Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017


Juillet 2017 - Les brèves d'assemblée générale


 

 

Quand on précise au président du CDOT quel horrible personnage je suis... le silence se fait et ces quelques mots tombent : "Ha d'accord !" Mon sort est scellé.

Ne se présente plus à cette assemblée générale qu'un petit groupe... parfaitement soudé ! Des amis qui vous veulent du bien.

Quand le président J. Coconi se met, lui aussi, à "critiquer" la FFT ! Le tout en présence du président du CDOT ! Tous ensemble, tous ensemble !

Un gros mensonge de la part du président qui dit qu'il n'a rien écrit de tel alors que... c'est écrit !? Et, bien évidemment, strictement aucune réprobation pour ce premier mensonge du président.

Demandé le 8 décembre, le président feint de ne pas savoir qu'il ne l'a jamais transmis. Un document secret pour des choses à cacher ?

 

Ce sera donc la troisième année que, pour la première fois de son histoire, l'association rémunère un enseignant... pour ne pas assurer des cours ! 10 000 € sur les trois ans tout de même !

C'est interdit, c'est écrit, ce sont les statuts de l'association. Mais rien n'y fait et le président J. Coconi laisse deux salariés intervenir et militer à de nombreuses reprises !?

Ils étaient une cinquantaine quand j'étais encore au Comité. Pour la seconde année, ils ne sont plus qu'une "vingtaine". Une politique sportive immorale et incohérente avec l'objet de l'association.

On se demande bien quand les élu(e)s vont ouvrir les yeux sur leur bilan qui rebondit de désastre en désastre sans interpeller personne. Du moment qu'on reste attentif à certains intérêts...

Exact uniquement du point de vue comptable, ce compte de résultat est totalement impropre à montrer la réalité financière de l'association. Pas grave, du moment qu'il est... comptable.

Que l'on regarde les adhésions, les inscrits en cours collectifs, pour la saison 2015/2016, puis pour la saison 2016/2017, tout est à la baisse. Et il faudrait croire que ces recettes peuvent connaitre une hausse de + 10 000 €, comme le prétend ce compte de résultats 2016/2017 !? Mais jusqu'où ira cette farce ? Qui pour croire encore qu'il n'y a pas là des incongruités manifestes !?

 

Alors que nous en avions deux auparavant, plus aucun vérificateur aux comptes pour notre association !? C'est donc le cabinet comptable qui enregistre les écritures comptables et qui certifie le compte de résultats. Une situation que je trouve très peu souhaitable étant donné ce lien de client entre cette société et l'association.

 

C'est niet ! Le trésorier, c'est niet "catégorique". Le président, c'est niet parce qu'il ne veut pas prendre le risque que l'on communique là dessus. L'assemblée générale, c'est donc niet parce que... parce que le président a dit niet ! Et comme c'est un ami... on ne refuse rien à un ami.

Convoqué en gendarmerie, le président regrette les suspicions que portent mes questions. Il en est pourtant l'unique responsable en refusant de faire toute la transparence sur la gestion financière de l'association. Et son second mensonge n'arrange rien !

 

Sauf l'équipe 1 (merci P. Colas), sinon toutes les équipes seniors frolent la descente. Pour les équipes dames, c'est même la dernière place et la descente, dessert et fromage, avec une équipe 1 pourtant seule à bénéficier d'un entraînement mais "décimée" ! Pas grave pour le président, puisqu'on a le "ventre plein" !

Ce comité de direction restera le recordman dans l'histoire de l'association pour l'augmentation des cotisations.

Alors que même la FFT met la pédale douce, se reniant au passage, cette assemblée augmente, sans savoir pourquoi, sans même comprendre ce que représentent 160 000 € de trésorerie !

C'est interdit par les statuts, ce salarié le dit d'ailleurs en assemblée générale. Une intervention qui reste donc illégale. Mais c'est plus fort que lui. Il a des choses importantes à dire. Aussi quand on le voit militer pour défendre ces augmentations de cotisations, notamment en présentant un argument ridicule, on se dit bien qu'on se passerait aisément de pareils conseils.

C'est au tour du président du CDOT d'intervenir.

En un véritable exploit, je suis en mesure ici de faire part de façon exhaustive de son intervention : "Bonjour. Votre association fonctionne bien. Notamment avec Julien, hein, tu le sais bien Julien ! Et avec Patrick, hein, tu le sais bien Patrick ! Tu... tu... Voilà. Merci. Voilà. C'est tout."

Voilà, c'est tout.

 

Plus vu l'adjoint aux sports de la commune depuis trois ans. L'an passé, il y avait encore le Directeur du service des Sports. Mais cette année, plus personne. Retenus ailleurs, dit-on. Dommage. Peut-être un peu peur d'être pris à témoin des débordements des uns, des mensonges des autres, des décisions illégales de l'association ?

Quand on prend le risque de ne présenter que les options qui vous plaisent, sans aucune information précise, ne sachant même pas définir la surface choisie... on prend le risque d'une gamelle !

Chose faite avec le rejet des deux seules options du Comité. Il faudra donc bien se résoudre à travailler sur d'autres projets, tous les autres projets ! Enfin !

"Très difficile, voire impossible". C'est en ces termes que le président a présenté ce projet l'an passé. Pourtant, ni difficile, ni impossible d'après les professionnels. Un troisième mensonge du président qui a ainsi totalement zappé l'option deux mâts pour lequel il a pourtant été destinataire d'un devis au moins.

Plusieurs projets restent : création d'un court couvert, couverture d'un court existant, éclairage de deux courts extérieurs, création d'un padle... Ce serait très intéressant que l'ensemble des adhérent(e)s se prononce pour une pleine légitimité de ce choix. Mais non, ce sera non !

La création complète d'un 4e court couvert : 390 000 € HT. La couverture d'un court existant : 119 000 € HT. L'éclairage de deux courts extérieurs : 25 000 € HT. La création d'un padel : 25 000 € HT probablement.

Il y a donc bien de nombreux autres projets possibles, assurément bien plus intéressants que la création de courts extérieurs supplémentaires et... inutilisés !

 

C'est l'idée lancé par le moniteur à temps plein. Il l'affirme d'ailleurs, il faut mettre de côté tous nos projets là et travailler sur son projet. J'ai raison affirme-t-il.

Le second salarié lui emboite le pas pour défendre cette idée qu'il avait déjà lancée en tant que président. Une idée déjà rejetée.

Au final des salariés dans l'illégalité et dont on se passe aisément de tels conseils.

P. Carrel, puis J. Torlet-Carrel, conseillère municipale, expliquent doctement cette stratégie qui consiste à occuper le sol juste pour marquer son territoire. En réaction au rejet de la création de courts tout-temps, une stratégie qui consiste à revenir sur ce vote, pourtant tout frais, pour construire un court inutile, juste pour "occuper le sol" ! Un bien bel exemple de civisme.

Avec la modification volontaire de l'article 15, dans le seul but de rendre irrecevables mes trois recours devant l'assemblée générale, le président Coconi doit assumer un quatrième mensonge. Réaction de l'assemblée générale ? Aucune réaction. Ce qu'il y a de bien avec les amis... c'est qu'il vous pardonne tout !

Trois "recours" que le président Coconi reconnait recevables, malgré ce quatrième mensonge et ce bidouillage de l'article 15. Mais, même en reformulant lui-même ma demande, c'en est trop pour Mme Cassa qui ne veut pas que l'on "rentre dans [mon] jeu" et fait entonner son refrain : "On s'en fout !" Dès lors, c'est la curée !

Cette adhérente est aussi conseillère municipale et, pour ce statut dont elle joue durant cette assemblée générale, on pourrait au moins s'attendre à ce qu'elle en reste digne.

Mais non. Tombant de nulle part, totalement gratuitement et surtout totalement de façon indigne, inacceptable, cette dame s'autorise à m'insulter en me qualitifant d' "adolescent attardé".

Le cabinet comptable et son représentant qui est donc la personne qui certifie comme "sincère" et "exact" les comptes de l'association aura très certainement à coeur de préciser un certain nombre de points et confirmer, ou non, cette valse folle des proratas répartissant les recettes réelles d'une saison sportive sur deux saisons comptables pleinement virtuelles.

Le président se retranche dans ce bunker qu'est devenu le Comité de Direction sous sa présidence.

Article 14, article 14 dit-il.

Quelle profonde malhonnêteté intellectuelle pour ne pas reconnaitre cette coquille qui évoque l'élection du "bureau" dans l'article consacré à l'élection du "Comité". D'autant que la version de1999 des statuts confirme très clairement cette coquille !

 

1 - Chut ! Carré... c'est lui !

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

19h50, arrivée au club. Dans "ma" zone, un petit groupe de 4 personnes où je distingue rapidement deux "ANH". ANH ? Adhérent Non Hostile. Le troisième est de dos et me cache le quatrième. Je vais les saluer. Leur conversation s'interrompt brusquement à mon approche. La troisième personne se retourne et réagit : "Ha d'accord !" La quatrième se découvre, c'est le président du club. Silence gêné.

 

Manifestement, on était en train de présenter mon cas à cette troisième personne : le président du Comité Départemental Oise Tennis (CDOT), Bernard Pautas.

 

Ha d'accord !

 

 

2 - Une assemblée générale représentative... à 13 % !

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

20h. 6 membres du Comité. 22 adhérents. 28 présents... pour un total de 218 adhérents adultes autorisés à siéger en assemblée générale... des assemblées générales avec toujours le même succès. 13 % de l'association... une bien belle... non-représentativité ! Un unique nouvel adhérent présent. Les autres personnes sont des habituées dont une quasi totalité d'ANH. Aïe !

 

Que la fête commence !

 

 

3 - Rapport moral... moral, voire même subversif !?

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

Pour la troisième année, le rapport moral est un rapport... moral. Force est de reconnaître que le président Coconi ne commet pas les mêmes erreurs, des fautes à vrai dire, que l'un de ces prédécesseurs, si peu président en définitive, en transformant ce rapport moral en rapport... immoral, rapport règlement de compte, rapport sans droit de réponse, rapport guet-apens.

 

Le président y critique même, à mots feutrés certes, l'élection "acharnée" à la tête de la FFT mais aussi le comportement des "meilleurs joueurs français" qui ne donnent pas le "meilleur exemple"...

Qui plus est, un rapport lu en présence du président du CDOT !

 

Dire du mal du tennis français devant un élu de l'institution... wahouou... un rapport quasi subversif ! On croirait presque du Carré dans le texte ! Attention ! On commence comme cela... et on finit... paria !

 

Rapport moral approuvé à l'unanimité.

 

 

4 - Un premier mensonge, dans le procès-verbal de l'assemblée générale de juin 2016 !

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

Les procès-verbaux des assemblées générales ne font jamais l'objet d'une approbation par l'assemblée générale qui suit. Une procédure pourtant nécessaire. On verra... l'année prochaine, répond le président. J'insiste. Le président cède, étonnamment. J'indique donc que je souhaite y voir corriger cette phrase : "L'assemblée générale valide le projet de création de deux surfaces tout-temps". Une phrase qui reste un mensonge puisque l'assemblée générale de 2016 n'a validé que "l'étude" de ce projet et non le projet en lui même. Une nuance d'importance contrairement à ce qu'il y parait. Le président le sait, lui, qui indique qu'il n'a pas écrit cela. C'est pourtant la citation exacte du procès verbal qu'il a signé. Cette évidence contraint le président à proposer cette modification au procès-verbal. Sans un mot, l'assemblée générale valide cette correction à une exception près, M. Fleury, retranché derrière son bar, et à qui il suffit de dire : "Christophe Carré", pour qu'il dise : "non", sans autre forme de réflexion.

