Lettres d'information

par Christophe Carré, membre du Comité de Direction du Tennis Club de Crépy en Valois

 

Lettre d’information - 24 mai 2014 (suite à la réunion du Comité de Direction du 23 mai 2014)

L'autre bout de la réunion du 18 avril !

 

 

1 - Assemblée Générale 2014

Elle aura lieu le vendredi 20 juin 2014, à 20h30, à la MJC, 1 avenue de l'Europe.

Cette information sera diffusée par courriels directement aux adhérents, par affichage au club, en page info sur le site et par le biais d'une publication dans le VAL Magazine.

Le président invite M. le Maire, M. l'Adjoint aux Sports, M. le Conseiller Général, M. le Président de l'USC (espérons qu'il ne soit que cela), et deux responsables salariés de la mairie avec qui il dit avoir régulièrement travaillé.

J'indique que l'Assemblée Générale n'a vocation a accueillir que les élus et les adhérents de l'association. Sans être autrement en opposition avec ces invitations, cela me parait peu pertinent.

Rappels sera fait dans la convocation des articles des statuts définissant les conditions d'organisation et de participation à l'assemblée générale.

Pour les comptes de l'association, je défends l'idée que les adhérents puissent les consulter avant l'assemblée générale, de manière à pouvoir y consacrer le temps d'examen qu'ils souhaitent et pouvoir poser ensuite, en AG, des questions. En ne dévoilant ces documents qu'au tout début de ces AG, les adhérents sont dans l'incapacité d'avoir le temps de recul nécessaire.

Le Comité décide que le bilan de l'exercice et le budget prévisionnel seront mis à disposition sur le site du club au moins une semaine avant la tenue de l'AG. Mention sera faite de cette possibilité de consultation dans la convocation officielle.

Pour l'examen des pièces comptables, je défends également l'idée qu'elles puissent être consultables sur place, ce jour là, sous le contrôle du trésorier responsable de la tenue et l'archivage de ces documents.

Je demande également, comme pour n'importe quelle élection démocratique, que la liste des candidats soit disponible dès que le délai de déclaration (donc jusqu'au 11 juin 2014) sera atteint. Sur décision d'une majorité du Comité (le président n'est pas d'accord), dès le 12 juin 2014, sera donc être accessible sur la page d'info du site, la liste des candidats se présentant à l'élection du Comité 2014/2018.

Pour être candidat, il suffit de faire parvenir par écrit (courriels acceptés) sa candidature au président de l'association, voire à tout le Comité pour en avoir l'assurance d'une complète réception.

Enfin, également sur ma proposition, et toujours dans le souci de donner à ces élections un cadre pleinement démocratique, une majorité du Comité décide que les candidats qui le souhaitent pourront aussi voir mis en ligne dans la page info du site, avec les autres documents de l'Assemblée Générale, ce qui serait une "profession de foi". En effet, c'est un exercice relativement difficile pour les nouveaux candidats que de convaincre, en l'espace de deux ou trois minutes, l'assemblée générale, de la motivation qui les anime. Dans ce document, laissé libre dans sa forme, le candidat peut se présenter, faire part des principes sur lesquels fonder son action, évoquer des projets, des idées.

Le Comité valide l'ordre du jour avec le rapport moral du président (espérons que ce ne soit que cela), le rapport d'activités établi par la secrétaire, le rapport financier, le rapport du responsable des championnats, les interventions du maire ou son adjoint, du conseiller général, du président de l'USC, l'élection des membres du Comité.

A cet ordre du jour, à ma demande, sont validées par le Comité deux questions supplémentaires :

- Quel projet de 4e court couvert (voir ci-dessous) ?

- Modification du règlement intérieur : l'article 8 deviendrait l'article 1 (proposition "résumant" toutes les plaintes pour diffamations, insultes et menaces consignées dans les comptes-rendus des travaux du Comité de Direction depuis deux ans).

J'explique en Comité que, bien conscient que toutes les injustices qui m'auront été faites ne seront jamais sanctionnées, je me résouds à ne résumer mon action contre tous ces propos indignes et inacceptables (diffamations, insultes, menaces) dans une décision symbolique qui consiste à placer comme premier article de notre règlement intérieur, l'article 8, paragraphe C. Ce dernier précise que "les adhérents se doivent de respecter les règles de bienséance, de respect des personnes et de bonne conduite sur les courts et dans l’enceinte des installations mises à disposition de l’association". Un article qu'une trop grande majorité de membres ce Comité aura considérablement, systématiquement piétiné, encore durant cette dernière réunion. Des principes d'éducation que pourtant la société civile met au premier plan, bien au delà de la nécessité d'en faire une loi. Des principes qui, s'ils ne sont pas respectés, laissent la place libre au pourrissement (le mot n'est pas trop fort) dont a été le théâtre les travaux des organes de direction de notre association.

Je reste étonné de l'accord du Comité sur cette proposition qui, si elle est adoptée par l'Assemblée Générale, constituera une condamnation en creux de l'ensemble de ces comportements indignes d'élus de l'association notamment.

