Une Assemblée Générale 2015 aux ordres !

1 - 23 adhérents présents : un record par le bas !

2 - Un autre grand absent : le débât d'idées !

3 - Les provocations, c'est cadeau !

4 - Un rapport moral, moral !

5 - Rapport d'activités : il y manque des réponses !

6 - Bilan compétitions : ne pas se poser de questions !

7 - Rapport financier non fiable, inexploitable !

7.1 - Comptabilité d'engagement, de trésorerie ? Les deux mon capitaine !

7.2 - + 40 % pour les frais comptables !

8 - Budget prévisionnel : l'avenir, façon floue !

9 - Compte de résultats : remarques et regrets !

10 - Augmentation de + 17.85 % : suite et... suite !

11 - Vote des cotisations 2015/2016 !

11.1 - Cotisations cours collectifs enfants : 3 € par an pour votre enfant !

11.2 - Des modifications qui amplifient des augmentations iniques.

12 - Modifications du règlement intérieur : le président a dit !

13 - Les entraînements pour les équipes 1, et du mépris pour toutes les autres !

14 - Projet de 4e court couvert : on avance... par un retour à la case départ !

14.1 - 4e court couvert : des projets inaccessibles !

14.2 - 4e court couvert : un projet hautement farfelu !

14.3 - Strictement plus aucune présentation du projet de court couvert à bas coût.

14.4 - L'association n'a pas besoin de 4e court couvert !

14.5 - Bilan : un agenda et une Assemblée Générale Extraordinaire !

15 - Rénovation du court en terre battue.

15.1 - Aucune pertinence dans l'offre proposée par nos installations !

15.2 - Dénaturer la terre battue en la transformant en un prototype isolé !

15.3 - Aucune pertinence financière pour une surface de substitution !

15.4 - Entretien de la terre battue : un problème très simple !

16 - L'éclairage d'un court extérieur.

17 - Questions diverses, non. Questions d'intérêt général, oui !

17.1 - Mes questions d'intérêt général : à la poubelle, comme en 2012 !

17.2 - Radiation demandée par P. CARREL, radiée par P. CARREL !

18 - Élections au Comité de Direction : à la tête du client !

19 - Activités libérales : uniquement pour les moniteurs BE ou DE salariés de l'association.

 

 

1 - 23 adhérents présents (5.5 %) : un record par le bas !

Une date plus que tardive ? La canicule ? Les multiples dysfonctionnements de cette association ?

Etaient présents : 15 adhérents + 8 membres du Comité = 23 votants !

Adhérents : ANICOTTE Séverine, CARREL Patrick (ex-président), CARREL TORLET Josy, CASSA Céline (ex-secrétaire), CAVALLI Olivier, CLAIRE Franck, CLAIRE Lionel, HUCK Jean, MILON Hervé, NOIREL Karine, NOUGUE Jordane, THOMAS Patrick, THOMAS Catherine, et moi même (ex-secrétaire).

Membres du Comité : AUDOUIN Pascal, BRETON Karine (secrétaire), CARON Jacky, COCONI Julien (président), FLEURY Gilbert, JACQUET Thomas (trésorier), LEGAY Sébastien, MILON Nathalie.

Membre du Comité absent à l'Assemblée Générale : PONCHAUX Stéphane.

Invités : LECOMTE Cédric (conseiller municipal), HALLADE Richard (Directeur des services techniques municipaux).

Absence de représentant de l'USC. Absence du Conseiller Départemental. Invitations ?

Adhérent, représentant d'une société sous contrat avec le club, vérificateur aux comptes : NUNS Laurent

Salariés de l'association : BONNET Stéphane, CAVALLI Thibaud.

 

2 - Un autre grand absent : le débât d'idées !

Un rituel immuable :

1 - Le président donne lecture du point à l'ordre du jour.
2 - Le président dit la vérité du Comité.
3 - Le président vous accorde quelques minutes pour vous exprimer tout en faisant remarquer d'emblée qu'on n'a pas de temps à perdre sur tout ça.
4 - Le président redit ensuite la décision que l'Assemblée Générale doit prendre si des fois les adhérents présents n'avaient pas bien compris,
5 - Le président le fait en sélectionnant sans aucun droit les propositions à soumettre au vote, systématiquement présentées en package : d'un côté les propositions du Comité, et de l'autre, les autres, sans jamais aucune nuance, jamais aucun vote proposition par proposition.
6 - Vote des adhérents.
7 - Applaudissements feutrés.
8 - Point suivant.

Quelques adhérents se risquent à intervenir. Ainsi, S. ANICOTTE, F. CLAIRE et moi même osons faire des remarques, poser des questions.

Systématiquement, il faut se parer des retours particuliers de quelques habitués du genre (voir ci-dessous).

Aucun argument, aucune démonstration, aucun doute ne peut rompre ce rituel.

Un rituel dont le succès est assuré par le suivisme de cette vingtaine d'adhérents présents répondant mécaniquement à une discipline de vote. Strictement plus aucune trace de libre arbitre pour ce résultat acquis par avance, sur toutes les questions, toutes les propositions : 19 contre 3.

Une Assemblée Générale... comme une chambre d'enregistrement.

 

3 - Les provocations : c'est cadeau !

Des remarques provocatrices, voire haineuses à l'égard des trois adhérents trop "curieux" déjà cités.

Ainsi une adhérente, ex-secrétaire, me prend plusieurs fois à partie durant cette réunion, multipliant les provocations. Je ne réponds à aucune pour finalement prendre à témoin le conseiller municipal présent, M. Cédric LECOMTE, sur l'attitude systématiquement provocatrice de cette adhérente, ne prenant jamais part en rien au débât de fond, cherchant systématiquement à vous dénigrer en tant que personne. Selon cette dame, on doit ainsi ne pas me laisser la parole, ne pas examiner mes remarques, elle n'a pas de temps à perdre, s'emporte, se lève, dit qu'elle va partir, part, fait cinq mètres... puis revient, le tout dans une théâtralité des plus ... théâtrales.

Lorsque mon voisin osera une remarque sur le caractère déraisonnable de l'attitude de cette adhérente, celle-ci se lève et accuse, le doigt tendu : quoi, vous avez dit quoi là ? Après avoir démultiplié les provocations, voilà que cette adhérente, ex-secrétaire, se présente en victime !? Un comble !

Le président que je sollicite sur les provocations intolérables de cette dame ne fera strictement aucun rappel à l'ordre pour de pareilles intentions. On se demande bien pourquoi ?

Autres remarques entendues, à l'occasion des questions posées :

Un ex-président (s'adressant à moi) : "Si vous êtes muté ailleurs, à Cayenne par exemple..."
Son épouse (s'adressant à moi) : "Il est de combien votre salaire M. Carré ?"
Un membre du Comité (à la fin de l'AG) : "Attention, il va écrire au procureur". "Ne revient pas trop tôt". "On sait que tu n'as pas de couilles".

"On sait que tu n'as pas de couilles". C'est sûr qu'affronter une pareille troupe et ses ricanements grégaires, quasiment seul comme je le suis depuis quatre ans maintenant, ne requiert aucun courage !

Ce membre du Comité, qui n'aura pas pris une seule fois la parole durant la réunion, assis même à l'extérieur de la salle (prêt à fuir ?), retrouve en cette fin d'AG le courage qui lui manquait pour donner ainsi à sa grossiereté haineuse, une forte sonorité. Sans doute suffisamment rassuré de voir les questions le mettant en cause, intégralement et illégalement supprimées par le président.