 

Un mensonge du président (parmi d'autres) puisque, dès le 30 septembre 2016, je dénonçais ce mensonge et que, durant les 9 mois qui ont suivi, le président et la secrétaire (les deux signataires du procès-verbal) ont refusé tous deux de corriger ce passage du procès verbal, un procès verbal donc mensonger par leur faute.

 

Aucune autre réaction de l'assemblée pour mettre en cause le président de l'association pourtant en flagrant délit de mensonge, un mensonge manifeste et pleinement volontaire, un mensonge qui n'aura pas été sans conséquences. En effet, ce mensonge est, fort probablement, à l'origine du vote de ces 132 000 € dans le budget municipal pour des conseillers municipaux ainsi convaincus de l'accord de notre association pour en financer 80 000 € HT ?

 

On ne sait pas puisque le maire de la commune et son adjoint ne répondent pas, ne répondent jamais.

 

La question se pose désormais en ces termes : le budget municipal est-il un document farfelu intégrant des dépenses non financées ?

 

Première question transmise à l'ensemble des conseillers municipaux, enfin presque l'ensemble.

 

 

5 - Le planning des cours collectifs ? Un document secret ? Des choses à cacher ?

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

La secrétaire lit son rapport d'activités. Un cumul rapide de statistiques qui restent très générales, trop.

A l'issue de ce rapport, je réitère ma demande pour avoir communication du planning des cours collectifs. Sans ce document, il est inutile de compter sur le rapport d'activités pour connaître les mesures mises en place par l'association (voir ci-dessous) et qui concrétisent sa politique sportive, notamment en direction des jeunes adhérents de l'association, une politique sportive qui reste l'objet essentiel de l'association.

 

Le planning ? Il est dans un des comptes-rendus de réunion m'indique le président. Ha bon ? Il n'y est pas ? Ha bon !

 

J'ai transmis au bas mot quatre demande pour l'obtenir au cours de la saison. Ma première demande date du 8 décembre 2016. Je pensais peut-être que le père Noël... Chaque saison, c'est la même difficulté à obtenir ce document.

 

En 2014, en 2015, et donc en 2016.

 

On peut y lire trop de dysfonctionnements, trop de décisions plus que polémiques, voire clairement immorales ! C'est donc une nouvelle fois par le biais d'une rétention de documents que le président de l'association s'évite d'avoir à se justifier de choix aussi catastrophiques pour l'association et l'immense majorité de ses adhérents.

 

Ce 30 juin, le président et la secrétaire s'engagent à me communiquer ce document.

 

 

6 - Un contrat de 30h/semaine mais seulement 27h de cours assurés ?

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

Autre imprécision (assurément volontaire) que j'interroge dans ce rapport d'activités : le moniteur à temps plein n'assure-t-il que 27h de cours collectifs, comme depuis deux ans, alors que son contrat est de 30h ?

Réponse du président : oui.

 

Je fais alors remarquer que c'est la troisième année que ce moniteur n'assure que 27h de cours collectifs sur un contrat de 30h, soit 3h sur 30 semaines chaque saison qui ne donnent pas lieu à des cours, soit 3 600 € (si l'on retient comme base de travail qu'un cours collectif d'une heure revient, en gros, à 1 200 € sur les 30 semaines d'une saison), soit un total de plus de 10 000 € sur les trois dernières années !

 

90h dans la saison (3h x 30 semaines de cours), pour quoi faire ?

 

La première année le président avait répondu : "des tâches administratives". La deuxième année : "le planning des cours", "l'organisation des animations Ecole de Tennis". Cette année le président nous ressert "le planning des cours".

 

Ce planning était fait, auparavant, par deux moniteurs. Et c'était bien la meilleure solution. Le moniteur à temps plein ne connait pas les élèves des autres moniteurs, dont notamment celui qui assure 10h. Et ce travail nécessaire au planning était équivalant à 10h (rémunérées 5h pour chacun des deux moniteurs) pleinement suffisantes pour établir ce planning, foi de secrétaire de l'école de tennis durant 26 ans !

 

90h - 10h = 80h. Je pose donc la question : quelles tâches ce moniteur assure-t-il pour ces 80h restantes ?

Pas de réponse du président. Mais c'est sans compter avec P. Carrel, salarié de l'association, qui vient au secours de son employeur dans la difficulté : le tutorat des 2 AMT !

 

Sauf qu'on ne peut pas défendre l'idée que l'association ait rémunéré 80h un moniteur pour assurer le tutorat de 2 AMT... !? Ce serait le tutorat le plus cher du monde ! Un AMT doit assurer 15h de cours durant son année de stage, dans le club où il est formé, dont 2 ou 3 séances sous la supervision d'un moniteur. et avec 2 ou 3 réunions de plus, l'on peut donc estimer, avec largesse, à 10h par AMT le temps d'intervention du tuteur en dehors de ses propres heures de cours.

 

80h - 20h... reste 60 h ?

 

Ha ? Oui mais il organise aussi des animations, la fête de l'école de tennis...

C'est vrai que depuis que les élu(e)s du club ne font plus ce travail, il a bien fallu que les élu(e)s du club décident de dépenser l'argent du club pour tout cela... Allez... 10h de mieux, une estimation largement large.

Bien en peine, pour le président, de nouveau seul, de justifier la cinquantaine d'heures restante pour ce contrat d'un salarié de l'association.

 

50 h ? Quasiment deux groupes sur l'année, 12 élèves qui pourraient ainsi se voir proposer une seconde heure de cours !

 

 

7 - Mieux que des salariés, des militants ! C'est pourtant interdit par les statuts de l'association !

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

Ne sont admis aux travaux de l'assemblée générale que les "membres" de l'association (article 20 des statuts, page 3). Et les salariés de l'association ne peuvent pas être membres de l'association (article 6 des statuts, page 1). C'est clair, c'est écrit, c'est la "loi" de notre association.

 

Non seulement, les salariés ne devraient pas être présents physiquement dans la salle accueillant cette assemblée générale, mais bien plus encore, ils ne devraient pas être autorisés à intervenir spontanément. Ces deux conditions sont pleines de bon sens et visent à protéger les intérêts de l'association. Et si l'on peut admettre qu'un salarié puisse-être invité à prendre la parole sur une ou quelques questions qui nécessiteraient son expertise professionnelle, c'est pour ensuite lui demander de quitter la salle. L'assemblée générale doit pouvoir travailler en toute indépendance.

 

Que ce soit le moniteur à temps plein, M. Lemaire, ou P. Carrel, tout jeune Assistant Moniteur de Tennis (AMT), salarié par l'association, aucune de ces deux personnes n'auraient du être admises dans la salle.

 

Et leurs nombreuses interventions dans les débats de l'assemblée générale restent bien illégales au regard des statuts et de l'absolue nécessité pour l'association de rester maître en ses murs.

 

D'autant que l'un comme l'autre y ont défendu des positions polémiques, à plusieurs reprises, ne se privant pas de militer fortement contre des points de vue exprimés par des adhérents. Ainsi, on garde en écho cette intervention du moniteur à temps plein : "moi, je sais que j'ai raison" (cf. création d'un second club-house, voir brève n°...) et celle de l'AMT salarié prétendant que le club a déjà compté 470 adhérents, ce qui reste un mensonge (455, une seule saison).

Des interventions illégales et inadmissibles qui ne gênent en aucune manière le président de l'association, ni personne d'autre.

 

Du moment que tout cela reste en famille... heu... entre amis...

 

Et puis, ce sont bien dans ces mêmes conditions particulières que le président actuel a été élu (d'abord trésorier puis président), avec un salarié qui a fait campagne à sa place... on comprend donc bien que rien ne le choque dans ce type de dysfonctionnement pourtant majeur et dangereux pour la défense des intérêts de l'association.

 

 

8 - Seulement une "vingtaine" de jeunes aidés... une quête ?

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

Le président a évoqué dans son rapport moral une "vingtaine de jeunes aidés". Mais la secrétaire, dans son rapport d'activités, ne donnent aucune précision sur cela.

 

A ma demande, le président confirme vaguement son information et déclare : vous le verrez bien sur le planning ! Encore faut-il qu'il ne refuse pas durant 7 mois de le transmettre ! Le président confirme également la mise en place deux cours particuliers pour deux élèves du club.

 

C'est tout de même assez hallucinant de constater que ces deux élu(e)s se font tirer les vers du nez sur ces dispositifs qui restent sans doute au coeur des activités de l'association !?

 

La politique sportive de l'association reste donc un thème comme une chasse gardée (la non communication du planning n'est pas fortuite, voir brève n°6) sans doute parce qu'on peut y trouver une forte régression des ambitions et des moyens, voire une pleine immoralité.

 

Et, dans ce contexte, ces cours particuliers restent à regretter fortement. Ils sont pédagogiquement une gabegie. Ces deux enfants ont mangé du cours... comme personne depuis la dizaine d'années qu'ils sont au club et ce ne sont assurément pas des cours, encore et encore, qui vont leur assurer une marge de progression. Il n'y a qu'à regarder la progression de ce jeune* qui bénéficie depuis trois ans de ces cours particuliers pour voir que là n'est pas la solution ! Et ces cours particuliers restent aussi pleinement immoraux. Derrière un cours particulier, ce sont trois élèves pour lesquels on sacrifie une aide. Une association n'a pas à s'embarquer dans une aventure qui reste fortement, forcément, individuelle dans le tennis !

 

"De mon temps", on aidait presque une cinquantaine d'élèves (49 en 2013). Voilà deux ans maintenant que l'association n'aide plus qu'une "vingtaine d'élèves" (17 l'an passé). Une grande immoralité à ne faire bénécifier des aides du club (subventions obtenues grâce à tous les élèves) que cette "élite", triée, sélectionnée, adoubée pour des enfants dont une grosse partie ne se montre même pas sur les courts et "matchent peu" comme le souligne le Comité lui même !?

 

8 000 €, c'est l'excédent qui ressort de l'exercice 2016/2017. Ce "gras" ne vient pas du saint esprit !

 

160 000 €, c'est la trésorerie de l'association au 30 avril 2017. Et les élu(e)s de l'association décident de n'aider qu'une "vingtaine" d'enfants sur les 143 inscrits à l'école de tennis !?

 

 

9 - 143 enfants inscrits à l'école de tennis : un record de plus dans les échecs !

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

Ils étaient encore 163 seulement l'an passé d'après la secrétaire.

 

Une érosion considérable simplement sur une saison... et qui n'interroge personne. Et on ne peut même plus dire que c'est la faute aux rythmes scolaires en place depuis deux ans.

 

Ce qui reste certain, par contre, c'est que les augmentations successives et très importantes de la cotisation École de tennis (encore pour la saison prochaine + 2 €, voir brève n°16) décidée par les élu(e)s du Comité n'y sont pas pour rien !

 

Il est certain aussi que ne plus aider qu'une "vingtaine d'élèves" là où on en aidait encore 49 en 2013 n'y est pas non plus rien !

 

Et ne rien faire pour relancer le tournoi jeunes, ne pas y proposer un tarif spécial crépynois par exemple, n'est pas non plus de nature à relancer la pratique du tennis pour les jeunes crépynois !

 

C'est assez pathétique de voir cette association partir en lambeaux à ce point avec des élu(e)s qui constatent que de nombreux signaux sont au rouge... mais ne font preuve d'autres réactions... que de proposer une nouvelle augmentation des cotisations !

 

Véritablement pa... thé... tique !

 

 

 

10 - Le compte de résultat : un document illisible, inexploitable, néfaste !

