Assemblée Générale de juin 2014 : vous avez dit cocasse ?
Sommaire
12 - Et Carré, t'as pas compris le message ?
11 - Élections des membres du Bureau : du tragi-comique !
10 - Les questions d'intérêt général : forcément zappées !
9 - L'arroseur arrosé !
8 - Des adhérents... fantomatiques !
7 - Le marché noir des "pouvoirs" !
6 - Le dépouillement des bulletins : interminable !
5 - La démocratie... mais par l'exclusion !
4 - Le spectacle son et lumière de "l'équipe" P. CARREL !
3 - Présentation : un salarié en tête d'affiche, porte parole de "l'équipe" P. CARREL !
2 - S. LEGAY, président, juge et partie... en pleine confusion des genres !
1 - Le match ou l'AG... Il fallait choisir !
1 - 20 juin 2014 : le match de la France au mondial de foot ou l'Assemblée Générale ? Il fallait choisir !
Lorsque durant la réunion du Comité du 23 mai 2014, S. LEGAY indique qu'il a déjà décidé d'une date et réservé une salle auprès de la MJC pour la tenue de l'Assemblée Générale, les élus s'étonnent d'un procédé aussi peu conforme aux statuts qui réserve cette prérogative au Comité et pas au président tout seul.
Mis devant le fait accompli, le Comité n'a plus... qu'à donner son accord.
Il est vrai que cette salle, que S. LEGAY précise n'être libre que ce 20 juin, permettra aux adhérents d'être mieux installés.
Mais c'est évident que le procédé utilisé par S. LEGAY n'aura pas permis de réflexion plus poussée sur la date choisie.
Et lorsqu'il a été connu que ce serait pile poil au moment où l'équipe de France jouerait un match du mondial de foot... il aurait sans doute fallu... s'adapter, en décalant au lendemain par exemple.
Mais bon... cela ne restera pas la seule décision qui aura suivi des chemins... pittoresques ! Et, à l'évidence, cela n'aura pas été non plus une décision par trop défavorable à cette "équipe" P. CARREL...
2 - S. LEGAY, président, juge et partie... en pleine confusion des genres !
A l'issue du rapport financier, je mets en cause S. LEGAY pour un remboursement de téléphone d'août 2013 qui n'a jamais fait l'objet d'une délibération du Comité en réunion. Un remboursement "débattu" dans des circonstances très inhabituelles et, au final, complètement immoral (voir ici)...
En AG, S. LEGAY refuse catégoriquement de laisser les adhérents trancher cette question. Un président juge et partie, qui fait le président pour venir au secours... de lui même.
C'est pourtant une question que je posais aux adhérents réunis en Assemblée Générale, bien plus légitimes à cette occasion que la seule personne de S. LEGAY et qui correspondait bien au déroulement normal d'une Assemblée Générale tel qu'il est défini par nos statuts :
Article 24 - L'Assemblée Générale ordinaire
[...] Elle approuve ou redresse les comptes de l'exercice clos, vote le
budget de l'exercice suivant et, d'une manière
générale, délibère sur toutes les questions d'intérêt général.
La nécessité d'avoir des dépenses justifiées et morales relève bien d'une question d'intérêt général de l'association. Et une délibération a bien la forme d'un vote.
Bref, ce coup de force de S. LEGAY n'a pas laissé un temps suffisant pour une réaction de l'Assemblée Générale. Des adhérents qui, en découvrant ce problème, n'auront pas eu le recul pour comprendre pleinement le problème posé par ce remboursement.
Et le ton est donné par S. LEGAY : circulez... y'a rien à voir !
Il suffit pour s'en convaincre de consulter le procès verbal de l'Assemblée Générale qui ne retrace en rien les explications que j'ai pourtant données sur ce remboursement et qui fondent son caractère immoral.
3 - Présentation des projets/candidats : un salarié en tête d'affiche, porte parole de "l'équipe" P. CARREL !
A l'évidence, un salarié d'une association a un devoir de réserve pour tout ce qui concerne la vie démocratique de l'association qui l'emploie. A l'évidence, sauf ici !