Deux autres propositions ne sont pas retenues par le Comité, mais figurent d'ores et déjà dans les questions diverses, avec ce libellé précis à mentionner sur la convocation :

Question 1 (posée par C. Carré) : Je suis intervenu de nombreuses fois en réunion de Comité (mars et avril 2013 notamment) pour proposer une répartition plus morale des deux places délivrées par la FFT pour la mal intitulée « Journée des Présidents ». Dans ma seconde intervention, j’ai cité une réponse de la FFT se montrant très favorable à cette proposition. En appui de la proposition que je réitère ci-dessous je cite également cet extrait d’un article du Tennis Infos de décembre 2011/Janvier 2012,
page 48 (http://www.fft.fr/actualites/tennis-info/2013 : « Ce rendez-vous qui rend hommage aux hommes et aux femmes qui oeuvrent au quotidien sur le terrain ne doit pas être dénaturé, rappelle le secrétaire général de la FFT, Daniel HETTE ». Cet autre extrait du même article : « Nous nous sommes rendu compte que des dirigeants rétrocédaient leur place à des tiers, alors que nous voulons que cette initiative permette une valorisation des responsables de clubs, fait remarquer Daniel HETTE ».
Deux fois, les membres du Comité ont accueilli cette proposition, avec des ricanements, des applaudissements ironiques, et un rejet unanime exprimé par leur vote. Je dénonce le caractère non démocratique de l’affectation de ces deux places, puisque l’une d’elle va au bénéfice de quelqu’un n’étant absolument pas investi dans le fonctionnement de l’association, en tant que dirigeant ou simple bénévole actif. Ce qui reste totalement étranger à l’esprit de cette institution rappelée ici par le secrétaire général de la FFT.
L'ex-président a refusé de donner le nom de cette personne, qui prend ainsi la place d’un ou une dirigeante de l’association pourtant pleinement légitime à en demander le bénéfice et voir ainsi reconnus ses mérites, par ses pairs.

Le président actuel a indiqué que ce serait son épouse, ni bénévole, ni même adhérente de l'association qui bénéficierait de cette seconde place et de la reconnaissance de la FFT. Le président actuel a même indiqué que "c'était dommage qu'il ne puisse pas en faire bénéficier son chien" l'estimant apparemment plus méritant que n'importe lequel des bénévoles de l'association !?

Je fais donc la proposition suivante à l’Assemblée Générale : que ces deux places offertes par la FFT et qui sont le symbole de la reconnaissance de la FFT pour les dirigeants de club et leur investissement pour le bon fonctionnement de leur club, soient, dans notre association, données à deux dirigeants de notre association (membres du Comité et responsables officiels et bénévoles), deux personnes parmi les plus méritantes donc, à l’issue d’un choix majoritaire des membres du Comité, dans les mêmes conditions que pour les autres votes du Comité.

2 - Une délibération officielle de l'Assemblée Générale de notre association protestant sur les décisions (à priori deux) de la FFT de poursuivre ce plan incensé d'augmentation du montant des licences fédérales : + 64 % pour les licences jeunes ! (voir cette partie de ce site dédié avec ces 34 raisons de s'indigner). Délibération transmise par voie officielle directement auprès du président de la FFT (vous savez que le président de la FFT ne veut parler qu'aux présidents, un peu à l'image de cette société hindouiste organisée en castes).

 

J'indique que je poserai, en Assemblée Générale, ces questions dans le cadre des questions diverses parce que le Comité a refusé de les inscrire à l'ordre du jour où elles étaient pourtant pleinement légitimes, peut-être en ayant très peur de la réponse des adhérents ?

Je demanderai donc aux adhérents de cette assemblée (la plus légitime de nos institutions) de se déterminer par un vote.

Le président, le trésorier-adjoint, me répondent catégoriquement qu'il n'y aura pas de vote sur des questions diverses reprenant en cela l'argumentaire tronqué de l'ex-président qui souhaitait qu'on examine sa question diverse mais pas les miennes. Ils évoquent le fonctionnement d'autres associations pour justifier d'une décision aussi purement autoritaire. Ces deux personnes sont pourtant incapables de produire le moindre texte de notre association interdisant un vote sur une question diverse. Ils sont même en contradiction avec une précision donnée par nos statuts, qui rend caduque l'invocation de tout autre texte de loi (comme ce droit des co-propriétés invoqué de façon hallucinante l'an passé) : l'Assemblée Générale "d'une manière générale, délibère sur toutes les questions d'intérêt général" (article 24). On me répond que délibérer n'est pas voter. Tricher n'est pas jouer aurais-je pu répondre. Je transmets la définition du mot délibération qui confirme bien qu'une décision est prise par une délibération, un vote de l'assemblée.

