Lettres d'information

par Christophe Carré, adhérent du Tennis Club de Crépy en Valois

 

Les questions de Septembre 2014

En tant qu'adhérent de l'association, je communique régulièrement des questions au président COCONI et aux élus du Comité sur des décisions qui paraissent être des dysfonctionnements.
A ce jour je n'ai reçu quasiment aucune réponse officielle à toutes ces questions. Certaines de ces informations sont donc à prendre au conditionnel.

 

Sommaire

30 - Tournoi interne : un juge arbitre magicien !
29 - Une nouvelle mode : le "pas bonjour" !
28 - Tournoi interne : un forfait mensonger !
27 - Tournoi interne : jouer en semaine... un droit sélectif !
26 - Président d'honneur ?
25 - Invalidation de l'élection des membres du Comité ?
24 - Le droit à l'équité... dans l'immmoralité !
23 - Des élus du Comité... comptant pour du beurre !
22 - Des entraînements... mais pour qui ?
21 - L'étalement d'un tournoi sur la semaine entière !
20 - Des courts couverts réservés par temps de pluie... pour rien !
19 - Un planning des plus fantaisistes !
18 - Le matin... de l'après midi !
17 - Réservations des courts couverts pour les entraînements : adieu l'article 5 !
16 - Réservations cours particuliers : adieu l'article 11 !
15 - Dangerosité d'un court ? Pas urgent... cela ne concerne que les adhérents !
14 - Des entrainements d'équipes : dans quelles conditions ?
13 - Une chasse gardée... pour des salariés qui se prennent pour des élus !
12 - Insultes : toujours l'impunité totale !
11 - 2500 € pour un travail jusque là effectué... par les bénévoles de l'association pour... 0 € !
10 - A travail égal... salaire égal !
9 - 17 % d'augmentation : un record ?
8 - Des affirmations du président COCONI pour le moins contradictoires !
7 - Un contrat à mettre à jour.
6 - Le président COCONI sur les traces du record du président CARREL : 16h et 10 minutes !
5 - S. LEGAY, un juge arbitre à + 133 % d'indemnités !
4 - Pour un poste à 20h, c'était sans compter avec d'autres intérêts !
3 - Réservations pour cours particuliers : des réservations... particulières !
2 - Des formulaires d'inscription qui prévoient de se passer du règlement intérieur !
1 - Projets de 4e court couvert : ils ont choisi... pour tout le monde !

 

 

 

 

30 - Tournoi interne : un juge arbitre magicien !

Tournoi interne, suite et fin ? Je vais éviter d'aller au club, sans doute la seule solution pour ne pas avoir à constater de tels problèmes. Nous sommes fin septembre, et c'est le 30ième point de cette page... 1 dysfonctionnement par jour ! Quelle cadence !

Dimanche 28 septembre, un joueur classé 15/1, appelons-le le joueur X, qui a fait forfait samedi 27 septembre pour son match prévu à 9h, se voit confirmer de vive voix par S. LEGAY, juge-arbitre, qu'il est wo. Une mesure tout à fait justifiée dans la mesure où ce joueur X était inscrit sur le tableau toujours affiché à 10h30 ce dimanche 28 septembre dans le club house, et n'a prévenu de son "forfait" (comment l'appeler autrement) que le samedi 27 septembre à 7h, par un sms adressé à S. LEGAY ! Une dernière indication qui légitimise pleinement un wo. Voire la rédaction d'une fiche de pénalité pour un forfait qui semble ainsi des plus cavaliers. Une décision qui aurait pu être prise par un juge-arbitre plus attentif à ce genre de problème.

T. CAVALLI, l'adversaire prévu pour le match du joueur X, qui se présente à 9h comme convenu, ne peut d'ailleurs que constater que le joueur X n'est pas présent et que lui même s'est levé pour rien !

S. LEGAY juge arbitre transmet à T. CAVALLI et ses parents, cette explication et ces détails.

Dimanche 28 septembre, le joueur X n'a pourtant aucune difficulté à être présent : pas malade, pas blessé. A la suite de la confirmation du wo par S. LEGAY à ce joueur X, plusieurs adhérents sont alors témoins de la grosse colère de ce joueur X. Celui ci craint apparemment que ce wo entraine pour lui une perte de points qui puisse compromettre sa montée au classement (il a déjà deux défaites par wo comme on peut le voir sur le bilan de sa saison (cf. espace du licencié) et il sait que la troisième sera comptabilisée dans son bilan comme une défaite à deux échelons inférieurs).

Énorme colère quand ce joueur X claque extrêmement violemment la porte-fenêtre coulissante du club house, impressionnant tous les adhérents présents. Colère qui se manifeste encore lorsque ce joueur X s'en prend aux poubelles à l'extérieur.

Tout cela relaté non pas pour m'apesentir sur le comportement de ce joueur X mais pour cerner le contexte de la réaction de S. LEGAY, juge arbitre magicien.

Ainsi quelle surprise pour ces mêmes adhérents de constater qu'un mini-conciliabule se met aussitôt en place avec S. LEGAY et quelques autres personnes (Comité de Tournoi ? Quels membres ?) pour discuter de cet incident et la décision plusieurs fois affirmée (tableau, vive voix) de S. LEGAY.

Et quelle surprise lorsque je vois ensuite S. LEGAY remplacer le tableau affiché en procédant à une modification de ce tableau des huitièmes de finale, pourtant affiché dans le club house !

Et que peut-on observer comme modifications sur ce tableau des huitièmes de finale ? Les deux forfaits des quarts de finale ont complètement disparu ! Les quarts de finale devenant au passage un quart de finale de compression. Il faut suivre !

Un autre joueur, appelons le Y, forfait lui aussi (je devais rencontrer ce joueur Y), et le joueur X, forfait, ne sont plus du tout sur le tableau ! Effacés, disparus, jamais existés ces deux forfaits ! S. LEGAY, magicien, vient de se déjuger en deux minutes ! Après avoir de multiples fois affirmé sa décision d'un wo, il a suffit de la grosse colère du joueur X pour que S. LEGAY, juge arbitre, change d'avis et... n'hésite pas à se mettre en infraction avec les règlements sportifs de la FFT !

Certes le joueur X est un joueur gentil d'ordinaire, passionné de tennis. Un joueur dont le coup de colère du jour reste peut-être un simple incident. Mais je gage que de la part d'un autre joueur au comportement aussi regrettable, pour un adhérent moins bien en cours auprès de ces quelques élus, la réaction de S. LEGAY n'aurait assurément pas été sujette à un changement de décision aussi spectaculaire (voir plus bas ou point 28). Une réaction relevant de ce fameux mode de fonctionnement du copinage que je dénonce tant dans cette association. Du pur et simple copinage !

A priori (?), le forfait du joueur Y semblait "prévu" à ce qu'on m'en a dit, peut-être lié à un problème du même type que celui évoqué au point 28 ? Le joueur Y donnait des cours dans un autre club sur la matinée, et jouait un autre tournoi dans l'après-midi, sur Compiègne (ce qui reste d'ailleurs pour cette dernière raison, sans effet sur l'attribution d'un wo).

Mais, si ces indisponibilités ont été communiquées par ce joueur à l'inscription, au juge arbitre S. LEGAY, pourquoi ce joueur Y figurait-il toujours sur le tabeau des huitièmes de finale, dimanche 28 septembre à 10h30, comme peut en témoigner une bonne dizaine d'adhérents, la plupart inscrits au tournoi ? Une première faute du juge arbitre ? Je pose ces premières questions au Comité de Tournoi.

Quant au second wo, celui du joueur X, quand S. LEGAY fait disparaitre du tableau des huitièmes de finale, affiché dans le club house, le forfait de ce joueur, ce dimanche 28 septembre peu après 10h30, un forfait qu'il vient pourtant quelques instants plus tôt de confirmer à l'intéressé, cela relève bien de la pure et simple tricherie volontaire de sa part ! On ne modifie pas un tableau affiché ! Les règlements sportifs de la FFT le stipule on ne peut plus clairement (article 52, paragraphe 1, page 171). Tous les juges-arbitres un tant soit peu compétents le savent ! Qui plus est simplement pour prendre en compte la grosse colère d'un joueur qui mérite d'autres sanctions ! Une modification d'un tableau pleinement frauduleuse, sans respect aucun pour le préjudice sportif subi par les autres inscrits de ce tableau ! Qu'en pense le Comité de Tournoi ? Une seconde question.