En étant salarié, cette personne ne peut pas être membre et laisser planer ainsi un doute sur la confusion dans ses décisions entre les intérêts de l'association et ses propres intérêts. Une situation dont nos statuts ont pourtant pris la précaution de la rendre impossible (article 6 de nos statuts).
On peut aussi considérer que les salariés de l'association n'ont pas à être admis à prendre la parole en Assemblée Générale qui ne se compose que des membres actifs (article 20).
Malgré mes protestations et celles de plusieurs autres adhérents présents, S. BONNET a pourtant pris, à de nombreuses reprises et longuement, la parole durant l'Assemblée Générale. Et S. BONNET, salarié de l'association, a donc pris abondamment la parole pour défendre avec véhémence le projet porté par une "équipe", celle présentée par P. CARREL. Un salarié qui a donc milité pour que des candidats soient élus et d'autres non. Un salarié qu'on a donc autorisé à avoir les mêmes droits qu'un adhérent, voire qu'un élu de l'association, tronant à la même place que les autres élus réduits à l'état de figurants. Le tout en violation spectaculaire de nos statuts !
En rappelant ici l'envoi de courriels effectué par ce même salarié à l'ensemble des adhérents afin de les convaincre de l'excellence de la candidature de P. CARREL et son "équipe", deux jours avant la tenue de l'Assemblée Générale, comment peut-on imaginer que de telles interventions ne soient pas de nature à influencer le vote des adhérents ? Comment peut-on ainsi accepter que de tels faits soient constatés par tous... mais ne donnent lieu à aucune conséquence, aucune réaction ? Le Tennis Club de Crépy en Valois est-il une association bananière ? A l'évidence... oui !
Ces diverses interventions sont, bien évidemment, de nature à invalider le déroulement de ces élections des membres du Comité de Direction !
Dans une association normale, ce que n'est plus depuis longtemps notre association, un salarié qui prendrait ainsi fait et cause pour une "équipe" de candidats contre d'autres candidats, se verrait sans doute rappelé à l'ordre, rappelé à son devoir de réserve, voire tout simplement exclu de la salle où se tient l'Assemblée Générale par des adhérents vigilants à rester maître de leur association. L'utilisation des courriels des adhérents lui serait également reprochée fortement (qui est donc cette âme charitable qui lui a transmis le fichier des adhérents, en toute illégalité ?).
Ni le président S. LEGAY, ni aucun autre membre du Comité n'est intervenu durant l'AG pour interdire ces interventions complètement inacceptables.
Faut-il préciser que S. LEGAY était un candidat de "l'équipe" P. CARREL ?
4 - Le spectacle son et lumière de "l'équipe" P. CARREL !
Élégance, élégance... "l'équipe" P. CARREL peut bénéficier d'un vidéoprojecteur-surprise. Évidemment, cette possibilité n'a pas été communiquée ni élargie aux autres candidats.
C'est S. BONNET qui est encore à la manoeuvre et met à disposition de son "équipe", ce matériel. Un homme providentiel !
5 - La démocratie... mais par l'exclusion !
A la question d'un adhérent qui souhaite
connaître les candidats qui soutiennent P. CARREL, la fameuse
"équipe" qui reste une nébuleuse à ce moment de l'AG, question qui parait
légitime puisqu'il est de notoriété publique que
ces candidats se sont réunis pour se préparer dans le
secret de réunions sélectives, où ce* un candidat
fanfaron* déclare qu'il va me "péter les deux genoux", P.
CARREL préfère répondre qu'il ne travaillera pas
avec D. VEZIER, F. LEJEUNE et C. CARRÉ ! Le mot d'ordre de ce
monsieur est on ne peut plus clair : rayez donc ces trois noms, sinon,
même élu, je ne respecterais pas le choix d'une AG qui
élirait ces trois personnes et démissionnerais tout de
go. Des dernières précisions qu'on entend
balbutiées par un candidat qui sent un léger trouble dans
l'assistance.
* : correction et précision que je fais le 14 octobre 2014, à l'occasion d'une relecture. Ce candidat dont j'évoque les propos menaçants sur cette page et cette autre n'est pas P. CARREL, comme on pourrait le croire dans la formulation de cette phrase. Maladresse de ma part. Mille et une excuses.).
En effet, un grand moment de démocratie !