 

4 - Rapport moral, moral.

Je suis infiniment gré au président d'avoir présenté un rapport moral, c'est à dire un texte ne se transformant pas en un procès à sens unique, comme en avait pris la très fâcheuse habitude cet ex-président à la faute deux fois dans cet exercice, transformant ce bilan de la saison en une tribune totalement arbitraire, bassement revancharde, indigne, l'invention du rapport immoral (2012, 2013).

J'ai donc voté pour ce rapport moral, moral.

 

5 - Rapport d'activités : il y manque des réponses.

On compte 163 élèves sur le planning officiel des cours collectifs enfants (publié en mai 2015). La secrétaire nous en annonce 9 de mieux avec un total de 172 dans son rapport d'activités !? Après avoir attendu huit mois ce planning, faut-il la remercier d'un document incomplet, non mis à jour à la mi-mai, dont l'exploitation est ainsi incomplète ?

Et toujours strictement aucune explication pour les "heures libérées" du moniteur à temps plein qui sont 3h sur ce planning (4 même puisque le cours particulier financé par le club n'y figure pas) et que la secrétaire continue de présenter comme étant 2h, sont déjà hautement scandaleuses !? Sans trace aucune de cette 3e heure fantôme ?

 

6 - Bilan des compétitions : ne pas se poser de questions.

Pas de responsable pour présenter ce bilan !?

Le président, encore.

Rien sur l'organisation des championnats et le loupé pour la création d'une équipe 7 hommes.

Rien sur cette spectaculaire faiblesse de l'intégralité de ces rencontres de championnats par équipes été 2015, hommes et dames, parfois y compris jusqu'en interpoules : 188 matchs et... 39 matchs seulement à classement supérieur ! Un total de... 6 perfs seulement pour 3 joueurs et 2 joueuses ! En moyenne, les hommes des trois premières équipes auront joué à 2 classements inférieurs !?

Rien sur le tournoi open et ses 113 inscrits pour 110 places (!?) qu'on m'a opposées.
Rien sur la désaffection des joueuses crépynoises pas même présentes à la finale.

Rien sur le tournoi jeunes et ce record par le bas pour le nombre d'inscrits (une toute petite quarantaine pour 13 crépynois seulement). Aucune réflexion sur la disparition du tarif spécial enfants du club (5 € au lieu de 8 €).

Rien sur le NTC 2015 annulé faute de juge-arbitre, sans même solliciter d'autres juges-arbitres du club.

Aplaudissements.

Point suivant.

 

7 - Rapport financier : non fiable, inexploitable !

7.1 - Comptabilité d'engagement ou comptabilité de trésorerie ? Les deux mon capitaine !

Le président annonce une baisse à 10 000 € pour la subvention municipale dans le compte-rendu d'avril 2015 (point 4). Or, sur le compte de résultats 2014/2015, sont crédités 13 110.60 € !?

Interrogé sur ce point, le président confirme que la subvention municipale n'est plus que d'environ 10 700 € (à préciser) mais que, dans le document présenté, ces montants sont répartis sur des saisons différentes !? D'où cette différence de près de + 3 000 € en faveur de ce bilan 2014/2015, malgré la baisse spectaculaire annoncée et effective pour cette subvention !

Puis, sur d'autres questions sur ce rapport financier, le président, et le trésorier marmonnant, expliquent que certaines dépenses ne sont pas indiquées dans ce document parce que... les prélèvement n'ont pas été effectués par le créancier (cf. cotisations championnats individuels, solde de 511 € qui devait être prélevé par le CDOT) !?

Trouble !?

Soit notre association a opté pour une comptabilité d'engagement tenant compte des recettes prévues ou prévisibles... mais aussi des dépenses prévisibles !

Soit notre association a opté pour une comptabilité de trésorerie, en n'enregistrant alors que les dépenses et les recettes effectivement actées dans la saison, sans autres jeux d'écriture.

Or nous avons ici deux responsables, le président et le trésorier, qui, en fonction des questions qu'on leur pose, vous expliquent qu'on est parfois en comptabilité d'engagement (subvention municipale = + 3 000 €), puis vous expliquent qu'on est aussi en comptabilité de trésorerie pour des dépenses prévues mais non effectives, donc non comptabilisées (cotisations championnats individuels : - 511 €) !?

Des recettes en plus, des dépenses en moins, le vrai secret d'un résultat excédentaire !

C'était d'autant plus surprenant que s'il peut paraitre intéressant d'avoir une comptabilité d'engagement, c'est bien parce que l'on a la vraie image du bilan financier d'une saison sportive : recettes et dépenses et non recettes sans certaines dépenses.

Cet embrouillamini mélangeant opportunément deux méthodes comptables distinctes et incompatibles, est inexploitable. Il ne représente pas le vrai bilan de cette saison, certainement beaucoup plus déficitaire qu'il n'y parait !

Mais rien ne gêne une "écrasante majorité" (19 contre 3) des adhérents de cette Assemblée Générale qui se moquent, très visiblement, éperdument, de ces jeux d'écriture délibérément présentés en faveur du bilan de ces élu(e)s.

 

7.2 - Presque 40 % de hausse.

Avec ce document non fiable et donc inexploitable, on se redit qu'une simple comptabilité de trésorerie toute simple reste très largement suffisante pour un volume d'écritures et des obligations pour notre association parfaitement compatibles. Il restera des plus aisés, comme par le passé, que le trésorier indique oralement telles ou telles dépenses ou recettes qui viendraient expliquer un résultat trop particulier.

Le tout pour... 0 € ! Quand l'on voit la hausse vertigineuse du budget alloué pour l'intervention d'un cabinet d'expertise comptable (on est passé de 1 624 € à 2 270 € (+ 39 %)), on se dit qu'il y a des économies à faire de ce côté là. Ceci dit sans mettre en cause le professionnalisme de ce cabinet comptable mais bien la pertinence qu'il n'y a pas pour notre association à engager une dépense pour nos écritures comptables des plus simples !

Et veillant à ne pas engager de dépenses inutiles, on évitera ensuite de dénaturer de façon saugrenue l'objet de notre association en lui faisant organiser une... brocante, transformant ses bénévoles en vendeurs de cornets de frites ! On reste effrayé de se voir proposer un bal musette, le loto du tennis, une quête, un appel aux dons, la vidéo sur You tube pour les pauvres du tennis... et leurs 130 000 € de trésorerie !?

A noter également dans le budget prévisionnel que l'augmentation de 39 % de la facture du cabinet comptable qui a été "justifiée" par la rédaction des contrats des moniteurs en 2015 (on est à 2 270 €)... est pleinement reconduite pour la saison prochaine avec 2 300 € ? Faudra-t-il déjà réécrire les contrats-types des moniteurs en 2016 ?

Restons sérieux.

 

8 - Budget prévisionnel : l'avenir, façon floue !

On y lit des recettes de cotisations Ecole de Tennis en hausse : + 1 600 € prévus pour 2015/2016. Une augmentation qui correspond à cet autre scandale dénoncé ci-dessous avec cette hausse des tarifs des cours collectifs enfants.

Et, dans le même temps, pour des recettes identiques (indépendamment de cette augmentation), donc pour un même nombre d'élèves, donc pour le même nombre d'heures salariées, on comptabilise - 4 000 € en charges sociales et salaires !?