Plus détestable encore, cette incohérence avec la décision de S. LEGAY de maintenir le wo injustifié d'un troisième joueur, en dépit de la protestation et du bon droit de ce joueur (point 28), alors que ce forfait du joueur X, lui pleinement justifié, et même celui du joueur Y, disparaissent comme par enchantement du tableau ?

Qui peut passer sous silence de tels tripatouillages de la part du juge-arbitre S. LEGAY ? Qui peut accepter qu'un tel copinage soit le principe d'organisation de ce tournoi pour dire oui à un joueur qui fait une colère et non à un autre à qui l'on fait porter le poids de sa propre faute ? Qui peut comprendre que parce qu'un joueur s'autorise une grosse colère, le juge-arbitre revienne sur sa décision pourtant conforme aux textes auxquelles il doit se soumettre ( règlements sportifs de la FFT) en modifiant donc frauduleusement un tableau affiché ?

Les membres du Comité de Tournoi, les élus du Comité de Direction peuvent-ils ne prendre aucune décision suite à des dysfonctionnements aussi évidents pour rétablir ce qui doit l'être pour ces joueurs (pas de wo pour le joueur 30/1 et wo confirmé pour le joueur X, voire le joueur Y (sauf si la faute du juge arbitre est confirmée là encore) ?

Les membres du Comité de Tournoi n'ont-ils pas le devoir de ne plus confier aucune organisation de tournois du club à un juge-arbitre aussi inconséquent ?

Pour ma part, en jouant un tour en contre (à 15/4) (et, avec ces circonstances particulières, un tour à égalité (15/3)), je pouvais, en consultant les tableaux d'origine (encore affichés dimanche 28 septembre à 10h30), logiquement espérer améliorer les résultats de ma saison sportive en disputant le tour suivant contre un 15/1 comme adversaire (joueur Y - match prévu samedi 26 septembre à 9h), voire si la chance m'avait souri, un second 15/1 (joueur X - match prévu samedi 26 septembre à 18h). Avec ces deux forfaits successifs, je constate donc que j'ai du affronter un joueur éminemment plus fort que moi (5/6). Je prétends donc avoir été lésé par ces deux forfaits. Je prétends également que T. CAVALLI a subi également un préjudice sportif. Aussi, la moindre des choses est que ces forfaits ne soient pas purement et simplement effacés par S. LEGAY.

Si les règlements sportifs comptabilisent et "sanctionnent" ainsi un trop grand nombre de forfaits pour un joueur, c'est bien qu'il y a nécessité à limiter au maximum ce type de comportements. Et c'est bien un souci que la FFT traduit dans ses textes qui restent à appliquer par les juges-arbitres.

C'est aussi la morale sportive, que S. LEGAY juge arbitre devrait pourtant placer plus haute que toute autre considération, qui l'exige. Et non pas ce copinage trop systématique à dénoncer à de multiples occasions.

Je n'ai que quelques jours pour engager le recours suivant auprès des responsables des tournois du CDOT ou de la Ligue de Picardie pour me plaindre très officiellement de tels dysfonctionnements et ce manquement caractérisé aux règlements sportifs de la FFT. Le président COCONI m'a fait savoir que le Comité de Tournoi allait se réunir.

J'ai donc pris la décision de transmettre dès vendredi 3 octobre un courrier portant ces réclamations auprès de la Commission des Litiges de la Ligue de Picardie.

J'en ai profité pour relayer les interrogations de plusieurs adhérents sur ces curieux panneaux de progression où, par exemple, un seul joueur du tableau précédent avait la "chance" de pouvoir affronter le classement supérieur ! Un seul qualifié par tableau !? Des tableaux multipliant les tours en contre ou à égalité ! Du jamais vu dans ma carrière de joueur ! Des tableaux "parfaits" ! resic ! Des tableaux multipliant les tours, nécessitant de réserver des courts couverts dans la semaine, en dépit des précautions que nous avons toujours prises par le passé pour laisser au moins ces espaces à disposition des adhérents en périodes de tournois !

J'avais contacté au préalable, le joueur X pour obtenir ses éventuelles explications, par souci d'objectivité. Il ne m'a répondu que par des provocations insultantes, m'adressant les coordonnées de plusieurs psychiatres ! Me prenant de haut en se présentant comme un JAT2 garantissant le caractère "parfait" des tableaux établis par S. LEGAY (sic !), il s'est aussi permis de juger mes compétences en matière d'organisation des tableaux d'un tournoi comme « fort limitées » ! J'ai pourtant été JAT1 bien avant qu'il ne touche sa première raquette. Pour répondre à sa provocation, je lui ai indiqué qu'il têtait encore Goldorak que déjà j'obtenais cette qualification de JAT1 et assumais l'organisation et le déroulement de nombreux tournois de notre association, bien plus qu'il n'en a à son actif.

En 40 ans de présence au club, je n'ai jamais vu, ni moi, ni les autres responsables du club à l'expérience conséquence dans ce domaine avec qui j'ai pu en discuter, de tels dysfonctionnements dans l'organisation des tableaux d'un tournoi de notre association.

Deux dernières questions : le joueur X qui répond à cette demande d'explications que je lui ai transmise m'apprend que les membres du Comité de Tournoi sont en fait... les mêmes que les membres du Bureau !

Me confirme t-on que le Comité de Tournoi est bien constitué de : J. COCONI, K. BRETON, T. JACQUET (cf. liste de diffusion utilisée par le joueur X) ?

J'aimerais savoir si cette décision de constituer le Comité de Tournoi de cette manière (composition qui n'a pas été communiquée et affichée durant le tournoi) est bien une décision du Comité de Direction de notre association, en réunion, ou du seul Bureau... se désignant lui même... sans aucune autre sollicitation des élus du Comité ?

Questions transmises le 1er octobre.

29 - Une nouvelle mode : le pas bonjour !

J'ai joué plus de 2h vendredi 26 septembre au soir. J'ai rejoué plus d'1h30 samedi 27 septembre à 17h. A mon âge les efforts se font parfois à crédit et il y a une certaine nécessité à faire en sorte de pouvoir échelonner le mieux possible les remboursements. Aussi, à 19h, lorsque mon match est fini, je souhaite connaître l'horaire du match suivant d'autant que des adhérents présents là évoque 9h le lendemain matin !

En l'absence de responsables du tournoi, je consulte le tableau. Pas d'horaire indiqué !

Je patiente 15 minutes pour voir débarquer le trésorier T. JACQUET qui d'après ce qu'il en dit doit assurer la permanence mais accuse un certain retard. Pas de souci, cela arrive aux meilleurs. Il ne se préoccupe pas de moi mais j'avoue que ce n'est pas plus mal d'autant que j'aperçois dans le même temps S. LEGAY qui arrive au club. Je vais donc à sa rencontre et attend qu'il ait fini une conversation avec un autre adhérent. Je demande ensuite : "M. LEGAY 9h demain ?"

S. LEGAY me tourne alors le dos ostensiblement et rentre dans le club house, sans mot dire. Je le suis et, sur le seuil réitère ma demande cette fois ci en hurlant : "M. LEGAY 9h demain ?"

S. LEGAY m'indique alors qu'il ne me répond pas car je ne lui dis plus bonjour ! T. JACQUET est à trois mètres de S. LEGAY mais ce dernier n'a pas à l'esprit que T. JACQUET ne me dit plus bonjour depuis qu'il a été sanctionné (deux fois de suite pour quatre motifs différents) par l'ensemble des membres du Bureau puis du Comité !

De ce monsieur, je voulais simplement l'horaire de mon prochain match et voilà que j'ai affaire à un juge arbitre qui se trouve légitime à m'ignorer me faisant un reproche qu'il n'est même capable d'adresser d'abord à ce qui doit être l'un de ses plus proches amis, membre du Comité.

J'indique à S. LEGAY que si je ne le salue plus, c'est parce que je ne vois pas comment je pourrais saluer quelqu'un qui m'insulte (en faisant référence à cette rumeur immonde sur ma vie privée dont S. LEGAY ne peut qu'être l'auteur) !

J'ai lancé cette mode du "pas bonjour" en ne saluant plus P. CARREL depuis deux ans maintenant je crois. J'ai en effet trouvé des plus hypocrites d'avoir à saluer des gens qui, ensuite, dans leurs propos, dans leurs attitudes, vous témoigne du plus grand irrespect.