Une réponse des plus décalées pour un candidat à la présidence de l'association, qui devrait plutôt choisir de mettre en avant ces colistiers, leur(s) qualité(s), etc...
En fait, une réponse façon acte-manqué : l'essentiel pour ce candidat est bien d'éliminer ces trois "opposants" à ses propres méthodes qui restent des plus problématiques ! Combien d'exemples sur ce site ! Et la preuve s'il en est encore, avec cet aveu !
La démocratie... mais pas par le pluralisme... par la soustraction, l'exclusion !
J. CARON, G. FLEURY, A. NOWAK, pourtant non conviés aux réunions préparatoires de "l'équipe" P. CARREL, ne sont pas mis à l'index par P. CARREL durant cette AG avec cette black list !? Mais pourquoi donc ?
C'est que, dans ce "projet" où le vent le dispute à la captation d'héritage, il faut que ces trois membres très actifs de l'association, puissent être réélus. En effet, qui d'autres qu'eux assureront les permanences au club, tous les dimanches matin par exemple, la réalité quasi quotidienne du travail sur le terrain ?
Pour les réunions où on réfléchit aux projets du club, c'est non pour ces trois là, mais pour le travail sur le terrain... c'est oui !
Ces trois "supplétifs" ont donc droit à un petit lobbying en règle en joignant J. CARON, en adressant un message à Gilbert FLEURY et en joignant une nouvelle fois Alain NOWAK.
6 - Le dépouillement des bulletins : interminable !
Je n'en ai pas fait le décompte précis mais c'est sans doute une très grosse heure qui aura été nécessaire au dépouillement des votes.
Sans incriminer le moins du monde les deux adhérents désignés pour y procéder (ils ont fait ce qu'ils ont pu), c'est assurément ce manque d'organisation qui est à la source d'autres dysfonctionnements de cette Assemblée Générale avec le zapping incontournable des derniers points pourtant à l'ordre du jour.
Là aussi, sans prétendre que tout cela était fait exprès, ce dysfonctionnement n'aura pas été au détriment des responsables en place. Bien au contraire !
7 - Le marché noir des "pouvoirs" !
Je n'ai jamais été favorable à cette disposition de nos statuts introduite par P. CARREL lors de son arrivée en 2010.
Avec le renouvellement total des membres du Comité, autre souhait de P. CARREL en 2010 (avant, le Comité était renouvelé par fraction variable), ce sont deux dispositions qui restent, j'en suis convaincu, très néfastes pour le bon fonctionnement de notre association. En prenant le risque de voir tous les élus précédents "disparaître", n'est ce pas le risque de voir l'association perdre d'un coup entier, toute sa mémoire, toutes ses compétences ?
Par charité chrétienne, je ne m'étendrai pas sur ce troisième souhait de P. CARREL en 2010 qui a voulu caler sur le calendrier olympique, le renouvellement des membres du Comité. Il est de ces décisions essentielles... qui nous font bien sourire !
Pour ce qui est du dispositif des "pouvoirs" (un par adhérent), que constatons-nous, notamment cette année ?
Deux basses manoeuvres : une phase de "récolte" et puis une phase de redistribution. Le tout dans le secret le moins ragoutant.
MAURICE - Tiens ? T'en n'as pas ? Prend celui là !
SERGE - Ha bon ? Mais c'est qui ? Et il veut que je vote pour qui ?
MAURICE - On s'en fout ! Vote comme on t'a dit !
Qui peut prétendre qu'avec ces "pouvoirs", le vote en Assemblée Générale n'est pas dénaturé, les adhérents représentés finalement pas forcément... représentés comme on pourrait l'espérer ? (j'ai contacté quelques "pouvoirs" pour leur demander si rayer mon nom correspondait bien à leur souhait ? On s'amuse comme on peut. Pas de réponse.)
Qui peut prétendre qu'il n'est pas nécessaire d'assister aux débats en Assemblée Générale pour se forger une opinion argumentée, pour ensuite voter en toute conscience ?
Qui peut prétendre que l'appartenance à une association ne nécessite pas de faire l'effort d'être présent une fois par an pour s'intéresser à autre chose qu'à ses intérêts personnels, restreints forcément, et prendre connaissance des problématiques plus larges qui se posent à l'association ?