Autant de recettes pour moins de salaires ? Décidément une méthode de travail systématique et curieuse. On cherche à comprendre ce nouveau miracle !?

Interrogé, le président sort sa baguette magique : la comptabilité d'engagement ! On en reste... assis !? Et puis S. BONNET n'assurera plus de cours, nous indique t-il !

Donc il y aurait moins 6h du salaire d'un moniteur à 21 € nets. On se dit, par contre, qu'il faudrait, si cela explique cette baisse de 4 000 € des charges liées aux salaires, également comptabiliser une baisse des recettes ? D'autant que le lundi et le vendredi, les jours où intervenait ce salarié, on ne peut procéder à son remplacement que par un autre moniteur BE ou DE. Les AMT n'ont pas l'autorisation d'excercer en dehors du mercredi et du samedi.
Ces 4 000 € d'économies ne se feront donc pas sur ces 6h qui doivent demeurer pour assurer un même niveau de recettes.

Faut-il alors chercher du côté du mercredi ? C'est apparemment une AMT qui assurera les cours collectifs du mercredi, des cours pris en charge cette année par le stagiaire moniteur pour 9h. Une AMT diplômée est rémunérée 12.70 € bruts. A combien s'établissait le coût horaire du stagiaire moniteur ? Y aurait-il là la justification de ces - 4 000 € ? On en doute à nouveau fortement.

Une baisse des charges et un statu quo des recettes qui restent donc sans réponse dans un montage financier proposé à des adhérents pas plus curieux que ça.

Et, sans surprise, pour ce budget prévisionnel, un vote sans faiblesse pour une majorité suiviste de cette Assemblée Générale.

Applaudissements.

Point suivant.

 

9 - Compte de résultats : remarques et regrets.

Des documents comptables qui ne sont pas disponibles sur le site du club mais que vous trouverez ici.

Les badges ne font pas l'objet d'une ligne spécifique (c'est pourtant le cas dans le budget prévisionnel). Or c'est une vente qui ne devrait pas être confondue avec des recettes liées aux cotisations.

Une carte Cursus n'a pas fait l'objet d'un remboursement. On se demande bien pourquoi le trésorier n'est pas allé au bout de ce dossier, soit auprès du Conseil Régional, soit auprès de l'adhérent concerné !? Une inscription assurément plus pertinente sous l'appellation d'une perte pour l'association.

Les 116 € illégalement remboursés par le trésorier sont comptabilisés en frais de déplacements. Il y a tout lieu de les inscrire sur cette ligne pertes, au pluriel cette fois ci. Ce ne sont pas des remboursements de frais de déplacements mais bien des erreurs grossières et répétées d'un trésorier trop approximatif. Un peu une tradition locale.

Les locations de courts des moniteurs pour leurs activités libérales sont plus qu'étonnamment englobées dans un intitulé fourre-tout : "produits divers". Il est plus que nécessaire pourtant de les notifier en tant que locations de courts pour activités libérales. Les vagues souvenirs d'un trésorier hésitant sont très largement insuffisants pour nous communiquer le bilan de ces locations de courts pour activités libérales. D'autant que lorsque le trésorier annonce quelques montants approximatifs (39 € !?), on est bien en droit de se poser des questions sur le suivi de ces locations de courts... invisibles dans ce bilan comme sur le planning de réservations du site, alors même que sur le court, on constate un moniteur présent plusieurs fois le dimanche sous couvert d'une réservation adhérents, entre autres.

Cotisations aux championnats individuels : un solde de 511 € à reverser au CDOT. Un montant qui ramène déjà à 85 € le solde soit disant "positif" de cette saison.

Sept cotisations aux cours collectifs adultes manquantes. Avec 46 inscrits, il manque près de 1250 € sur cette ligne !? On attend toujours une explication crédible autre que la farce d'une comptabilité d'engagement le jeudi et de trésorerie le vendredi !? Où sont ces cotisations ? Qui sont donc ces sept adhérents qui n'ont pas réglé leur cotisation aux cours collectifs adultes ?

Quasiment + 20 % de hausse pour le total des salaires et charges liées aux cours collectifs en 2015. Alors même que le total des cours collectifs n'est passé que de 55 à 58h30 d'une saison à l'autre !? On est assuré qu'un tel budget n'est pas longtemps viable. Et le président le sait bien qui explique déjà que l'augmentation des cotisations adultes de + 1 € que les élu(e)s du Comité propose... mais voyons cela plutôt ci-dessous.

 

10 - Augmentation de + 17.85 % : suite et... suite !

A l'occasion du rapport financier, je demande au président de confirmer qu'il a bien indiqué, en réunion du Comité d'août 2014, que l'augmentation d'un moniteur DE salarié de l'association de + 17.85 %, a bien été présentée aux autres membres du Comité par le président lui même comme étant le résultat du passage du statut d'AMT (2013/2014) à celui de moniteur DE (2014/2015) ? Ce qui restait à considérer comme un mensonge de la part du président de l'association.

D'autant que cette justification était déjà infirmée par le contrat de ce moniteur... embauché comme moniteur dès le 9 septembre 2013 !

Le président confirme qu'il a donné aux autres membres du Comité cette "justification". Il précise qu'il pensait que c'était le cas.

On reste consterné devant un président qui, pour justifier une pareille volte-face, affirme de telles informations sans les avoir vérifiées (le président avait ce contrat dans les archives transmises par l'ex-président).

On reste donc plus qu'incrédule d'une telle légèreté présentée comme innocente. Quand on affirme quelque chose de faux, on émet bien une contre-vérité, et on autorise bien une assemblée à considérer que c'est un mensonge.

D'autant que le même président, qui tente de se justifier mieux et plus en expliquant que les salaires se négocient au cas par cas dans le monde de l'entreprise, ne sait pas expliquer pourquoi lui et les élu(e)s du Comité acceptent telle que la demande de ce premier moniteur, sans négociation aucune pour valider les 21 € nets de ce moniteur bien en cours. Alors que pour le stagiaire-moniteur, ces mêmes personnes rejettent sa demande et imposent à ce futur moniteur DE la décision du Comité : 18 € nets de l'heure !?

Quand en plus un membre du Comité vous confie qu'un vote intermédiaire du Comité pour 19 € nets a abouti à 3 votes partout, et que le président n'a pas fait jouer sa voix prépondérante de... président... on est bien renseigné sur la nature de cette discrimination salariale : le copinage le plus éhonté qui soit !

Se moquer du monde pour se montrer à ce point injuste est tellement révoltant... que personne ne demande des comptes à ces élu(e)s pour de telles attitudes.

Applaudissements.

Point suivant.

 

11 - Vote des cotisations 2015/2016

Malgré les multiples remarques que je fais sur l'injustice des évolutions proposées, l'Assemblée Générale vote le tout, sans sourciller.

Aussi, après l'avoir inutilement indiqué en Assemblée Générale, j'adresse ce qui suit directement aux parents des enfants concernés. Il y a bien une très grande nécessité à les alerter sur des décisions aussi révoltantes !

 

11.1 - Cotisations cours collectifs enfants : 3 € par an pour votre enfant !

Vous êtes :

- les parents d'un des 172 élèves des cours collectifs enfants,
- les parents d'un des 141 élèves sur ces 172 qui n'ont qu'1h de tennis hebdomadaire,
- majoritaires en constituant 82 % de cet effectif total,
- des contribuables (impôts locaux, voire fonciers),
- les parents d'un enfant qui ne va pourtant bénéficier que de... 3 € par an provenant des subventions versées par les pouvoirs publics à l'association !