J'ai étendu cette mode depuis à quelques autres adhérents dont les sourires faux font autrement plus mal que des coups bas plus évidents. Je les en ai avertis directement, autant que possible.

Ce n'est pas une vengeance ou un témoignage de manque de respect pour eux ou la poursuite de je ne sais quelle guérilla... Non ! Tout juste la nécesssité pour moi de ne pas vivre avec des faux semblants.

Le "pas bonjour", une mode qui est donc appelé à faire fureur !

 

28 - Tournoi interne : un forfait mensonger ?

Un adhérent indique ses indisponibilités sur un weekend lors de son inscription au tournoi interne. S. LEGAY juge arbitre du tournoi interne lui fait savoir ensuite que ce ne sera pas possible de programmer son match ailleurs que sur ce weekend. Désolé de ne pas se voir proposer de solution (voir ci-dessous point 27), cet adhérent en reste là... jusqu'à ce qu'il constate qu'il figure pourtant sur les tableaux du tournoi interne et qu'il y est indiqué qu'il a fait forfait (wo) !

Cet adhérent reprend alors contact avec S. LEGAY pour protester en indiquant très clairement qu'il ne veut pas se voir attribuer un forfait mensonger ou un score bidon, ce qui reste dans les deux cas une fraude manifeste. S. LEGAY juge arbitre en constatant que les disponibilités du joueur n'étaient pas compatibles avec une première convocation ne devait pas inscrire ce joueur dans le tableau et encore moins le sanctionné d'un wo, mensonger pour le coup.

Rien n'y fait, au 27 septembre, le tableau reste en l'état. Cet adhérent n'a donc plus comme solution qu'à tenter une démarche auprès de la Ligue pour ne pas se voir comptabilisé ce forfait mensonger. On n'ose pas imaginer d'autres "solutions" (joueur fantôme) pour corriger un tableau faisant état d'un pareil problème. Reste un espoir : la possiblité de laisser cet adhérent sur le tableau mais sans indiquer autre chose de mensonger ?

Cet adhérent précise qu'il n'est pas là pour être polémique par plaisir mais que sa conception de l'éthique sportive n'est pas compatible avec de telles pratiques et un tel entêtement du juge-arbitre. Il parait assez réconfortant de constater que des adhérents placent ainsi la morale à un tel niveau. Ce que je partage pleinement évidemment.

Question transmise le 27 septembre 2014

 

27 - Tournoi interne : jouer en semaine... un droit sélectif !

Regrets de ce joueur qui ne pouvait pas jouer sur un weekend entier (là on ne peut pas grand chose) mais qui en proposant de décaler ses matchs dans la semaine, s'est vu répondre que ce n'était pas possible (là, c'est encore normal qu'on lui refuse, par tradition, on interdit aux organisateurs des tournois de s'étaler autrement que par exceptionnelle impossibilité, sur les soirées de la semaine. Avec plusieurs matchs à décaler, on ne pouvait que lui refuser sa solution).

Étonnement et regrets enfin légitimes de ce joueur lorsqu'il constate que durant les soirées de lundi, mardi, jeudi et vendredi de cette semaine du 22 au 26 septembre, il est systématiquement organisé des matchs successifs (tour après tour) du tournoi interne.

Un droit réservé à certains matchs, certains joueurs, une conséquence de tableaux que certains pensent des plus inhabituels ?

Assurément, une certaine amertume pour ce joueur à qui l'on a refusé ce que l'on met en oeuvre quelques jours à peine plus tard !

 

26 - Président d'honneur ?

En consultant le procès-verbal de l'Assemblée Générale de 2010 (page 27), on peut se rappeler que Philippe GOURDAIN, président de notre association durant 21 ans, s'est vu (sur proposition de P. CARREL), à l'unanimité des membres présents, décerner le titre de Président d'honneur.

Un hommage tout à fait mérité.

Une décision prise au cours de la réunion du Comité de Direction du dimanche 10 octobre 2010, 11h45, par les nouveaux élus du Comité de Direction de notre association.

Dans ce compte-rendu de cette réunion de Comité, on précise également la justification de cet honneur rendu à Philippe GOURDAIN, première décision du genre dans l'histoire de notre association : "pour son rôle actif au sein de l’association durant ses vingt et une années, 7 mandats de suite."

P. CARREL révoque "ad nutum" (sans justification) mais trouve nécessaire de justifier une décision pour une telle évidence. Le monde à l'envers. Passons !

Je ne manque donc pas, à l'occasion de cette relecture, de constater qu'avec plus de 26 ans dans le rôle du secrétaire, un rôle qui nécessitait (les nouveaux "secrétaires" semblent vouloir faire la réalité de leur travail par un salarié de l'association) un investissement quotidien, au plus près des adhérents. Un rôle que j'ai tenu avec abnégation et passion, m'investissant sur la totalité des dossiers de notre association.

Bref je laisse le soin de rédiger plus complètement ce bilan élogieux, à l'égal de celui de Philippe GOURDAIN, un bilan qui sera rédigé par le président COCONI, qui, n'en doutons pas, saura prendre la hauteur suffisante et éviter les insultes à mon égard, à cette occasion. Un travail à faire sur soi qu'il lui faudra entreprendre.

Et donc, vous l'avez compris, comme l'on n'est jamais si bien servi que par soi même, je fais ici la demande très officielle de me voir décerner ce titre de Président d'honneur, pour un même bilan que mon illustre prédécesseur, et pour une même justification : un "rôle actif au sein de l'association durant ses vingt-six années, 9 mandats de suite."

Ma modestie légendaire m'interdit de prétendre à un bilan encore plus conséquent.

Mon petit doigt me dit que c'est par étourderie que vous n'avez pas songé à me décerner cette distinction. Un simple rappel donc.

Merci de faire vite afin que ce titre ne soit pas que postume. L'un de vous voulant me péter la gueule et me "casser les deux genoux", je crains que mon espérance de vie, si j'osais continuer à fréquenter l'enceinte de nos installations, soit promptement raccourcie.

Aux esprits chagrins (certains anciens et toujours élus) qui viendraient à invoquer ma "révocation" pour me refuser cet honneur, qu'ils se rappellent que j'ai été révoqué "ad nutum". P. CARREL insistant des plus lourdement sur cette expression, aveugle à son propre et spectaculaire aveu d'impuissance, une expression des plus idiotes donc pour son projet (pardon mais je ne vois pas d'autres mots) qui était bien de me virer. "Ad nutum", c'est à dire sans aucune justification à présenter ! Une révocation sans aucune justification effectivement, je confirme, aucune justification autre que d'avoir déplu à P. CARREL et ses affidés !

A ces mêmes esprits chagrins (ces élus qui ont voté cette révocation abjecte), si la pilule leur est trop amère, je leur suggère donc de me décerner cette distinction... "ad nutum". Ils ont démontré qu'ils savaient faire !

Question transmise le 25 septembre 2014.

 

25 - Invalidation de l'élection des membres du Comité ?

A l'évidence, un salarié d'une association a un devoir de réserve pour tout ce qui concerne la vie démocratique de l'association qui l'emploie. A l'évidence, sauf durant l'Assemblée Générale !

En étant salarié, cette personne ne peut pas être membre et laisser planer ainsi un doute sur la confusion dans ses décisions entre les intérêts de l'association et ses propres intérêts. Une situation dont nos statuts ont pourtant pris la précaution de la rendre impossible (article 6 de nos statuts).

On peut aussi considérer que les salariés de l'association n'ont pas à être admis à prendre la parole en Assemblée Générale qui ne se compose que des membres actifs (article 20).

Malgré mes protestations et celles de plusieurs autres adhérents présents, S. BONNET a pourtant pris, à de nombreuses reprises et longuement, la parole durant l'Assemblée Générale. Et S. BONNET, salarié de l'association, a donc pris abondamment la parole pour défendre avec véhémence le projet porté par une "équipe", celle présentée par P. CARREL. Un salarié qui a donc milité pour que des candidats soient élus et d'autres non. Un salarié qu'on a donc autorisé à avoir les mêmes droits qu'un adhérent, voire qu'un élu de l'association, tronant à la même place que les autres élus réduits à l'état de figurants. Le tout en violation spectaculaire de nos statuts !