J'explique que c'est un déni de démocratie que de considérer qu'une Assemblée Générale consiste à convoquer tous nos adhérents pour, en réalité, leur interdire de prendre toutes les décisions qu'ils souhaiteraient. J'explique que c'est cette Assemblée Générale qui est plus légitime dans toutes ces décisions que tous les autres organes de décision de l'association (Bureau et Comité), que la démocratie doit être remontante et non descendante, oserais-je dire condescendante ?

Rien n'y fait, l'Assemblée Générale doit être cadenassée, les adhérents réduits à deux oreilles selon ces membres du Comité.

Qui plus est, ces questions sont connues (elles figuraient déjà dans l'ordre du jour de la précédente

Ce n'est pas ma conception de la vie démocratique d'une association.

J'indique donc que je demanderai à l'Assemblée Générale son avis sur cette étonnante conception oligarchique du fonctionnement d'une association avec ensuite la proposition de délibérations, en bonne et due forme, sur ces questions visant l'intérêt général de l'association.

Conclusion : en accord sur nos désaccords.

 

2 - Réunion du mercredi 26 mars 2014

Le président a précipité une réunion avec les moniteurs, dans un délai d'à peine 48h (du lundi pour le mercredi), sans aucune urgence pourtant.

Seuls les membres du Bureau ont ainsi pu y assister. Il est de notoriété publique que ce n'était très certainement pas la garantie d'une impartialité la plus assurée. Cela aurait pu, sans doute, éviter d'autres "débordements" regrettables.

1 - Motif de cette entrevue.

Un moniteur a souhaité cette rencontre en constatant une "tension" entre salariés de l'association. Durant cette réunion, le principal sujet est resté, en fait, l'organisation des cours particuliers, la source de ces "tensions".

Les deux plus anciens moniteurs du club, ainsi que le moniteur du lundi soir, ont défendu l'idée que l'autorisation d'exercer des activités libérales (cours particuliers et stages) ne pourrait pas être donnée au stagiaire BE de cette année, salarié du club également, même s'il obtenait son diplome, pour la saison prochaine.

Le président précise qu'aucune réponse n'a été donnée par les membres du Bureau sur cette affirmation de la part de ces trois BE.

Je déplore que les membres du Bureau n'est pas fortement recadré ces moniteurs et leur affirmation pour le moins inacceptable.

En effet, les textes de notre association sont très clairs à ce sujet, ainsi que notre jurisprudence. L'autorisation d'exercer une activité libérale est accordée par les membres du Comité (article 11, paragraphe A du règlement intérieur). En aucun cas les moniteurs ne peuvent s'arroger ce droit à déterminer qui est autorisé et qui ne l'est pas. Les membres du Bureau auraient pu ainsi le préciser.

D'autant qu'il ne parait pas admissible que le Comité se mette à pratiquer une discrimination sans fondement entre les salariés du club, aux diplômes identiques en accordant des droits refusés à d'autres. L'intérêt du club est bien d'accompagner tous ses salariés, sans introduire des motifs de démotivation, voire une tension très réelle cette fois-ci, pour ceux qui seraient traités différemment. Ne pas réagir sur le champ est également, malheureusement, de nature à cristalliser cette tension, sur ce thème précis.

Il aurait été nécessaire de préciser, sur le champ, à ces trois moniteurs que, pour la saison prochaine, chaque salarié aura les mêmes droits à pouvoir organiser des activités libérales sur les installations du club : cours particuliers et stages. Bien évidemment, dans le respect intégral des textes de l'association et notamment le principe d'un seul court réservable à la fois pour des activités encadrées (cours collectifs, cours particuliers, stages).

En outre, c'est bien aux clients de ces moniteurs d'être la variable garantissant le succès des uns ou des autres. Les activités "libérales" répondent bien à cette loi, ailleurs et donc au club !

Le trésorier répond qu'il lui parait normal que le dernier salarié arrivé laisse la place à ceux plus anciens. Il prend en exemple ce qu'il ferait dans une entreprise. Le trésorier indique que le stagiaire DE réclame beaucoup, semble considérer que le club lui doit beaucoup.

Bien évidemment, pour moi, loin de l'appréciation toute personnelle du trésorier, il s'agit de ne pas être, en tant qu'élu de l'association, à l'origine d'une discrimination des plus inacceptables. Le principe énoncé par le trésorier n'a d'ailleurs jamais été appliqué par lui au moniteur à temps plein, pourtant en concurrence ouverte (qu'il a fallu réglementer strictement tant cette concurrence est rude) lorsqu'il est arrivé, avec notre plus ancien moniteur en poste. Deux poids, deux mesures, comme toujours.

2 - Propos insultants et hallucinants.

Sans doute avec le principe affirmé par la majorité des membres de ce Comité, d'une impunité totale pour les propos diffamatoires et insultants, on témoigne de propos indignes durant cette réunion.

Un membre du Comité, le trésorier-adjoint, a été englobé dans "les alcooliques du dimanche matin". Un autre membre du Comité, très présent dans la vie quotidienne de l'association, a été comparé à "un meuble".

On se demande bien comment les membres du Bureau n'ont pas réagi à ces propos ? Interrogé sur ce point, le président n'infirme ni ne confirme, le trésorier ne se rappelle pas. Amnésie générale.