Vous n'êtes pas :

- les parents d'un enfant aidé (de + 30 minutes à + 3h15 prises en charge financièrement par le club),
- les parents d'un des 31 enfants (18 %) qui bénéficient d'un total proche de 20 000 € de ces subventions publiques,
- les parents d'un enfant qu'on doit aider, selon les 20 adhérents de cette Assemblée Générale pour qui vous n'êtes... rien !

Sur 28 000 € de subventions reçus par l'association, c'est à dire votre argent, l'on pourrait parfaitement voir l'association prendre la décision de redistribuer plus équitablement ces aides... publiques. Et on imagine, dans l'absolu, ce que cela pourrait donner :

- 163 € pour chacun des 172 élèves de l'Ecole de Tennis,
- ou 128 € pour chacun des 218 "élèves" (enfants et adultes) des cours collectifs,
- ou 67 € pour chacun des 416 adhérents.

Certains bailleurs de fonds, d'autres collectivités ont, eux, fait ce choix d'une répartition équitable :

- le Conseil Départemental avec les Coupons Sport qui vont à parts égales pour tous nos jeunes licenciés, et pas seulement les "meilleurs".
- dans d'autres domaines, la commune offre l'accès pour tous les enfants voulant bénéficier des services offerts par la médiathèque municipale, et pas seulement ces "meilleurs" lecteurs.
- ou l'École de musique municipale qui n'offre rien de supplémentaire à ces "meilleurs" "élèves", considérant chaque enfant inscrit à l'égal de tous les autres.

Non, il n'y a vraiment que dans le sport qu'on croit sain et moral d'aider exclusivement ces "meilleurs" élèves qui ont donc toutes les chances de rester... "meilleurs" (avec 4h15 par semaine, ce serait dommage de ne pas l'être un peu), au plus grand détriment des autres élèves, pleinement laissés de côté.

D'autant qu'on peut parfaitement concilier la nécessité et la volonté de vouloir pratiquer de nombreuses heures le tennis, sans devoir pour autant y adjoindre systématiquement un moniteur avec un coût très lourd pour l'association au détriment de 82 % des autres enfants inscrits.

Il faut savoir qu'une heure salariée pour un moniteur BE ou DE, sur une saison (30h), revient, approximativement, à 1 200 €.

Avec les 9 élu(e)s du Comité, et une "majorité écrasante" des... 12 autres adhérents présents en Assemblée Générale, qui ont voté pour une augmentation de la cotisation Ecole de Tennis, on doit faire ce constat accablant et révoltant :

- 197 € x 6 (élèves de l'Ecole de Tennis) = 1 182 €.
Financement assuré par le club : 18 € par cours, 3 € par enfant et par an !

- 185 € x 4 (cours collectifs adultes) = 740 €.
Financement assuré par le club : 460 € par cours, 115 € par adulte et par an !

En mode "normal" (non aidé), c'est à dire pour 82 % des enfants inscrits en cours collectifs, l'association consacrera donc 25 fois plus d'argent pour financer les cours collectifs adultes plutôt que les cours collectifs enfants !?

- l'augmentation 2015/2016 de la cotisation aux cours collectifs enfants est de + 4.79 % !
- l'augmentation 2015/2016 de la cotisation Mini Tennis est de + 13.6 % !
Et dans le même temps...
- l'augmentation 2015/2016 aux cours collectifs adultes est de... + 2.79 % !

Sur les 23 adhérents présents en Assemblée Générale, 9 sont inscrits aux cours collectifs adultes. Aucun n'est le parent d'un enfant non aidé sans parent adhérent.

Le trésorier se scandalise, en Assemblée Générale, que je fasse remarquer (sur ce site) que les trois membres du Bureau, qui ont pondu ces modifications de nos cotisations (le Comité a dit oui, à l'unanimité, unanimement unanime en bloc) sont aussi trois adhérents bénéficiant de ces cours collectifs adultes !?

Ce trésorier devrait pourtant faire ce constat flagrant : des cours collectifs adultes à l'augmentation la plus faible (+ 5 €) pour des cours déjà les plus largement financés par l'association (à hauteur de 38 %) !? Que ce trésorier s'efforce plutôt de donner d'autres explications à ces discriminations dans des augmentations éhontées, pleinement injustes ?

Par le passé, le principe de fixer un tarif cours collectif enfants à un montant proche du prix coutant a toujours été un principe partagé.

Mais, avec la forte dérive élitiste de ces élu(e)s qui passent de 52 à 31 (voire 18) le nombre d'élèves aidés, et cette hausse immorale de la cotisation Ecole de Tennis, profondément immorale, contraire même à l'objet de notre association, ces 9 élu(e)s du Comité et cette majorité suiviste de 12 adhérents présents en Assemblée Générale basculent dans l'irrationnel, l'injuste, l'indigne.

Au point 1 de cette page, vous avez la liste de ces gens à remercier pour des décisions aussi exemplaires. Mais attention, si vous vous décidez à les questionner, vous risquez les provocations de l'une, la vulgarité haineuse de l'autre, les sarcasmes des plus roublards, l'autoritarisme déplacé d'un président qui rejettera vos questions d'un revers... de la main. Pire, puisqu'on vous taxera bientôt d'être une "entrave au bon fonctionnement de l'association" avec votre radiation en guise de menace terrorisante.

Il me parait plus que nécessaire d'établir que les aides accordées à l'association doivent faire l'objet d'une répartition plus équitable, sans laisser de côté 82 % des enfants inscrits dans notre association.

Comptez-vous, rassemblez-vous, faites vous connaître, protestez, partout et vite !

Les plus sûrs alliés de ce tout petit nombre de personnes restent bien votre silence, votre passivité. En septembre... il sera trop tard.

 
AMT, un coût deux fois inférieur à un moniteur DE : un moindre coût à répercuter !

A priori, ce serait une Assistante Moniteur de Tennis (AMT) qui interviendrait le mercredi, en troisième enseignante (il y a un potentiel de 9h). Une rumeur à confirmer.

Si tel était le cas, un AMT est rémunéré 12.70 € bruts. Environ une petite vingtaine d'euros comme coût de revient total pour l'association (à préciser). Soit un coût globalement deux fois inférieur à celui d'un moniteur BE ou DE.

On doit donc revendiquer que les enfants, qui seront pris en charge par cette enseignante, comme par les autres AMT de l'association, voient leur cotisation adaptée à ce coût en étant au moins divisée de moitié.

Il n'y a strictement plus aucune raison pour que l'association ne répercute pas ce coût inférieur.

Quand on voit les principes qui régissent le sens de le redistribution de la part des élu(e)s de l'association... il y a tout lieu de faire appliquer ce principe d'équité... avant leur intervention !

 

11.2 - Des modifications qui amplifient des augmentations iniques.

Tarifs dégressifs cours collectifs enfants.

Jusqu'à l'an passé, on accordait - 10 % au 2e enfant d'une même famille, puis - 30 % au troisième. Une mesure qui ne "coûtait" que quelques centaines d'euros à l'association (j'ai trouvé 520 € (?) pour 22 enfants 2e et 3 enfants 3e) et qui favorisait la pratique familiale qui est, on le sait tous, un gage de développement de la pratique du tennis, l'objet même de notre association !