Je rappelle enfin ici l'envoi de courriels effectué par ce même salarié à l'ensemble des adhérents afin de les convaincre de l'excellence de la candidature de P. CARREL et son "équipe", deux jours avant la tenue de l'Assemblée Générale.

Les membres du Comité confirment-ils que de telles interventions ne soient pas de nature à influencer le vote des adhérents durant l'Assemblée Générale ?

Les membres du Comité acceptent-ils que de tels faits soient constatés par tous... mais ne donnent lieu à aucune conséquence, aucune réaction ?

Le Tennis Club de Crépy en Valois est-il une association bananière ?

Les membres du Comité ne voient-ils pas là des faits de nature à invalider le déroulement de ces élections des membres du Comité de Direction ?

Dans une association normale, ce que n'est plus depuis longtemps notre association, un salarié qui prendrait ainsi fait et cause pour une "équipe" de candidats contre d'autres candidats, se verrait sans doute rappelé à l'ordre, rappelé à son devoir de réserve, voire tout simplement exclu de la salle où se tient l'Assemblée Générale par des adhérents vigilants à rester maître de leur association. L'utilisation des courriels des adhérents lui serait également reprochée fortement.

Les membres du Comité confirment-ils qu'un salarié peut prendre un rôle actif et partisan au sein de l'Assemblée Générale des adhérents ? Ce droit est-il ouvert à tous les salariés ?

Les membres du Comité ont-ils l'intention de proposer l'abrogation de l'article 6 des statuts qui protègent l'association de la main mise des salariés sur des décisions de l'association en leur donnant les mêmes droits qu'un adhérent ?

Les membres du Comité confirment-ils qu'un salarié peut, à des fins partisanes, au service de certains candidats, contre d'autres candidats, utiliser le fichier adhérent pour tenter de les convaincre à son point de vue... de salarié de l'association ?

Je rappelle ici que, bien évidemment, ce droit est le droit d'un élu de l'association s'exprimant en son nom, en sa qualité de représentant des adhérents.

Les membres du Comité ne souhaitent-ils pas rechercher et sanctionner le responsable de l'association qui a transmis le fichier des adhérents à ce salarié, volontairement et en toute illégalité ?

Questions transmises le 25 septembre 2014

 

24 - Le droit à l'équité... dans l'immoralité !

Le trésorier m'informe qu'il attend que je lui retourne, à nouveau, mon chèque de cotisation pour ma participation au tournoi NTC de cet été. En effet le trésorier a cru pertinent d'engager des frais postaux (deux fois) sur le dos de l'association pour me faire compléter ce type d'informations sur un chèque (il manquait le lieu et la date !).

Le trésorier veut "clôturer" les comptes du NTC me précise t-il.

J'informe donc le Comité de cette demande de ma part :

S. LEGAY a touché 534 € d'indemnités en tant que juge arbitre du NTC, ce qui correspond à 89 participants x 6 €.
Une indemnité de 6 € par joueur qui est initialement reversée au club, par les organisateurs du NTC.
La décision prise par le Comité concernant ces 6 € par joueur pourrait être de ne reverser que 3€ par joueur au juge arbitre, à S. LEGAY donc, à l'égal de ce qui se fait pour tous les autres juges-arbitres du club, pour tous les autres tournois que nous organisons au club, depuis toujours.
Or ces 6 € d'indemnités par joueur ont été accordés à S. LEGAY en totalité (sur ma proposition) uniquement parce que ce tournoi NTC ne devait strictement rien coûter au club (pas d'achats de balles, ni boissons, ni récompenses).
J'estimais ainsi que l'association n'était lésée en rien (courts très peu occupés par les adhérents en été) et que nous n'avions pas à nous faire du gras sur le dos du travail d'un juge-arbitre officiant au plein coeur de l'été.
Le Comité m'a suivi sur cette proposition, à l'unanimité, en fonction de ce raisonnement et uniquement sur cela.

Or S. LEGAY a ensuite demandé à être remboursé de 90 € de frais téléphoniques, le téléphone du club étant en panne (foudre).

Il en a donc coûté 90 € au club de remboursement, une décision précipitée voulue par P. CARREL pour une urgence qui n'en était pas une, sans délibération formelle du Comité en réunion, sans possibilité de mettre ces deux demandes en relation, sur l'instant (d'où mon accord).
Mais un remboursement qui ponctionne le budget du club c'est un remboursement qui fait automatiquement tomber ce raisonnement et le principe du reversement intégral de cette indemnité double.

Il est évident, sauf pour S. LEGAY et les gens de même morale, que ces 90 € sont à déduire des 534 € perçus par S. LEGAY, qui sont donc le double d'un juge arbitre traditionnelle, + 100 %, voire pire puisque S. LEGAY totalise au final, une indemnité de + 133 % avec ces 90 € supplémentaires !
+ 133 % !
Et dire que S. LEGAY, de lui même, n'est même pas capable de voir le gros problème qu'il pose en adoptant un comportement aussi aveugle en refusant de rembourser ces 90 € !

Pour les autres élus, et surtout pour les élus proches de S. LEGAY, c'est ne pas reconnaître et prendre en compte ce raisonnement et cette nécessaire correction, c'est se montrer d'une immoralité hallucinante, pleinement dans le copinage le plus détestable. Une habitude destructrice pour notre association.

Pour l'instant, à ma connaissance, S. LEGAY n'a toujours pas fait, de lui même, le moindre remboursement.
Il a même fait pire puisqu'il s'est auto-amnistié durant l'AG de juin, refusant de laisser cette question tranchée par  les adhérents réunis là, pourtant pleinement légitimes dans ce genre de décision.
Le Comité n'a, depuis son élection, à ma connaissance, pas traité cette question d'un remboursement injustifié et immoral pour S. LEGAY.

La situation actuelle est donc que S. LEGAY détient 90 € appartenant aux adhérents, sans aucune justification morale, sans décision formelle du Comité de Direction de notre association et sans aucune comparaison possible avec toutes nos autres décisions sur ce type de dépenses.

Qui peut expliquer pourquoi S. LEGAY bénéficierait d'autant de largesses de la part de notre association ?

Si S. LEGAY se voit reconnaître le droit de ne pas se voir traiter de la même manière que les autres adhérents du club, juges-arbitres en l'occurence, je réclame le même droit au traitement de faveur.
Si S. LEGAY peut se faire du gras avec des indemnités de + 133 % par rapport à une indemnité normale, je réclame le droit également de bénéficier des mêmes largesses de la part de l'association.
Si S. LEGAY peut recevoir de l'argent du club sans que cela ne corresponde strictement à aucune justification qui tienne la route, aucune décision officielle, je réclame une même largesse d'esprit pour ma cotisation au NTC.

Je propose donc à ce que cette demande de ma part pour un traitement équitable dans l'immoralité (j'ai bien conscience que je dois 17 € à l'association) soit traitée en réunion lors de votre prochaine réunion de Comité.
Je propose donc aux élus du Comité de suspendre mon paiement jusqu'à la décision que le Comité prendra sur cette demande.

Tant que cette situation perdurera, j'oserais même encourager l'ensemble des adhérents à faire de même, sur les diverses cotisations qu'ils doivent au club... jusqu'à concurrence de... 90 € !

A charge pour les élus du Comité de ne pas se fourvoyer et prendre le risque de devoir reconnaître les mêmes droits pour tous les adhérents !

Questions transmises le 25 septembre 2014

 

23 - Des élus du Comité... comptant pour du beurre !

Je discute avec plusieurs élus du Comité.
Il m'informe qu'ils n'ont strictement aucun retour sur les décisions prises par le Comité, ou plutôt la moitié de Comité qui s'est réunie le dimanche 31 août.
Est-il normal qu'avec cette réunion précipitée, les élus présents ne prennent aucune précaution, aucune attention pour informer dans les plus brefs délais les élus absents involontairement ?
Est-ce ce mode de fonctionnement qui va consister à ne travailler qu'avec les élus de la "majorité présidentielle" ?

Questions transmises le 25 septembre 2014

 

22 - Des entraînements... mais pour qui ?

Je discute des "entrainements" du vendredi avec un adhérent. Il m'indique que ce vendredi 19 septembre, cet entrainement avait apparemment réuni 2 joueuses. Son fils, susceptible de pouvoir participer à l'entraînement hommes, n'est pas informé de la mise en place de ces entrainements équipes.

