Les questions de décembre 2015
1 - Activités libérales : c'est Noël, toute l'année !
2 - La saga des entraînements d'équipes : saison 2 !
3 - Des offres commerciales pour votre bonheur le plus grand !
4 - Les réservations pour cours particuliers : règlement intérieur optionnel ?
5 - Un lundi... comme on peut les craindre !
6 - Une question de sécurité des adhérents, ignorée par les élu(e)s !
7 - Une info, un courriel aux adhérents pour parler... de tennis !?
8 - Pourquoi le mandat des élu(e)s du Comité dure-t-il 4 ans ?
9 - La sécurité des adhérents : une option pour des élu(e)s irresponsables ?
10 - Procès-verbal... en procès !
11 - Quand une association se trompe d'objet !
12 - Des adhérents punis et privés de court n°5 !
13 - Des infractions au règlement intérieur : suite et routine !
14 - Activités libérales : il y a les moniteurs avec droits et ceux... qu'on ne peut pas joindre !
15 - Stages Maxime LEMAIRE : interdiction de "faire la fouine" !
1 - Activités libérales : c'est Noël, toute l'année !
Sans compte-rendu de réunion depuis juin 2015*, on reste sans informations officielles. Des élu(e)s du Comité qui se disent assurément : "pour vivre heureux, vivons cachés !" Il semble pourtant que des décisions étonnantes aient été prises à nouveau.
* article rédigé avant le 5 décembre (date de publication de deux comptes-rendus du Comité sur le site du club. Pas un CR mais deux, grande braderie pour solder six mois d'un coup, c'est Noël).
1.1 - Un forfait mensuel à 10 € : un joli cadeau pour les moniteurs les plus actifs.
On reste ainsi plus que circonspect sur la décision d'établir un forfait pour la location des courts pour des activités libérales. Apparemment, les moniteurs souhaitant assurer des activités libérales sur les installations du club pourront désormais s'acquitter simplement d'un forfait mensuel de 10 €. Ensuite... ce sera open bar !
Sans doute le suivi de ces locations de court nécessitait trop de travail aux deux secrétaires de l'association, surbookés dans la gestion du Comité des fêtes ?
Jusqu'à présent, chaque location était facturée 1 € (par heure réservée, cours particulier ou stage). Un tarif déjà minimal !
Une nécessité pourtant pour l'association qui se mettait ainsi dans la capacité de justifier, auprès des services de l'URSSAF notamment, de pouvoir dissocier, on ne peut plus clairement, les activités salariées par l'association et les activités libérales des moniteurs. Mais, sans plus aucune précaution pour un décompte plus précis de la part de notre association, qu'en sera-t-il de la réaction des agents de l'URSSAF notamment ?
Une question dont les responsables de l'association ont certainement pris la précaution de s'assurer d'une réponse ? Une question qui avait déjà été évoquée en Comité le 21 février 2014. A cette date, c'est le président (S. LEGAY) qui devait faire cette démarche auprès de l'URSSAF, une démarche jamais effectuée !
Pour ma part, je l'ai faite récemment et la première réponse du responsable de l'URSSAF reste... incertaine : S'il est mis en place un forfait à régler au club, son montant doit correspondre à celui de frais de location. Pas de "correspondance" avec les frais de location... puisque c'est un forfait !? Un forfait qui reste donc assez impossible tant il laisse la porte ouverte à toutes les magouilles possibles (travail au noir, non déclaration de revenus). J'ai relancé l'URSSAF pour plus de précisions dans la réponse. A suivre donc.
Pour l'instant, on dresse le triste constat qu'il n'est, bien évidemment, nullement dans l'intérêt de l'association de minimiser ainsi cette recette, pourtant déjà ténue. Et compte tenu notamment des réservations pour les stages qui auront été de forte amplitude sur les dernières vacances de Toussaint, on est assuré que cette décision correspond bien à une perte sèche de revenu pour l'association.
Pour quelle mystérieuse raison les élu(e)s du Comité ont-ils décidé de faire ce joli cadeau aux moniteurs utilisant les installations municipales de tennis pour leurs activités libérales ? On n'arrive pas à comprendre... ou l'on comprend trop bien ! Une fois encore les élu(e)s du Comité semblent avoir perdu l'objectif premier de leur mandat : protéger les intérêts des adhérents. A l'évidence ici, ce sont bien les intérêts des moniteurs qui sont considérés comme supérieurs à ceux de l'association et ses adhérents !
1.2 - Le forfait mensuel : un dispositif sur mesure pour les moniteurs les mieux implantés !
D'autant qu'avec ce forfait, les élu(e)s du Comité favorisent ouvertement les moniteurs "gros consommateurs" de nos installations au détriment de moniteurs qui souhaiteraient exercer une activité libérale moins soutenue. Ainsi un moniteur qui ne donnerait qu'un cours particulier par semaine dans le mois verra son coût horaire être de 2.50 €. Alors qu'à partir de trois, un moniteur pourra s'estimer heureux de cette promotion exponentielle et sans limite, offerte par des élu(e)s impécunieux.
Un forfait qui reste un encouragement à de multiples réservations, le coût de ces locations de court étant, au-delà de 10 par mois, de... 0 € ! Open bar ! Les moniteurs étant autorisés et encouragés à réserver ainsi sans limite, notamment pour leurs stages durant les petites vacances scolaires.
Mais... pas grave... tout cela se pactisant sur le dos de l'association et ses adhérents...
Questions aux élu(e)s du Comité :
Quand les élu(e)s du Comité daigneront-ils informer les adhérents de décisions aussi étrangères aux intérêts de l'association ?
Quelle est la motivation du royal cadeau qui est ainsi fait aux moniteurs et leurs activités libérales, par les élu(e)s de l'association renonçant à défendre les intérêts des adhérents ?
Questions transmises le 8 décembre 2015
2 - La saga des entraînements d'équipes : saison 2 !
Nouveauté dans le planning des réservations club depuis le 9 novembre 2015 : le retour des entraînements d'équipes.