Moins 8.6 % (2e enfant) et moins 13.7 % (3e enfant), ce sont les nouveaux tarifs dégressifs décidés par tous ces gens, qui ne le savent même pas pour la plupart ! Tout cela pour solliciter encore et encore des enfants dont on vient déjà d'augmenter la cotisation de + 4.79 % ! Tout cela pour une nouvelle économie totale de... 100 à 200 € l'an pour l'association !?

Quel sens pour une telle modification ? Tout juste un fort mauvais signal, toujours au détriment du plus grand nombre. Rien de plus.

+ 1 € sur les cotisations adulte, parent d'élève, couple, étudiant, enfant.

Pourquoi ?

La FFT suffit pourtant à créer scandaleusement une augmentation de 2 € sur toutes ces cotisations !

259 adhérents adultes, couples, parents d'élèves, étudiants, enfants, qui sont concernés par cette augmentation de 1 €.

259 € attendus avec cette augmentation de 1 €. 259 € !?

259 € pour quoi faire ?

Interrogé, le président (il n'y a que ce seul élu du Comité qui réponde dans cette Assemblée Générale, à croire que...) rappelle que la subvention du Conseil Régional n'a pas été renouvelée : - 9 000 €. Je demande donc au président si ces 259 € supplémentaires recueillis par l'association sont de nature à combler ce manque à gagner de 9 000 € ? Comment le président compte-t-il trouver les 8 741 € restants ? En augmentant les cotisations ?

Pas de réponse autre que de s'inquiéter de voir ce genre de raisonnement pour un élu qui n'envisage pas de réduire ses dépenses mais bien d'augmenter ses recettes pour garder le train de vie de l'association. Et ces 1 € sont là simplement pour s'entraîner sur ce principe. C'est tout le sens d'une augmentation inutile, injustifiée, porteuse de sombres desseins !

Aucune charge supplémentaire propre à l'association ne vient justifier une quelconque augmentation pour ces adhérents... simplement adhérents (sans cours, sans entraînements, sans coût pour l'association).

Alors, bien sûr, l'augmentation de la FFT vient amputer la part club. Mais en refusant de protester contre cette augmentation scandaleuse de la part de la FFT (j'ai pourtant fortement milité pour (question 16, page 16)), il convient bien désormais aux élu(e)s de cette association d'assumer leur passivité, voire leur approbation, pour une politique sportive très particulière de la part de la FFT. Du reste, en n'augmentant que de 1 € les cotisations, les élu(e)s du Comité ont déjà décidé de "perdre" 1 € avec l'augmentation de... 2 € de la licence FFT. Alors soit il faut augmenter de 2 €, soit il ne faut rien augmenter du tout ! Au risque sinon, de rester dans une incohérence totale.

Sans oublier de dire un grand merci à la FFT qui nous explique que pour développer la pratique du tennis, il faut d'abord commencer par solliciter plus le porte-monnaie de ses pratiquants, pour un sport déjà parmi les plus coûteux !

Un tube de balles qui passe de 6 € à 6.50 €.

J'ai déjà eu l'occasion de dénoncer cela. Mais c'est encore toute l'illustration de ces élu(e)s qui rognent les plus infimes centimes que l'association accordait jusque là à ses adhérents, dans leur plus grand nombre, dans leur plus grande diversité, pour rassembler des fonds destinés... au plus petit nombre, à ces adhérents déjà plus que fortement soutenus financièrement.

Ainsi, pour un manque à gagner de 0.12 centimes par tube de balles vendu par l'association, ce sera désormais à l'adhérent de verser + 0.38 centimes de bénéfice à l'association.

Il est vrai qu'une telle gabegie s'élevait à... au moins... 34.56 € (cf. 288 € de recettes pour les balles dans le document comptable) !

34.56 € ! Une dépense qui met assurément en danger nos 130 000 € de trésorerie !

Quand on compare encore cette aide monstrueuse de 34.56 € aux... 24 000 € versés à ces 77 adhérents (46 adultes cours collectifs + 31 enfants aidés) "persécutés" par nos élu(e)s, on ne peut que rejoindre les préoccupations de ces gens et ces 19 adhérents présents en Assemblée Générale !

Applaudissements.

Point suivant.

 

12 - Modifications du règlement intérieur : le président a dit !

Le président aborde ce moment en s'apprêtant à faire lecture des modifications proposées. Et puis non. Le président décide de ne choisir que l'une de ces modifications. L'assemblée écoute. Après lecture, aucune question, aucune réaction. Rien. L'Assemblée Générale est prête à voter. L'Assemblée Générale va voter. Bientôt les applaudissements. Et puis le point suivant.

Aucun des adhérents présents constituant cette "majorité écrasante" de 19 voix n'a ni l'idée, ni l'intention d'examiner ces propositions de modifications que la grande majorité n'a sans doute même pas lues. 19 adhérents ne sont là que pour dire oui, en lot.

L'exemple suivant illustre ce regrettable renoncement pour des adhérents simples spectacteurs.

Sur l'une de mes remarques, le président consent à revenir sur la modification de l'article 5, paragraphe E relatif à la réservation obligatoire sur le court en terre battue. Le président indique qu'il a mal lu le texte d'origine. Il ne l'avait pas compris comme cela. Le président propose donc de revenir sur cette seule modification. L'Assemblée vote. Applaudissements. Point suivant.

Aucun des 18 adhérents restants n'aura d'autres réactions. Tous étaient prêts à voter pour la première proposition du président. Tous votent pour la seconde proposition du président qui supprime totalement la première proposition du président. Et si le président était revenu à sa première proposition, tous auraient à nouveau voté pour la première proposition du président. C'est à pleurer.

Malgré cette certitude de se heurter à un bloc monolithique, je redis pourquoi plusieurs de ces modifications sont dangereuses pour l'association, voire incohérentes entre elles.

Le président se contente, quant à lui, d'insister sur la modification de l'article 5 qui va autoriser que plus d'un court couvert soit utilisé pour des réservations club pour notamment un motif curieux, en rouge ci-dessous :

F/ Sauf pour une rencontre de championnats par équipes, les matchs de tournois par tableaux, les entraînements d'équipe une soirée par semaine, les contraintes qui pourraient être fixées par le CDOT ou la Ligue de Picardie, la formation de salarié(s) et les animations, sous réserve de validation des plannings par le Comité, il n’est pas possible de procéder à la réservation de plus d’un court couvert à la fois pour des activités club ou nécessitant la réservation par le biais du club, à l'exception du mercredi et du samedi matin.

Une formulation qui décrit exactement la trentaine d'infractions au règlement intérieur commises volontairement par le président, un président qui s'est mis "hors la loi" de notre association. Des infractions pour lesquelles le président et les élu(e)s du Comité ne seront jamais mis en question (voir ci-dessous), jamais sanctionnés.

Quand vous enfreignez la loi (comment appelle t-on les gens qui font cela déjà ?), il suffit de changer la loi pour ne plus être "hors la loi" ! L'hallucinante leçon donnée par ces 9 élu(e)s du Comité !?

 

13 - Les entraînements pour les équipes 1, et du mépris pour toutes les autres !

Comme on le voit ci-dessous, les adhérents n'obtiendront peut-être jamais les réponses à toutes les questions relatives à l'organisation des entraînements sur la saison 2014/2015.