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

On reste toujours pantois suite à la présentation du trésorier, un trésorier qui se contente de lire les cumuls de chaque rubrique de ce document, d'une voix morne et fatiguée, soporifique à vrai dire, sans strictement aucune autre explication, aucune autre illustration.

 

Assurément la meilleure façon de ne susciter aucune question de l'assemblée. Et comme, de toute façon, ce n'est jamais le trésorier qui répond aux questions sur les comptes qu'il présente et dont il est pourtant statutairement le responsable...

 

Pourquoi ce compte de résultat est-il illisible, inexploitable et même néfaste pour l'association ?

 

Et bien parce qu'il ne correspond à strictement rien des activités de la saison en cours ! De façon certes légale mais totalement aberrante, les divers intervenants (trésorier, président, représentant du cabinet comptable) se livrent à des répartitions des recettes de la saison sportive sur deux saisons comptables, sans aucune pertinence, dans une incohérence spectaculaire, pour des proratas appliqués ici et pas là, sur trois types de "saisons" différents !?

 

Et lorsque je pose une question sur ces "curiosités", le représentant du cabinet comptable semble tomber des nues !?

Au final, ce compte de résultat ne donne l'image d'aucune réalité, sinon purement comptable, sans aucune pertinence pour l'association qui doit prendre pourtant des décisions sur les réussites, les échecs, les alertes, les manques, les éventuels succès... autant de paramètres justifiant ses décisions, à prendre pour assurer une saison prochaine et meilleure. Et autant de paramètres pleinement invisibles dans ces comptes de résultats !?

 

J'ai bien proposé durant cette assemblée générale de revenir à une comptabilité de trésorerie, bien plus proche de notre réalité, avec une assemblée générale début septembre, avant la rentrée de l'école de tennis, seul impératif pour fixer cette date.

 

Mais c'était sans compter avec une nouvelle intervention de P. Carrel, salarié de l'association, pour convaincre l'assemblée, qui ne cherche de toutes façons en rien à comprendre la moindre subtilité de toutes ces opérations, de ne pas suivre la proposition de... "Christophe Carré". "Christophe Carré" étant un déclic pavlovien pour la plupart des adhérents présents invités à voter : "Christophe Carré ? C'est non ! Au fait, de quoi on parlait ?"

 

Le compte de résultats 2016/2017 est donc, même s'il reste légal et répond aux exigences comptables en cours, un document incapable de décrire la réalité des activités de la saison sportive que l'assemblée générale de l'association veut pouvoir constater. Un document donc illisible, inexploitable, néfaste.

 

Néfaste ? Une preuve, une seule ?

Les recettes cumulées de 2016/2017 : + 10 000 € par rapport à l'an passé ! Super, on continue tout ! Sauf que, sauf qu'avec 143 inscrits à l'École de tennis*, c'est la pire saison depuis très longtemps, sauf que le nombre d'adhérents semble continuer à descendre !

Un compte de résultat qui pourrait laisser penser que tout va bien... alors que le navire prend l'eau, à babord, à tribord !

 

Petite anecdote rigolote : alors que je questionne le réprésentant du cabinet comptable sur ce compte de résultats 2015/2016, l'ordinateur du président de l'association fait des siennes, avec un message visuel et auditif : "Attention, une menace a été détectée".

 

 

Si même les machines s'y mettent pour apporter le trouble sur ce compte de résultat 2015/2016....

 

* on trouve 159 enfants inscrits sur le planning transmis après ce 30 juin. 143 est pourtant le total indiqué par la secrétaire dans son rapport d'activités (mais peut-être ai-je mal entendu et que n'y était pas incluse la "vingtaine" d'enfants aidés ? A confirmer donc. Pas de retour d'une question à ce sujet, de la part de la secrétaire).

 

 

11 - Des adhésions, des activités en baisse, en 2015/2016, puis en 2016/2017... et pourtant + 10 000 € de recettes en 2016/2017 !? Mais jusqu'où ira cette farce ?

Publication : 13/07/2017 | Mise à jour : 13/07/2017

Le cumul des recettes (adhésions, cours collectifs adultes et enfants) présenté dans le compte de résultats 2016/2017 est tout simplement aberrant ! Un de plus.

 

67 494 € !

 

Soit plus de 10 000 € de plus que pour la saison 2015/2016, pourtant meilleure en termes de... tout !?

 

Alors que, de juin 2015 à juin 2016, les marqueurs de l'association étaient déjà quasiment tous en baisse, clignotant au rouge, adhésions, inscriptions aux cours collectifs, voilà qu'avec la version du compte de résultats 2016/2017, une saison une nouvelle fois marquée par une baisse de toutes les activités, il faudrait ne pas s'interroger sur cette remontée pourtant plus que spectaculaire des recettes, des recettes atteignant même un cumul supérieur à celui des deux précédentes saisons, pourtant meilleures !?

 

57 000 € en 2015/2016, 67 500 € en 2016/2017 !? Alors même que l'on passe de 412 à 402 adhérent(e)s... alors même que l'on passe de 163 à 143 (voire 159*) enfants inscrits à l'École de tennis... alors même que l'on passe de 51 à 48 adultes en cours collectifs !?

 

De telles variations, pleinement incohérentes, peuvent-elles coexister sans que les élu(e)s, les différents responsables n'aient pas à fournir une explication enfin pertinente ? Des variations comme des montagnes russes où les traineaux et leurs passagers suivraient des courbes et des dénivelés pleinement différents, pleinement incohérents !?

 

Alors oui, ces élu(e)s restent les champions du monde de l'augmentation des cotisations, n'hésitant pas, par exemple sur les deux dernières saisons, à laisser augmenter de + 8 % la cotisation École de tennis. Et encore pour l'an prochain.

 

Mais, avec 159* inscrits à l'École de tennis en 2016/2017 x 3 € (l'augmentation de la saison passée) on obtient 477 € qui, avec 150 € correspondant à la même augmentation des cotisations aux cours collectifs (+ 3 € x 50 inscrits) et 747 € des adhésions simples (+ 3 € x 249), devraient expliquer + 10 000 € de recettes !?

 

Alors oui la comptabilité d'engagement rend tout cela pleinement difficile à pointer précisément du doigt. Et on peut être assuré que ce n'est pas sans déplaire à ces élu(e)s sans transparence.

 

Mais définitivement non, deux variations successives à la baisse des principales sources de ressources propres de l'association ne peuvent pas expliquer cette hausse abracadabrantesque de + 10 000 € (+ 17.54 %) des recettes cumulées des différentes cotisations de l'association pour 2016/2017 !

 

Jusqu'où ira cette farce de comptes de résultats à ce point incohérents avant que l'on procède à la recherche d'explications plus pertinentes ?

 

Qui pour continuer à se montrer aussi peu curieux, aussi peu exigeant, aveugle volontairement aux évidences, pour des comptes de résultats aussi improbables et toujours autant en questions ?

 

Qui encore ?

 

Deux lettres ouvertes : Madame la Procureure de la République de Senlis, et les conseillers municipaux.

 

* on trouve 159 enfants inscrits sur le planning transmis après ce 30 juin. 143 est pourtant le total indiqué par la secrétaire dans son rapport d'activités (mais peut-être ai-je mal entendu et que n'y était pas incluse la "vingtaine" d'enfants aidés ? A confirmer donc. Pas de retour d'une question à ce sujet, de la part de la secrétaire).

Toutes les données de ces documents sont issues des documents officiels publiés notamment par l'association : site de la FFT, procès-verbaux de l'assemblée générale, comptes de résultats des rapports financiers présents dans les procès-verbaux d'assemblée générale.

 

Adhésions club Cotisations École École jeunes Cours Adultes Cours Adultes Coupons Sport Jeunes Totaux Evol. Adhérents Evol.
Sources Comptes de résultats / PV AG Comptes de résultats / PV AG Procès-verbaux AG Comptes de résultats / PV AG Procès-verbaux AG Comptes de résultats / PV AG Procès-verbaux AG Procès-verbaux AG
                       
2013/ 2014 24 415,55 32 465,48 173 6 297,60 46 1 720,00 211 64 898,63   455  
2014/2015 21 536,50 34 669,81 172 7 036,73 50 2 340,00 181 65 583,04 + 684,41  416 - 39
2015/2016 29 913,60 16 700,60 163 8 100,00 51 2 415,00 193 57 129,20 -8 453,84  412 - 4
2016/2017 28 326,03 27 278,90 143 9 265,00 ? 2 625,00 184 67 494,93 + 10 365,73  402 - 10

 

Les mêmes élèments, sous forme de graphiques :

 

 

 

 

 

 

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12 - Aucun vérificateur aux comptes pour l'association !?

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

Lorsque je m'étonne, une fois encore, que l'association n'ait aucun vérificateur aux comptes, comme cela était le cas par le passé, ce n'est ni le trésorier, ni le président, ni même le représentant du cabinet comptable qui interviennent mais P. Carrel, ce salarié de l'association qui se croit encore un élu de l'association, et qui prend à nouveau la parole, encore et encore.

 

Et ce monsieur de s'agacer : mais on l'a déjà dit, à chaque assemblée, je répète que, sur la base d'une information de l'Union Sportive Crépynoise (dont ce monsieur a été le président, entre autres multi-présidences), lorsqu'une association sportive passe contrat avec un cabinet comptable, la seule "vérification" du cabinet comptable est suffisante !

 

Nos statuts laissent pourtant toute possibilité au trésorier (et à fortiori à l'assemblée générale) de s'assurer de l'assistance d'un "vérificateur aux comptes" (article 18, page 3). Par le passé, sur certaines saisons, nous prenions même la précaution d'en avoir deux !

 

P. Carrel ne veut donc rien comprendre de mon insistance à souligner que notre association n'a plus aucun vérificateur aux comptes. Je m'en étonnerai pourtant encore l'an prochain.

En effet, si je ne mets pas en doute ici le professionnalisme du cabinet Axelle Expertise, il reste que la situation qui est celle de notre association désormais ne me parait pas du tout souhaitable, pas du tout acceptable en vérité.

Notre association a passé un contrat avec ce cabinet d'expertise comptable. En fait, deux. Le premier est d'enregistrer les écritures comptables pour ensuite établir les documents comptables de fin de saison, ces derniers l'étant sous la responsabilité du trésorier, seul à devoir rendre des comptes devant l'assemblée générale. Le second contrat du cabinet comptable concerne la gestion des paies des salariés de l'association.

Normalement, un vérificateur aux comptes est un bénévole, impérativement sans "contrat" avec l'association. Et, bien évidemment, ces "qualités" sont essentielles ! Cela assure ainsi l'association de l'intervention d'une personne totalement indépendante, sans autres responsabilités dans le fonctionnement de l'association, des garanties pour éviter tous conflits d'intérêt.

 

Qui peut croire une seule seconde, que, suite à mes alertes sur le compte de résultat 2015/2016, le cabinet comptable revienne sur sa certification pour opérer une vérification de ce que je pointe du doigt précisément ? Qui ?

Le représentant du cabinet comptable le dit lui-même, sa certification ne vaut que dans la mesure où les pièces transmises par le trésorier sont elles-mêmes sincères et exactes !

 

Lorsque j'interroge le représentant du cabinet comptable sur ce rapprochement entre recettes perçues et recettes attendues, nécessaire avec cette variation spectaculaire des recettes, le silence que j'ai en réponse est éloquent : cette vérification n'a pas été faite !

 

Une vérification qui n'a pas été faite et ne sera, c'est bien parti pour, jamais faite alors même que 3 000 € semblent pourtant en question entre ces recettes perçues et ces recettes attendues !?