Une assez curieuse formulation-fourre-tout, mêlant Hommes ou Dames Hommes ?
Toujours visiblement fidèles à ce curieux principe que les créneaux réservés pour des "entraînements" ne sont un droit que pour les joueuses et joueurs des équipes 1, les élu(e)s du Comité continuent donc de manifester ainsi leur mépris pour les joueuses et joueurs qui n'évoluent pas dans ces équipes.
Une politique sportive de l'association assez écoeurante de la part d'élu(e)s très visiblement animés par d'autres considérations que l'investissement du plus grand nombre de joueuses et joueurs dans les différentes équipes représentant l'association.
Comme l'an passé, nous sommes donc repartis pour des entraînements d'équipes occultes, J. COCONI refusant d'en donner la moindre précision jusqu'en Assemblée Générale. On ne saura donc rien de leur composition (joueuses, joueurs admis ?), leur statut (activité encadrée, salariée ?), leurs conditions d'organisation (cotisations des "entrainés" ?).
D'autant qu'on ne peut être que révolté en apprenant que, l'an passé, étaient invités à participer à ces entraînements des joueurs aux classements équivalents à d'autres joueurs... d'autres joueurs pourtant pas même informés, et à fortiori pas invités pour ces entraînements d'équipes auxquels ils auraient pourtant pu prétendre !?
Alors qui dans cet entraînement 2015/2016, quel principe retenu pour un entraînement s'étalant sur la saison entière ?
Questions aux élu(e)s du Comité :
Est-ce une politique sportive défendable que de privilégier les équipes 1 en mettant en place des entraînements alors que les autres équipes sont traitées par le mépris ? Pourquoi ouvrir cette boîte de Pandore des entraînements ?
Doit-on se résigner, comme l'an passé, à ce que les conditions d'organisation de cet entraînement d'équipe reste des plus occultes, de la part des élu(e)s du Comité ?
Pourquoi les joueurs aux niveaux équivalents ne font-ils pas l'objet d'une information et d'une proposition égalitaire de participation à ces entraînements ?
Questions transmises le 8 décembre 2015
3 - Des offres commerciales pour votre bonheur le plus grand !
Jusqu'à il y a peu, lorsque vous vous rendiez sur le nouvel espace licencié qui vous est personnellement dédié par la FFT, vous aviez immanquablement droit à cette page d'accueil.
La première fois, vous répondiez donc à toutes ces offres "alléchantes". Non et non, je ne souhaite pas que mes coordonnées soient mises à profit par la FFT qui transformera ma boite courriels en boite à pubs.
Une fois, deux fois. Et ce n'est sans doute qu'à la troisième fois que vous auriez trouvé cette procédure un rien... lourdingue !
Il y avait bien le petit message verdâtre (comme le devient votre figure à la longue) qui vous informait qu'on vous avait bien compris.
On vous avait "bien compris" mais cela n'empêchait en rien qu'on vous propose, à nouveau, et re, et re, cette page d'accueil-pub lors de votre connexion suivante, et toutes les suivantes, une page d'accueil et ses relances purement commerciales.
A la longue, on se voyait bien, un jour ou l'autre, cocher les "bonnes" cases, par inadvertance ou lassitude !
Mais bon, il semble que tout cela ne soit plus, et qu'on puisse enfin accéder à l'espace licencié directement... sans être pris pour un mal-comprenant.
4 - Les réservations pour cours particuliers : un règlement intérieur optionnel ?
4.1 - A nouveau des réservations anonymes pour des cours particuliers !
Discrètement, on pouvait se féliciter de voir, enfin, les réservations pour les activités libérales être passées sur le planning en utilisant le nom de l'adhérent.
En effet, sans cette précaution, un adhérent et client d'un moniteur se retrouvait avec un droit à double réservation, ce qui reste pleinement en infraction avec le règlement intérieur (article 5), pleinement inéquitable si l'on considère que chaque adhérent doit pouvoir bénéficier de droits équivalents.
Et c'est donc avec regret que l'on constate que, à nouveau, les réservations pour cours particuliers des moniteurs sont passées sur le planning en n'utilisant pas le nom de l'adhérent-client, qui peut donc dans le même temps passer une seconde réservation à l'avance, avec son nom.
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Une infraction au règlement intérieur mise en oeuvre par le responsable de l'association chargée de cette gestion. Un comble pour un élu "hors la loi".
Article 5 - Accès aux courts
A/ Accès Général : [...] Il n'est ni autorisé ni possible de réserver une deuxième tranche horaire avant d'avoir terminé la première.[...]
B/ Pour toute réservation, le nom des joueurs indiqués sur le site correspondent aux joueurs présents sur le court.[...]
Question aux élu(e)s du Comité :
Pourquoi les élu(e)s du Comité laissent-ils ainsi ces réservations potentiellement en doublons être passées par le responsable du club en charge de cette gestion, et ce en infraction caractérisée avec le règlement intérieur de l'association, alors qu'il suffit d'utiliser le nom de l'adhérent pour que le site impose un respect automatique du règlement intérieur ?
Question transmise le 8 décembre 2015
4.2 - Des réservations pour cours particuliers après 18h malgré le règlement intérieur ! Le tout visiblement "validé" par les élu(e)s du Comité !
On n'en finit plus d'observer de telles réservations très ouvertement en infraction avec un règlement intérieur dont la dernière Assemblée Générale a déjà fait reculer les limites (passage de 17h à 18h) pour des activités libérales dans les courts couverts !
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Et l'on se demande bien pour quelles raisons des élu(e)s du Comité, très visiblement, ne réagissent pas sur ce type d'infraction au règlement intérieur ? S. Ponchaux et T. Jacquet, deux élus du Comité, en montant sur le court le 9 novembre, ne peuvent pas ne pas constater une telle infraction !?
Article 11 : Entraînements et leçons de tennis
[...] B/ Les activités libérales des moniteurs devront avoir lieu en dehors des heures d'affluence (avant 18h en semaine et hors week-end). Une location des courts sera exigible. Montant fixé par le Comité de Direction.
