le président et moi même.
Le thème de son intervention : les insultes, les menaces physiques et le récit que j'en fais à l'occasion.
Il prend donc de longues minutes pour convaincre la vingtaine de personnes présentes, dont huit membres du Comité*, en expliquant de façon théâtrale, debout, brassant l'air de bras immenses, ne cédant la parole à personne, comment il trouve anormal que j'évoque, dans un courriel tout récent, la possibilité d'un signalement au procureur de la République pour des injures et une menace physique à l'encontre d'un autre salarié. Un courriel envoyé avant que ne soit connue la décision d'une sanction par le Comité, gardée secrète par le président de l'association.
J'ai beau tenter de redire à ce salarié que l'injure, en justice (comme auprès des prud'hommes d'ailleurs), reste tout à fait comme pouvant faire l'objet d'une procédure, ce salarié persiste dans un déni des réalités des plus effrayants. Même lorsque je tente de lui opposer la décision du Comité, prise à l'unanimité comme le précise le président Coconi à ce moment là, qui l'a sanctionné pour ces faits, ce salarié continue d'haranguer l'asssemblée d'un soir, insultant par jeu ses plus proches amis pour se persuader bêtement qu'on peut le faire avec n'importe qui !? On est dans du pathologique. Les personnes présentes en restent... terrassées. Et la conclusion de cette démonstration, dans une logique absurde des plus incongrues, est ensuite de me demander de lui formuler des excuses !?
Il reste au président Coconi à préciser la sanction, ce qu'il refuse encore ce 7 mai, durant cette réunion, alors que j'en réitère la demande. Une sanction secrète qui reste donc l'objet de toutes les suspicions, sujette à toutes les "élucubrations" selon le mot du président : avertissement, exclusion temporaire, exclusion définitive ? Les seules sanctions possibles dans notre association. Peut-être un jour saura-t-on ?
Quoi qu'il en soit, en toute fin de son "exposé" ce salarié indique alors que je suis : un "menteur", un "faux-jeton"... et c'est sans doute parce que je l'interromps qu'il ne déroule pas plus avant le décompte qu'il a entamé sur les doigts de sa main qui en compte... cinq ! Deux accusations qui sont insultantes dans la mesure où elles ne reposent sur aucun fait, aucun élément.
Aucun mensonge n'est rapporté par ce salarié qui s'amuse seulement, de façon grotesque, à me faire préciser les termes de ses insultes, insultes sanctionnées par le Comité (vérifiés depuis, il s'agit de "gros con", par deux fois). Aucun mensonge... pas de "menteur". Diffamation.
Pas plus "faux-jeton". En me rendant devant la Commission des Litiges (nous étions tous convoqués mais... j'étais seul, avec le président Coconi, à avoir le courage d'être présents à Amiens), en publiant ces lettres publiques que je signe, ou en regardant "droit dans les yeux" comme il me le demande, ce salarié, je reste persuadé de ne pas mériter ce qualificatif de "faux-jeton". J'en paie même un prix très élevé.
C'est donc parti pour les insultes. Nous sommes bien au Tennis Club de Crépy en Valois. Aucun doute là dessus.
Au cours de ces "discussions", le juge-arbitre, membre du Comité, sanctionné en février par la Commission des Litiges, m'interpelle à son tour, par une question. Je prononce alors les deux premiers mots d'une phrase pour lui répondre (deux, pas trois)... et c'est suffisant pour que cet élu se lève férocement de sa chaise, à la stupéfaction générale, rouge d'une colère sombre, bafouille névrotiquement que je n'ai pas à le "fixer dans les yeux" (décidément, il faut gérer différents "modes d'emploi" !?) pour finir par venir se coller à moi, muscles bandés, à quelques millimètres de m'agresser. C'est grâce à l'intervention d'un autre adhérent qui vient s'interposer in extrèmis au probable passage à l'acte de cet élu que je dois de conserver mon intégrité physique. Vingt personnes sont témoins de cela. Pas d'autres interventions des membres du Bureau, président en tête, autre que : non, laisse Sébastien, calme toi Sébastien...
Après les insultes, les menaces physiques, voire les coups. Nous sommes bien au Tennis Club de Crépy en Valois. Aucun doute là dessus.