Nommer un ou deux vérificateurs aux comptes ne coûterait rien à l'association (juste des chocolas ou un bouquet de fleurs, comme par le passé). Nommer un ou deux vérificateurs aux comptes correspondrait à nos statuts, nos traditions. Nommer un ou deux vérificateurs aux comptes assurerait l'association d'un contrôle pleinement indépendant.

 

A moins que... à moins qu'on ait des choses à cacher ?

 

Et si le président de l'association se plaint que je diffuse encore, par ces questions, un climat de forte suspicion (voire brève n°13), pourquoi diable ne met-il pas tout en oeuvre pour gommer pleinement de telles interrogations qui pèsent sur ce compte de résultat 2015/2016 ?

 

Oui, pourquoi ?

 

Le trésorier exhulte : on a eu un contrôle URSSAF et ils n'ont rien trouvé à redire ! Alors hein... pouët, pouët ! L'air de dire que je n'ai qu'à remballer mes questions, que l'association est toute propre !

 

L'URSSAF contrôle le bon versement des charges sociales et va donc parfois jusqu'à s'intéresser aux indices le menant à un travail non déclaré. Mais l'URSSAF ne va certainement pas chercher à savoir si les recettes de cotisations perçues par l'association correspondent aux recettes attendues !

 

Mais ça... le trésorier...

 

Quant au président, il confirmera que la municipalité n'a mené aucun contrôle des comptes de l'association sur ce compte de résultats 2015/2016, malgré mes alertes et malgré la proposition pourtant faite par le président de l'association...

 

Ce sera pour l'an prochain, déclare le président. C'est sûr qu'en étant prévenu deux ans à l'avance, il y a des chances pour que ce contrôle soit... négatif !

 

Et sans doute le trésorier pourra dire durant l'assemblée générale de juin 2018 : on a eu un contrôle de la municipalité et ils n'ont rien trouvé à redire ! Alors hein... pouët, pouët !

 

 

13 - Faire toute la transparence sur le compte de résultat 2015/2016 ? Refusé !

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

M. Carré, vous disiez 8 000 €. Maintenant 3 000 €. Si on attend un peu, ce sera 0 € ?

 

C'est par cette boutade que le président évoque ma question d'intérêt général n°3 (page 13). Fait exceptionnel, le président indique qu'on peut l'examiner.

 

Un président qui se comporte comme un monarque en daignant... ou ne daignant pas examiner ce genre de questions !?

 

Sur cette question, je lui confirme qu'il y a même presque 8 500 € d'écart entre le cumul des recettes 2014/2015 et 2015/2016 si l'on comptabilise les 4 types de cotisations perçues par l'association (École de tennis, cours adultes, adhésions à l'association et coupons sport).

 

Et je lui confirme également qu'après la consultation du Grand Livre, entre-aperçu le 7 mai, il semble bien qu'il y ait un écart de l'ordre de 3 000 € entre les recettes perçues et celles qui auraient du l'être par l'association, pour peu qu'on puisse se fier aux documents produits par l'association elle-même : liste des adhérents, planning des cours collectifs, le tout corroboré par les indications du rapport d'activités de la secrétaire.

 

Je demande alors pourquoi le président a refusé durant 11 longs mois la communication de ce Grand Livre et pourquoi il refuse encore aujourd'hui d'en diffuser une copie et de permettre d'autres vérifications nécessaires ?

Enhardi par le fait de pouvoir examiner une question transmise (elles sont systématiquement rejetées depuis quatre ans), je propose au président et à l'assemblée générale de constituer une commission de vérificateurs aux comptes, avec les adhérent(e)s volontaires, pour terminer les investigations suivantes : confrontation des recettes perçues et des recettes attendues.

 

Le président répond qu'étant donné ma propension à communiquer (moi j'appelle ça : ne rien cacher), il refuse catégoriquement de me transmettre le moindre document financier !? J'indique que c'est illégal. Le président s'en moque. Aucune réaction de l'assemblée sur cette rétention de documents de la part du président.

 

Et aucune autre interrogation sur un président d'association qui refuse de faire toute la transparence sur la gestion financière de l'association !?

 

Le trésorier sort alors de sa torpeur, inquiet de voir le président laisser l'assemblée se prononcer sur ma proposition de création d'une commission : "non catégorique" grogne-t-il, rouge de contrariété.

 

L'assemblée générale, ainsi cornaquée par ses deux plus hauts dignitaires, se prononce alors sur la création de cette commission : "non", à l'unanimité, moins moi. Étonnant, non ?

 

Pourtant, quel risque y-a-t-il à ce qu'une commission composée d'adhérents qui me seraient ainsi pleinement hostiles et de moi même, travaille sur ces données s'ils ne posent aucun problème ?

 

Il est donc désolant de faire le constat qu'il est impossible de faire toute la transparence sur la gestion financière de l'association, ce qui ouvre toute grande les portes à toutes les suspicions (voire brève n°12).

 

Qui, après avoir pris connaissance du tableau ou des graphiques ci-dessous, pourra sérieusement prétendre ensuite, comme le fait cette assemblée générale, qu'il n'y a aucune nécessité à rechercher une explication précise à cette variation plus que surprenante du cumul des recettes de 2015/2016 !?

 

Deux lettres ouvertes : Madame la Procureure de la République de Senlis, et les conseillers municipaux.

 

 

14 - Convoqués en gendarmerie, victimes de suspicions ! Et un second mensonge du président.

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

Le président J. Coconi fait part de la suspicion que mes questions sur ce compte de résultat 2015/2016 générent quant à sa probité.

 

Il reconnait néanmoins que cette phrase en italique dans le compte-rendu de la réunion du Comité d'octobre 2016 est bien une citation mensongère dans la mesure où je n'ai jamais évoqué l'idée d'un "potentiel détournement" (idée à laquelle je ne crois pas d'ailleurs) de cotisations de l'association par les responsables en place.

 

Voilà le second mesonge, diffusé à l'ensemble des adhérents, par le président de l'association et qu'il "reconnait" durant cette assemblée générale. Mais toujours aucun reproche de la part des adhérents présents. Leur président multiplie les mensonges mais... pas grave, c'est un ami !

 

Le président J. Coconi indique qu'ainsi, il a été convoqué en gendarmerie.

 

Je lui réponds que ces aléas, leurs conséquences, sont bien de son unique responsabilité dans la mesure où il refuse depuis 11 mois, et encore à ce jour, de faire en sorte que la plus grande transparence soit mise en oeuvre sur la tenue des comptes de l'association.

 

Le représentant du cabinet comptable fait également part de sa convocation en gendarmerie.

 

On reste donc bien en attente d'un retour sur cette procédure signalant ce refus de mettre à disposition les documents comptables de l'association.

 

 

15 - Des résultats sportifs peu reluisants... et un président qui se satisfait d'avoir le "ventre plein" !

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

Comme depuis maintenant plusieurs assemblées générales, il n'y a plus d'intervention du responsable des championnats.

 

On a cru comprendre que c'était même un rôle pour lequel l'association sollicitait le moniteur à temps plein ? Sur son temps de travail ? Ces fameuses 90h ?

 

Quelle spectaculaire démission des élu(e)s du Comité qui sont de moins en moins disponibles pour s'occuper, très concrètement, des dispositifs et des manifestations purement tennistiques de l'association !?

 

Quoi qu'il en soit, c'est la secrétaire qui semble à la manoeuvre pour ce bilan, nous proposant ses quelques petites images résumant, à la va-vite, la saison sportive.

 

Et c'est, en fait, le président qui reprend la main, très vite, comme toujours, pour lire et commenter les résultats sportifs, notamment ceux des équipes de l'association.

 

Sur le plan des équipes adultes, c'est une Bérézina plutôt rarement connue au club ! Hormis l'équipe 1 hommes qui sauve in extremis sa descente grâce essentiellement à la présence de P. Colas, les autres équipes s'affichent toutes à... l'avant-dernière place, frolant la descente.

 

Et, pour les trois équipes féminines, cela ne semble pas mieux avec, là aussi, les dernières places de leur division.

Le président de l'association évoque de manière particulière : l'équipe 1 dames qui a été "décimée". Manifestement dans une division trop forte, cette équipe n'a pourtant pas démérité plus que ça ?

 

Au final, un président qui, au lieu de faire connaître les mesures que lui et son Comité pourraient prendre pour remédier à un bilan sportif aussi peu reluisant, se contente d'assurer ses effets, comiques en l'occurence, pour redire que la saison n'aura pas été totalement catastrophique parce que... parce que les équipes reçues seront reparties le ventre plein !

 

Mais après tout, cela reste cohérent avec son action au sein de l'association.

 

P. Carrel juge-arbitre du tournoi jeunes confirme que lui et/ou les responsables du Comité ("on") ont oublié d'homologuer à temps ce tournoi ! Pour sûr que ce ne sont pas les meilleures conditions pour en assurer le succès ! Et quand on a une tombola à préparer... il faut faire un choix dans les priorités !

 

J'ai aussi tenté d'évoquer cette mesure décidée par le Comité de Tournoi (les mêmes qu'au Comité de Direction) de limiter le nombre d'inscrits crépynois au tournoi open, une véritable forfaiture quand on est élu pour d'abord préserver les intérêts des licenciés... crépynois !

 

Mais, on n'était pas là pour ça durant cette assemblée générale et il y avait encore le risque de "saouler" des adhérents pas venus pour évoquer toutes ces questions pourtant concrètes sur le fonctionnement de l'association.

La FFT, que j'ai sollicitée sur cette question de droit, ne m'a jamais répondu.

 

On verra bien la version de décembre 2017 de ce tournoi ?

 

Un bilan sportif qui reste donc très peu valorisant, très peu encourageant pour une association qui n'a, de toute façon, que très peu d'ambitions dans ce domaine, très visiblement.

 

 

16 - Augmentation des cotisations, encore ? Pourquoi ? Ben... on sait pas... mais on augmente !

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

La FFT avait décidé, en 2013, une campagne d'augmentation, sans précédent, sur cinq ans, du montant de la licence FFT, pour la faire passer de 21 € à 31 € en 2018 et récolter ainsi 21 millions d'euros pour la "modernisation" du stade de Roland Garros. La poche des licenciés lui étant grande ouverte... par décision de la FFT, toute seule !?

 

Et bien même la FFT vient de décider de se dédire pour ne pas appliquer sa dernière hausse de 2 € et conserver la licence à 29 € pour 2017/2018.

 

Il faut dire que l'évolution des licences jeunes est catastrophique : 589 830 en 2012, 532 265 en 2017 ! Quasiment - 10 % depuis cette décision il y a seulement quatre ans ! Bravo aux élu(e)s de la FFT !

 

A un moment donné, il faut être cohérent et ne pas oublier de relier aussi ces baisses d'effectifs à une politique tarifaire qui suit la courbe exactement inverse. Ce que semble donc enfin comprendre les élu(e)s de la FFT, un peu trop tard malheureusement.

 

Au Tennis Club de Crépy en Valois, on devrait faire les mêmes constats : la baisse des effectifs est également là, bien présente, voire même très préoccupante (143 enfants à l'École de Tennis contre 163 encore l'an passé).

 

Oui mais voilà... comme nous avons une assemblée générale championne du monde... cette même assemblée vote tout de même une hausse de toutes les cotisations, 1 € de plus, une hausse proposée par un Comité de Direction champion du monde. 1 € pour quoi faire ? Ils ne savent pas. Mais 1 € de mieux, contre vents et marées !

 

Et arrêtons de les "saouler" avec tous ces détails !