Avec toujours cette désolante question : les textes en place n'engagent-ils que ceux qui y croient ?
Questions aux élu(e)s du Comité :
Pourquoi ce type de réservation en infraction avec le règlement intérieur n'est-il pas annulé par les élu(e)s de l'association ?
N'y a-t-il aucun élu pour croire que le règlement intérieur est un texte qui s'impose à tous ?
Questions transmises le 8 décembre 2015
5 - Un lundi... comme on peut les craindre !
Pour ce lundi 7 décembre 2015, on ne peut que déplorer de voir à quoi rêvent peut-être des élu(e)s du Comité, dont l'intérêt des adhérents de l'association reste une préoccupation toute secondaire.
Ce ne sont pas moins de trois moniteurs qui exercent ainsi leur métier, avec un élève sur le court, et qui passent ainsi librement des réservations sur des crénaux horaires pourtant interdits très clairement par le règlement intérieur pour de telles activités (article 11).
Tout cela avec la bénédiction visible des élu(e)s en charge de faire respecter le même règlement intérieur ! Hors la loi volontairement et impunément !
L'un de ces élus a tenu à préciser que le moniteur dont j'ai coché le nom d'un petit astérisque rouge, donnait, selon cet élu, des cours... mais à titre gracieux. Un moniteur qui n'est pas salarié cette saison par le club et qui ne devrait donc pas être autorisé à exercer sur les installations du club (cf. point 19 de ce compte-rendu de l'Assemblée Générale de juin 2015).
Il reste bien qu'on assiste très exactement à la saturation du planning, une saturation qui découle de ces activités libérales et salariées qui se démultiplient sans retenue, laissant la portion congrue aux simples adhérents, ceux qui se contentent de régler une seule cotisation... celle due à l'association !
Pour ce lundi, au moins deux infractions au règlement intérieur qui viennent donc combler les rares créneaux que ces élu(e)s du Comité avaient pourtant promis de ménager, jusque dans leur proposition de modification du règlement intérieur !
Un article en contradiction avec cet autre article du règlement intérieur. Une incohérence que j'avais soulignée en AG de juin 2015. Une contradiction introduite par des élu(e)s pas même capables de voir les incohérences des modifications qu'ils ont proposées, puis votées, aveuglément, tous derrière le chef ! Oui chef ! Ceci expliquant assurément cela.
Mais peu importe, pour ces élu(e)s, les promesses et les textes qu'ils font voter... n'engagent que ceux qui y croient ! Surtout pas eux !
Des créneaux que ces mêmes élu(e)s ont donc finalement démultipliés (et ce n'est sans doute pas fini) en n'épargnant quasiment plus une seule soirée de la semaine (4 sur 5) pour disposer des activités clubs sur un second court couvert !
Questions aux élu(e)s du comité :
Le projet des élu(e)s du Comité est-il de transformer cette association en une entreprise tennis où l'accès aux courts couverts ne serait plus réservé qu'aux adhérents-clients, ces adhérents à deux cotisations, une au club et une pour financer des salaires de moniteurs ou des honoraires de travailleurs indépendants ?
Jusqu'où ces élu(e)s ont-ils l'intention de favoriser cette dérive mercantile de la pratique du tennis et du fonctionnement de notre association (cf. inquiétudes sur le budget prévisionnel) ?
Questions transmises le 8 décembre 2015
6 - Une question de sécurité des adhérents, ignorée par les élu(e)s.
On ne peut que saluer le fait qu'un article des règlements sportifs de la FFT soit ainsi appliqué (articles 79 et 194). On peut même ne pas cacher un doux frisson de voir des règles enfin appliquées dans notre association. C'est tellement inhabituel !
Par contre, sur ce même thème de la sécurité des adhérents et les mesures que l'on doit mettre en place pour rendre disponibles certains dispositifs, on doit forcément regretter de voir le Comité ne s'en préoccuper que très insuffisamment avec le projet d'une simple... affiche !? (réunion du 2 octobre 2015, point n°6) !
Pour ce qui est de la "révision", il semble bien que le pad-pak en place soit largement dépassé (mai 2014) et qu'il faille le remplacer par le pad-pak neuf contenu dans la valisette (septembre 2017), sans autre nécessité d'une révision auprès du fabricant qui privera le club de ce matériel durant un certain temps !?
Pourtant, dès le 21 février 2014, j'avais milité au sein du Comité pour qu'une information soit faite auprès de chaque adhérent de l'association pour décrire précisément les conditions d'utilisation du défibrillateur. Cette décision du Comité n'a jamais été mise en oeuvre, aucun courriel jamais envoyé. Et plus jamais cette nécessité n'a été évoquée par les élu(e)s du Comité durant leurs travaux, et ce depuis prochainement deux ans !?
On peut avoir la surprise de constater, comme j'ai pu le faire, que des adhérents pourtant "anciens" (3e, 4e année d'adhésion) ne connaissent strictement rien du dispositif en place au sein du club pour avoir accès au défibrillateur !
Une négligence regrettable pour les élu(e)s du Comité qui devraient se montrer des plus attentifs sur cet aspect de la sécurité et de l'information des adhérents de notre association !
Plutôt que de se contenter d'utiliser le courriel de bienvenue que j'avais rédigé il y a de cela x années, avec des informations aujourd'hui forcément obsolètes, n'y a-t-il pas une grande nécessité à ce que les élu(e)s du Comité mettent à jour les informations de ce courriel en y incorporant un lien vers une page spéciale du site de l'association dédiée à l'utilisation du défibrillateur ? Voire une plus grande nécessité encore pour doubler cette information par un courriel spécifique sur ce dispositif ?
Plutôt que d'utiliser le courriel des adhérents pour les abreuver du programme des fêtes, brocante, paëlla, loto et autres manifestations incongrues n'ayant aucun rapport, strictement aucun avec la pratique du tennis, ni même d'un sport, n'y a-t-il pas une nécessité bien plus grande à s'en servir pour des questions ô combien plus essentielles et pertinentes ?