Alors que je m'apprête à quitter cette "réunion" coupe-gorge, le troisième joueur de ceux qui constituent désormais ce petit club des "sanctionnés pour insultes et/ou menaces, ou non-respect des règlements de la FFT", tous présents étrangement, interpelle à son tour les personnes présentes. Son crédo à lui est de se plaindre du fait que je ne partage pas la décision de la Commission des Litiges qui lui a indiqué son impunité (cf. tournoi interne). Il requiert pour cela à mon encontre une sanction pour diffamation.
Alors que j'ai bien en tête de lui expliquer que ne pas partager la décision de la Commission des Litiges ne peut pas s'apparenter à de la diffamation (il n'y a, dans mes propos, aucun mensonge, aucune contre-vérité), ce dernier, violemment habité de la haine qu'il me voue désormais, me condamne à me taire : "je ne t'ai pas parlé à toi, tais-toi !".
Je me tais donc. Mais j'écris.
Juste avant de quitter la salle, j'entends encore distinctement le salarié de l'association venir en soutien à son camarade de jeu pour interroger, sous la forme d'un reproche parfaitement explicité, les membres du Comité sur leur passivité, leur "silence" à propos de leurs plaintes concernant mes écrits.
Ce salarié et ce joueur, qui ont insulté et menacé un autre salarié de l'association, n'auront finalement été sanctionnés (à vérifier pour le salarié) que plusieurs mois après, grâce uniquement à la pression que j'aie exercée auprès du Comité par le biais de ces lettres et ces questions. Il aura donc fallu 8 à 9 mois pour que le Comité daigne enfin statuer et sanctionner ces gens qui insultent, qui menacent... Mais cette passivité là, ce "silence" du Comité n'auront pas autrement interrogé ce salarié et ce joueur.
Au final, je ne me sens plus en sécurité lorsque je me rends sur les installations municipales de tennis.
S'il m'advenait d'autres "désagréments", je mettrais en cause la responsabilité des élus du Comité, notamment son président (représentant moral de l'association), quant à leur mauvaise volonté manifeste (9 mois pour enfin statuer) dans le traitement de ce type d'infractions et le pourrissement qui en résulte.
Je fais également un signalement auprès du maire de la commune, tant notre association se met en porte-à-faux sur toutes ces questions.
* : membres du Comité présents : président, trésorier, secrétaire, responsable des championnats, des jeunes, de l'accueil, des balles, et un élu... juge-arbitre.
Questions transmises aux élu(e)s du Comité :
- quelle est la nature précise de la sanction infligée par le Comité, à l'unanimité, pour ce salarié et que le président Coconi a révélée, en partie, par courriel, le 6 mai 2015, simplement en réaction de l'une de mes nombreuses relances, 11 mois après les faits ?
- pour quels motifs exactement : injures, menaces ?
- que compte faire le Comité pour que l'un des leurs se voit notifier qu'une agression physique (ou même une simple tentative) n'est pas acceptable de la part d'un élu de l'association, qui plus est sanctionné par une Commission disciplinaire de la Ligue (ce qui, en soit, devrait déjà interroger les membres du Comité) ?
Questions transmises le 8 mai 2015
7 - Politique "jeunes" : peau de chagrin... mais pas pour tout le monde !
Huit mois après et trois demandes plus tard, le planning des cours collectifs est enfin mis en ligne sur le site du club, sans aucune autre forme de publicité.
En 2012/2013, l'association prenait en charge 13h de cours collectifs pour les groupes aidés sur la base de 1h+2h (ces deux dernières prises entièrement en charge par l'association) pour 12 élèves répartis en trois groupes, et 1h+1h pour 40 autres élèves répartis en 7 groupes.
Au total, pour la saison sportive 2012/2013, l'association donnait la possibilité à 52 élèves d'aller un peu plus loin dans la pratique du tennis, aidant les plus forts... mais pas seulement. Une philosophie pleinement dans l'objet de notre association et fidèle à ce slogan de la FFT : le tennis, un sport réservé à tous (une Fédération qui fait pourtant l'opposé de ce qu'elle prône en augmentant le montant des licences).
En 2013/2014, l'association avait décidé de réduire le nombre des enfants ainsi aidés à 41, soit 20 % de baisse. Mais on restait toujours sur une organisation avec des groupes à 3h et des groupes à 2h pour au moins deux rendez-vous hebdomadaires.