Qui peut prétendre à participer à ces entraînements ?

Quand cette information sera t-elle diffusée ?

Questions transmises le 25 septembre 2014

 

21 - L'étalement d'un tournoi sur la semaine entière !

De nombreuses réservations pour le tournoi interne sont passées en semaine, en soirée (lundi 23 septembre : 18h/21h - courts 6 et 7 / Mardi 18h/21h - court 6 / Mercredi 22h/23h court 6 / Jeudi 18h/21h court 6).
Jamais les responsables précédents ne cumulaient autant de matchs en semaine, sur les créneaux les plus prisés des adhérents.

Pourquoi de telles réservations pour un cumul de matchs des plus modestes ?

A l'inverse, alors que vendredi 26 septembre, deux quarts de finale sont programmés dès le 20 septembre, aucune réservation n'est passée au soir du dimanche 21 septembre. Deux courts sont déjà occupés par des réservations à partir de 19h. Autant dire que cette lacune va nécessiter soit de programmer les deux matchs à la suite avec forcément un horaire des plus tardifs pour le second match, soit d'annuler des réservations déjà passées par des adhérents (LAPLACE - GROCHULSKI 19h court 6 puis les fameux "entrainement" et NUNS/VERNAT 20h/21h court 7).
A ce niveau d'imprévoyance, on est bien dans l'incompétence.

Question transmise le 25 septembre 2014

Lundi 23 septembre au matin, on a annulé sans doute dans la plus grande panique, la réservation de deux adhérents pour ce vendredi 26 septembre 20h, court n°7. Deux adhérents sans doute très contents d'autant d'improvisation.

Le court n°7 est réservé, et que celui là. Le second match est donc programmé à un horaire tardif et dans le court à l'éclairage insuffisant pour s'y faire dérouler un match de compétition. Je vous laisse deviner qui est le joueur concerné par l'organisation de ce match !?

26 septembre, 20h : c'est le court n°6 que le juge-arbitre désigne pour ce match. Serais-je lu ?

 

20 - Des courts couverts réservés par temps de pluie... pour rien !

Samedi 20 septembre, étaient programmés 6 matchs (4 hommes, 2 dames). Pour ce total de 6 matchs, trois courts couverts ont été réservés de 9h à 18h ! Soit l'équivalent de 15 matchs possibles ! Dimanche 21 septembre, la situation est aussi catastrophique de ce point de vue : 5 matchs prévus (plus probablement 4 d'ailleurs), pour deux courts couverts réservés de 9h à 18h !

Pendant que la pluie rendait les courts extérieurs inutilisables, il y a fort à parier que des adhérents auraient su utiliser au mieux nos installations.
Cela n'aura pas été possible car un responsable quelque part n'aura pas voulu faire cet effort.
Autant l'on peut considérer que la programmation des matchs nécessite de prendre, au préalable, une amplitude plus grande que l'amplitude nécessaire.
Autant c'est une certaine incompétence ou le mépris des adhérents, au choix, que de ne pas faire la mise à jour nécessaire des réservations effectivement utilisées pour des matchs pour libérer les courts non utilisés. Et ce n'est pas le jour même qu'on se rend compte qu'on n'a plus que 6 matchs au lieu de 15 !

Pourquoi le responsable de ces réservations n'a t-il pas fait ce nécessaire travail, à l'égal de ce que font les autres juges-arbitres ?
La météo pluvieuse de ce weekend là ne nécessitait-elle pas une certaine vigilance pour libérer les courts couverts qui pouvaient l'être et les rendre accessibles aux adhérents ?

Questions transmises le 25 septembre 2014

 

19 - Un planning des plus fantaisistes !

Les réservations passées sur le planning arborent des intitulés de la plus grande fantaisie. On se retrouve ainsi avec des réservations club qui ont une couleur identique à des réservations d'adhérents. Certaines de ces réservations ne présentent aucun intitulé. Pour d'autres encore, ce sont des réservations identifiées comme le "tournoi open" ! Sic !

Le responsable du club qui se charge de ces réservations trouve t-il trop fatiguant ou difficile de donner une certaine cohérence et surtout la lisibilité nécessaire aux réservations qu'il effectue ?

Question transmise le 25 septembre 2014

 

18 - Le matin... de l'après midi !

Réservation pour des cours collectifs le samedi entre 12h et 14h sur le court n°6 alors que le court n°5 est déjà réservé pour des cours collectifs.

La modification approuvée en AG de juin 2013 pour la réservation d'un second court couvert pour des activités club précise bien : "samedi matin". Un matin qui se termine à 14h n'est pas conforme à cette précision. Chez la plupart des gens le matin se termine à 12h. Là encore une réservation non conforme avec le règlement intérieur.

Cf. Article 5 - Accès aux courts
G - Sauf pour une rencontre de championnats par équipes ou les matchs de tournois par tableaux, sauf le mercredi ou le samedi matin, il n’est pas possible de procéder à la réservation de plus d’un court couvert à la fois pour des activités club ou nécessitant la réservation par le biais du club.

Que prétendra t-on si des cours collectifs venaient à être organisés avant 12h, donnant ainsi l'aval, par delà la décision de l'AG, à l'utilisation d'un second court couvert de 8/9h jusque 14h, autant dire les 2/3 de la journée ? La justification du fait accompli ?

Le président COCONI me confirme t-il que le nécessaire sera fait avec l'annulation de ces réservations pour cours collectifs en dehors du cadre défini par l'Assemblée Générale de 2013 et de l'article 5 du règlement intérieur ?

Question transmise le 25 septembre 2014

 

17 - Réservations des courts couverts pour les entraînements : adieu l'article 5 !

Réservation pour des entraînements sur un second court couvert (n°6) le vendredi de 20h à 22h alors qu'un premier court couvert (n°5) est déjà réservé pour des cours adultes sur ces deux créneaux.
Ce doublon pour des réservations effectuées par le club est strictement interdit par le règlement intérieur de l'association.
Cf. Article 5 - Accès aux courts
G - Sauf pour une rencontre de championnats par équipes ou les matchs de tournois par tableaux, sauf le mercredi ou le samedi matin, il n’est pas possible de procéder à la réservation de plus d’un court couvert à la fois pour des activités club ou nécessitant la réservation par le biais du club.

J'invite très fermement les responsables de notre association à respecter le règlement intérieur qui interdit ce type de réservation sur un second court couvert (article 5).

Je rappelle que seule l'AG peut modifier le règlement intérieur et qu'il n'appartient pas aux élus du Comité de ne pas se conformer aux textes de l'association.
Si la justification à ce non-respect du règlement intérieur est qu'il n'y a pas d'adhérents qui réservent à ces heures là... il n'y a donc aucune nécessité à réserver un court couvert pour un entrainement sur des courts qui ne sont pas occupés par les adhérents ! Il suffit aux joueurs-joueuses de se présenter sur ces courts ainsi "inoccupés" comme on le prétend. Dans le cas contraire, c'est bien que cette double réservation est contraire au règlement intérieur et aux intérêts de nos adhérents "à simple réservation".
Nous savons pertinemment que c'est le sport national que de trouver d'excellentes raisons pour ne pas respecter le règlement intérieur (dont les dispositions sont pourtant affinées par le temps, pleine de bon sens).
Je dénoncerais comme il se doit un tel manquement au règlement intérieur qui placerait les élus du Comité dans une situation intenable : en ne respectant pas eux mêmes le règlement intérieur, quelle légitimité auraient-ils ensuite à le faire respecter par les adhérents ?

Pas de réponse du président COCONI. (question posée le 17 septembre 2014)

 

16 - Réservations pour cours particuliers : adieu l'article 11 !

Une réservation pour cours particuliers a été effectué sur le court n°6 à 18h le mercredi 3 septembre 2014 au profit de M. LEMAIRE, me dit-on. Puis une autre réservation de PC le mardi 23 septembre à 18h sur le court n°3. D'autres exemples encore.

Article 11 du règlement intérieur : Entraînements et leçons de tennis.  
B/ Les activités libérales des moniteurs devront avoir lieu en dehors des heures d'affluence (avant 17h en semaine et hors week-end).

Il serait bon et même essentiel que l'élu(e) ou les élu(e)s (on ne sait d'ailleurs pas qui a les habilitations pour assumer ce rôle au sein du Comité) qui interviennent sur le planning de réservation veillent à respecter le règlement intérieur.