Quant à cette formation à l'utilisation du défibrillateur qui avait été évoquée également en février 2014... là encore rien n'aura jamais été mis en place par les élu(e)s du Comité.
Voici ce qu'on pourrait lire dans une information sur ce matériel :
Pour utiliser le défibrillateur :
1 - Briser la vitre du boitier rouge se situant dans le halle d'accueil (à droite avant la porte du club house) pour prendre la clef du club house.
2 - Laisser l'alarme du club se déclencher. Le défibrillateur se trouve le long du mur à gauche.
3 - Procéder aux interventions recommandées dans le mode d'emploi.
Mode d'emploi du défibrillateur de l'association (fichier .pdf, à télécharger)
Extraits de ce mode d'emploi (pages 5 et 14) :
Questions aux élu(e)s du Comité :
Quand les élu(e)s du Comité trouveront-ils qu'il y a une grande nécessité à adresser ces informations directement à chaque adhérent de l'association, chaque saison ? Voire à proposer une formation pour l'utilisation de ce matériel ?
Quand les élu(e)s du Comité trouveront-ils le temps et l'énergie pour assumer des responsabilités aussi vitales et qui nécessitent... un quart d'heure de travail de leur part, sans doute beaucoup moins que pour une soirée paëlla géante ?
Questions transmises le 8 décembre 2015
7 - Une info, un courriel envoyé aux adhérents... pour parler de tennis !?
On ne boudera pas son plaisir de voir qu'une de mes remarques semble avoir été entendue et mise en oeuvre.
On a d'abord pu lire (5 décembre) sur la page d'information du site du club, un texte invitant les adhérents à venir prendre une leçon (gratuite celle-là) en assistant aux phases finales du tournoi open.
Et puis (7 décembre) chaque adhérent aura aussi reçu ce courriel:
Enfin des informations envoyées par le Tennis Club et ayant trait à la pratique... du tennis ! Pour un peu... on en serait tout ému !
Merci qui ?
— De rien.
8 - Pourquoi un mandat d'élu du Comité dure-t-il 4 ans ?
Il faut plus de deux ans, après mon signalement, pour que les infos erronées de la vitrine située à l'entrée du club (grille) soient retirées.
Encore deux mois de plus, durant la pleine période des inscriptions au club, avec une vitrine... complètement vide !?
Pour enfin voir... 3 feuilles A4 et deux renseignements, autant dire un travail colossal (pour voir indiqué le numéro de téléphone du club et/ou celui d'un responsable... il faut apparemment encore un délai supplémentaire).
Voilà pourquoi, dans notre association, la durée du mandat est de 4 ans... tout juste le temps pour son ou ses secrétaires de remettre à jour les informations de base !
9 - La sécurité des adhérents : une option pour des élu(e)s irresponsables ?
J'ai signalé le 18 octobre 2015 ce problème de sécurité à l'entrée du court n°7.
Et quelle différence peut-on voir avec cette autre photographie ?
Aucune !
Plus de deux mois après, rien n'a été fait par les élu(e)s du Comité (?) ou par les services municipaux peut-être prévenus par les élu(e)s du Comité, des élu(e)s dont strictement aucun des neuf ne répond jamais, pour rien !?
Une absence de réaction de la part des responsables... responsables, qui reste une absence coupable, gravement coupable, pour une intervention, elle aussi colossale, d'environ... 10 minutes !
L'un de ces deux clous est à la hauteur de la tête d'un enfant qui viendrait s'asseoir sur le petit banc que forme une traverse en bois à cet endroit. N'y a-t-il personne pour trouver que c'est bien un réel danger ?
Si les élu(e)s du Comité ont prévenu les services municipaux (?) et que ces derniers n'ont pas tenu compte de cette urgence de sécurité, ces mêmes élu(e)s du Comité auraient du prendre toutes leurs responsabilités et réaliser une intervention de nature à sécuriser ces éléments (mes petits bouchons disparaissent).
Mais non, aucune réaction de ces élu(e)s très visiblement.
J'ai donc adressé ce 20 décembre un courriel à l'Adjoint aux sports pour l'avertir de ce problème.
Un courriel dont je n'ai "attendu" la réponse... que 11 minutes, de la part de l'Adjoint aux sports. C'est sûr que cela me change du silence et de l'inertie des élu(e)s du Comité !
M. l'Adjoint aux sports m'indique qu'il verra ce problème en liaison avec les services municipaux.
Un merci sincère.
Question transmise aux élu(e)s du Comité :
La sécurité des adhérents est-elle également devenue une option pour les élu(e)s du Comité ?
Question re-transmise le 20 décembre 2015
10 - Procès-verbal... en procès !
J'ai fait parvenir, le lundi 13 décembre 2015, un signalement auprès du procureur de la république de Senlis pour une violation des statuts de l'association par M. Julien COCONI, président du Tennis Club de Crépy en Valois durant l'Assemblée Générale du 3 juillet 2015.
En effet, ce n'est que depuis le 22 novembre 2015 que l'on dispose du procès verbal de cette assemblée générale (page concernant cette violation des statuts).
Il y est très clairement stipulé que M. COCONI a pris l'initiative de proposer à l'Assemblée Générale des 14 adhérents présents et qui l'ont accompagné dans cette infamie, de violer les statuts de l'association, en ne procédant pas à l'examen des questions, pourtant inscrites le plus régulièrement du monde, à l'ordre du jour.
Une nécessité pourtant imposée par nos statuts et son article 24 :
Une forfaiture de plus pour M. Coconi qui en proposant à l'Assemblée Générale de volontairement ne pas respecter cet article de nos statuts, se met hors la loi, ni lui, ni l'Assemblée Générale ne pouvant ainsi modifier de facto et opportunément un article des statuts de l'association pour ne pas en tenir compte.