 

La palme au trésorier qui répétera plusieurs fois, semble-t-il pleinement satisfait de cela : ha oui mais la cotisation École de Tennis, elle, on l'augmente de + 2 € ! Une démonstration du trésorier... dont on cherche encore la pertinence !?

 

Quand on sait que c'est déjà cette cotisation Ecole de tennis qui a augmenté dans des proportions délirantes notamment l'an passé (cumul de + 11 % en 4 ans), on reste perplexe de ce "trophée" brandi par un trésorier incapable d'apporter la moindre justification à cette augmentation !?

 

Quant à la suppression de la cotisation couple, ce fut assez édifiant de voir le moment de flottement de cette même assemblée quand deux adhérentes ont réagi : ha oui mais moi je suis concernée. Je ne suis pas d'accord. Je vote donc contre cette suppression. C'est pourtant exactement le fonctionnement de cette assemblée générale : si ça me profite, je dis oui. Et tant pis pour les autres. Ça fait comment d'être de l'autre côté ?

 

Petit calcul : il y avait 22 adhésions couple en 2015/2016 (en 2016/2017, pas encore fait la stat. Et comme le planning est secret et que ni la secrétaire, ni le trésorier ne sont capables de répondre à cette question...). Le "manque à gagner" était donc de 792 €. A mettre en rapport avec le compte de résultat qui, cette saison, présente un excédent de quasi 8 000 € et la trésorerie de l'association au 30 avril était de 160 000 € !

 

A l'évidence, l'association ne pouvait donc garder une cotisation Couple, même susceptible d'attirer des adhérents, mais nécessitant d'investir... 792 €, que l'association ne pourra peut-être pas plus comptabiliser puisqu'elle enregistrera peut-être des défections avec ce tarif qui disparait ! L'histoire du coup de fusil dans le pied !

 

Au final, des augmentations et une suppression de la cotisation couple qui sont apparemment pour cette assemblée à côté de ses chaussures de tennis, des mesures de nature à développer la pratique du tennis, l'objet premier de cette association !

 

2 contre (M. Bellemère et moi même), l'unanimité restante pour cette suppression et ces augmentations sans justification.

 

 

17 - Et une intervention de plus de ce salarié... une de plus, pour une incongruité de plus !

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

P. Carrel, pourtant salarié de l'association, statutairement non autorisé à assister à cette assemblée générale et encore moins à y prendre la parole pour militer, intervient à nouveau pour défendre ces augmentations de cotisations proposées par le Comité. Étonnant, non ?

 

P. Carrel fait ainsi remarquer que l'association va investir, peut-être, 80 000 €, que les subventions baissent, que les effectifs baissent aussi et que donc, il convient que l'association veille à conforter ses revenus... en augmentant ses cotisations !?

 

Un discours déjà régulièrement entendu du temps de cette triste présidence. On ne sait trop où nous en serions si on ne s'était pas opposé à cette conception particulière d'une association sportive-entreprise ?

 

Je reste, pour ma part, très fier de cet héritage que j'ai laissé et que je partage avec d'autres membres du Comité, notamment le président P. Gourdain (président d'honneur que, semble-t-il, on oublie d'inviter), pour pouvoir aujourd'hui encore (mais pour combien de temps ?) dire que notre association propose les cotisations les plus accessibles parmi, peut-être, la totalité de ce que proposent les clubs français (à installations comparables). Oui, une très grande fierté d'avoir veillé à rendre la pratique du tennis la plus accessible qui soit.

 

Entendre ce salarié venir défendre l'idée qu'en augmentant chacune de nos cotisations de 1 à 2 € serait une manière de veiller à la pérennité de l'association est un non-sens que je ne peux que dénoncer.

 

402 adhérents, dont certains prennent des cours collectifs, cela aurait fait, par exemple sur cette base 2015/2016, un total de 600 € de mieux dans les caisses du club. 600 € sur un budget salarial de... 59 000 € !? 600 € quand l'investissement qu'évoque ce salarié est de 80 000 €... et que la trésorerie de l'association est de 160 000 €, son excédent d'exercice de quasi 8 000 € !?

 

Quel mouche peut bien piquer ce salarié, qui ne sait pas garder sa place, pour tenter de convaincre l'association d'envoyer un message aussi peu porteur qu'une augmentation, une nouvelle, une de plus, pour soit disant "consolider" le bilan financier de l'association avec... 600 € de mieux !? Alors même que l'association et sa hausse record de l'inscription à l'École deTennis enregistre déjà une baisse d'inscription dans cette École de plus de 10 % !? Et alors même qu'il restera encore, au pire, 80 000 € de trésorerie après cet investissement (s'il se fait, voir brève n°20).

 

On se passerait aisément de pareils conseils, certainement pas au service du "développement de la pratique du tennis", surtout de la part d'un salarié dans une totale illégalité lorsqu'il intervient durant une assemblée générale.

 

 

18 - Intervention du président du CDOT : un discours court.

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

C'est au tour du président du CDOT d'intervenir.

 

J'ai eu maille à partir avec le président du CDOT il y a quelques années lorsqu'il avait fallu batailler pour refuser que le moniteur à temps plein de l'association (le même qu'aujourd'hui) s'autorise à ne pas respecter le règlement des championnats jeunes en déplaçant une rencontre sans aucun motif valable reconnu par ce règlement. C'est au service des jeunes me répondait le président du CDOT alors pour justifier qu'on reconnaise un droit à se moquer ouvertement de ce règlement. Ce en quoi je n'étais pas d'accord, les "petits arrangements" des uns, "au service des jeunes" comme ils disent, étant forcément au détriment des autres, toujours, notamment sur ce cas précis au détriment des adhérents de l'association (report sur les installations du club).

 

Bref, un passif pour mon compte, que ce monsieur avait sans doute encore bien présent à l'esprit : "Ha d'accord !"

On me reproche souvent d'être trop long. Mais pour ne pas vouloir l'être ici, je peux même me payer le luxe d'être totalement exhaustif pour faire état de l'intervention du président du CDOT durant cette assemblée générale : "Bonjour. Votre association fonctionne bien. Notamment dans notre collaboration avec Julien, tu le sais, hein, Julien, et avec Patrick, tu le sais, hein, Patrick ! Voilà. C'est tout. Merci."

 

Voilà. C'est tout. Merci.

 

 

19 - Intervention d'un représentant de la commune ? D'un représentant de l'USC ?

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

En étant la deuxième association sportive par le nombre de ses adhérents, le Tennis Club de Crépy en Valois reste une des plus importantes associations sportives de la commune.

 

En ayant eu en mars 2017 une dépense de 132 000 € votée au budget de la commune, les installations du Tennis Club sont également dans une certaine actualité municipale.

 

Bref, on se serait attendu à avoir un représentant élu de la commune, voire le Directeur du service des Sports, présent l'an passé.

 

J'aime assez l'idée que d'autres que moi puissent constater ce qu'on s'autorise durant ces assemblées générales. Je pensais que c'était aussi une certaine assurance que les plus zélés des ami(e)s de l'équipe en place se tiennent à peu près correctement en ne s'autorisant pas les débordements dont ils sont coutumiers.

 

Des débordements indignes et inacceptables qui sont, peut-être, la raison qui fait que, depuis deux ans maintenant, aucun élu muncipal ne se risque plus à nos assemblées générales. Lla politique de la chaise vide de la part de la commune. Sûr qu'il serait assez difficile de taire et donc de valider certaines pratiques, certains débordements.

 

Plus de représentant de la commune du tout donc. Nous n'avons même plus vu du tout l'adjoint aux sports depuis trois ans !

 

Retenu ailleurs, selon la formule consacrée.

 

Dommage.

 

J'ai donc durant cette assemblée générale évoqué plusieurs fois des questions qui nécessitaient des réponses de la part de la commune.

 

Il sera donc acté que, par courrier ou de vive voix, la commune de Crépy en Valois est aux abonnés absents, réservant ses seuls contacts avec autre chose que du citoyen de base, les crépynois réunis là.

 

Quant au représentant de l'USC... là aussi, plus d'apparition depuis 2013. Et si c'est pour faire la même démonstration que durant l'assemblée générale de cette année là... (page 7)

 

 

20 - En juin 2016 : "projet validé" ! En juin 2017 : "projet invalidé" ! Quand ça ne veut pas...

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

Je ne reviens pas sur ce mensonge du président, qui se voit ainsi doublement confirmé, puisque l'assemblée générale rejette les deux propositions du Comité. Aucun "projet validé", une dépense de 132 000 € dans le budget municipal qui s'avère donc être fictive !

 

L'option 1 (page 6), qui intégrait l'idée d'investir 21 000 € HT pour détruire le court n°2, parfaitement jouable encore une vingtaine d'années, en le transformant en un autre court... jouable, a obtenu ce qu'elle méritait : 7 petites voix (avec pouvoirs).

 

L'option 2 (page 6), en recueillant 11 voix, a bien failli passer.

Mais je ne crois pas être étranger au succès de la troisième option, c'est à dire aucune de ces propositions incohérentes : 15 voix. Ouf ! Tout juste. En effet, peut-être la simple présentation des statistiques sur les réservations des courts extérieurs sur les quatre dernières saisons aura suffi à montrer spectaculairement l'incohérence totale de créer d'autres courts extérieurs, d'autres colonnes jaunes ?

 

Je ne reviens pas sur ces 13 raisons qui font que ce projet de création de courts tout-temps est assurément un projet incohérent tout en menaçant gravement le développement de l'association. J'espère simplement que toutes ces raisons, que j'ai toutes énoncées et illustrées durant cette assemblée générale (autant que faire se peut), figureront bien au procès-verbal de l'association, la tendance étant à zapper toutes mes interventions dans cet écrit.

 

De même, j'ai dit, durant cette assemblée générale, combien je trouvais "malhonnête" de ne pas avoir présenté les autres projets possibles : la couverture d'un court existant, l'éclairage de deux courts extérieurs, la création d'un court de padle. Espérons là aussi, que le prochain ordre du jour mentionne enfin la totalité de ces projets.

 

En conclusion de cette quatrième assemblée générale travaillant sur ce projet d'amélioration des installations du club, je me contenterai de citer M. Fleury, visiblement terrassé : "Mais tu te rends compte, ça fait combien d'années qu'on parle de ça ? Quatre ans ! Et on n'a toujours rien décidé !? Non, non... il faut qu'on décide !"

 

Et oui... quand on présente des projets aussi incohérents, aussi mal ficelés, où les zones d'ombre sont plus nombreuses que les informations précises, on prend le risque d'être membre d'un Comité incapable de faire avancer ce dossier !

 

Qui encore pour ne pas jauger de l'incompétence du Comité quand ce même Comité n'est même pas capable de préciser à cette assemblée quel type de court "tout-temps" est choisi dans ce projet !? Red Court, Clay Tech... ? Personne ne sait, le président lui même semble complétement perdu !?

 

Effrayant !

 

 

21 - Et le projet d'éclairage : encore des petits mensonges du président ?

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

En avril 2015, d'après une société que j'ai contactée, pleinement par hasard, le président J. Coconi a été destinataire d'un devis de cette même société, un devis présentant non pas une mais deux options : l'une avec 4 mâts, deux de chaque côté des courts et donc la nécessité de toucher à l'allée du club et ses nombreux réseaux (gaz, etc...) comme bien expliqué par le président lui-même... Et un autre devis, volontairement mis de côté par ce dernier, avec deux mâts situés entre les deux courts jumelés. Autant dire une option qui permettait d'éviter tout travaux dans l'allée centrale.

 

Un devis dont le chiffrage, légèrement inférieur aux deux produits par le président dans ce procès-verbal de l'assemblée générale de 2015 (page 16), n'était même pas évoqué !?