Qui est donc cet élu qui intervient sur le planning et qui ne prend pas la peine de faire respecter le règlement intérieur ?

Pas de réponse du président COCONI. (question posée le 17 septembre 2014 et le 25 septembre 2014)

 

15 - Dangerosité d'un court ? Pas urgent, cela ne concerne que les adhérents !

J'ai le souvenir (mais je ne retrouve pas le courriel) d'avoir signalé qu'un poteau du grillage du court n°3 (le plus proche du terrain de football) était sectionné à sa base, laissant comme un piège le trognon acéré et rouillé guetter la cheville d'un adhérent malheureux. 

Avez-vous alerté les services municipaux sur ce danger grave depuis ?

A priori, rien n'a été fait.
Ce type de signalement relève bien des responsabilités à assumer par un président d'association soucieux de veiller aux intérêts des adhérents de l'association.
A défaut, j'ai alerté P. AUDOUIN sur ce problème (je crois qu'il avait une entrevue avec les services municipaux ce mardi).

Pas de réponse du président COCONI. (question posée le 17 septembre 2014)

Au 25 septembre, toujours aucun dispositif pour mettre en sécurité cette zone du court.

 

14 - Des entrainements d'équipes : dans quelles conditions ?

Peut-on savoir exactement quel dispositif a été retenu pour les "entraînements" ?

Je rappelle que le dernier dispositif retenu par le Comité consistait à mettre à disposition des joueuses et joueurs concerné(e)s des créneaux horaires dans les courts couverts mais sans mise à disposition d'un moniteur salarié de l'association.
J'ose espérer que ce dispositif sain est celui retenu.

Pas de réponse du président COCONI. (question posée le 17 septembre 2014)

 

13 - Une chasse gardée... pour des salariés qui se prennent pour des élus !

Le mercredi 26 mars, trois BE ont indiqué à K. FIGIEL qu'ils n'accepteraient pas que K. FIGIEL, lorsqu'il serait diplômé, donnent des cours particuliers, organisent des stages.
Ces moniteurs ont pu tenir ces propos, sans réaction aucune des membres du Comité présents (COCONI, LEGAY), ce qui reste déjà un scandale absolu.

Qu'en est-il de la possibilité pour K. FIGIEL d'être autorisé à donner des cours particuliers et organiser des stages durant les vacances scolaires, à l'égal des droits accordés aux moniteur salariés de notre association et ses textes ?
Qu'attendent donc les élu(e)s du Comité pour ne pas se montrer, une nouvelle fois, coupable d'une discrimination à nouveau indigne, en se laissant dicter nos droits par... les salariés en place, dans la place oserais-je dire ? 

Des salariés dont les affirmations ce jour là témoignent bien de ce grave problème de "copinage" avec certain(e)s élu(e)s qui semblent malheureusement, de plus en plus souvent, reléguer les élus de l'association au second plan (il n'y a qu'à voir le déroulement de l'AG de juin 2014 et S. BONNET omniprésent dans les débats, en dépit de toute la réserve à respecter par un salarié d'une association).

Pas de réponse du président COCONI. (question posée le 17 septembre 2014)

 

12 - Insultes : toujours l'impunité totale !

A ma connaissance, il n'y a toujours eu aucun traitement de la part du Bureau ou du nouveau Comité (est-il alerté ?) sur les insultes proférées par S. BONNET à l'égard de K. FIGIEL, éminemment graves à priori.
J'ai cru lire que J. COCONI indique pourtant que S. BONNET confirme la version donnée par K. FIGIEL !

Le Comité a-t-il l'intention de ne pas traiter ce problème avec toute l'objectivité qui y est nécessaire et toute la rigueur autant nécessaire ?
Le Comité a-t-il l'intention de ne pas le traiter du tout ?
Les nouveaux élus du Comité considèrent-ils également qu'au sein du Tennis Club, l'insulte est un droit qui peut-être validé, légitimé, à l'égal de ce que ce Comité précédent a durant deux ans approuvé, indigne en tout ?

Pas de réponse du président COCONI. (question posée le 17 septembre 2014)

 

11 - 2500 € pour un travail jusque là effectué... par les bénévoles de l'association pour... 0 € !

Durant je ne sais trop quelle dernière réunion, il semble avoir été décidé de ne faire assurer que 28h d'enseignement sur les 30h du contrat de moniteur de tennis de M. LEMAIRE. Les 2h hebdomadaires sur les 30 semaines du "contrat" de ce moniteur sont affectées à des "tâches administratives".
On semble évoquer l'établissement du planning pour les justifier. Or Depuis plusieurs années, pour cela, nous attribuons un forfait d'une dizaine d'heures aux deux BE assurant le travail sur ce planning (5h chacun).

Les élu(e)s du Comité auraient donc décidé d'accorder 60h pour ce même travail, à un seul des  moniteurs ?

Coût pour l'association : environ 2500 € ! 60 h ! Deux groupes de 6 élèves... 12 élèves fantômes !

On évoque aussi "la prise de licence" dans le travail à effectuer durant ces heures.

Est-ce à un salarié recruté comme moniteur de tennis, pour enseigner le tennis, pour avoir des joueuses et joueurs devant lui, de faire de "l'administratif" ?

Notre association a une secrétaire, plus un secrétaire de l'Ecole de Tennis. 

Que font concrètement ces gens si, à deux, ils ne parviennent même pas à gérer 400 adhérents en une année ?
Ne sont-ils là que pour déléguer à d'autres le travail réel en se contentant d'apporter leur vote pour des décisions aussi contraires aux intérêts de l'association ?
Ne sont-ils pas là, au contraire, pour faire le travail, jour après jour, et éviter à l'association d'avoir à consacrer l'équivalent de presque quarante cotisations d'adhérents adultes (2500 € / 70 €) pour la gestion des adhésions ?
Les autres années, je faisais le forcing pour que les 30h soient 30h d'enseignement.
P. CARREL a déjà fait une tentative pour donner à M. LEMAIRE le titre de Directeur technique (voir le CR de septembre 2013 que je joins (la censure ayant fait passer aux oubliettes cet épisode dans le CR "officiel"). Le Comité a rejeté cette idée saugrenue, à l'unanimité ! Même P. CARREL qui venait pourtant de la proposer !? Allez comprendre ?

En ayant été rejetée par la porte, cette idée de placer ce moniteur dans un autre statut que les autres moniteurs n'est-elle pas une idée des plus saugrenues et dispendieuses pour l'association lorsqu'elle revient ainsi par la fenêtre ?

Ce cadeau fait à ce moniteur (qui n'a fort probablement rien demandé d'ailleurs), par des membres du Comité, est-il acceptable autrement que par ce "copinage organisé", toujours aussi indigne ? 

Pas de réponse du président COCONI. (question posée le 17 septembre 2014)

 

10 - A travail égal... salaire inégal !

Le dernier moniteur embauché (septembre 2013) a transmis une demande d'augmentation pour passer de 18 € de l'heure à 21€ nets de l'heure. Demande validée par ce Comité du vendredi 29 septembre 2014, à priori ?

Dans le même temps, a été proposé à K. FIGIEL, 17h à un taux horaire de 18€ de l'heure.

Le président COCONI confirme t-il que c'est bien le taux horaire auquel il sera embauché lorsqu'il aura obtenu son diplôme de moniteur BE ?

Un taux horaire qui semble bien être ainsi acté puisque, avec son statut de stagiaire, K. FIGIEL est rémunéré sur une autre base.

Une confirmation... qui confirmerait une discrimination salariale. Une de plus. Et quand je vois la somme des humiliations qu'on inflige à ce stagiaire du club, je me dis que ces élus prennent beaucoup de  risques à se comporter ainsi, faisant fi des intérêts de l'association pour se laisser aller à leur regrettable penchant : le copinage à outrance.

Quelle(s) justification(s) sera retenue(s) pour justifier d'un écart de 3 € avec le taux horaire retenu pour ce moniteur à 21 € ?
- ancienneté du diplôme ? Un an !
- expérience ? Ces élus l'ont-ils retenue lorsque un enseignant a demandé un taux horaire de 15 € de l'heure ? Rien ! Aucune prise en compte de l'expérience (pourtant 30 ans pour cet enseignant). Ces élus vont-ils oser la revendiquer pour ce moniteur ?