Au passage, comme on peut le vérifier ici, je n'ai pas posé 40 questions mais bien 21 questions sur les pratiques plus que douteuses de ces élu(e)s du Comité. 21 questions que je déclinais en diverses propositions pour remédier à des décisions aussi indignes qu'inacceptables. Mais J. COCONI, pour mieux n'en répondre à aucune (ce qu'il fait très bien tout au long de la saison), n'hésite pas à les présenter de manière effrayante... et violer les statuts de l'association pour couvrir tous ses graves manquements à ses devoirs d'élu.
J'indique également dans ce courrier combien je trouve anormal qu'un adhérent, P. CARREL, puisse me mettre en accusation en refusant de justifier son accusation par le moindre élément, puis, ce même adhérent, constatant que sa proposition semble peu certaine d'être validée, se dérobant spectaculairement pour renoncer volontairement à assumer sa question devant l'Assemblée Générale !
Il manque même (et n'en doutons pas, ce n'est pas un oubli mais une omission aussi opportune que volontaire) dans ce compte-rendu la réponse de P. CARREL que J. COCONI a eu l'amabilité de consulter à ce moment de l'Assemblée Générale, sur son souhait ou non de voir sa question tout de même examinée par l'Assemblée Générale, P. CARREL répondant par : non, nous n'avons qu'à faire un lot !
Un adhérent qui aura donc pu, au final, diffuser aux 450 adhérents de l'association l'idée que l'on peut évoquer ma radiation à vie de cette association sur la base de diffamations éhontées, pour ensuite ne jamais devoir justifier et répondre de pareilles diffamations. Un procédé indigne. Un traquenard.
Quant à la posture d'un président qui ne me veut que du bien, J. COCONI, sur cette question de P. CARREL ? Lorsqu'en AG je lui demande si cette question de P. Carrel est aussi éliminée de l'ordre du jour, J. COCONI répond que "non". Une réponse de J. COCONI qui, bien évidemment, disparait de ce compte-rendu.
Ce n'est qu'avec la réponse de P. CARREL consulté, que J. COCONI adopte sa posture coutumière, en la matière une dérobade de plus avec une justification des plus affligeantes (ce président n'a le temps pour rien, à part l'organisation de paëlla géante) pour ne pas condamner ou voir condamnée une pareille diffamation.
11 - Une association... qui se trompe d'objet !
Un élu du Comité m'a rapporté qu'on comptait plus de 70 personnes pour la dernière paëlla géante organisée par les élu(e)s du Comité.
Et combien y avait-il de spectacteurs et spectatrices lors de la finale dames ? Combien d'adhérents et d'adhérentes ainsi passionnés par le moment le plus fort de la saison tennistique ? Combien d'adhérents et d'adhérentes pleinement motivés par l'objet même de notre association : le tennis ?
Lorsque j'y suis passé (premier set), 4 personnes étaient présentes pour la finale dames dans le club house et regardant le match. Les deux mamans (?) des deux joueuses en finale. Et le juge-arbitre discutant avec une élue du Comité. Rajoutons deux (ou trois ?) autres responsables au bar. Par charité chrétienne, rajoutons encore le président et la secrétaire que j'aurai croisés en quittant les lieux. Et nous aurons fini le décompte des personnes présentes à ce moment là.
Hormis les mamans et les élu(e)s du Comité, aucun spectacteur, aucune spectatrice, aucun autre adhérent ou adhérente de notre association (pour ce premier set) !
70 adhérents et adhérentes pour la paëlla géante et... zéro pointé pour la finale dames (pourtant très visiblement d'un bon niveau) ! Pas une élève de l'Ecole de Tennis, pas une joueuse (hormis cette élue du Comité) des équipes du club !
Et pour la finales hommes ? Là encore, un bilan aussi terriblement désastreux ! Hormis les responsables du club, nous étions 5 ou 6 "vrais" spectateurs !
70 fêtards contre à peine plus d'adhérents présents que de doigts dans une seule main, pour chaque finale du tournoi open, un des principaux temps forts de la saison tennistique de notre association !?
Question aux élu(e)s du Comité :
Pour travailler pleinement à restaurer l'objet de notre association : la pratique du tennis, vous contenterez-vous d'organiser une nouvelle choucroute géante ou un loto avec une pintade en premier lot à l'occasion de l'arrivée du beaujolais nouveau ?
Question transmise le 20 décembre 2015
12 - Des adhérents punis et privés de court n°5 ?
On se demande bien ce que les simples adhérent(e)s de l'association ont fait de mal pour être ainsi punis et n'avoir quasiment jamais accès au court couvert n°5, le court où les conditions de jeu sont les plus agréables, le court le mieux isolé, le mieux éclairé, à la surface la plus neuve ?
Dans la saison, ce court n°5 n'est jamais accessible en soirée et le samedi car toujours pris par des activités (cours collectifs). Le dimanche, c'est encore une fois très régulièrement que ce court n'est pas accessible pour telle ou telle compétition, des compétitions qui s'étalent de plus en plus d'ailleurs.
Auparavant, à une époque où le Comité comptait encore des élu(e)s au service de tous les adhérents, y compris les adhérents sans double cotisation (club et cours), il avait été décidé d'un principe d'alternance pour au moins les périodes des petites vacances scolaires pour la réservation de ce court n°5. Les adhérents sans cours pouvant ainsi, enfin, accéder à ce court !
Ici, avec ces élu(e)s étonnants toujours, force est de constater que cette précaution ne fait plus partie de leurs préoccupations, des élu(e)s du Comité qui ont apparemment validé la privatisation du court couvert n°5, accaparé par les moniteurs pour l'organisation de leurs stages. Des stages qui ne rassemblent parfois que quelques élèves à peine, pour des réservations qui courent pourtant de 9h du matin jusqu'en soirée (et l'exemple de la semaine ci-dessous n'est pas le pire que nous ayons eu à déplorer).
C'est évident qu'avec la "gratuité" accordée par les élu(e)s du Comité pour les activités libérales pourtant étrangères au fonctionnement de notre association, ce sont les adhérents qui sont ainsi laissés pour compte.