On peut donc penser que 2 400 € ont été consacrés à l'entraînement de l'équipe 1 dames ! Mais pour quel mérite au juste ? Les compétiteurs messieurs, pour certains assurément bien plus impliqués dans la vie de l'association, ont-ils à ce point démérités pour être exclus de ce dispositif !? 2 400 € pour 4, 5 joueuses ? Quelle démagogie pour une telle décision !

Je tente tout de même une question encore auprès du président sur ces entraînements d'équipe qui pourront désormais s'étaler sur un deuxième court couvert quand un premier sera occupé par des cours collectifs : et si l'équipe 2, 3, 4... hommes, dames, font une demande pour bénéficier de créneaux entre 18h et 22h, en semaine, sur un deuxième court couvert, quelle sera la réponse du Comité ?

Ce sera non, me répond le président. Non et non. Cette faveur ne sera autorisée qu'aux équipes 1 hommes et dames.

En accordant des privilèges à certaines équipes et pas à d'autres, l'Assemblée Générale montre un mépris hallucinant à l'égard des adhérents évoluant dans ces autres équipes, assurément tout aussi méritantes, tout autant impliquées dans leur championnat.

La seule solution reste bien de n'accorder à aucune équipe un tel privilège qui devrait, dans une association qui veillerait à être plus égalitaire, être accordé à tous et qui amènerait donc à un planning saturé, au détriment de tous.

Strictement rien n'empêche 4 joueurs de réserver, en leur nom, un court couvert sur deux heures, semaine après semaine, à l'égal des 416 adhérents !

Il est terriblement inutile et destructeur de mettre un vers dans le fruit en faisant des équipes 1, des équipes privilégiées, sans aucune raison, et en montrant le plus profond mépris pour les autres équipes défendant pourtant... les couleurs de la même association !

On est ensuite très peu crédible, voire provocateur, pour afficher des messages de félicitations sur le site du club pour les bons résultats de toutes les équipes. A remarquer toutefois que les photos qui accompagnent cette information résument à elles seules la philosophie toute particulière des élu(e)s de l'association... quant au traitement à réserver aux équipes "inférieures" !

 

14 - Projet de 4e court couvert : on avance... par un retour à la case départ !

Quasi trente minutes durant lesquelles le président nous présente un improbable défilé de projets plus qu'éloignés les uns que les autres des vraies questions qui se posent à l'association.

C'est hallucinant de constater qu'une vingtaine de personnes est capable d'écouter un président... tout simplement parce qu'il est président, alors même que ce président reste aussi spectaculairement à côté des enjeux réels de l'association.

 

14.1 - 4e court couvert : des projets inaccessibles.

Le président présente différents projets de couverture d'un court existant. On passe ainsi de projets de 270 000 € à 198 000 € HT, auxquels, pour certains, d'autres budgets sont à rajouter encore. Autant dire des montants qui restent totalement inaccessibles à notre seule association. Des financements nécessitant... des apports de la part de la municipalité. Or tout le monde sait, sauf le président et les élu(e)s du Comité apparemment, qu'aucun autre projet, autre qu'un dojo et une salle des fêtes, ne sera lancé durant les années qui viennent. Je crois me rappeler que le conseiller municipal précise même qu'on ne parle que d'un projet de dojo pour l'instant ?

Des projets nécessitant également un financement de la part du Conseil départemental. Pour ce dernier, le président fait lecture du dispositif de financement connu depuis... des décennies, pour finalement conclure par le risque très grand de voir ce dispositif disparaître prochainement (nouvelle majorité). On a beaucoup avancé. D'autant que tout le monde sait, sauf le président et les élu(e)s du Comité (?), que ce sera la municipalité qui restera maître d'oeuvre et que ce sera la municipalité qui déterminera l'ordre des dossiers de demande de subventions transmis... au Conseil départemental... on a ainsi le sentiment de tourner en rond... avec le président en tête. L'illusion d'avancer.

 

14.2 - 4e court couvert : un projet hautement farfelu.

Le président présente ensuite un projet de... préau !? Mais attention précise-t-il, il en faut deux pour en couvrir convenablement un court !? Et oui, un préau n'a pas de mur ! Et bien sûr, en Picardie, un préau ouvert à tous les vents humides... c'est idéal. Là aussi un coût prohibitif. Là encore le zéro pertinence.

 

14.3 - Strictement plus aucune présentation du projet de court couvert à bas coût.

Disparition spectaculaire ! Aucune mention de ce projet !

C'est pourtant le seul projet dans nos moyens (130 000 €). C'est du bas coût mais c'est un projet réaliste. Le seul souci c'est que depuis maintenant bientôt deux ans, ces élu(e)s n'auront toujours pas été capables d'apporter la réponse à la seule question permettant d'avancer sur ce projet : oui ou non la municipalité donnerait-elle son accord à un autofinancement de la part du Tennis Club de Crépy en Valois ? Toujours strictement aucune réponse sur cette simple question.

Le président dit ne plus se rappeler de ce projet. Je lui indique pourtant que je lui ai remis un dossier que tout le monde a trouvé très complet l'an passé. Le président dit qu'il l'a probablement perdu. Se moquer du monde est une acrobatie qui semble suffire à cet élu pour justifier de sa décision d'effacer ce projet de la liste de ceux examinés par l'association.

Le président ne tarde pas à donner son vrai sentiment : nous sommes beaucoup à ne pas vouloir recouvrir l'un des deux courts extérieurs n°3 et n°4. Les spectateurs aiment bien. Ha si les spectateurs aiment bien... on ne voit pas pourquoi on améliorerait les conditions de jeu des 416 adhérents avec un 4e court couvert !?

Mais le président et les élu(e)s du Comité restent sur cette aspect du dossier pour effacer d'un trait cette solution. La seule réalisable pourtant et qui justifierait, pour cette très bonne raison, qu'on passe du temps dessus !

 

14.4 - L'association n'a pas besoin de 4e court couvert !

S. BONNET, salarié que j'ai réussi à cantonner jusque là dans son rôle de salarié respectant son devoir de réserve, prend la parole et refuse de ne pas militer pour... une curieuse prise de position. Il y a 130 000 €. Ce salarié reste toujours autant étonné de ce montant nous dit-il. 130 000 €. Il y a tant de choses à faire. Et ce salarié prend plusieurs minutes pour convaincre les adhérents présents qu'un court couvert supplémentaire n'est pas une bonne chose pour l'association !

P. CARREL a beau lui dire que le ratio officiel établit la nécessité d'un court couvert pour 100 adhérents, ce salarié n'en démords pas ! Notre association n'a pas besoin d'un 4e court couvert !

S. BONNET commence même un comparatif avec les clubs alentours : Senlis : 432 adhérents, 3 courts couverts.

Il oublie de citer tous ces autres clubs :

- Beauvais : 444 adhérents, 6 courts couverts.
- Lamorlaye : 607 adhérents, 4 courts couverts.
- Compiègne : 673 adhérents, 4 courts couverts.
- Lagny le sec : 168 adhérents, 2 courts couverts.
- Villers Cotterêts : 164 adhérents, 3 courts couverts.

Mais non, pour ce salarié, le développement d'un club ne passe pas par le nombre de ses courts couverts. Il n'y a pas besoin d'un 4e court couvert pour Crépy en Valois.