Bien évidemment ces propos ont été tenus et entendus. Qui peut douter que de telles habitudes n'aient pas refait surface dans cette réunion en "petit comité" ?

Tout cela est, une nouvelle fois, gravement indigne, inacceptable.

Je proteste fortement également pour l'absence de réactions des élus présents lorsqu'ils ont entendu un de ces moniteurs déclarer : "oui j'utilise les balles du club pour donner mes cours particuliers et oui je vais continuer à le faire !"

Je rappelle que le Comité avait décidé d'imposer le marquage des balles avec un feutre afin d'être en mesure de vérifier que les moniteurs, dans le cadre de leurs activités libérales, n'utilisaient pas les balles de l'association. Ce qui parait une évidence pour tout le monde. Alors entendre ce moniteur revendiquer une pareille possibilité... et ne pas réagir en tant qu'élus de l'association... me parait absolument hallucinant !

3 - L'intérêt de l'association

Je conclus en rappelant que l'intérêt de l'association doit être recherché dans la "gestion de nos ressources humaines" (quelle expression moche). Ainsi je fais remarquer que ce ne sont pas tous nos BE qui sauront être disponibles sur les nouveaux créneaux qu'il faudrait peut-être trouver l'an prochain pour pallier aux conséquences de la réforme des rythmes scolaires. Et bien évidemment, dans ce type de projection, le moniteur a plein temps et le stagiaire DE sont deux moniteurs qui nous sont essentiels dans notre future organisation.

Des éléments que des élus de l'association doivent garder présents à l'esprit, avec, pour certains, la nécessité de se détacher de l'habitude d'être plus fidèle à des amitiés qu'aux intérêts de l'association.

 

3 - Suivi des cours particuliers

Je proteste contre la négligeance de la secrétaire de l'association qui n'indique pas sur le planning des réservations, les cours particuliers des moniteurs. Ainsi, très régulièrement, par exemple, les cours particuliers du jeudi après midi ne sont pas indiqués, rendant impossible le contrôle de la location de ces créneaux par les autres membres du Comité.

Le président répond que les moniteurs ne déclarent pas toutes ces heures à l'association.

Une réponse qui semblerait justifier, aux yeux du président, que le seul moyen mis en oeuvre pour justement résoudre ce problème n'est pas mis en oeuvre par la secrétaire.

Je proteste donc contre cette attitude qui consiste à souligner un problème (le président dit à peu près une fois par réunion que les moniteurs ne respectent pas cette règle) puis à ne pas reprocher au responsable désigné de faire le travail nécessaire pour résoudre ce problème.

Le Comité s'accorde pour donner le droit à tous les membres du Comité d'annuler un cours particulier (le moniteur et son élève devant quitter le court sur le champ) si cette réservation ne figure pas sur le planning. Seuls quelques très exceptionnels cas d'urgence pouvant justifier que la réservation n'ait pas eu le temps d'être passée. La secrétaire pouvant transmettre le courriel de demande en appui de cette transaction.

J'ai demandé le relevé de ces locations pour cours particuliers. Il ne m'a pas été transmis (la secrétaire est absente).

 

4 - Refus d'une location de court

Je proteste contre le refus qui a été fait à deux anciennes élèves de l'Ecole de tennis, dont l'une est restée adhérente de l'association, pour réserver un court. La secrétaire n'a pas tenu compte d'une possibilité pourtant clairement définie par le Comité, avec un texte parfaitement clair à ce sujet, disponible sur le site de l'association.

Un refus qui n'est donc pas compréhensible, pas acceptable.

Le trésorier vient défendre la secrétaire en affirmant une disposition qui n'est pas celle prise par le Comité. Une méconnaissance opportune.

 

5 - Réservations pour les stages

Je proteste contre les réservations pour les stages qui monopolisent le court n°5, le plus agréable. J'indique que c'est sans doute, durant les petites vacances scolaires, un moment où, enfin, les adhérents devraient pouvoir accéder à ce court. Ce n'est pas le cas.

Le trésorier indique que le nécessaire a été fait pour modifier cela en deuxième semaine.

Le principe de l'alternance du court réservable pour les stages est rappelé par le Comité.

 

6 - Insultes du trésorier

Je rappelle cette insulte désormais répétée, à l'oral, à l'écrit, de multiples fois, par le trésorier, comme le seul trophée qu'il est capable de brandir : "le trésorier, il t'em... toi et ta rhétorique de geek sectaire imbuvable".

Je demande au Comité de réagir, conformément à l'article 8 du règlement intérieur ("bienséance", "respect", etc...).

Le trésorier réaffirme son droit à m'insulter en réitérant son insulte, une nouvelle fois, en réunion.

Strictement aucune réaction du Comité.

Effectivement M. Julien Coconi, trésorier de l'association, a raison, il a le droit de m'insulter. C'est une jurisprudence de l'association.