Qui peut prétendre que ce n'est pas ainsi qu'on favorise la bonne entente entre des adhérents qui ont une conscience plus claire des enjeux à tenir par l'association ?
Qui peut prétendre qu'en l'absence de ce dispositif des "pouvoirs", cela profiterait plus à tel ou tel ?
Qui peut prétendre que ce trafic de "pouvoirs", de toutes parts, est moral ?
Quasiment tous les adhérents présents (88 %) lors de cette Assemblée Générale ont présenté un "pouvoir". Sans cette possibilité, on peut donc sans faille affirmer que les résultats auraient été les mêmes, divisés par deux simplement.
Quel intérêt a donc l'association à se fourvoyer dans un dispositif qui laisse la place à des manoeuvres aussi détestables, aussi minables ?
8 - Des adhérents... fantomatiques !
Pour être membre de notre association, il faut avoir régler sa cotisation. C'est tout.
On peut, par contre, ne jamais mettre les pieds sur un court de tennis, ne jamais tenir une raquette, et même ne jamais s'intéresser, de près ou de loin, à la vie de notre association.
Mais si l'on vous téléphone nuitamment pour vous expliquer qu'il y a quelques emmerdeurs à virer, vous pouvez, en étant ce type d'adhérent fantomatique, vous déplacer ou confier votre "pouvoir" à un autre adhérent et apporter ainsi un soutien inespéré pour de bien curieuses motivations.
Sur cette Assemblée Générale, je dénombre 5 de ces adhérents fantomiques qui n'ont sans doute plus touché une raquette depuis des années, ni contribuer en rien au fonctionnement de l'association.
Aller ratisser des adhérents fantomatiques ou leur "pouvoir" est-elle une manoeuvre qui grandit les candidats qui s'y abaissent ? La réponse est dans la question.
9 - L'arroseur arrosé !
L'objectif prioritaire de la constitution d'une "équipe" par P. CARREL était bien de rendre impossible mon retour en tant qu'élu. De l'aveu même de P. CARREL durant l'Assemblée Générale.
Pour cela, il fallait mobiliser suffisamment de candidats pour "occuper" virtuellement les 12 sièges du Comité et éviter qu'en obtenant la majorité absolue, il y ait un risque que je sois élu, même de façon totalement isolée parmi 11 candidats de "l'équipe" P. CARREL, même ainsi.
D'où cette avalanche de candidat(e)s recruté(e)s n'en doutons pas et convié(e)s aux réunions secrètes organisées par P. CARREL : 10 candidats pour "l'équipe" P. CARREL ! Plus les trois permanents déjà évoqués et indispensables... le risque de me voir élu semblait ainsi circoncis, autant que possible.
Mais 10 + 3 font 13. Si P. CARREL n'envisage une victoire que par KO, sans laisser aucun siège à d'éventuels opposants, il se désole cependant de devoir ainsi laisser de côté un participant à ses réunions, un équipier qu'il n’y a pas lieu de décourager mais malheureusement, ils ne peuvent être que 12 !
A posteriori, tant de compassion de la part du candidat-président ira très certainement droit au coeur de cette "dernière roue du carrosse" ainsi désignée.
L'histoire réserve de ces tours aux gens qui ont des méthodes aussi retords : P. CARREL a obtenu 53 voix. Il était donc virtuellement élu en ayant obtenu la majorité absolue nécessaire (qui s'établissait ce jour là à 48 pour 95 votants pour 50 adhérents présents. Ha les "pouvoirs" !).
Mais le "piège" tendu par P. CARREL s'est refermé sur lui même. Avec 53 voix, P. CARREL n'est arrivé qu'en... 13e position et donc... non élu ! S. PONCHAUX, théoriquement "sacrifié", obtenant quant à lui 61 voix et donc élu en arrivant en 10e position.
Sans doute ce pêché de gourmandise sera mal digéré par le président-démissionnaire puis candidat-président puis... simple adhérent.
Il faut bien avouer que voir l'arroseur arrosé n'est pas l'ironie de l'histoire la moins déplaisante. D'autant que l'accompagne dans cette même cocasse mésaventure, C. CASSA, un soutien des plus forcenés pour l'ex-président P. CARREL.