Et ce en dépit de :

- toutes les frictions qu'amène le partage plus que difficile de nos trois courts couverts,
- les limitations que l'association s'impose dans le nombre d'inscrits à ces tournois,
- les limitations dans le nombre d'équipes engagées en championnats d'hiver,
- les limitations du système de réservation pour chaque adhérent avec une réservation à l'avance,
- les limitations de l'emprise sur les courts couverts par les cours collectifs enfants,
- les limitations de l'emprise sur les courts couverts par les cours collectifs adultes,
- les limitations de l'emprise sur les courts couverts par les groupes compétitions,
- les limitations des activités libérales des moniteurs (cours particuliers, stages),
- les limitations des entraînement... mais là, c'est vrai que S. BONNET a déjà des créneaux (vendredi 2h) pour son équipe,
- les limitations imposées par une saison extérieure des plus limitées (mai-juin et septembre),
- les contraintes apportées par la réforme des rythmes scolaires et qui a augmenté encore la pression sur les heures chaudes (17h/21h et weekend) dans les courts couverts...

Un salarié n'a pas les mêmes intérêts que l'association. On en a bien la démonstration spectaculaire ici avec cette intervention que le président n'aurait pas du autoriser, en veillant beaucoup plus scrupuleusement au devoir de réserve des salariés de l'association.

 

14.5 - Bilan : un agenda et une Assemblée Générale Extraordinaire !

Le président l'affirme, rien ne sera décidé sans vous. Il se tourne vers la salle, il se tourne vers le conseiller municipal et le directeur technique.

Nous allons nous mettre d'accord sur un agenda. Et puis on fera une Assemblée Générale Extraordinaire.

Voilà tout ce qui ressort de ce long moment de l'Assemblée Générale. Autant dire que par rapport à l'Assemblée Générale de juin 2013... ce dossier n'aura pas avancé... d'un pouce ! Le président... ou comment rajeunir de deux ans !

Un agenda ! Si c'est pour ne toujours pas tenir l'engagement de l'Assemblée Générale de juin 2013 pour faire organiser une Assemblée Générale Extraordinaire sur ce dossier durant la saison 2014/2015... autant dire un tour en bâteau avec ce capitaine farceur.

Applaudissements. Point suivant.

Ce qui serait extraordinaire, c'est que ce dossier n'écarte pas autoritairement la seule solution réaliste, la seule à profiter à l'ensemble des 416 adhérents, la seule qui ne succombe pas à des appétits particuliers pour ces 130 000 € !

 

15 - Rénovation du court en terre battue.

Dans ces trentes longues minutes, le président prend également un certain temps pour présenter des projets de modifications du court en terre battue, qui ne serait plus... un court en terre battue. Autant le présenter comme la création d'un nouveau court extérieur !

 

15.1 - Aucune pertinence dans l'offre proposée par nos installations.

Manquons-nous de courts extérieurs ? Assurément pas plus que ça !

Quelle pertinence alors pour ce projet de création d'un nouveau court extérieur au détriment d'un 4e court couvert ? Aucune.

Notre association propose quasiment toutes les surfaces, que ce soit en court couvert (résine), ou des bétons poreux en extérieurs, et une terre battue. Avec ce panel, nous couvrons les trois types de surface qu'on est amené à rencontrer dans les autres clubs. En faisant disparaître la vraie terre battue, il est évident que nous appauvrissons cette offre.

 

15.2 - Dénaturer la terre battue en la transformant en un prototype isolé.

C'est même relativement catastrophique de ne pas conserver ce court en une vraie terre battue. Tous les joueurs le confirment après essai, ces surfaces censées remplacer en mieux la vraie terre battue sont souvent injouables, n'amènent rien et ne sont pas plus utilisées.

La terre battue, la vraie, est dans l'adn du tennis. Quantité de clubs aux alentours conservent ce type de surface. Disposer d'un court de ce type permet aux adhérents crépynois de s'y préparer. Les rencontres en championnats peuvent se jouer sur cet aspect. La terre battue, la vraie, reste un jeu particulier qu'il convient de pouvoir pratiquer.

Remplacer la terre battue par une surface prototype (la fameuse histoire belge) n'a aucune pertinence. A quoi bon avoir une surface sur laquelle on ne jouera jamais ailleurs ?

 

15.3 - Aucune pertinence financière pour une surface de substitution.

On varie entre 48 et 45 000 € HT pour la réalisation d'un Classic Clay ou celle d'un Red Court, deux procédés censés remplacer la vraie terre battue. Il y a bien une réalisation à 21 000 €, mais il faut au préalable transformer la terre battue... en béton poreux pour ensuite y installer cette surface miracle !? On a du mal à rester sérieux en entendant cela. On est encore plus effrayé par cet échantillon en plastique brillant, couleur faussement terre battue.

Sur ces nouvelles surfaces, on aura une garantie décennale. Quel devenir ensuite ? Aucun retour pour l'instant.

Au final, un budget qui équivaut à... au moins une vingtaine d'années de la rénovation traditionnelle d'une vraie terre battue ! Le zéro pertinence du point de vue financier. Aucune pertinence dans un tel investissement pour la municipalité qui prend en charge les 2 500 € de la rénovation annuelle.

 

15.4 - L'entretien de la terre battue.

La seule vraie problématique qui est celle de notre association, pour que nous conservions une terre battue traditionnelle, reste bien son entretien et notamment son arrosage à saturation tous les soirs des journées ensoleillées. R. Hallade, le directeur technique qui intervient sur ce point, ne dit rien d'autre lorsqu'il fait part de son expérience.

J'insiste donc pour que R. Hallade et C. Lecomte partagent cette nécessité de mettre en place la venue d'un employé... municipal pour conserver à ce court... municipal l'entretien nécessaire, et être cohérent avec ce coût pris en charge par la commune pour la rénovation annuelle de cette terre battue... municipale.

Notre association et ses adhérents, en investissant plus de 220 000 € de leurs poches, dans les installations municipales, au plus grand profit des finances publiques municipales et du patrimoine municipale d'installations sportives, doit sans doute pouvoir faire l'objet de ce genre de prise en charge fort modestes en temps (20 minutes) et limitées dans la saison (jours ensoleillés, de mi-mai à fin septembre).

Encore faut-il militer fortement pour défendre ce point de vue auprès de la municipalité et ses représentants. C'est ce qu'on aurait pu attendre de nos élu(e)s plutôt que cette foire aux projets, comme un mur de fumée.

 

16 - L'éclairage d'un court extérieur.

15 000 € HT. C'est le montant donné par le président qui présente ce projet. Une idée qui semble illuminer ce salarié qui veut convaincre les adhérents que ce pactole de 130 000 € peut trouver d'autres utilisations.

Très régulièrement, ce projet d'éclairer un court couvert a été envisagé par les élu(e)s du Comité. Jamais ils n'y ont donné suite.

Pour un usage qui sera forcément très limité dans la saison, il parait plus qu'évident que les fonds nécessaires seront bien plus utiles à la réalisation d'un 4e court couvert qui sera, lui, éclairable toute l'année, automne, hiver, vent, pluie, neige...

Dès que le jour tombe et qu'un éclairage est nécessaire pour jouer, que l'on soit en plein air ou sous un court couvert n'amène strictement rien au jeu. Certes, c'est sans doute une sensation agréable mais une sensation qui reste bien minime au regard de ce qu'amène une structure couverte tout au long de la saison.

Combien sont-ils tous ces adhérents à préférer systématiquement jouer dans un court couvert, même lorsque la météo est plus que favorable à un jeu en extérieur ?