Colonne 1 : court couvert n°5
Et le compte s'établit comme suit : avec 80 000 € de participation des adhérents dans le financement de ce court couvert, une excellente raison pour ne pas transformer ce court en usine à cours collectifs, cours particuliers, stages, pour un usage quasi exclusif des moniteurs et leurs clients.
Question aux élu(e)s du Comité :
Pourquoi les réservations pour les stages des moniteurs (activités libérales), des réservations que vous avez très concrètement rendues gratuites avec cette histoire stupide de forfait, monopolisent en plus, sans aucun droit, sans aucune légitimité, le court couvert le plus agréable, déjà très largement rendu inaccessible aux adhérents, en période scolaire ?
Question transmise le 20 décembre 2015
13 - Des infractions au règlement intérieur : suite et routine !
Encore deux exemples d'infractions caractérisées au règlement intérieur concernant l'utilisation des courts couverts pour des activités libérales, de la part de deux moniteurs de l'association :
...
De même, on peut rajouter ces deux réservations pour des activités libérales pour ce lundi 21 décembre 2015, alors que les cours collectifs sont visiblement maintenus. Deux créneaux qui sont donc accordés et réservés par un responsable du club pour des activités libérales et ce en totale infraction avec le règlement intérieur de notre association là encore.
Si ces réservations pour stages sont traditionnellement bien passées en soirée durant les petites vacances scolaires, il ne peut en être question ici puisqu'un court couvert est déjà occupé par des activités club ("cours Adultes").
Étant donné que c'est très loin d'être la première fois que je dénonce ces multiples infractions, étant donné qu'il est évident que ces réservations sont connues des membres du bureau (qui ont le devoir de s'en rendre compte par eux-mêmes d'ailleurs), étant donné qu'aucun de ces trois élus ne procèdent aux annulations nécessaires de réservations ainsi aussi spectaculairement en infraction avec le règlement intérieur, étant donné qu'aucun de ces trois élu(e)s ne m'a jamais répondu sur ces signalements, on peut assurément considérer que les élu(e)s du Bureau : M. Coconi, président, M. Jacquet, trésorier et Mlle Breton, secrétaire, confirment ainsi qu'ils sont d'accord pour valider ces infractions au règlement intérieur.
On n'en est pas étonné dans la mesure où ils ont déjà fait la preuve de leur capacité à piétiner ouvertement le règlement intérieur. Une forfaiture dont ils se sont également arrangés pour ne jamais avoir à en répondre, devant personne.
Ma prochaine démarche consiste donc à me faire confirmer la position de chacun des élu(e)s du Comité de notre association sur la validation de ces infractions au règlement intérieur pour se montrer à ce point indigne de leur mandat... ou non.
Questions transmises aux élu(e)s du Comité :
Les trois membres du Bureau de notre association valident très visiblement ces maintenant très nombreuses infractions au règlement intérieur concernant la réservation des courts couverts pour des activités libérales.
Mme Nathalie MILON, validez-vous également ces infractions ou les dénoncez-vous ?
M. Pascal AUDOUIN, validez-vous également ces infractions ou les dénoncez-vous ?
M. Sébastien LEGAY, validez-vous également ces infractions ou les dénoncez-vous ?
M. Stéphane PONCHAUX, validez-vous également ces infractions ou les dénoncez-vous ?
M. Caron que j'ai rencontré ce 20 décembre, me dit que si c'est interdit par le règlement intérieur, il faut l'interdire. M. Fleury, également présent, me dit qu'il faudra voir cela en Comité.
Questions transmises le 20 décembre 2015
14 - Activités libérales : il y a les moniteurs avec droits et ceux... qu'on ne peut pas joindre !
Si vous cherchez un moniteur, vous irez peut-être consulter la page donnant les contacts des moniteurs autorisés par l'association à organiser des activités libérales sur les installations municipales de tennis.
Et là, vous aurez le numéro de portable et le courriel de deux moniteurs... sur trois. Pour ce troisième moniteur que quelques élu(e)s ont toujours traité de façon très... particulière, là, aucun numéro de portable indiqué et le lien pour l'envoi d'un courriel... ne fonctionne pas !
On se dit que c'est peut-être lié à un oubli et une mauvaise manipulation. C'est trop bête ! Deux fois trop bête ! Pas de chance.
Mais non, en fait c'est même écrit là, sur cette page du site, que ce troisième moniteur, pourtant détenteur d'un diplôme tout à fait comparable à celui des deux autres moniteurs, une précision qui est clairement indiquée sur cette page (des indications qui ne datent donc pas de la période où ce moniteur n'était que stagiaire) "n'assure"... rien du tout, ni cours particuliers, ni stages !? Un sous-moniteur ! C'est la réinvention des castes par des élu(e)s toujours aussi promptes à défendre becs et ongles, une chasse gardée des activités libérales pour les moniteurs... qu'ils n'ont pas dans le nez !
Question transmise aux élu(e)s du Comité :
Quand donc cesserez-vous de traiter différemment ce moniteur dont vous n'avez pas voulu sanctionner son agresseur de juin 2014 (entres autres vexations) et qu'une nouvelle fois vous discriminez honteusement sur cette page du site de l'association ?
Question transmise le 20 décembre 2015
15 - Stages Maxime LEMAIRE : interdiction de "faire la fouine" !
"Mais qu'est ce que tu viens faire ta fouine !" C'est en ces termes que ce moniteur reçoit une simple première indication de ma part. Des constats que je fais durant ces deux derniers jours sur les réservations passées pour ses stages et que, par courtoisie, avant de m'en ouvrir aux élu(e)s du Comité, je veux dire de vive voix à ce moniteur, ce mercredi 23 décembre, 11h30.
Malheur à moi ! La courtoisie, la franchise ne sont pas des valeurs qui sont encouragées dans cette association. C'est même tout le contraire. Et ce moniteur le sait bien, visiblement, pour, en guise de réponse, me prenant du plus haut qu'il puisse, me rappeler que je ne suis... rien !