En 2014/2015, ce n'est désormais plus que 33 élèves qui sont ainsi aidés par le club. Une nouvelle baisse de 20 % par rapport à 2013, 37 % de moins par rapport à 2012 !
Et si l'on regarde le détail des décisions prises par... on ne sait pas qui (voir ci-dessous), on s'aperçoit que 15 de ces 33 élèves, autant dire la moitié, ne bénéficient plus que de 30 minutes d'aide prises en charge par le club. Organisé en cours d'1h30, le dispositif d'une "seconde heure de cours" est ainsi pleinement vidé de son sens, sans plus aucune pertinence pédagogique. A 2 x 1h, on faisait venir deux fois par semaine les élèves au club, une habitude, un rythme qui restent essentiels dans l'apprentissage. A 1 x 1h30, on constatera, comme pour 90 % des élèves de l'Ecole de Tennis, que la fréquentation des cours restera à... une fois par semaine, c'est à dire... leur heure de cours collectif !
Au final, on n'a donc plus que 18 élèves qui ont une aide réelle et pertinente en ayant deux rendez-vous de tennis par semaine ! - 70 % depuis septembre 2012 !
Et si l'on s'inquiète de cette forte dérive élitiste, au profit d'un tout petit nombre d'élèves, on ne peut que regretter de voir que 4 élèves se voient traités royalement avec 4h15 par semaine, bénéficiant quasiment d'un millier d'euros chacun (une heure moniteur = 40 € en gros, sur 30 semaines, à diviser par 4 élèves), environ 4000 € financés intégralement par le club. Un véritable surinvestissement !
On regrettera enfin des aides qui semblent des plus variables, s'égrènant en 4h15 pour 4 élèves, puis 3h30, 2h, 1h30 (pour 2 élèves !?), 1h... et ces 15 élèves à 30 minutes... on a du mal à imaginer la ou les obscures raisons d'un dispositif aussi fumeux !
Au final, pour les uns, la peau de chagrin sous forme de miettes, et pour d'autres, mille euros par petit champion.
Tout cela parce que des parents, des élu(e)s pensent que la nécessité de jouer régulièrement, deux, trois, quatre fois par semaine pour véritablement progresser (et cela reste bien une vérité) passe nécessairement par la nécessité de mettre un moniteur à 40 € de l'heure (toutes charges comprises) à chaque fois que l'un de ces jeunes aidés monte sur un court de tennis au club.
Et sur ce dernier aspect, on est bien dans une solution de facilité voire une folie douce pour une association et des élu(e)s qui se fourvoyeraient plus longtemps dans de telles dérives regrettables, péniblement à court d'autres idées pour développer plus harmonieusement et justement la pratique du tennis !
Cela pourtant semble bien être le choix de certains de ces élu(e)s en place !? Voire tous ?
Questions aux élu(e)s du Comité :
On ne sait toujours pas si ce dispositif de plus en plus élitiste a fait l'objet d'une validation des membres du Comité où si ce dispositif a été décidé par un petit groupe d'élu(e)s dans le catimini d'une philosophie très restreinte, très clientéliste ? Quand donc saura-t-on qui parmi les élu(e)s du Comité a validé ce planning des cours collectifs aidés par l'association ?
Les membres du Comité valident-ils le principe d'une organisation particulièrement élitiste des groupes aidés, réduisant drastiquement le nombre d'élèves pouvant en bénéficier de façon pertinente, surinvestissant sur seulement une dizaine de "champions" (10 %) quand l'effectif total des cours collectifs jeunes (90 %) est de 162 ?
Questions transmises le 25 mai 2015
8 - Autres questions dérangeantes que pose ce planning !
8.1 - Prises en charge du salaire du moniteur, cotisations des "entrainements" (3h30)
Indiqué dans le projet de planning présenté en aout (CR d'août 2014), puis mis en oeuvre en infraction spectaculaire avec le règlement intérieur de l'association, semaine après semaine depuis le début de la saison, par des élus "hors la loi", ce doublon de réservations interdites (vendredi 20h/22h) n'apparait pas dans ce planning officiel ?
La gêne ou la honte seraient-elles des sentiments connus des élu(e)s qui mettent en oeuvre de pareilles infractions au règlement intérieur de l'association ?
Questions aux élu(e)s du Comité :
Pourquoi les groupes évoluant sur ces heures "d'entraînement" n'apparaissent-ils pas dans le planning d'octobre 2014 ?