Avec 130 000 €, l'association peut très raisonnablement envisager la réalisation d'un 4e court couvert d'appoint.

En éparpillant notre capacité d'autofinancement dans des projets parallèles, il y a fort à parier que nous condamnerons définitivement cette opportunité historique pour la réalisation d'un 4e court couvert, 4 courts couverts, des installations à l'égal des plus grands clubs picards, ce que nous sommes déjà par le nombre d'adhérents !

 

17 - Questions diverses, non. Questions d'intérêt général, oui !

17.1 - Mes questions d'intérêt général : à la poubelle, comme en 2012 !

Nos statuts évoquent ces questions d'intérêt général... qui peuvent être diverses.

Déjà, en tout début d'Assemblée Générale, le président, indique de bien curieuses dispositions. Lorsque je l'interroge sur l'examen de ces questions d'intérêt général portées à l'ordre du jour, le président indique qu'on verra, si on n'a le temps ! Sic ! Voilà une conception toute monarchique du déroulement d'une assemblée générale.

Lorsque le moment est venu d'aborder ce point 8 de l'ordre du jour, on ne peut donc pas s'étonner de voir l'Assemblée Générale muter... en quelque chose qui ressemble à un grand n'importe quoi. Sur les 19 adhérents auparavant assis dans le public, il n'en reste plus que 5 ou 6 assis. Les autres sont mi-dedans, mi-dehors, en train de discuter !?

Dans ce brouhaha, le président indique tout d'abord qu'il n'est pas favorable à l'examen de la question posée par P. CARREL militant pour ma radiation de l'association.

Le président trouve cette procédure trop lourde, sans autre précision !?

On se demande bien en quoi ? Lecture, 2 minutes pour Carré, vote, applaudissements, point suivant !?

Puis le président indique qu'il n'a pas l'intention d'examiner mes questions. Ce président explique qu'il ne trouve pas que mes questions soient d'intérêt général mais bien qu'elles ont été posées par moi uniquement pour mon intérêt personnel !? Sic !

J'interroge donc le président, sur son refus d'examiner ces questions d'intérêt général ? Je lui fais remarquer que ces questions sont pourtant à l'ordre du jour officiel de l'Assemblée Générale. Le président répond non, puis oui. Je lui demande si son refus est suffisant pour ne pas examiner ces questions, sans autre réponse de l'Assemblée Générale ? Le président se rappelle alors ce qu'est une Assemblée Générale et met au vote la proposition suivante qui reste hallucinante pour sa forfaiture :

L'Assemblée Générale est-elle d'accord pour refuser d'examiner les questions à l'ordre du jour figurant au point n°8 ?

On assiste alors à une farce comme en a le secret cette association. Sur mes demandes insistantes, la secrétaire, aidée du président, compte quelques doigts levés, et tous les dos présentés par ces adhérents en train de discuter. Une annonce : 17. C'est le résultat final de ce vote, façon rave-party, 17 adhérents pour violer les statuts de l'association et son article 24.

Il est impossible à une Assemblée Générale, sous peine de forfaiture, de ne pas respecter ses propres statuts, qui ne peuvent être modifiés que par une Assemblée Générale Extraordinaire. Mais apparemment, pas impossible au Tennis Club de Crépy en Valois !?

Le président se montre donc aussi performant que ce président de juin 2013 (page 17) et met à la poubelle, l'intégralité des 21 questions que j''ai transmis à l'Assemblée Générale. Aucun examen d'aucune question.

Je fais remarquer qu'avec cette décision qui reste un déni de démocratie, nous sommes en Corée du Nord !

 

17.2 - Radiation demandée par P. CARREL, radiée par P. CARREL

Sur cette question, les prestations du président et de P. CARREL atteignent des sommets dans le ridicule.

Lorsque je demande au président si ce refus d'examiner les questions posées au point 8 de l'ordre du jour inclut la question posée par P. CARREL, le président bredouille que non, tout en jetant un coup d'oeil inquiet à cet ex-président.

P. CARREL indique alors, de façon totalement surprenante : non, non, on n'a qu'à faire un lot pour toutes ces questions !

Le président intégre donc, dans sa proposition de grand zapping des questions du point 8 de l'ordre du jour, celle de P. CARREL.

Cet adhérent est capable de transmettre une question pour militer pour ma radiation parce que j'entrave le bon fonctionnement de l'association, une mesure jamais prise au sein de l'association, extraordinaire de gravité. Puis cet ex-président, en Assemblée Générale, se met à raser les murs pour espérer ne pas voir sa question examinée par les adhérents présents !? De qui se moque-t-on ? Y a-t-il des adultes dans la salle ?

Et le président qui vient de dire qu'il fallait l'examiner, sans doute parce que "entraver le bon fonctionnement de l'association" est bien une question d'intérêt général, propose et vote deux secondes plus tard pour zapper une question aussi essentielle !?

Une très très grande farce que cette Assemblée Générale.

Au final, j'indique que cette proposition du président portée au vote de l'Assemblée Générale, pour ne pas examiner ces questions pourtant au point 8 de l'ordre du jour officiel de l'Assemblée Générale, est une violation caractérisée des statuts de l'association, article 24 :

L'Assemblée Générale, "d'une manière générale, délibère sur toutes les questions d'intérêt général"

Une dérobade piteuse, pour ces élu(e)s, qui aboutit à l'impossibilité, dans cette association, de mettre en question les décisions, les propos, les attitudes des élu(e)s du Comité, plus que grandement indignes du mandat qui leur a été confié.

Je n'en resterai pas là.

 

18 - Élections des membres du Comité de Direction : à la tête du client !

Le président reste sur son refus de procéder à l'élection des membres du Comité.

Quand il s'agit d'élire des grands amis de cet ex-président et ces élu(e)s du Comité, tout vient confirmer la tenue de ces élections intermédiaires.

Lorsqu'il s'agit de me refuser cette possibilité, le président n'hésite pas à nier tous ces précédents, autant de juriprudences, sans aucune gêne pour être dans le déni de démocratie.

Le président l'indique d'ailleurs on ne peut plus clairement, on ne peut plus publiquement, à l'ensemble des personnes présentes durant cette Assemblée Générale : "on ne veut pas de vous au Comité" ! C'est très clairement dit : je contrarie tous ces gens et ce refus d'organiser les élections au Comité de Direction est très clairement une mesure qui me vise à titre personnel !

Le président qui doit se croire en Corée du Nord pour choisir parmi les adhérents qui peut ou qui ne peut pas se présenter à une élection du Comité de Direction, se révèle, là encore, à la faute en violant les statuts et la jurisprudence de l'association.

C'est inacceptable, c'est indigne, c'est révoltant.

 

19 - Activités libérales : uniquement pour les moniteurs BE ou DE salariés de l'association.

A l'occasion d'un échange, lorsque j'indique qu'avec 5 moniteurs DE au club, il a y un risque de voir les courts couverts monopolisés par des activités libérales si nous rognons trop sur les horaires restrictifs pour ce type d'activités, le président indique qu'il est très clair que la possibilité de donner des cours particuliers sur les installations du club est strictement réservée aux moniteurs BE ou DE qui sont salariés par l'association.

Même en prenant bonne note de cette décision du président ? du Comité ?, on n'est pas plus assuré de voir ce principe respecté le moment venu. Des pirouettes bien plus déroutantes sont là pour permettre de douter des promesses émises par ces élu(e)s.

Mais on prend bonne note.