 

7 - Achat de mobilier

Je regrette donc que la concertation décidée en Comité, préalable à cet achat, n'ait pas été mise en oeuvre, sans plus. A côté des excès par ailleurs constatés, on en vient à trouver le reste de ces dysfonctionnements comme de la petite bière.

Coût total : 1100 € environ. Ce qui parait cohérent.

 

8 - Courrier de l'inspection du travail

Le 10 mai 2014, à l'occasion d'échanges de courriels encore acerbes, le président se décide enfin à transmettre ce courrier aux membres du Comité, enfin surtout à moi puisque je reste le seul à le demander.

Pour ceux qui en auront l'envie, le courage, la folie (rayer les mentions inutiles), ils pourront se remettre en mémoire le contexte de cette démarche que j'ai initiée, forcément, par défaut de l'ex-président, en consultant le compte-rendu d'une réunion (précipitée elle aussi, du matin pour le soir) du dimanche 30 septembre 2012.

Au final, que nous apprend ce courrier enfin dévoilée (rétention de ce document par l'ex-président ou l'actuel (?) depuis dix mois) ?

Et bien qu'il n'y avait toujours aucune raison à désembaucher l'enseignant embauché trois jours plus tôt, avec un statut d'entraineur physique, appuyé par un diplome de professeur d'EPS. Une embauche parfaitement couverte.

Et qu'il y avait bien, par contre, comme je le dénonçais, dans cette logique à deux vitesses (celle pour les amis et celles pour les autres), toutes les raisons de ne pas "embaucher" sous contrat les stagiaires AMT en les laissant en situation, sans tuteur présent sur le court.

L'exact contraire de la décision de l'unanimité du Comité de l'époque (moins moi) qui n'a pas hésité ce jour là à mettre à la porte 19 adhérents devant prendre leur premier cours le lendemain.

Une décision corporatiste, discriminatoire, scandaleuse. A l'image d'une trop large habitude prise par trop de membres de ce petit comité.

On comprend, à l'éclairage des injonctions décrites dans ce courrier par l'inspecteur du travail, que l'ex-président l'ait gardé secret aussi longtemps !

Par la suite, ce monsieur a évoqué un vague texte "de rattrapage" établi par la FFT qui serait venu donner un cadre légal à une situation qui l'est moins. J'attends toujours que ce document nous soit transmis.

Quoi qu'il en soit, je m'étonne, qu'à la lecture de ce courrier de septembre 2013, on puisse encore constater que l'ex-président ait à nouveau fait signer un contrat à un stagiaire de cette saison en octobre 2013 ?

Peut-on ainsi mettre volontairement l'association et l'un de ses stagiaires (voire les élèves non couverts par un enseignant n'ayant pas de statut légal), dans une situation aussi anormale ?

Le Comité, le président actuel que j'alerte sur cette situation qui engagerait sa responsabilité en tant que représentant légal de l'association, botte en touche : "l'année va bientôt se finir".

Circulons, y'a rien à reprocher à l'ex-président.

 

9 - Membre d'honneur

Il faudra veiller à l'avenir, à renouveller l'adhésion (et la licence) des membres d'honneur de l'association. A ce jour, nous n'avons qu'un membre d'honneur en la personne de P. Gourdain, président de l'association durant plusieurs décennies.

Sur mon interpellation, la secrétaire a fait le nécessaire.

 

10 - Gestion du stock de balles

Je m'étonne du non-respect d'une décision du Comité qui confiait la gestion du stock de balles au trésorier-adjoint, également permanent bénévole du dimanche matin.

Le trésorier répond qu'il garde les balles, ne les fournissant qu'au compte-goutte, pour s'assurer ainsi qu'il y ait "moins d'évaporation des tubes de balles".

Faisant preuve du courage qui semble manquer au trésorier, je lui demande s'il laisse entendre par cette expression que des tubes auraient, par le passé, fait l'objet de vols au sein de l'association ?

Le trésorier se borne à reconnaître qu'il ne peut prouver cela par un relevé des stocks et qu'il est incapable de désigner des responsables de l'accusation qu'il n'ose pas mieux formuler.

Je proteste contre cette accusation du trésorier qui reste, bien évidemment, une pure diffamation.

Je rappelle au trésorier que c'est sous l'ex-présidence que nous avons décidé de nous assurer d'une gestion plus suivie des stocks de tubes de balles, non pas pour des supposés vols mais bien pour l'utilisation de 4 balles pour des matchs et non 3 comme défini par le Comité. Du reste, les factures du club peuvent attester du nombre de balles achetés, qu'on peut aisément, chaque saison, mettre en regard du nombre de matchs disputés à domicile. Un calcul qui n'aura jamais démontré l'existence d'une "balles-connection" à la crépynoise !

Et, en ne confiant pas le stock de balles au responsable désigné par le Comité (le trésorier-adjoint), le trésorier n'aide absolument pas l'association à mettre en place les outils permettant de s'assurer d'une bonne gestion des stocks.