On indique, en aout 2014, qu'un moniteur encadrera la première heure (entraînement dames - SB) de 20h à 21h. Cette heure d'encadrement, ainsi que celle du lundi 20h30/21h30 encadrée par SB toujours (2h au total) sont-elles prises en charge financièrement par le club ?
Si oui, quelle est la cotisation demandée aux personnes (d'où la nécessité de connaître la composition de ces groupes) qui bénéficient de ces deux, voire trois entrainements qui seraient encadrés par un moniteur ?
Confirme-t-on que l'entrainement hommes 1 (1h30) du vendredi 21h/22h30 n'est pas encadré par un moniteur salarié par le club ?
8.2 - L'enseignement du tennis compétition : un sport réservé à... certains moniteurs.
La quasi totalité des groupes compétition est affectée à... deux moniteurs sur nos quatre salariés. L'un d'eux (ML) n'accueille ainsi que 16 élèves en trois groupes (5/5/6 élèves) de l'Ecole de tennis "normale" et peut ensuite s'épanouir pleinement avec la quasi totalité des groupes compétition à 4 élèves, pour un total de 12h30 dans la semaine.
La conséquence d'un choix aussi systématique et plus que surprenant classe en deux catégories les moniteurs du club : ceux qui ont des conditions de travail des plus intéressantes (groupes de "haut" niveau, effectifs réduits (4 élèves)) : deux moniteurs par ailleurs plus que choyés par les élu(e)s du Comité (ML et SB).
Tandis que deux autres moniteurs se voient chargés (à double sens) des groupes de moindre niveau, aux effectifs pleins (6 élèves par groupe), assurant ainsi à eux deux la viabilité financière de notre Ecole de Tennis. Ils en sont ainsi remerciés !?
Faut-il être bien en cours auprès des élu(e)s du Comité pour voir ses mérites professionnels pris en compte à l'égal d'autres salariés très visiblement systématiquement favorisés (cf. taux d'augmentation du salaire horaire supérieur aux autres moniteurs / décharge horaire (voir ci-dessous, point 8.3) pour faire... on ne sait pas quoi, mais pas de l'enseignement) ?
Question aux élu(e)s du Comité
Les membres du Comité considèrent-ils que les deux autres moniteurs (notamment PC) qui interviennent pourtant de façon importante dans le dispositif de notre association sont : incompétents, blacklistés, déméritants (question à choix multiples) ?
Cette discrimination (une de plus) est-elle vraiment au service des élèves et digne de notre association ?
8.3 - Décharge horaire d'un moniteur (ML).
Ce moniteur doit assurer au club 30h d'enseignement sur 30 semaines. Il est en CDI et ce sont bien les conditions qui lui ont été signifiées à l'origine. Sans autre nouvelle (stratégie de l'autruche du président Coconi qui ne répond jamais aux questions gênantes), c'est ce contrat (35h) qui est toujours d'actualité.
On nous a appris que ce moniteur se verrait décharger de 2h hebdomadaires pour faire... on ne sait pas quoi (de l'administratif aux dernières nouvelles). Ce qui reste en soi un scandale, voire pire puisque les élu(e)s du Comité qui auraient validé cette décision, ont, dans le même temps, embauché un autre moniteur "auxiliaire" (SB) pour assurer des heures qui auraient pu être prises en charge... par ML, salarié à temps plein de l'association !
Je gage que s'il avait été question des finances personnelles de chacun des élu(e)s du Comité, nous n'aurions pas à déplorer de telles aberrations, de telles largesses (au mieux 2500 €, au pire 5000 €). Mais quand il s'agit de l'argent des autres...
Sur le planning récemment transmis, on ne peut cumuler que 26h d'enseignement pour ce moniteur. Le cours du samedi 13h/14h semble vide (pas de nom d'élèves). Et si l'entraînement physique est bien de 1h (15h30/16h30), on obtient donc ce total de 26h. Ces deux imprécisions semblent bien être confirmées par les réservations du samedi qui s'arrêtent à 16h (donc sans cours à 13h et remontée consécutive des dernières tranches horaires)
Questions aux élu(e)s du Comité :
Qu'en est-il de ce cours de 13h/14h, de l'entraînement physique (1h ?) ?
ML effectue-t-il 26h ou 28h ?