Quand on fera remarquer que P. CARREL obtient en 2014 exactement le même nombre de voix qu'en 2010 (53)... on finira de se convaincre que la présidence de ce monsieur n'aura pas été des plus... convaincantes !
10 - Les questions d'intérêt général : forcément zappées !
Avec ce dépouillement interminable, qui aura nécesssité aux édiles présents (M. le Conseiller Général, M. l'Adjoint aux sports) de poireauter jusque 23h30 pour prendre la parole devant une salle quelque peu dégarnie, je me résouds à ne pas faire procéder à l'examen des questions d'intérêt général que j'ai transmises.
Cruelle conclusion pour moi qui n'ai cessé de devoir batailler pour parvenir à ne serait-ce que voir figurer à l'ordre du jour ces questions/propositions d'intérêt général qui faisaient tant peur à ces quelques élus indignes.
Mais conclusion nécessaire pour la totalité des adhérents plus que lassés par une Assemblée Générale mal organisée.
Ne consultez pas le procès verbal officiel de l'Assemblée Générale 2014 diffusé par le Bureau ! De ces cinq propositions, il n'en résume qu'une.
Et pourtant, ces questions, ces propositions que je voulais faire aux adhérents réunis en Assemblée Générale restent importantes :
Proposition n°1 : un simple préambule pour faire clairement rappeler par l'AG que les
propositions transmises au préalable (cf. article 24 de nos
statuts), par les adhérents et figurant dans les questions
diverses (forcément puisque quelques élus ne veulent pas
les voir dans l'ordre du jour), puissent, conformément à
nos statuts (article 24), faire l'objet d'un vote de l'Assemblée
Générale des adhérents, l'institution
démocratique la plus légitime à trancher les
débats au sein de notre association. Les adhérents de
l'association ne doivent pas être traités comme des
"moutons" simplement réunis pour faire oui-oui de la tête.
Aucun texte de loi ne peut se substituer à nos statuts
lorsqu'ils précisent clairement le déroulement de notre
Assemblée Générale.
Proposition n°2 : Je suis intervenu de
nombreuses fois en réunion de Comité (mars et
avril 2013 notamment) pour proposer une répartition plus
morale des deux places délivrées par la FFT pour la mal
intitulée « Journée des Présidents ».
Je fais donc la proposition suivante à l’Assemblée
Générale : que ces deux places offertes par la FFT et qui
sont le symbole de la reconnaissance de la FFT pour les dirigeants de
club et leur investissement pour le bon fonctionnement des clubs,
soient, dans notre association, données à deux dirigeants
de notre association (membres du Comité et responsables
officiels et bénévoles), deux personnes parmi les plus
méritantes donc, à l’issue d’un choix
majoritaire des membres du Comité, dans les mêmes
conditions que pour les autres votes du Comité.
Proposition n°3 - Je souhaite une délibération officielle de l'Assemblée Générale de notre association pour valider une protestation officielle sur les décisions (à priori deux) de la part de la FFT de poursuivre ce plan insensé d'augmentation du montant des licences fédérales : + 64 % pour les licences jeunes ! Je propose à l'AG quelques raisons pour me rejoindre dans cette protestation officielle (je ne les lirai pas toutes) : 34 raisons pour dire non à cette hausse record du montant des licences fédérales.
Proposition 4 : définir la date d'une Assemblée Générale Extraordinaire avec à l'ordre du jour, l'ajout à nos statuts d'un article précisant les conditions de la révocation d'un membre du Bureau élu par le Comité avec notamment la nécessité que cette révocation soit justifiée par une faute lourde (menaces, insultes, malversations, non-respect de décisions du Comité, décisions ne respectant pas le cadre défini par les articles de nos statuts sur le rôle des uns et des autres).
Proposition 5 : en vertu de l'article 8, condamnation formelle des multiples insultes et menaces proférées depuis deux ans au sein de l'association par des adhérents et par des membres du Comité. (liste en annexe).
En proposant à cette Assemblée Générale 2014, que cet article 8 devienne l’article 1, je souhaite que l’association marque le plus fortement du monde combien des élus (dont de trop nombreux sont à nouveau candidats) ne peuvent pas s’accorder mutuellement une totale impunité sur des écarts aussi indignes.