Pas de réponse du président COCONI. (question posée le 17 septembre 2014)

Quelle position adoptent les autres élus ?

 

9 - 17 % d'augmentation : un record ?

Dans le cas où ce serait bien un contrat de moniteur (ce qui reste la seule décision connue du Comité à ce jour, sauf surprise donc), je milite toujours pour qu'à diplôme équivalant, on ne trouve pas des distorsions aussi importantes (plus de 5€ d'écart) pour la rémunération des moniteurs, écart qu'on ne parviendra même pas à justifier avec de l'ancienneté. En effet si l'ancienneté compte à ce niveau, il devrait y avoir un écart encore plus conséquent entre Maxime LEMAIRE et Pascal COLAS.
Mais la première décision prise par P. CARREL (18 €), validée par des soutiens indéfectibles, aboutit aujourd'hui à la nécessité de procéder à une augmentation de + 17 % pour le salaire de ce moniteur ! Sans doute l'augmentation obtenue par un salarié la plus spectaculaire du monde salarial !?

Voilà que ces trois élus encore en place sembleraient aujourd'hui valider le principe d'une augmentation faramineuse pour dire le contraire de ce qu'ils disaient hier.

Que penser d'attitudes aussi incohérentes ?

Pas de réponse du président COCONI. (question posée le 17 septembre 2014)

 

8 - Des affirmations du président COCONI pour le moins contradictoires !

Un moniteur a été embauché en septembre 2013 comme moniteur BE a un taux de 18 € nets de l'heure. P. CARREL se vantant d'avoir réussi à recruter un BE à un taux horaire aussi modeste. "Exploit" de M. CARREL que j'avais dénoncé à l'époque, trouvant absolument discriminatoire de tels écarts dans le salaire de moniteur ayant des diplômes identiques. J'en veux pour preuve ce débat consigné dans le CR de la réunion du Comité de juin 2013 (point n°3), disponible sur le site du club.
Le président COCONI, président par défaut ai-je cru comprendre, semble prétendre aujourd'hui que ce moniteur a été recruté comme AMT, ce qui expliquerait ce taux de 18 € et justifierait une renégociation avec le diplome de moniteur DE obtenu ensuit par ce moniteur.
Cette explication vient donc en contradiction avec ce qui nous avait été dit, J. COCONI affirmant ainsi en juin 2013 : "JC fait remarquer que tout cela est l’objet d’une négociation et que chaque moniteur est libre ou non d’accepter". Sous entendu ce moniteur... moniteur, comme les autres moniteurs !
De plus, on trouve également une confirmation que ce moniteur, lorsqu'il n'était qu'AMT, n'était pas à 18 € nets de l'heure en tant qu'AMT dans ce compte rendu de mars 2013 (point n°10) (au  besoin, j'ai l'enregistrement), où P. CARREL confirme que ce moniteur, alors AMT, était bien au même niveau de rémunération que l'autre AMT salariée de l'association à l'époque, elle même au même niveau que les stagiaires AMT du club (12 € bruts je crois). Une non prise en compte des diplômes que je dénonçais déjà à cette époque.

Qu'en est-il exactement ? Comment le président COCONI explique t-il ses diverses affirmations, totalement contradictoires ?

Pas de réponse du président COCONI. (question posée le 17 septembre 2014)

 

7 - Un contrat à mettre à jour.

Avec la fin de l'aide du Conseil Régional (je crois me souvenir que ce sera fini en octobre 2014), le contrat de M. LEMAIRE sur 35h sur 53 semaines devrait sans doute être revu et corrigé. 

Le président COCONI s'est-il un peu occupé de la possibilité d'une nouvelle prorogation auprès du Conseil Régional ?

Sinon, ce travail sur la modifiction de ce contrat est-il engagé ?

Pas de réponse du président COCONI. (question posée le 17 septembre 2014)

 

6 - Le président COCONI sur les traces du record du président CARREL : 16h et 10 minutes !

La réunion du Comité du dimanche 31 août 2014 - 10h (?) a fait l'objet d'une convocation adressée aux membres du Comité le samedi 30 août 2014 à 17h50 ! Soit un délai de 16h et 10 minutes !

Aussi, lors de cette réunion, n'étaient présents que six membres du Comité, quasi tous de la "majorité présidentielle".
Pour une équipe élue en juin 2014, avec un projet qui prétendait être "préparé", je trouve regrettable cette précipitation dans des décisions aussi importantes, qui demandaient autrement plus d'approfondissements, et qui ne sont donc validées que par une moitié des 12 élu(e)s.

Le président COCONI trouve t-il normal d'attendre les derniers jours d'août pour négocier avec les moniteurs leur contrat et leur taux horaire en prenant le risque de les voir partir quelques jours avant la rentrée tennistique (cf. départ clairement évoqué par l'un des moniteurs en cas de refus de sa demande d'augmentation) ?
Les élu(e)s du Comité absents trouvent-ils normal qu'en leur absence bien involontaire, des décisions aussi importantes soient prises ?

Pas de réponse du président COCONI (question posée le 17 septembre 2014).

Plus de trois semaines plus tard, des élus absents le 31 août n'ont toujours pas été informés des décisions prises ce jour là. Autant dire qu'il y a les élus qui comptent... et ceux qui comptent... pour du beurre !

 

5 - S. LEGAY, un juge arbitre à + 133 % d'indemnités !

S. LEGAY s'est auto-amnistié en AG de juin 2014 pour une indemnité de juge-arbitre de ce tournoi qui est +133 % plus élevée que celles de n'importe quel juge-arbitre ayant officié au club.
S. LEGAY doit rembourser 90 € indument perçus (il restera déjà indemnisé à + 100 % étant donné le dispositif NTC, ce qui reste déjà une indemnisation des plus favorables). On aurait pu espérer que ce monsieur en soi conscient.

Puis-je espérer qu'une majorité suffisante des nouveaux élu(e)s saura faire comprendre à S. LEGAY qu'il n'y a aucune justification à ce que J. COCONI et lui même se mettent d'accord en catimini* (décision jamais communiquée aux membres du Comité et qui serait passée totalement inaperçue sans un examen des pièces comptables possible juste avant l'AG) sur un remboursement relevant honteusement d'un copinage indigne ?

Pas de réponse du président COCONI (question posée le 29 août 2014 puis le 17 septembre 2014).

*Réponse de S. LEGAY qui me communique des échanges de courriels où il transmet cette demande à l'ensemble du Comité et où je réponds en donnant mon accord de simple membre du Comité.

J'ai donc adressé toutes mes excuses à S. LEGAY et J. COCONI pour avoir affirmé que cette décision de remboursement avait été prise "en catimini" par ces deux élus.

Par contre il reste bien que cette décision n'a jamais fait l'objet d'une délibération en réunion de Comité (aucune trace dans aucun compte-rendu) et qu'elle n'est donc pas "légale". P. CARREL, dans ces échanges de courriels militant pour une réponse urgente du Comité sur cette demande, par courriels (une première du genre), mais sans aucun succès puisque à part J. COCONI et moi même, aucun autre élu n'a, semble t-il, jamais répondu à ce courriel, pas même le troisième membre du Bureau.

S. LEGAY me fait également remarquer dans ces courriels que j'avais donné mon accord pour ce remboursement.

Certes mais pas sans faire remarquer que cette décision devait être validée par le Comité, ce qui reste la procédure habituelle et obligatoire (cf. statuts). Et c'est aussi nier le caractère expéditif de ces échanges de courriels inhabituel pour une décision du Comité (pas de précédent) et le manque de temps pour faire le tour de cette demande. Il est évident qu'avec le recul, cette demande n'était pas recevable. Un examen en Comité aurait pu permettre de le mettre clairement en évidence.

Et si dans ce courriel, je donne mon accord sans prendre aucun délai (14 août 2013 - 9h27) après la demande de S. LEGAY (13 aout 2013 - 23h36), c'est bien pour montrer le souci que j'avais de traiter sans autre discrimination, cette demande de remboursement de S. LEGAY, même après le scandale de son refus d'une autre demande de remboursement (pour 10.40 € de la part d'un autre adhérent). Juste pour montrer à ce monsieur que je ne "fonctionnais" pas comme ces élus dont il fait partie, par copinage systématique. Mauvaise idée de ma part.

 

4 - Pour un poste à 20h, c'était sans compter avec d'autres intérêts !