"Mais qu'est ce que tu viens faire ta fouine !" Lorsque j'indique à ce moniteur que j'interromps cette brève conversation puisque, comme trop souvent, les injures suivent en guise d'arguments, ce moniteur se lâche encore : "à parce que fouiner c'est une injure pour toi le prof de français ou de je sais pas quoi... allez, ouais, c'est ça... barre-toi !" Avec ce type d'amabilités, confirmation que ce moniteur a bien l'esprit club... du Tennis Club de Crépy en Valois.
"Mais qu'est ce que tu viens faire ta fouine !" C'est pourtant spectaculairement qu'on constate que l'organisation des stages de ce moniteur, travailleur indépendant, s'affranchit d'un certain nombre de règles pourtant appliquées dans notre association pour tous les autres adhérents ainsi que dans le monde du travail.
15.1 - Un tout petit rappel du point n°13 ci-dessus, pour redire que l'organisation de deux heures de stages ce lundi 21 décembre n'est pas conforme au règlement intérieur (pas d'activités libérales après 18h).
Premières infractions, qui plus est validées par un membre du Bureau qui reste le seul à pouvoir passer ce genre de réservation avec des intitulés personnalisés.
15.2 - Un moniteur qui a aussi le don d'ubiquité, avec un droit à infraction pour des réservations multiples et simultanées.
Ainsi le mardi 22 décembre à 13h et le mercredi 23 décembre à 14h, ce moniteur réserve sur deux courts à la fois. Une troisième et quatrième infraction au règlement intérieur.
A noter que pour ce mercredi 23 décembre, la tricherie s'avère trop visible, même pour les membres du Bureau, pourtant des maîtres dans cet art ! On ne sait pas lequel des trois intervient ici, mais l'intitulé de cette double réservation en infraction avec le règlement intérieur est modifié d'un coup de baguette magique... pour toujours rester contraire au règlement intérieur sur l'impossibilité d'avoir deux courts réservés pour la même personne, ici pour un seul moniteur, pour des activités libérales, sur deux courts à la fois !? Du jamais vu au club !
15.3 - Mais c'est sans compter avec l'imagination de ce moniteur qui fait aussi très visiblement passer des réservations par l'AMT qui le seconde sur ses stages.
Ainsi, à 11h30 ce mercredi, c'est bien un groupe de jeunes enfants (trois) qui est pris en charge par cet AMT sur le court n°5, tandis que le moniteur est présent sur le court n°6, avec un groupe d'environ 6 élèves. Trois derniers autres élèves occupent seuls le court n°7.
Donc sur cet horaire de 11h/12h, ce moniteur a accueilli un total de 13 élèves répartis sur trois courts, avec une réservation mensongère et une réservation inadaptée et mensongère également. Les deux joueurs inscrits sur le court n°7 ne sont pas présents et la réservation sur le court n°6 au nom de l'AMT est bien une réservation pour un stage.
Trois courts couverts dont deux réservés frauduleusement pour l'organisation du stage dont le responsable est ce moniteur !
Rappelons que la règle toujours appliquée par le Comité est de ne pas réserver plus d'un court couvert à la fois pour ces activités libérales (stages notamment). Une règle de bon sens puisque sur ces périodes des petites vacances, l'on constate une fréquentation importante des courts couverts. Il n'est qu'à voir ici ces deux adhérents qui auront du se résoudre à jouer en extérieur (court n°3)... puisque ce stage occupait illégalement les trois courts couverts !
C'est d'ailleurs aussi pour cette raison (laisser libre d'accès aux adhérents au moins deux courts couverts durant les petites vacances scolaires) qu'on impose l'alternance dans l'organisation des stages des moniteurs en tant que travailleurs indépendants !
Assurément deux infractions au règlement intérieur des plus spectaculaires que je n'aurai pas été le seul à constater, le trésorier, Thomas JACQUET se présentant à 11h50 aux abords des courts couverts. Un membre du Bureau qui, n'en doutons pas, aura surement mis en cause cette infraction, immédiatement, pour ensuite l'inscrire à l'ordre du jour de la prochaine réunion du Comité. N'en doutons pas.
15.4 - Et ce n'est pas fini puisque d'autres réservations sont mensongères sur ces deux jours !
Lorsque je passe à 15h30 ce mercredi 23 décembre, nulle trace de deux autres adhérents, les parents de cet AMT qui aura semble-t-il multiplié les réservations mensongères en utilisant toute la famille.
A la place, on ne trouve que les enfants participant à ce stage, encadrés par le moniteur et l'AMT ! Un constat qu'auront pu faire deux autres adhérents présents sur le court n°7.
Il y a fort à parier que la même réservation (15h) avec toujours les noms des parents de cet AMT, pour le mardi 22 décembre, aura, elle aussi, été assurément mensongère.
Et, pour ne pas en finir, une autre réservation encore, au moins, laisse planer des doutes quant à son caractère mensonger ! Au moins une encore !
Au final, au moins quatre réservations sont, de façon avérée, mensongères, frauduleuses... on ne sait plus comment les appeler !
15.5 - Un Assistant Moniteur de Tennis qui semble exercer, durant ces stages, hors cadre juridique.
La Convention Nationale du Sport, qui reste le texte juridique de référence en définissant les conditions d'exercice des métiers du sport, précise le cadre dans lequel un Assistant Moniteur de Tennis peut intervenir dans un club :
"Son activité s'exerce exclusivement le mercredi et le samedi hors du temps scolaire contraint", lit-on ici. Il reste donc à définir ce qu'est le "temps scolaire contraint" qui s'opposerait aux "vacances" ? Mais dans ce cas-là l'expression excluerait toutes les semaines scolaires ? Ou à comprendre si "hors" ce temps signifie qu'en dehors de ce temps scolaire, cette contrainte ne s'impose plus et que l'AMT peut exercer tous les jours de la semaine ou, à l'opposé, si cela exclut toute intervention d'un AMT en dehors des périodes scolaires ? Une demande en cours de ma part auprès de la DRJSCS permettra peut-être d'avoir des précisions sur les contours précis de cette expression ?