11 - Élections des membres du Bureau : du tragi-comique !
S. LEGAY devait sans doute se croire au théâtre pour organiser l'élection des membres du Bureau, à mains levées, debouts, dans les coulisses d'une scène ouverte. Quel malaise de voir les nouveaux élus réduits ainsi à une ronde infantilisante ! Quelles possibilités réservées aux candidats aux diverses fonctions du Bureau pour faire connaître leurs motivations, leurs projets, leurs compétences ?
C'est aussi, pour S. LEGAY, montrer une grande méconnaissance des textes de notre association, voire le peu d'intérêt qu'il leur porte comme il en a fait la preuve à de nombreuses reprises.
Rappelé par moi à la nécessité de se conformer à nos textes, une nouvelle réunion du Comité a été organisée le mardi suivant.
A quoi rime alors d'être candidat à la présidence le dimanche pour ne plus l'être le mardi qui suit ? Le secrétaire du dimanche qui devient finalement trésorier le mardi montrera également combien le jeu des chaises musicales sert de motivation pour ce type d'élus.
Pourquoi dans ces conditions, ne pas privilégier la candidature de P. AUDOUIN qui avait dès le dimanche fait savoir sa motivation pour assurer cette fonction de président ?
Fallait-il que ces élus de l'ex "petit comité" craignent de "perdre le pouvoir" pour que J. COCONI cède à la nécessité d'être un candidat de remplacement, un président par défaut, juste pour occuper la place, lui qui n'a cessé en 2013/2014 d'indiquer qu'il n'avait pas de temps suffisant à consacrer au fonctionnement de l'association ?
Qu'attendre d'un président sans motivation, élu avec la majorité la plus fragile de l'histoire de notre association ?
Tout cela relève bien du tragi-comique !
12 - Et Carré, t'as pas compris le message ?
S. LEGAY me fait remarquer, par la suite, qu'en obtenant 37 voix, et donc en n'étant pas réélu, pointant à la 17e position pour 18 candidats, je devrais avoir compris un "message" adressé par l'Assemblée Générale à mon intention.
C'est très clair que tout cela fait très mal et qu'il y a un certain temps déjà que je ne me fais plus aucune illusion sur la nature humaine, notamment au sein de cette association.
Mais c'est tout autant insolite d'entendre S. LEGAY me parler de "message" quand lui même semble être assez sourd et aveugle à d'autres enseignements à tirer de cette élection.
Pour ma part je paie assurément, au prix fort, le fait d'avoir dénoncer tous azimuts, trop régulièrement, trop longuement, les graves dysfonctionnements de cette association. Trop d'écrits, trop de courriels, trop réglo, trop intransigeant, trop passionné, trop peu enclin au compromis et sa soeur jumelle, la compromission... Autant de "défauts" absolument regrettables, on en conviendra. A force de dénoncer les problèmes, réels et clairement actés, une majorité des gens présents ce jour-là auront trouvé la solution idéale, immédiate et globale : virer celui qui dénonce les problèmes pour effacer les problèmes. Bien vu !
Pour S. LEGAY qui fanfaronne ainsi avec 64 voix, soit 27 voix de mieux, autant dire 14 adhérents de plus (cf. "pouvoirs") sur un total de 450 adhérents, c'est aussi oublier bien vite l'élimination surprise de son mentor et de son ex-secrétaire. C'est n'être pas même capable de comprendre que pour une Assemblée Générale coupable de tant de dysfonctionnements, ce succès à l'arraché aura frolé le désaveu plus cinglant, pleinement mérité pour des élus indignes.
Cette Assemblée Générale a réuni 50 votants, autant que l'Assemblée Générale de 2010 où la trafic de "pouvoirs" n'avait pas encore cours.
Quel message devrais-je tirer d'une Assemblée Générale qui m'accorde tout de même quasiment 40 % de ses voix ? Quel message tirer d'une Assemblée Générale qui se déroule ainsi, en laissant se démultiplier les dysfonctionnements et autres procédés des plus retords, des plus inacceptables ?
Quel message s'adresserait à moi et pas à S. LEGAY et cette glorieuse "équipe" ?