J'indique au trésorier qu'il devrait prendre beaucoup plus de précautions avant de lancer des accusations de vols, qui sortent de son mauvais chapeau, sans aucune réalité avec le travail des bénévoles de l'association.

Je conclus par cette formule trop célèbre : diffamons, diffamons, il en reste toujours quelque chose.

 

11 - Diffamations du président

Je proteste, encore et toujours, sur deux écrits du président :

- je serais responsable de la "démission des 6 membres du Comité". Une diffamation datant de l'ex-présidence. Un actuel président pas même capable d'imagination ! Une diffamation pourtant caractérisée, la quasi intégralité des membres du Comité ayant démissionné l'ayant fait pour une ambiance de travail détestable, mais sans jamais m'en attribuer l'exclusivité (je ne suis même jamais qu'en réaction à de multiples dysfonctionnements, la vraie origine de cette ambiance détestable).

- le président inventant "des interventions de ma part auprès du service des sports". Une totale diffamation. Le président se montre totalement incapable de citer la personne de ce service qui aurait été ainsi contactée par moi !

Je fais remarquer au Comité que le président cumule désormais une liste conséquente de diffamations, autant d'affirmations parmi les plus grotesques. Ce qui reste définitivement inacceptable.

Aucune mesure prise par le Comité.

 

12 - Propos inacceptables puis mensongers du président

Le président est capable d'écrire ces deux choses :

- ""Voici quelques raisons, qui font que j'ai décidé de ne pas te mêler aux projets, vu ton comportement, et ce jusque la fin de mon mandat de président." (courriel du 26 février 2014)

Et après encore ce combat à mener, et deux décisions successives du Comité pour contraindre ce monsieur à respecter le droit :

- "Non, devant tous les membres du Comité, je n'ai jamais décidé de t'écarter du projet "court couvert n°4" (courriel du 5 mai 2014)

Le pire, dans tout cela, car c'est possible, c'est qu'il se trouve des membres du Comité pour venir tenter d'expliquer que oui mais non, le président n'a pas voulu dire ceci en pensant cela... etc...

Il aura été dit que j'aurais eu droit à toutes les malhonnêtetés intellectuelles dont sans doute des dirigeants d'association sont capables.

Tellement affligeant... que je ne demande même pas qu'elle est la réaction du Comité sur ce type de mensonge éhonté.

 

13 - Double réservation d'un membre du Bureau

Un adhérent m'a fait savoir qu'un membre du Bureau avait effectué une double réservation, interdite par l'article 5 du règlement intérieur.

Il s'avère que ce membre du Bureau a effectivement eu une double réservation, en pleine connaissance de cause. Ce membre a invoqué dans son courriel, des hypothétiques entrainements d'équipes, qui n'existent pas au club.

J'indique aux membres du Comité qu'il est nécessaire de traiter ce non-respect du règlement intérieur comme tous les autres qui nous sont signalés.

Il convient donc, à l'égal de ce que nous faisons pour ce type de problème de faire un rappel au règlement. Ce que je propose au Comité.

Le trésorier s'abstient. Le trésorier-adjoint vote contre. 4 autres membres dont moi s'accordent pour notifier ce rappel au règlement à ce membre du Bureau pour ce premier non-respect de l'article 5.

 

14 - Garage à vélos

Le "garage" a vélos a été aménagé. Il convient de le saluer. Mais placer ce point dans les dysfonctionnements permet de signaler cette remarque qu'on a faite au président qui nous la répercute : on les met là parce que ailleurs, on s'est aperçu qu'on ne pouvait pas mettre les roues des VTT, avec leurs pneus plus larges.

Autant dire un dispositif qui risque de rendre... peu de services.

 

Les autres points traités

15 - Projet de terrasse

Évoqué dès le début du projet de réaménagement du club house, je profite de cette réunion pour faire aboutir cette idée. Il s'agit d'aménager une terrasse démontable devant la nouvelle porte-fenêtre. A saluer, au passage, l'installation d'un volet électrique. Un projet qui vise à améliorer la convivialité de cet espace désormais très fréquenté en périodes de championnats (le seul espace où l'on peut s'asseoir à proximité du club house).

Le trésorier-adjoint est chargé d'établir un devis pour une réalisation en interne.

La question sera posée en mairie pour obtenir une autorisation.

Au passage le président rapporte un reproche des services techniques quant à l'occulation du regard-égout. On rétorque que les odeurs sont un problème à cet endroit. Il conviendrait de trouver une solution mixte.

 

16 - Projet de coin salon

Le démantèlement de l'ex-bar (que d'ex dans ce club) a laissé des traces dans le carrelage.

Je propose donc au Comité l'installation d'un sol stratifié qui permettrait, non seulement de cacher ces dégradations irréversibles, mais encore de matérialiser l'aire salon du club house. Une surface d'environ 20 m² nécessitant un budget d'environ 400 €. Le trésorier trouve ce projet pertinent et propose même un budget pouvant dépasser ce montant, s'il le faut.