Réponse de la DRJSCS, en date du 11 janvier 2016 (mis en ligne le 14 janvier 2016) :
Bonjour Monsieur CARRE,
Votre demande concerne la possibilité accordée à un AMT de seconder un D.E tennis dans le cadre de ses activités libérales durant les petites vacances (Toussaint,...) et ce, tous les jours de la semaine y compris le mercredi et le samedi.
Dans la mesure où l'AMT en question est sous la responsabilité du D.E physiquement présent lors de la séance, qu'il encadre des mineurs, et que le volume horaire annuel de ses interventions ne dépasse pas 288 heures, alors l'AMT est autorisé à exercer tous les jours de la semaine des petites vacances. Néanmoins, cet exercice sera soumis à l'accord du bureau de l'association TCCV.
François ANDRIEUX DRJSCS du Nord – Pas de Calais – Picardie Coordonateur des formations du secteur sports Pôle FDM 03.22.33.89.06 François.andrieux@drjscs.gouv.fr
La Ligue reprend, dans ses documents (page 8), les conditions d'exercice d'un AMT ainsi que les poursuites possibles (article L2012-8 du Code du Sport) en cas de non-respect de ces règles pour le tutilaire de la CQP ou son employeur :
Ce même document (page 14) pointe également un autre problème lié à l'intervention de cet AMT durant les stages de ce moniteur :
L'intervention de cet AMT est-elle déclarée auprès des services compétents ? Qu'en sera-t-il de la responsabilité des uns et des autres pour la prise en charge d'enfants, s'il advient un incident durant ces stages ? Responsabilités du moniteur qui met en place cette situation ? Responsabilités de l'association qui connait cette situation ?
15.6 - D'autres libéralités encore.
Ce sont bien les barils de balles entreposés dans la local du matériel de l'association qui sont très visiblement utilisés durant ces stages dans le cadre des activités libérales de ce moniteur ! J'ai pu le constater sur place, comme tout un chacun (je pense à ce stage adultes (groupe femmes) du lundi 21 décembre au soir). Un matériel qui est acheté sur les fonds de l'association... avec l'argent des adhérents ! Une utilisation qui lèse donc l'association.
Et le Comité a bien précisé par le passé, dans plusieurs de ses décisions que les balles utilisées pour ces activités libérales devaient bien être marquées afin de pouvoir les dissocier très visuellement des balles fournies par le club aux moniteurs salariés par l'association durant les cours collectifs. Un matériel exclusivement réservé aux activités mises en place par l'association.
Une interdiction à confondre le matériel du club et celui des moniteurs utilisé durant leurs activités libérales rappelée également par le Comité en début de saison.
cf. Compte-rendu de la réunion du Comité du 4 septembre 2015 (page 3)
Les affichettes des deux moniteurs, visibles au club, ne mentionnent pas (plus) que ces stages ne sont pas organisés par le Tennis Club de Crépy en Valois, une mention qui, là encore, correspond pourtant à une obligation définie par le Comité de l'association.
Il est en effet important que les clients de ces stages, les parents de ces enfants, sachent que la responsabilité engagée durant ces stages relève bien du moniteur travailleur indépendant et non de l'association. Et que, par exemple, l'emploi d'un personnel non déclaré pour seconder un moniteur, ou d'autres approximations de ce genre, mettent bien en cause la responsabilité exclusive d'un moniteur.
Quand l'on sait que les stages de la Toussaint ont également été organisés par ce premier moniteur avec des approximations semblables, notamment la participation de cet AMT pour le seconder, il y a donc là quantité de dysfonctionnements qui relèvent, pour certains, de signalements auprès de la Direction de la Jeunesse et des Sports ainsi que la Direction Départementale du Travail et de l'Emploi.
La première étape reste bien de porter ces constats à l'examen des membres du Comité.
Questions transmises aux élu(e)s du Comité :
Qu'est-il prévu dans nos textes pour un moniteur, travailleur indépendant, qui tient des propos insultants à l'égard d'un adhérent qui lui fait remarquer que ses réservations pour l'organisation de ses stages sont mensongères et frauduleuses ? L'impunité comme une jurisprudence du club ?
Quelles décisions va prendre le Comité pour sanctionner ce moniteur et cet AMT, conjointement, pour un ensemble d'au moins quatre réservations mensongères et volontairement frauduleuses ?
Quelle décision va prendre le Comité contre l'un des membres du Bureau (?) qui passe deux réservations du lundi 21 décembre 2015, en infraction avec l'organisation des activités libérales après 18h (s'il n'y avait que ces deux là...) ?
Quelle décision va prendre le Comité pour rappeler qu'il n'est jamais possible de procéder à la réservation d'un second court couvert pour l'organisation d'activités libérales (cf. réservation du mercredi 23 décembre - 14h - court n°7) ?
Quelle décision va prendre le Comité pour intimer à ce moniteur travailleur indépendant de ne plus solliciter cet AMT dans l'organisation et le déroulement de ses stages, sachant que cette situation reste fort probablement contraire au texte juridique (Convention Nationale du Sport avec la CQP des AMT) ? (question devenue caduque avec la réponse de la DRCJSC du 11 janvier 2016, voir ci-dessus)
Pourquoi ce moniteur n'applique-t-il plus le "dispositif" qui était en place par le passé (quand les élu(e)s du Comité étaient plus attentifs aux intérêts des adhérents qu'à celui des travailleurs indépendants), à savoir la possibilité pour les groupes stages de s'étendre sur les deux courts couverts, voire les trois, d'une heure à l'autre, si ces autres courts couverts restaient libres de réservations et en l'absence d'adhérents se présentant en début d'heure ?
Un dispositif qui restait pourtant pleinement respectueux des intérêts de tous : des adhérents dans leur plus grand nombre, d'abord et avant tout, mais aussi de la possibilité de voir tous les courts occupés, au plus fort de leur potentiel.
Questions transmises le 28 décembre 2015