Cette décision de réduire ce contrat de 30h d'enseignement à 26h/28h effectives a-t-elle fait l'objet d'une validation par une majorité des élu(e)s du Comité (aucune trace dans aucun compte-rendu) ?
Questions transmises le 25 mai 2015
9 - Projets : le 4e court couvert sera mis... sous le nouveau tapis-miracle des courts 1 et 2 ?
Le président de 2013/2014 (SL) avait déjà fait tout ce qui était en son pouvoir pour plomber le projet de 4e court couvert en ne parvenant jamais à organiser une rencontre avec les élus municipaux sur ce thème.
Le président 2014/2015 semble bien avoir suivi la même piteuse stratégie en ne donnant strictement plus aucune nouvelle de ce projet de 4e court couvert depuis maintenant onze mois, et ce malgré la décision de l'Assemblée Générale de juin 2014 remettant la prise de décision sur ce projet à une Assemblée Générale Extraordinaire à organiser rapidement dans la saison, après rencontre avec les élus municipaux.
Un lourd et coupable silence depuis onze moins, qui démontre, une fois encore, que ce projet de 4e court couvert qui serait pourtant au bénéfice de tous les adhérents, sans exception, ne semble pas pertinent pour certains élus qui auront depuis démontré que c'est plutôt le clientélisme (on dit copinage en langage fleuri) qui mène leurs actions et leurs décisions (multiples exemples).
Donc oraison funèbre pour ce projet de 4e court couvert, et en silence s'il vous plait !
Aussi, reste-t-on attéré d'entendre évoqué ce nouveau projet qui consiste à transformer la terre battue actuelle en terre-battue tout temps ou on ne sait quelle solution révolutionnaire belge.
Décidément, ce Comité aura su démontrer toute sa sagacité dans la définition de projets "essentiels" pour notre association (cf. la saga du demi-court n°5).
Pour ce faire, le président a semble-t-il démarché des entreprises, fait venir des échantillons... bref montré un activisme qu'on ne lui aura jamais connu pour le projet de 4e court couvert.
D'après les informations qui me parviennent, les élu(e)s travailleraient sérieusement (au début, j'ai cru à une blague) sur un projet pour transformer le court n°1 (terre battue) et le court n°2 avec ce nouveau revêtement miracle ! Avec comme justification vide de pertinence qu'il faut pouvoir avoir deux surfaces identiques pour accueillir les équipes de championnats évoluant à "haut niveau". Comme si le club manquait de deux courts aux surfaces identiques (il en dispose, autant à l'extérieur qu'à l'intérieur) !?
On est donc doublement terrassé par le projet de dépenser une partie du pécule du club pour transformer le court n°2, rénové il y a 4/5 ans, tout à fait reparti pour affronter les trente prochaines années (durée de vie des précédents courts extérieurs) !?
C'est hallucinant de voir que notre association a des élu(e)s capables de projets aussi décalés, totalement étrangers aux enjeux réels que doit relever notre association !?
D'autant que si la rénovation du terre battue nécessite un peu plus de 2000 € (pris en charge par le budget municipal), ce n'est, à l'évidence, pas la nécessité première de notre association qui ne souffre pas d'un manque de courts extérieurs mais bien d'un manque de courts couverts !
Et si ce projet de modification de la terre battue était engagé sur les fonds de l'association, ce serait bien la mort pour plusieurs années (sans doute même une ou deux décennies) du projet de 4e court couvert dont nous avions, l'an passé encore, la très sérieuse option de le voir réaliser dans un délai très court puisque autofinancé par le club !
Mais cela, c'était sans compter avec le barrage calamiteux de quelques élu(e)s, certains encore en place. C'était aussi avant de recruter un moniteur superfétatoire pour ne pas faire enseigner les moniteurs en place !
J'ose espérer que les élu(e)s du Comité auront suffisamment le sens du devoir pour comprendre qu'un tel projet ne peut pas être engagé par eux et doit attendre la décision d'une Assemblée Générale. On pourra alors demander des comptes quant à l'abandon en rase campagne du projet de 4e court couvert, autrement plus pertinent pour les 416 adhérents qu'il nous reste !
Questions aux élu(e)s du Comité :
Pourquoi, depuis onze mois, la démarche pour faire aboutir le projet de 4e court couvert n'a t-elle fait l'objet d'aucune avancée, d'aucune communication de la part du Comité, un engagement pourtant pris en Assemblée Générale de juin 2014 ?