L'intérêt de l'association est d'avoir au moins trois moniteurs qualifiés, le mercredi après-midi notamment (plus gros volume d'élèves sur les trois courts couverts parallèlement).
Maxime LEMAIRE assure le temps plein. Pascal COLAS ne souhaite intervenir que le mercredi après-midi. Deux données qui, si elles n'ont pas changé, correspondent pleinement aux intérêts de l'association.
Kévin FIGIEL a fait savoir qu'il souhaitait 15h, mais plus encore une vingtaine d'heures, pour s'assurer un revenu lui permettant de faire du tennis, son activité principale.
En Comité, j'ai indiqué que ce poste ainsi défini (un total de 20h avec 6/7h le mercredi (13h/20h), 5h le jeudi, 5h le lundi, 3h le samedi matin correspondait à ce souhait, les intérêts des uns et des autres se rejoignant, une solution à favoriser donc.
De plus Stéphane BONNET a indiqué en AG de juin 2014 qu'il n'y avait aucun problème pour que ce troisième poste soit ainsi défini, même s'il ne se voyait plus proposer de créneaux. Ne pas donner de créneaux à ce moniteur n'est pas un objectif en soi, évidemment, mais c'est bien l'intérêt de l'association de constituer une offre viable pour le troisième moniteur du club, qui serait Kévin FIGIEL notre stagiaire, ce qui reste également l'intérêt du club, sinon à quoi bon former un stagiaire ? Plus d'investissement du BE, plus de stabilité de l'équipe, etc... pour un poste viable. Autrement, avec le départ de Kévin FIGIEL, s'il se voyait proposer une offre volontairement à minima, nous aurions probablement l'intervention d'un AMT le mercredi aprés midi, ce qui n'est pas l'intérêt des élèves (qualification moindre pour une cotisation aussi élevée que les autres élèves). Un moniteur (Kévin FIGIEL aura ses résultats fin septembre) est disponible, volontaire et a donné toute satisfaction durant son stage de l'an passé, malgré une attitude des plus particulières de la part de certains responsables du club.

Le président COCONI peut-il confirmer que c'est bien  ce dispositif (offre viable pour Kévin FIGIEL avec une offre d'au moins 20h (puisqu'elle existe) qui a été retenu, conformément aux intérêts de l'association ?

Pas de réponse du président COCONI (question posée le 29 août 2014).

A été proposé à Kévin FIGIEL un volume de 17h dont 2h le samedi (pas rentable pour un BE n'habitant pas sur place), soit 15h prises en charge par Kévin FIGIEL. Les 5h de cours collectifs du lundi, qui auraient pu consolider une offre de 20h pour un vrai second poste de moniteur, ont été confiées à Stéphane BONNET, en dépit des intérêts évidents de l'association pour proposer une offre viable pour une activité principale. Les 2h du samedi n'ont, semble t-il pas non plus intéressé cet autre moniteur (elles sont assurées par un AMT) ?

 

3 - Réservations pour cours particuliers : des réservations... particulières !

De multiples exemples depuis le début septembre.

Le nom des adhérents prenant un cours particuliers n'est plus mentionné sur le planning, volontairement semble t-il. On n'est donc pas en mesure de s'assurer que les adhérents qui prennent un cours particulier n'ont pas une double réservation par ce biais. Ce qui resterait non conforme au règlement intérieur.

Je réitère ma protestation de voir ce ou cette même responsable passer les réservations pour cours particuliers en ne mentionnant pas le nom de l'adhérent.
Le règlement intérieur de notre association précise certains éléments qui nécessitent que ce nom soit mentionné le nom sur le planning de réservation, à l'égal des autres réservations :

Article 5 du règlement intérieur :
A/ Accès Général :
[...] Il n'est ni autorisé ni possible de réserver une deuxième tranche horaire avant d'avoir terminé la première.[...]
B/ Pour toute réservation, le nom des joueurs indiqués sur le site correspondent aux joueurs présents sur le court.
[...]

Jusqu'à preuve du contraire, les réservations des moniteurs pour leurs activités libérales n'ont pas de caractère exceptionnel qui leur valent de ne pas devoir respecter les dispositions du règlement intérieur.

Le président COCONI peut-il confirmer que ces indications seront à nouveau complètes sur la planning, contrôlables par l'ensemble des adhérents, conformément au paragraphe B de l'article 5 ?

Pas de réponse du président COCONI (question posée le 29 août 2014 puis le 25 septembre 2014).

 

2 - Des formulaires d'inscription qui prévoient de se passer du règlement intérieur !

Je remarque avec inquiétude que les formulaires de pré-inscriptions diffusés sur le site du club semblent acter d'une décision non conforme à notre règlement intérieur.
Pour les samedis, le formulaire adulte propose une plage d'horaires de 9h à 14h (fin de ces cours à 15h donc). Le formulaire enfant propose une plage d'horaires de 9h à 21h.

On envisage donc d'organiser des courts sur un second court couvert, jusque dans le milieu de l'après midi du samedi.

Je rappelle que l'AG de juin 2013 a modifié le règlement intérieur comme suit (il faut d'ailleurs mettre à jour la version du règlement intérieur en ligne sur le site qui n'inclut pas cette modification, disponible pourtant dans le PV de l'AG de juin 2013 (point 6, page 14) :

"Article 5 - Accès aux courts.
« Sauf pour une rencontre de championnats par équipes ou les matchs de tournois par tableaux, il n’est pas possible de procéder à la réservation de plus d’un court couvert à la fois pour des activités club ou nécessitant la réservation par le biais du club, sauf le mercredi et le samedi matin».

Le "matin" s'arrête à midi, 12h.
Prévoir comme le fait le formulaire adulte, la possibilité d'avoir des cours collectifs jusque 15h dans un second court couvert n'est donc pas conforme au règlement intérieur.

Le président COCONI peut-il m'assurer que les dispositions prises sont bien conformes au règlement intérieur qui est à respecter, y compris par les élus de l'association dans leurs décisions (eux en premiers, oserais-je dire) en ne prévoyant pas de cours collectifs après 12h sur le second court couvert ?

Pas de réponse du président COCONI (question posée le 29 août 2014 puis le 24 septembre 2014).

Le planning mis en place par la suite montre que cette décision de l'AG n'a pas été respectée (cours collectifs de 12h à 14h sur un second court couvert).

En ne reprochant pas cette curieuse élasticité du "matin", que prétendra t-on si des cours collectifs venaient à être organisés avant 12h, donnant ainsi l'aval, par delà la décision de l'AG, à l'utilisation d'un second court couvert de 8h jusque... 14h, autant dire les 2/3 de la journée du samedi ?

 

1 - Projets de 4e court couvert : ils ont choisi ... pour tout le monde !

Avant l'AG de juin 2014, nous n'avons pas pu obtenir les réponses et l'accord de principe de la municipalité concernant la possibilité d'un 4e court couvert (deux projets présentés).
Les adhérents en AG se sont mis d'accord, une fois que ces éléments seront obtenus en mairie, pour convoquer une AG Extraordinaire avec ce point à l'ordre du jour : choix entre l'un de ces deux projets.

Le président COCONI peut-il me dire ce qu'a donné l'entrevue avec la municipalité sur ce dossier et les réponses aux questions qui y sont posées ? Voilà 3 mois que l'AG est passée !
Le président peut-il me dire quand est prévue l'AGE permettant aux adhérents de se déterminer sur le choix de projet concernant le 4e court couvert ?

Pas de réponse du président COCONI (question posée le 29 août 2014, puis le 17 septembre 2014).

En fait, un élu du Comité m'informe le 14 septembre 2014, qu'aucune démarche, d'aucune sorte n'a été engagée auprès de la municipalité par le club. Une réunion avec les services municipaux est bien prévue le mardi 17 septembre mais ce point n'est pas à son ordre du jour me confirme t-il.

Un autre projet semble être le choix de S. LEGAY et J. COCONI. Il n'y a donc visiblement pour ces deux élus au moins (mais les autres élus de la "liste présidentielle" suivront assurément) aucune urgence à étudier la possibilité de ce projet (couverture d'un court existant) qui, lui, est réalisable dans les plus brefs délais (quelques mois).

Ne rien faire est donc le choix très opportuniste de ces élus. Cela évitera aussi de prendre le risque qu'une AGE se prononce sur un autre choix que celui de ces élus.

 

 

Les questions de Septembre 2014