 

Une présentation ainsi tronquée qui a donc abouti à la disparition pure et simple de ce projet d'éclairage de courts extérieurs, pourtant très intéressant puisqu'il permet de concilier des objectifs multiples : renforcer l'utilisation des courts extérieurs (projet de court "tout-temps") et élargir le nombre de créneaux disponibles en début de soirée (court couvert).

 

Je demande donc, durant cette assemblée générale, au président de l'association, pourquoi il a écarté ce second devis, cette seconde option, en effrayant volontairement les adhérents avec la "difficulté" voire "l'impossibilité" de réaliser un pareil aménagement ?

 

Un devis ? Quel devis ?

 

Troisième mensonge du président avec cette variante du mensonge... par omission.

 

Toujours aucune réaction de la salle à propos d'un président qui multiplie les mensonges.

 

Au final, il y a une grande nécessité à travailler enfin sérieusement cette option, voire aussi la possibilité de l'éclairage d'un unique court extérieur. Les projets envisageables sont multiples. Les réduire arbitrairement à ceux du Comité reste pleinement contraire à l'idée même d'association, une association de 218 membres en mesure de s'exprimer sur ce choix ! Et pas que le président de l'association.

 

 

22 - Demander leur avis aux adhérents, dans leur plus grand ensemble ? Mon dieu, quelle horreur !

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

A la suite du rejet des deux options de ce projet de création de courts extérieurs tout-temps, et en répétant combien d'autres projets étaient parfaitement envisageables (couverture d'un court existant, création d'un court couvert, éclairage de courts extérieurs, création d'un padle), je propose au président un sondage adressé à tous les adhérents. Un sondage qui pourrait ainsi donner une pleine légitimité au projet choisi et son financement par l'association. Et non un projet avec une dépense importance, validés par seulement... 13 % des adhérents en âge de se prononcer.

 

Le président reprend cette idée, quelques instants : un sondage, ben pourquoi pas ? Mais très vite, la salle grondant, le président s'inquiète : un sondage, heu finalement non. On ne va tout de même prendre une telle décision sur la base d'un sondage ! Vous imaginez... tous ces gens qui ne se déplacent même pas à l'assemblée générale ?

 

Je lui fais alors remarquer que cela ne gêne personne que le vote précédent ait comptabilisé des "pouvoirs", ce dispositif qui permet à des adhérents... absents, de parvenir à faire comptabiliser leur voix, alors qu'ils n'ont même pas assisté au débat, alors qu'ils... ne se déplacent même pas !?

 

Heu, ben non, c'est non tout de même.

 

Devant tant d'incohérences et au moins autant de petits calculs, tout petits calculs, je me fais fort, donc, de proposer aux adhérents, le moment venu, un tel sondage ou tout au moins l'information la plus exhaustive sur tous les projets envisageables.

 

 

23 - Quatre autres projets, pleinement envisageables ! Enfin, on en parle.

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

Par ordre d'apparition :

 

1 - La création d'un 8e court, un 4e court couvert. Une création complète. Le dernier court couvert (court n°5) a été un projet à 390 000 € TTC, en gros. En gros toujours, le club a financé 80 000 €, le département 149 000 €, la commune 58 000 € et la FFT 16 000 €. Dix ans pour que ce projet aboutisse grâce notamment à P. Gourdain, président de l'association, président tenace et ambitieux, ainsi qu'à P. Praddaude, maire de la commune à l'époque.

Un projet qui est assurément le plus cohérent mais pour lequel il faut travailler à long terme, ce qui n'est pas donné à tous les élu(e)s du club, certains pensant plus à leur bilan à très court terme qu'au développement planifié dans le temps, de l'association.

Le costume est parfois trop grand pour les élu(e)s en place.

 

2 - La couverture d'un court existant. Un 2014, il y avait un devis de 98 000 € HT (Veldeman). Réactualisé, ce devis se monte aujourd'hui à 119 000 € HT (merci aux élu(e)s du club pour avoir tout fait pour... perdre ces trois années). Là encore un projet pleinement cohérent, le plus à même de donner à l'association une capacité à susciter et absorber son développement futur.

Les élu(e)s en place ont donc tout fait pour faire capoter ne serait-ce même que l'étude de la réalisation de ce court couvert d'appoint.

C'est pourtant la piste la plus prometteuse.

On en reparlera malheureusement pour évoquer des problèmes, si l'association atteint les 500 adhérents et plus ! Ce qui reste dans le domaine du possible puisqu'en 2014, il a à peine trois ans, l'association comptait encore 455 adhérents ! Ce sera alors pour déplorer que le planning des réservations des courts couverts est totalement saturé, une situation réelle que tous semblent avoir oublié. Il y a des chances, malheureusement, pour que les responsables actuels ne soient plus là pour en répondre.

 

3 - L'éclairage de deux courts extérieurs. Devis à 25 000 € HT. Reste à chiffrer précisément la pose (réalisation de plots béton notamment), pour l'instant estimée à 10 000 € inclus dans ce montant.

Assurément le projet qui permet un compromis large entre tous les objectifs recherchés dans les autres projets : jouer plus sur les courts extérieurs, augmenter la capacité de l'association à jouer en soirée.

Mais il faut remarquer qu'un court couvert... est aussi un court éclairé !

 

4 - La création d'un court de padle. C'est la nouveauté du moment. Cette pratique permet de concentrer un évènement (tournoi sur une journée) en présentant un caractère convivial (se joue uniquement en double). C'est donc, à priori, plus festif. Un peu comme une nouvelle application sur votre portable. A voir dans la durée. Se méfier des mode pin's. Mais bon, un projet qui diversifierait l'offre de l'association. Reste que ce n'est pas du tennis, ce n'est plus du tennis. Devis à priori entre 20 000 et 30 000 €.

 

Pour tous ces projets, c'est la commune qui prendra en charge la TVA, la récupérant une année plus tard.

 

 

24 - Et le projet de création d'un second club house ?

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

M. Lemaire, salarié de l'association, intervient dans ce débat, une nouvelle fois de manière totalement illégale, sur le choix d'un projet d'amélioration des installations.

 

Ce salarié se présente ainsi comme la personne la plus présente sur les installations, etc... Comme si l'expérience des bénévoles présents dans l'association depuis des dizaines d'années parfois ne valait pas le temps restreint que ce salarié passe sur nos installations dans le cadre de ses activités !?

 

D'emblée, on doit donc comprendre que son expertise est incontournable. Ainsi, il décrit comment il se sent obligé de venir ouvrir le club house qui, sans lui, resterait fermé, inaccessible aux parents et à tous les adhérents.

On s'étonne que ce salarié n'ait pas compris, ou que les élu(e)s du Comité ne lui rétorquent pas sur le champ, qu'il était effectivement dans ses missions d'ouvrir le club house lorsqu'il assure ses heures de cours !? On n'oublie cependant pas de le remercier pour un investissement d'au moins 2 minutes par ouverture... un temps que l'on pourra cumuler dans ce décompte des 90h sans cours, qu'il doit à l'association.

 

Ce salarié présente ainsi "son" projet : il faut un second club house ! Et, moi je..., c'est sûr, je sais que j'ai raison. D'ailleurs il faut mettre de côté tous vos autres projets là, dont vous discutez là, pour d'abord réaliser ce projet, mon projet (le prononcer façon Emmanuel), le bon projet".

 

Une idée reprise par l'autre salarié présent et incessamment militant, P. Carrel, qui se met lui aussi à défendre cette idée... mais pas par le plus grand des hasards. Voire même le plus petit. En effet, cette idée d'un second club house, P. Carrel l'avait déjà lancée lorsqu'il était président (cf. procès-verbal de l'assemblée générale de 2013, page 6), une idée du président qui n'avait convaincu personne. Un président qui, encore bien des années auparavant (années 80 ?) avait oeuvré à un tout premier projet de club house, confié à un de ses "amis", un ami... architecte en fait, qui avait pondu un projet jamais réalisé puisqu'il était déjà totalement incohérent et qui avait pourtant coûté, en étude, la bagatelle de 7 000 francs à l'association (certains membres de ce Comité s'en souviennent encore), 7 000 francs pour rien, pour un plan papier totalement à côté de la plaque ! Un spécialiste des clubs-house donc.

 

On se demande d'ailleurs si cette "attaque" conjointe avec le moniteur à temps plein est aussi fortuite que cela ? Vous vous rendez compte, nos sanitaires, un seul wc... et des douches qui ne sont jamais utilisées ! Ce n'est pas assez ! insiste P. Carrel. Distraction ou compassion, personne ne relève l'incohérence qui consiste à réclamer plus de douches... tout en brandissant cet argument des deux douches actuelles qui ne sont quasiment jamais... utilisées !?

 

Deux salariés qui voudraient donc faire croire que la seule façon de développer la pratique du tennis pour l'association passe par... la création d'un second club house, forcément séparé du premier, nécessitant forcément un investissement considérable et rendant ainsi impossible la réalisation d'autres projets, pour le coup eux pleinement tennistiques, nécessitant soit de détruire le terrain de mini-tennis, soit, effectivement ici, très difficile, voire impossible à réaliser entre les trois courts couverts aux structures radicalement différentes (j'ai pu le constater pour y avoir travaillé lorsque j'étais secrétaire).

 

Un projet de second club house qui risque pourtant bien d'être envisagé, aussi inutile soit-il, puisque l'objet essentiel de cette association, avec la présidence actuelle, est bien devenu ces animations alimentaro-festives en tous genres.

Un second club house comme une salle des fêtes où l'on pourra ripailler à satiété, pour des animations qui n'attirent jamais qu'une vingtaine de familles, toujours la même, un petit monde qui se "convialise" à tour de bras, ce tout petit groupe qui a transformé cette association en petite bande de copains, un club house comme leur salon, avec tous les dégâts collatéraux pour l'ensemble de l'association et de la pratique du tennis.

 

Au final, on reste pleinement choqué du militantisme de ces deux salariés qui pensent qu'en augmentant la taille du bar, on répond aux besoins essentiels de l'association !?

 

Là encore, on se passe aisément de ce genre de conseils et d'interventions.

 

L'accès handicapés, notamment aux sanitaires, est évoqué comme un argument car non conforme. On reste bien persuadé qu'il y a des aménagements intérieurs, à moindre coût, pour se mettre en conformité. Et c'est bien à la commune de prendre cela en charge.

 

 

25 - La "stratégie de l'occupation du sol", selon ce salarié et cette conseillère municipale.

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

A peine quelques secondes après le rejet du projet de création de courts couverts proposé par les élu(e)s du Comité, une enième intervention du salarié de l'association, P. Carrel, visiblement très courroucé de ce revers, et toujours pleinement dans un rôle qui ne lui est pas autorisé. Une intervention relayée subséquemment, comme se plait à le dire le sapeur Camember, par Mme Carrel-Torlet, conseillère municipale, épouse de..., et adhérente.

 

Mme Carrel-Torlet explique tout d'abord que la commune ne dispose que de très peu de "dents creuses". Cette dame, qui fait clairement part de son expérience en tant que conseillère municipale, poursuit en expliquant aux adhérents qu'il faut donc, absolument rapidement, construire ce court sur l'un ou l'autre des emplacements envisagés (derrière ou à côté du court couvert n°7), au risque sinon de voir ce terrain dédié à d'autres constructions, d'autres utilisations, choisies par la commune, au détriment de l'association.

 

On reste alors estomaqué de voir ces deux personnes, Mme et M. Carrel, militer de manière véhémente pour remettre en cause le vote qui vient à peine de se clore en envisageant encore la construction de ce court extérieur tout-temps pourtant clairement rejetée !? Un trouble que ne manque de souligner le président, l'officiel, pour rappeler qu'on vient d'invalider ce projet de construction d'un court sur ces emplacements !?