Comment les élu(e)s du Comité justifient-ils (en l'absence de toute justification) un choix qui consisterait à dépenser de l'argent du club pour modifier la surface d'un court (n°2) pourtant rénové il y a 3/4 ans, parfaitement jouable pour encore 20/25 ans ?
Questions transmises le 25 mai 2015
10 - Une sanction fantôme, un mensonge éhonté !
Le président Coconi a indiqué dans l'une de ses rarissimes communications (courriel du 6 mai 2015) que ce moniteur qui a insulté et menacé un autre salarié de l'association avait été sanctionné :
"M. B.......... a reçu un courrier de la part du Comité, voté également encore à l’unanimité des membres du Comité. Sanction a été prise."
Depuis, le président Coconi a refusé de préciser la nature exacte de la sanction prise. Sans autre "élucubration", on pouvait donc se douter qu'il y avait un loup. En l'occurence une autruche avec un président qui se met la tête dans la terre battue dès qu'on lui pose des questions qui le gênent.
Depuis ce 8 mai, j'ai également fait chou blanc auprès des élu(e)s du Comité puisque quasiment aucun de ces élu(e)s ne s'estime être dans le devoir de répondre aux demandes d'informations qu'on transmet. Il ne s'agit plus du fonctionnement démocratique d'une association mais de la logique souterraine d'un régime particulier où le secret le plus militaire serait l'alpha et l'omega de la communication, les élu(e)s réduits au silence, par contrainte, par lâcheté ou par opportunisme... allez savoir ?
Au demeurant, comme ne pas trouver ce mutisme profondément scandaleux, totalement indigne ?
Bref, une tierce personne me confie tout de même qu'elle se souvient d'un simple rappel au règlement qui aurait été décidé par le Comité.
Comme on a déjà pu le rappeler à l'époque (point 1, page 5), un rappel au règlement n'est pas une sanction. Pas plus que ne l'est un rappel à la loi, pas plus pour nos textes réglementaires qui égrènent les véritables "sanctions" prévues dans le fonctionnement de notre association : avertissement, exclusion temporaire, exclusion définitive (article 15 du règlement intérieur).
En l'absence de toute autre précision de la part d'un président autruchien, on serait donc en droit d'affirmer ici que le président Coconi diffuse un mensonge en indiquant que "sanction a été prise". Et c'est grave. Et je réaffirme tout le scandale et l'indignité d'une telle posture, d'une telle imposture plutôt !
M. Coconi viendrait donc ajouter son nom à la liste de ces deux précédents présidents qui n'auront jamais su prendre de véritables sanctions contre les injures et les menaces au sein du club, des propos et des attitudes parfaitement acceptés dans ce vase clos et marécageux qu'est devenue notre association.
Indigne et honteux.
D'autant que de tout cela, comme toujours, émanerait le subtil fumet du copinage le plus révoltant.
Jugez-en plutôt : le même Comité, apparemment durant la même réunion (?), a pris :
1 - la décision de sanctionner fortement (et justement) les injures ("salope", "fils de pute") et les menaces physiques de cet autre juge-arbitre à l'encontre du stagiaire-moniteur de l'association. Une vraie sanction, la seconde dans l'échelle de trois prévue par nos textes : exclusion temporaire d'une semaine !
et...
2 - pour cet autre moniteur particulièrement bien en cours, pour des injures aussi graves ("gros con" x 2), toujours à l'encontre du même stagiaire, injures également accompagnées d'une menace physique... le Comité ne déciderait d'aucune sanction, et se compromettrait éhontément dans une simple réprimande, un indolore rappel au règlement, à peine plus qu'une gronderie !?
Quelle cohérence, quelle honteuse compromission pour des élu(e)s qui se résigneraient à cela ?
Questions aux élu(e)s du Comité :
Pour quelle justification seriez-vous capables d'établir que "salope", "fils de pute" et une menace physique coûtent, à un premier "poête", une semaine d'exclusion, et pour, dans le même temps, estimer que "gros con" (x2) et une menace physique ne coûteraient strictement rien du tout à cet autre "auteur" ? Comment pourriez-vous être autant dans la compromission ?
Acceptez-vous d'être représenté (malheureusement pas que vous mais bien tous les adhérents) par un président qui laisse volontairement et à dessein croire qu'une "sanction a été prise" alors que strictement aucune sanction n'est venue sanctionner de tels écarts ? Un président de la sorte est-il digne, crédible, légitime ?