Le Comité donne son accord pour cette réalisation. Reste à trouver les bonnes volontés pour la réalisation. Un appel à volontaires est donc fait. Je me propose pour mener à bien cette action. Le Comité valide.

 

17 - Occultation des fenêtres du court n°6

La création d'une baie vitrée dans le club house (merci la municipalité) a augmenté la gêne-lumière sur le court n°6. La membre du Comité chargée d'acheter d'autres autocollants pour occulter ces deux vitres indiquent qu'elle n'a pas eu le temps de s'en occuper mais que cela ne saurait tarder.

 

18 - Tournoi jeunes

Je m'inquiète de n'avoir rien vu passer : pas d'info sur le site, pas de courriels aux adhérents, pas d'affiche, y a-t-il eu une info auprès des élèves de l'Ecole de tennis ?

Le président m'indique que le responsable (notre stagiaire DE) a été relancé.

J'indique qu'il faut, pour cette première édition qu'il doit assumer, l'accompagner et je souhaite qu'on rappelle ici le cahier des charges de ce tournoi : limitation des inscriptions à 100, pas plus de deux courts couverts réservés à la fois, etc...

On me répond que le stagiaire doit assumer tout cela.

 

19 - Organisation de la fin de d'année scolaire

Le trésorier transmet les infos données par la secrétaire.

Chaque cours collectifs (enfants ou adultes) aura bien un total de 30 séances assurées d'ici le 21 juin 2014. Par exemple, les groupes du mardi auront leur dernier cours le 27 mai 2014.

Je demande confirmation pour les cours du samedi, annulés ce samedi 24 mai (sortie Rolang Garros). C'est un cas particulier et je veux m'assurer que les inscrits aux cours collectifs du samedi et qui ne participent pas à la sortie Roland Garros, ne seront pas lésés par l'annulation d'une séance qui manquerait dans ce total.

Le trésorier m'assure que les cours collectifs du samedi atteindront bien ce total des 30 séances.

La Fête de l'Ecole de tennis aura lieu le 11 juin 2014. Une organisation à l'image de ce qui a été fait l'an passé : les "petits" seront accueillis durant la matinée (ateliers, jeux, etc...). Les grands, divisés en "moyens" et "forts" seront répartis dans l'après-midi (tournois).

Le Comité valide un budget de 150/200 € pour les goûters de cette journée.

J'indique qu'il serait judicieux, à l'égal de ce que j'avais fait l'an passé, d'envoyer un courriel listant l'ensemble des évènements du club de cette fin d'année.

Ainsi la Fête du club, organisée à l'issue de la seconde journée d'animation prévue par notre stagiaire DE le samedi 5 juillet 2014, pourrait également faire l'objet d'une information à destination de l'ensemble de nos adhérents.

Enfin je questionne le Comité sur la procédure adoptée pour les pré-inscriptions (cours collectifs adultes et enfants).

Le Comité s'accorde pour utiliser à nouveau le principe du formulaire Gmail.

J'indique qu'il conviendrait de lancer dès à présent l'information et l'ouverture de ces démarches de pré-inscriptions auprès des adhérents et à dans la presse locale (VAL, Crépy Infos).

 

20 - Sortie Roland Garros

Le trésorier indique que 100 personnes se sont inscrites pour cette sortie.

La membre du Comité qui s'est chargé de gérer les inscriptions me remet la liste des inscrits (j'en ai fait la demande).

Le trésorier souligne son mérite à gérer les modifications de dernière minute, plutôt nombreuses.

 

21 - Accès à Tennisweb

Je sollicite l'accès au site de réservation du club afin de pouvoir obtenir des informations en vue de la préparation de l'AG : statistiques d'occupation des courts, liste des adhérents (Tennisweb et Adoc).

Le président indique que je le fais rire. Mais ne précise pas pourquoi ?

Le trésorier indique qu'il me remettra la liste Adoc (licenciés).

J'indique que le module de statistiques de Tennisweb est difficile à exploiter et que je pense que la secrétaire n'y parviendra pas, sans être autrement dévalorisant. Raison pour laquelle je souhaite avoir cet accès.

Le président, le trésorier me répondent qu'ils demanderont l'intervention du webmaster pour me fournir ces données.

Je ne pense pas que ce soit au webmaster d'être sollicité pour ce type d'utilisation normale, mais bon... Je transmettrais donc ces demandes plus précisément.

 

22 - Terre battue

Le président nous informe que les tracés ne respectent pas les bonnes limites. La mairie a suspendu le paiement de la facture.

Le sous-traitant doit donc refaire les lignes non conformes. Le court sera, au moment de l'intervention, interdit durant quelques jours de soleil (séchage de deux ou trois jours).

En attendant, ce court peut être joué.

 

23 - Rangement du matériel pédagogique

Je signale que de plus en plus de matériel pédagogique reste non rangé dans le court n°5 : élastique, cerceaux, poteaux, filets, plots, disques de fonte. Ce mercredi, les deux portes du court n°5 étaient grandes ouvertes, la grille de l'entrée principale non fermée.