 

Mais, l'assemblée n'a visiblement rien compris, d'après Mme et M. qui, de concert, redoublent maintenant de pédagogie martiale pour corriger ce léger problème, simple contretemps dans leur réécriture de ce vote. Et pour mieux convaincre les adhérents présents, Mme et M. donnent un nom à leur fine stratégie : la stratégie de l'occupation du sol !

 

Et d'enfoncer le clou en avertissant solennellement : on ne sait pas si la commune consentira à nouveau à intégrer une telle dépense dans son budget et il faut donc faire très vite pour dépenser cette somme sur cet exercice budgétaire, foi de conseillère municipale !

 

Un argument totalement indigent puisque, sur ce projet, ce n'est pas la commune qui finance mais l'association !?

 

Mais, pour justifier cette stratégie de l'occupation du sol, tout est bon. Ainsi, l'idée d'une assemblée générale extraordinaire, pour répondre à cet argument sans fondement, est lancée par une autre adhérente, Mme Cassa.

 

Une assemblée générale extraordinaire qui aurait donc à son ordre du jour, le vrai :

 

- tout faire pour effacer cette grosse bêtise des uns et/ou des autres, qui consiste à avoir réussi à faire voter au budget municipal une dépense pourtant non financée par une association qui n'avait rien décidé de tel,
- valider la "stratégie de l'occupation du sol" décidée par le Tennis Club qui se mobiliserait sur le front des "dents creuses",
- et donc modifier la décision de l'assemblée générale pour présenter à nouveau et faire valider aux forceps le principe de la construction d'un 5e court extérieur totalement inutile, une construction simplement là pour "occuper" l'espace face à un ennemi potentiel pour nos dents creuses à nous, pas touche, foi de dentiste.

 

De bien belles motivations que les élu(e)s muncipaux que j'ai informés, sauront, je l'espère, apprécier à leur juste valeur le moment venu !

 

D'autant qu'on imagine aisément qu'il suffirait d'informer ces mêmes conseillers municipaux du souhait de notre association de pouvoir, un jour, utiliser les espaces nécessaires à la construction d'un ou deux courts supplémentaires, pour qu'une décision municipale se montre attentive à ces projets d'extension en décidant des réserves foncières nécessaires ?

 

Aucune nécessité à inventer un projet inutile, une stratégie tout en trompe l'oeil, pour travailler faussement à la défense des intérêts de l'association !

 

Une lettre ouverte : Les conseillers municipaux.

 

 

 

26 - Quatre mensonges pour un président ? Quoi de plus normal au TC Crépy en Valois ?

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

M'estimant injustement exclu, par trois fois, j'ai tranmis trois recours devant l'assemblée générale (page 8) .

 

Le bureau, dans l'ordre du jour, a jugé utile de rajouter aux textes de mes recours, un extrait de l'article 15 du règlement intérieur. Un ajout clairement destiné à nier la recevabilité et l'examen par l'assemblée générale de ces trois recours.

 

Mais un rajout tout aussi clairement mensonger de la part des membres du Bureau, une modification de la mise en page de cet article 15, en accolant deux paragraphes pourtant clairement distincts, devant réduire la possibilité d'un recours à la seule sanction de radiation.

 

J'interroge donc le président sur ce mensonge diffusé dans l'ordre du jour à l'ensemble des adhérents ?

 

Le président, qui n'en est plus à un mesonge près, confirme effectivement une "maladresse" dans cette présentation.

 

On est maladroit quand c'est involontaire. Il suffit d'observer ce rajout pour confirmer qu'il y avait très clairement une intention de tout faire pour ne pas laisser examiner ces recours.

 

J. Coconi ne semble pas comprendre qu'il est extrêmement malhonnête de sa part de décrire cette réécriture du règlement intérieur comme une simple maladresse, alors qu'il est pris, la main dans le sac, pour un mesonge aussi éhonté ?

 

Cette assemblée générale comptabilise durant le seul temps de cette soirée du vendredi 30 juin, pas moins de quatre mensonges reconnus par le président (un président qui consent à corriger ces indications, reconnaissant du même coup leur caractère mensonger mais aussi leur intention mensongère).

 

Et quelle est donc la réaction de l'assemblée générale qui constate ainsi 4 mensonges spectaculaires, toujours au service de volontés particulières du président, du Bureau, du Comité ?

 

Rien, aucune réaction, aucune mise en cause.

 

Une assemblée générale qui ne fonctionne pas comme une assemblée générale. Tout au plus une réunion de bons copains, prêts à tout couvrir, prêts à se compromettre dans les décisions les plus illégales, pourvu que l'on se protège mutuellement des questions gênantes et de ceux qui les posent... quitte à les exclure de tout !

 

 

27 - Trois recours pour trois exclusions : "On s'en fout !", reprend le choeur des troupes.

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

On aborde ce premier recours. Très vite, le brouhaha monte. L'assemblée remue, s'agite. Attention, une menace a été détectée !

 

Je ne me fais aucune illusion sur l'issue de mes recours. Aussi, j'abrège mon propos pour un premier recours que le président présente lui aussi, à charge comme il se doit, des recours décrits comme occupant des pages et des pages. En réalité, 3 pages pour trois recours, incluant 2 courriels, un minimum quand on prépare ses interventions.

 

J'invite alors simplement l'assemblée à se prononcer sur ce premier cas de figure, une situation type, estimant que mon cas pouvait servir de jurisprudence pour éviter d'autres débordements de ce genre. C'est aussi le sens de ces recours, permettre de m'éviter, pour les prochaines saisons, de pareilles vengeances, de pareilles exécutions, pleinement arbitraires.

 

L'assemblée s'agite de plus en plus, le brouhaha s'amplifie.

 

Je risque donc cette simple question : l'assemblée générale valide t-elle le principe d'une exclusion (ici, de l'entraînement d'une équipe) sur la base des motifs qui m'ont été signifiés : "acharnement à critiquer sans discernement, sans relâche, sans aucune patience", "vif esprit critique", le tout risquant de "perturber les séances" ?

 

Cet examen vire au simple dialogue entre deux personnes. Il n'y a guère plus que le président qui tente de m'entendre.

 

Je lui fais remarquer que ces motifs le sont sur la base d'un unique courriel de ma part listant une dizaine de questions (voir le "En savoir plus...), toutes pleinement respectueuses, toutes légitimes.

 

Le président souligne que je suis effectivement "toujours respectueux", laissant entendre ainsi que c'est un défaut chez moi, le signe d'autres turpitudes peut-être !? Quand on veut tuer son chien...

 

De façon à ne pas laisser la situation trop dégénérée (on en prend le chemin), devant des contestations qui mettent en question mes formulations, j'invite le président à reformuler ma question (que d'efforts il faut déployer et consentir).

 

Le président J. Coconi s'attèle à cette tâche, devant une assistance redevenue plus silencieuse : alors, euh.... l'assemblée générale valide t-elle la possibilité d'exclure un adhérent au motif, euh... au motif qu'il... comment dire... au motif qu'il pose trop de questions ?

 

Un "animal" blessé est deux fois plus dangereux et j'ai mal estimé l'explosivité de la situation.

 

Incapable de contourner autrement tout l'enjeu de ce premier recours que j'intente (peut-on exclure un adhérent sur des motifs totalement farfelus ?), la question que le président Coconi vient de peiner à formuler ne peut aboutir à rien d'autre qu'à me rendre justice en me donnant raison pour invalider cette première exclusion.

 

Peut-on exclure un adhérent au motif qu'il pose trop de questions ? Réponse évidente et incontournable : non !

 

C'en est trop alors pour le bloc de cette assemblée générale, renvoyé à ses propres incohérences, ses propres compromissions, ses propres turpitudes : son esprit de corps avant l'esprit tout court.

 

Et dès lors, c'est la curée.

 

Mme Cassa, désormais debout, occupant largement la scène, sa scène (on a celle qu'on peut), harangue les présents qui n'attendent que cela. Il ne faut pas qu'on rentre dans son jeu, le "on" montrant ainsi qu'il a une bien belle cohésion dans cette assemblée si particulière.

 

Mme Cassa porte désormais la bannière de sa troupe et s'improvise chef d'orchestre, scandant une fulgurance qu'elle vient d'avoir : On s'en fout ! Un premier et dernier vers, tout en poésie, trois syllabes pour recruter au plus large, un cri de guerre qu'ils sont bientôt plusieurs à reprendre : on s'en fout ! On s'en fout ! Un peu dans le genre danse des canards, mais façon hallali !

 

Cette "foule" continue de s'enhardir des liberalités qu'elle s'autorise désormais... et qu'on lui autorise, notamment le président de séance qui n'a aucun geste pour ramener tout ce petit monde à la raison.

 

Ainsi M. Milon (l'homme qui "rapporte" 3 000 € de sponsors à l'association) se lâche, visiblement excédé que l'on tente de se défendre de sanctions injustes : "il commence à me saouler lui !"

 

Désormais dans l'impossibilité de procéder à l'examen de ces recours, ne donnant lieu à aucun examen réel, aucune décision d'aucune sorte, je tente d'arracher au président l'assurance que ces exclusions n'ont pas un caractère définitif, concernant aussi les saisons prochaines, simple prudence puisqu'on n'ose pas même rien imaginer de tel ?

 

Réponse du président, qui n'en finit plus de sourire, c'est la fête au club : "M. Carré, si vous ne nous emmerdez pas trop... on verra à vous autoriser à participer aux tournois !"

 

Le président Coconi vient aussi de perdre pied avec la réalité. Il sombre dans cet océan d'invectives.

 

Comme mes questions "emmerdent" ce président, je reste donc pleinement menacé de sa vengeance, sordire vengeance. Et peu importe si mes différentes inscriptions (tournoi interne, tournoi open, entraînement d'équipe, championnat par équipe) restent légitimes et parfaitement recevables.

 

Débordé par tant d'arbitraire, indigne et inacceptable, la vulgarité venant couronner cette humiliation, je tente alors de prendre à témoin le président du CDOT, confiant dans un regard extérieur et donc plus rationnel : vous entendez le président de l'association qui met entre parenthèses, sous conditions particulières mes droits de licencié de la FFT ? Qu'en pensez-vous ?

 

Ce dernier cède alors visiblement à l'ambiance générale : mais je croyais venir assister à une assemblée générale et ...

Pour être très honnête, je n'ai plus souvenir de la suite exacte de son intervention mais je ne crois pas trahir la pensée de ce monsieur en ayant retenu que j'étais la personne responsable de la tenue exécrable de la dite assemblée !?

 

Je baisse donc la tête et me tais.

 

Que faire d'autre ? Mme Carrel-Torlet ne rajoute-t-elle pas à mon propos : "mais il aime être une victime !"

 

28 - Une adhérente/conseillère municipale m'insulte : Carré ? Un "adolescent attardé !"

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

L'an passé, l'assemblée générale s'était plutôt relativement bien déroulée. Hormis les décisions illégales du président, je n'ai pas souvenir de débordements, de marques d'irrespect. Une adhérente au tempérament... non tempéré était absente. Ceci expliquant peut-être cela ?

 

Néanmoins, me sachant pertinemment en milieu hostile, j'arpente ce genre de réunion avec les plus grandes précautions.