Votre silence sur d'aussi graves interrogations est-il lié à une contrainte qu'on vous ferait subir, une lâcheté de votre part, un pur opportunisme ? Quand donc assumerez-vous la nécessité de communiquer sur les très nombreuses questions qui se posent à l'association ? Avez-vous été élus pour être totalement muets durant quatre ans ? Que pensez-vous des principes de la démocratie et de l'absolue et nécessaire transparence des décisions prises ?
Questions transmises le 27 mai 2015
11 - Assemblée Générale 2015
Il me semble le moment venu de préciser la date de l'Assemblée Générale. J'ai entendu parler du 26 juin ou du 3 juillet ? Il faudrait vous décider.
On entame bien le gras du délai souhaitable pour laisser aux adhérents la possibilité de prendre connaissance des documents accompagnant la convocation, voire plus encore, comme je le souhaite pour ma part, ci-dessous.
Vous avez le devoir de garantir la possibilité pour les adhérents de transmettre ainsi les questions/propositions qu'ils souhaitent soumettre aux délibérations de l'Assemblée Générale, conformément aux dispositions de nos statuts.
Par ailleurs, quand et où pourra-t-on, préalablement à la tenue de l'Assemblée Générale, consulter les pièces comptables de l'association, les seules à même de permettre un examen précis de nos comptes et les questions légitimes en découlant éventuellement, sur lesquelles l'Assemblée Générale pourrait délibérer ? Et force est de constater combien il manque des informations aux adhérents attentifs à la gestion d'une association au fonctionnement aussi énigmatique, aussi trouble.
Enfin, j'aimerais connaître le nom du commissaire aux comptes retenu cette année, s'il y en a un ? Je tiens à rappeler la protestation que j'ai émise l'an passé de voir la vérification de l'honnêteté et la sincérité de la tenue des comptes par le trésorier confiée à un responsable de la même société que nous rémunérons pour la tenue des écritures comptables et de la gestion des salaires. Ce monsieur étant à l'amont et à l'aval d'une même procédure. Un mélange des genres qui me parait des moins souhaitables.
D'autant que cette même personne s'est également illustrée en Assemblée Générale pour venir soutenir certains adhérents contre d'autres, prenant fait et cause pour un président en place, allant même jusqu'à dire une profonde stupidité en prétendant qu'un secrétaire élu dans une association n'était que "l'exécutant" d'un président hiérarchiquement supérieur.
Autant dire qu'il me parait plus que nécessaire pour éviter cette confusion des genres et la suspiçion allant avec, que notre association puisse faire témoigner de la bonne tenue de nos comptes par une personne autrement plus neutre, non-adhérente de l'association dans l'idéal.
Questions transmises le 27 mai 2015
12 - Des documents non affichés et pourtant obligatoires
L'article 6 du décret n° 93-1101 du 3 septembre 1993 impose aux associations sportives d'afficher la "copie des diplômes, des titres, des cartes professionnelles et des récépissés de déclaration des personnes exerçant dans l’établissement, moyennant rémunération, des fonctions d’enseignement, d’animation ou d’encadrement d’une activité physique et sportive, ou des fonctions d’entraînement de ses pratiquants".
Il s'avère qu'on ne trouve aucune trace du diplôme et de la carte professionnelle de S. BONNET qui est salarié par l'association depuis... deux ans.
Samedi 6 juin 2015
Il convient donc que, dans un délai des plus rapides, le président Julien COCONI fasse le nécessaire pour mettre en règle l'association vis à vis de ses obligations.
A noter qu'il faudrait également qu'on trouve affichée "une copie de l’attestation du contrat d’assurance Responsabilité civile". On pourra alors vérifier si les responsables de l'association ont accompli la démarche pour mettre à jour l'assurance de l'association (demande faite il y a plus de deux ans mais dont on n'a jamais eu de nouvelles).
Question aux élu(e)s du Comité :
Pourquoi l'obligation d'affichage n'est-elle pas respectée depuis deux ans pour les documents concernant ce moniteur et l'assurance de l'association ?
Question transmise le 30 mai 2015 à 22h14
Réponse de S. LEGAY, membre du Comité de Direction du Tennis Club de Crépy en Valois, le 30 mai à 22h23 : "T'as que ça à foutre un samedi soir ?"