Il conviendrait de rappeler aux moniteurs qu'un rangement minimum est requis.

 

24 - Tournoi NTC

Le président recevra sous peu les 100 kgs de lots. Le président et le responsable de l'épreuve se rendront à Paris le 26 mai, pour la réunion d'organisation. Ils semblent motivés par le petit déjeuner offert. Sur ma proposition, le Comité s'accorde pour le remboursement des frais kilométriques.

Il faudrait également informer l'ensemble des adhérents de l'organisation de cette épreuve estivale, sur les courts du club, durant les mois de juillet et août.

Je finalise l'affiche que m'a demandée le responsable de l'épreuve, membre du Comité.

 

25 - Remise des récompenses par la municipalité

Les sportifs ayant obtenu un titre (individuel ou par équipe) peuvent y prétendre. Le président signale qu'il vient de recevoir ce volumineux dossier.

J'indique qu'il faudra mentionner le nom d'Emmanuel FOSSIER, champion de Picardie seconde série. Sans doute faudra-t-il aussi ne pas oublier d'éventuels titres de Pascal COLAS, moniteur de l'association, dans la catégorie des plus de 35 ans. A préciser avec l'intéressé.

Peut-être également d'autres de nos adhérents à honorer ?

Il faudra également communiquer ce rendez-vous à ces joueurs (et joueuses ?).

 

26 - Mini Tennis en fête

Le président indique qu'il est important de participer à cette manifestation (Creil cette année). Le club bénéficiant du label Mini Tennis, avec une petite subvention à la clef (200 €).

La date du 18 juin pose néanmoins problème. Le moniteur à temps plein se rendra avec 3 ou 4 élèves à ce rendez-vous, sur la matinée.

Je m'inquiète de la prise en charge de ses autres élèves. Le président me répond que les AMT ne pourront pas assurer ce remplacement, ils sont convoqués pour leur formation ce 18 juin.

On propose un membre du Comité pour assurer ce remplacement (dispose d'une équivalence AMT). Le Comité donne son accord. Indemnisation sur la base du coût horaire d'un AMT.

Les élèves seront normalement pris en charge ce 18 juin.

 

27 - Réforme des rythmes scolaires

Les informations sont toujours indirectes, changeantes. Ainsi le dégagement du vendredi après midi (fin des cours en primaire à 11h30 le vendredi) indiqué dans un courriel de la secrétaire, semble ne plus être d'actualité le samedi (les professeurs des écoles seraient contre).

Dommage si cette dernière information est confirmée. Nous aurions pu tenter d'organiser quelques cours sur l'après-midi du vendredi.

En l'état, cette réforme pose un énorme problème pour l'organisation des cours collectifs enfants, dès septembre 2014. Est clairement sur la sellette le non choix entre mettre 72 enfants dehors ou mettre sans doute l'équivalent d'adhérents adultes sans possibilité d'accéder aux courts couverts sur 80 % de la saison.

Un non choix ravageur.

D'où mon combat pour faire avancer, malgré les obstacles qu'on me dresse, ce projet de 4e court couvert dans un délai des plus rapides.

Voir ici pour une présentation plus précise des enjeux qui sont à relever par notre association, avec cette réforme des rythmes scolaires (oserais-je dire mon sentiment sur cette réforme ?).

28 - Projet de 4e court couvert

Ce projet étant l'objet d'un travail approfondi, j'y dédie une page spéciale.

Pour ce qui est de la rencontre avec des élus municipaux, qui traine depuis janvier 2014, après avoir indiqué qu'il ne voulait pas de moi, puis qu'il ne voulait pas assister à ce rendez-vous en ma présence (le Comité m'a légitimité pour ce rendez-vous) Le président a indiqué qu'il avait annulé ce rendez vous.

Je lui demande quand était prévu ce rendez vous. Réponse : jeudi 24 ou vendredi 25 avril (?) avec M. l'Adjoint aux Sports et un responsable municipal du suivi des travaux.

Nous tentons donc de définir un autre rendez-vous pour une entrevue (réunion d'information, premier contact) qui doit absolument avoir lieu avant l'assemblée générale afin d'être en mesure d'apporter des éléments précis aux adhérents appelés à se prononcer sur ce projet et ses deux options.

29 - Divers points

- sur la porte du court n°6, on nous a présenté cet aménagement comme un oculus. On s'est interrogé sur deux ou un seul c (en fait, un seul) ? Et bien ce n'est pas un oculus puisqu'il n'est pas circulaire. Ce n'est pas non plus un judas. Il faudrait donc trouver le mot adéquat. A voir.

- le contrôle d'accès des courts 1 et 2, que j'ai signalé défaillant, a été remis en état (la platine avait été dévissée).

- rangement du barbecue. J'indique que là où il est stocké (court n°6), il constitue un danger. Le Comité s'accorde pour le stocker, sous bâche, à l'extérieur, aucun autre local n'étant disponible pour l'entreposer au sec. Le second barbecue sera mis à disposition d'une autre association.

 

Fin de la réunion : 11h30.

 

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