Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017


Juillet 2017 - Les brèves d'assemblée générale


 

 

24 - Et le projet de création d'un second club house ?

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

M. Lemaire, salarié de l'association, intervient dans ce débat, une nouvelle fois de manière totalement illégale, sur le choix d'un projet d'amélioration des installations.

 

Ce salarié se présente ainsi comme la personne la plus présente sur les installations, etc... Comme si l'expérience des bénévoles présents dans l'association depuis des dizaines d'années parfois ne valait pas le temps restreint que ce salarié passe sur nos installations dans le cadre de ses activités !?

 

D'emblée, on doit donc comprendre que son expertise est incontournable. Ainsi, il décrit comment il se sent obligé de venir ouvrir le club house qui, sans lui, resterait fermé, inaccessible aux parents et à tous les adhérents.

On s'étonne que ce salarié n'ait pas compris, ou que les élu(e)s du Comité ne lui rétorquent pas sur le champ, qu'il était effectivement dans ses missions d'ouvrir le club house lorsqu'il assure ses heures de cours !? On n'oublie cependant pas de le remercier pour un investissement d'au moins 2 minutes par ouverture... un temps que l'on pourra cumuler dans ce décompte des 90h sans cours, qu'il doit à l'association.

 

Ce salarié présente ainsi "son" projet : il faut un second club house ! Et, moi je..., c'est sûr, je sais que j'ai raison. D'ailleurs il faut mettre de côté tous vos autres projets là, dont vous discutez là, pour d'abord réaliser ce projet, mon projet (le prononcer façon Emmanuel), le bon projet".

 

Une idée reprise par l'autre salarié présent et incessamment militant, P. Carrel, qui se met lui aussi à défendre cette idée... mais pas par le plus grand des hasards. Voire même le plus petit. En effet, cette idée d'un second club house, P. Carrel l'avait déjà lancée lorsqu'il était président (cf. procès-verbal de l'assemblée générale de 2013, page 6), une idée du président qui n'avait convaincu personne. Un président qui, encore bien des années auparavant (années 80 ?) avait oeuvré à un tout premier projet de club house, confié à un de ses "amis", un ami... architecte en fait, qui avait pondu un projet jamais réalisé puisqu'il était déjà totalement incohérent et qui avait pourtant coûté, en étude, la bagatelle de 7 000 francs à l'association (certains membres de ce Comité s'en souviennent encore), 7 000 francs pour rien, pour un plan papier totalement à côté de la plaque ! Un spécialiste des clubs-house donc.

 

On se demande d'ailleurs si cette "attaque" conjointe avec le moniteur à temps plein est aussi fortuite que cela ? Vous vous rendez compte, nos sanitaires, un seul wc... et des douches qui ne sont jamais utilisées ! Ce n'est pas assez ! insiste P. Carrel. Distraction ou compassion, personne ne relève l'incohérence qui consiste à réclamer plus de douches... tout en brandissant cet argument des deux douches actuelles qui ne sont quasiment jamais... utilisées !?

 

Deux salariés qui voudraient donc faire croire que la seule façon de développer la pratique du tennis pour l'association passe par... la création d'un second club house, forcément séparé du premier, nécessitant forcément un investissement considérable et rendant ainsi impossible la réalisation d'autres projets, pour le coup eux pleinement tennistiques, nécessitant soit de détruire le terrain de mini-tennis, soit, effectivement ici, très difficile, voire impossible à réaliser entre les trois courts couverts aux structures radicalement différentes (j'ai pu le constater pour y avoir travaillé lorsque j'étais secrétaire).

 

Un projet de second club house qui risque pourtant bien d'être envisagé, aussi inutile soit-il, puisque l'objet essentiel de cette association, avec la présidence actuelle, est bien devenu ces animations alimentaro-festives en tous genres.

Un second club house comme une salle des fêtes où l'on pourra ripailler à satiété, pour des animations qui n'attirent jamais qu'une vingtaine de familles, toujours la même, un petit monde qui se "convialise" à tour de bras, ce tout petit groupe qui a transformé cette association en petite bande de copains, un club house comme leur salon, avec tous les dégâts collatéraux pour l'ensemble de l'association et de la pratique du tennis.

 

Au final, on reste pleinement choqué du militantisme de ces deux salariés qui pensent qu'en augmentant la taille du bar, on répond aux besoins essentiels de l'association !?

 

Là encore, on se passe aisément de ce genre de conseils et d'interventions.

 

L'accès handicapés, notamment aux sanitaires, est évoqué comme un argument car non conforme. On reste bien persuadé qu'il y a des aménagements intérieurs, à moindre coût, pour se mettre en conformité. Et c'est bien à la commune de prendre cela en charge.