 

Ainsi :

 

- je m'assieds un peu à l'écart,

- je lève le doigt pour prendre la parole,

- je ne prends la parole que si le président de séance, qui est aussi le président de l'association, m'y autorise,

- je ne coupe pas la parole aux autres intervenants,

- je fais d'ailleurs très attention à ne prendre la parole que lorsque les autres adhérents se sont exprimés, en premier,

- je reste vigilant à ne pas intervenir trop longtemps,

- je vais, autant que faire se peut, le plus droit au but,

- je veille à utiliser un langage qui ne soit pas de nature à agacer les présents. Ainsi, je ne dis pas "malhonnête" quand il faudrait le dire mais "pas bien". De même je ne dis pas "mensonge" quand on en débusque un mais "inexactitude", "mauvaise formulation".

- je ne hausse jamais le ton, je ne m'emporte pas alors que j'en aurais toutes les raisons du monde,

- je souligne même quelques qualités des uns ou des autres, même si je n'y crois pas plus,

- chacune de mes interventions est portée par une analyse, des éléments objectifs, des documents, des recherches, de la préparation,

- j'ose prétendre à une certaine expertise, une certaine objectivité,

- je ne réponds à aucune des provocations de Mme Cassa : "Arrête ton cinéma !", etc... une adhérente qui jouit pourtant d'une impunité totale dans ces débordements !? On se demande bien pourquoi ?

- je ne réponds à (quasi) aucune provocation d'un trésorier systématiquement haineux, M. Jacquet, qui pense que ses muscles peuvent être un argument dans un débat (il m'invite à cela durant l'assemblée générale quand je craque et lui suggère d'aller faire un footing pour se calmer),

- j'essaye même de ne pas trop croiser le regard de ces quelques adhérents bien excités.

 

Bref, comme le souligne le président, qui le regrette visiblement, je suis "toujours respectueux", dans la mesure où le débat public concède quelques tournures d'esprit plus corrosives (cf. ma référence à la stratégie de l'autruche sur mon site, par exemple).

 

Aussi, je dois avouer une totale stupéfaction, et je crois pouvoir témoigner de celle de la totalité de l'assemblée, lorsque j'ai entendu cette adhérente/conseillère municipale, sans que je ne lui ai jamais adressé la parole directement durant cette assemblée générale, caractériser ma personnalité en ces termes : "adolescent attardé" !?

 

Une insulte tombant de nulle part, une insulte totalement gratuite, une insulte pleinement indécente, indigne, inacceptable.

 

Je n'ai rien répondu. Que faire ? Répondre à cette dame, en répondant à l'insulte par l'insulte... et c'était mon lynchage assuré, tombé dans la fosse, tout en bas, tous n'attendant que cela !

 

La réaction du président de l'assemblée, également président de l'association ?

 

Aucune !

 

Le règlement intérieur et son article 8, paragraphe C (page 3), stipule pourtant ce genre d'obligations pour les adhérent(e)s :

 

"Une éthique sportive est indispensable au sein du club et les adhérents se doivent de respecter les règles de bienséance, de respect des personnes et de bonne conduite sur les courts et dans l’enceinte des installations mises à disposition de l’association."

 

Un article que le président de l'association se doit de faire respecter.

 

C'est sur la base de cet article que le président aurait pu également signifier à cet autre adhérent que je "saoule" que son vocabulaire ne pouvait être toléré durant une telle réunion, même si cet adhérent "rapporte" 3 000 € de sponsors à l'association.

 

J'ai donc depuis transmis une plainte pour que cette insulte proférée par cette adhérente/conseillère municipale fasse l'objet d'une examen de la part du Bureau, puisque cette adhérente/conseillère municipale s'est ainsi montrée coupable d'un manquement grave en ne respectant pas les préconisations de l'article 8 du règlement intérieur, ce qui doit donner lieu à l'application de l'article 15 par le Comité de Direction, ce fameux article 15 que le président a, un tant soit peu, réécrit.

 

On se rappelle qu'un adhérent s'étant montré également coupable d'insulte envers un autre adhérent, au cours du mandat de ce même président, avait fait l'objet d'une sanction d'une semaine d'exclusion de l'associationcompte-rendu de réunion du 13 mars 2015 étonnamment indisponible sur le site de l'association, alors même que, contrairement à ce que je mettais en pratique quand j'étais secrétaire, le nom de l'adhérent en cause n'est même pas anonymé, apparaissant d'ailleurs clairement dans ces archives des comptes-rendus de l'association (accessibles uniquement aux adhérents) !?). Une sanction forte.

 

On se rappelle aussi malheureusement que cet élu et ses amis n'ont jamais sanctionné d'autres insultes pourtant bien plus graves puisqu'accompagnées de menaces de coups (pour un premier adhérent et un second). Mais les amis se soutiennent toujours et en toutes circonstances !

 

Un président qui a donc ainsi réservé une bonne place au panthéon des présidents qui ne sanctionnent pas les insultes.

 

J'ai alerté un certain nombre des conseillers municipaux pour savoir s'il existait, quelque part, une sorte de code de déontologie de l'élu municipal, qui évoque la nécessité pour un élu de la République à se montrer respectueux des préceptes d'une politesse minimale, considérant l'insulte gratuite comme une sorte d'abandon de la dignité exigée pour être détenteur d'un pareil mandat.

 

J'ai également alerté Madame la procureure de la République de Senlis, qui me renverra sans doute vers la nécessité que j'engage en mon nom une procédure de plainte, mais un courrier dans lequel je ne manque pas de souligner, une fois encore, que le trouble à l'ordre public, voire bien pire encore, n'est contenu que parce que je me résous à souffrir du dommage de cette insulte, une humiliation qui me laisse bien victime, sans aucune circonstance pouvant atténuer la faute de cette élue municipale.

 

J'ai, enfin, diffusé cet incident et ces plaintes auprès des organes de presse locaux.

 

 

29 - Questions au représentant du cabinet comptable Axelle Expertise.

Publication : 16/07/2017 | Mise à jour : 16/07/2017

1 - Et il en pense quoi le représentant du cabinet comptable de cette hausse abracadabrantesque de + 10 000 € ?

On aimerait assurément connaître la réponse du représentant du cabinet comptable sur cette hausse spectaculaire de 10 000 € des recettes propres de l'association alors même que les activités sont équivalentes, voire en baisse par rapport à 2015/2016 !?

Pourvu que l'on ne soit pas destinataire de la réponse passe-partout : la comptabilité d'engagement !

Une comptabilité d'engagement qui devrait expliquer pourquoi deux variations successives à la baisse des inscriptions (adhésions, cours), sur les deux dernières saisons, se traduisent par cette hausse abracadabrantesque de + 10 000 € (+ 17.54 %) des recettes cumulées de ces différentes cotisations pour 2016/2017 ?

Ce représentant du cabinet comptable a indiqué en juin 2016 que sa certification ne valait que dans la mesure où le trésorier remettait des éléments "sincères" et "exacts". En juin 2017, le silence de ce représentant à une question laisse comprendre qu'aucune confrontation entre recettes effectivement perçues (remises en banque) et recettes attendues (fiches d'inscriptions et différents listings), aucune vérification de ce genre n'ont été menées.

On pourrait donc comprendre que sa certification a été abusée par certaines "imprécisions" !?

Une première demande donc simple : que le représentant du cabinet comptable appuie cette demande de création d'une commission de vérificateurs aux comptes qui irait au bout de ces investigations.

 

2 - Des proratas comme une valse folle.

Lorsque, durant l'assemblée générale, j'ai tenté d'obtenir de la part de ce représentant la confirmation de cette "valse folle" des proratas, il a froncé les sourcils, semblant ne pas partager les informations que je mettais en avant concernant l'application de taux différents pour effectuer la répartition sur deux saisons comptables des recettes d'une saison sportive.

Une attitude qui n'a fait que renforcer le discrédit qui pèse sur tout ce que je dis, comme une taxe automatique.

On aimerait donc que le représentant du cabinet comptable Axelle Expertise confirme, ou non, la lecture que je fais des écritures de ce livre des comptes de l'association et de ces taux (proratas) de répartition des recettes ?

Par exemple, sur cet extrait recopié (sauf erreur) du livre des comptes 2015/2016 de l'association, la lecture suivante est-elle correcte ?

 

Compte 70601000

 

L'expression "pca 11994.5x2/10" de la colonne "Débit" signifie-t-elle bien : Produit Constaté d'Avance 11 994.50 € répartis, pour 2/10e (20 %) sur la saison n + 1 (ici 2016/2017), soit 2 398.90 € ?

 

Si cette lecture est la bonne, alors nous avons bien une répartition des "Cotisations à l'École de Tennis" pour 80 % sur la saison n et 20 % sur la saison n + 1.

 

Et tous ces autres taux différents (voir "Les différents taux de répartition...") pour ces autres cotisations !

 

Une valse folle qui rend pleinement illisible, inexploitable le compte de résultats tel qu'il est présenté aux adhérent(e)s !

 

Classes
70601000 Cotisations École de Tennis
Débit Crédit Solde
1 mai 2015 ext pca 2 7 105,00 € -7 105,00 €
5 janvier 2016 RCH Cot. Ecole 5 351,50 € -12 456,50 €
5 janvier 2016 RCH Cot. Ecole 769,00 € -13 225,50 €
5 janvier 2016 RCH Cot. Ecole 5 874,00 € -19 099,50 €
30 avril 2016 pca 11994,5x2/10 2 398,90 € -16 700,60 €
Totaux 2 398,90 € 19 099,50 € -16 700,60 €

 

Extrait du livre des comptes 2015/2016

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Sur ce constat fait à partir des écritures du livre des comptes de l'association, on aimerait ensuite que le représentant du cabinet comptable ne fronce plus les sourcils pour confirmer, malgré tout, les indications que je donnais en assemblée générale sur l'application de plusieurs taux différents pour les répartitions des recettes de la saison sportive sur deux saisons comptables.

Des taux de répartition allant de 80 % / 20% (cotisations École de tennis, cours adultes) jusque 33.33 % / 66.66 % (subvention municipale) en passant par 58.33 % / 41.66 % (adhésions à l'association), voire aucun prorata pour d'autres recettes encore (subvention AVSL Oise, Coupons Sport, CNDS) et ce de manière totalement incohérente parfois !?

Des proratas comme une valse folle où pas un chat n'y retrouve ses petits... !

3 - Des Remises de CHèques ("RCH"), mais pas de versements d'espèces ?

"RCH", on suppose que cela signifie : Remise de chèques ?

Faut-il donc comprendre, à la lecture de ce livre des comptes, qu'il n'y a eu aucune cotisation versée en espèces pour ce compte 70601000 par exemple ("Cotisations à l'École de tennis") ?

 

Classes
70601000 Cotisations École de Tennis
Débit Crédit Solde
1 mai 2015 ext pca 2 7 105,00 € -7 105,00 €
5 janvier 2016 RCH Cot. Ecole 5 351,50 € -12 456,50 €
5 janvier 2016 RCH Cot. Ecole 769,00 € -13 225,50 €
5 janvier 2016 RCH Cot. Ecole 5 874,00 € -19 099,50 €
30 avril 2016 pca 11994,5x2/10 2 398,90 € -16 700,60 €
Totaux 2 398,90 € 19 099,50 € -16 700,60 €

 

Extrait du livre des comptes 2015/2016

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Ou faut-il comprendre que l'expression "RCH" inclut les versements en espèces ? On peut penser que ces deux types de remises doivent faire l'objet de lignes séparées pour des opérations de natures différentes ?

Pour sûr que disposer d'une copie de ce livre des comptes pourrait permettre de se faire une idée de ce fonctionnement avec l'exemple des autres comptes.

Mais ça, le président le refuse catégoriquement préférant nourrir cette suspicion qu'il regrette ensuite !?

4 - Consulter le livre des comptes 2016/2017, seul moyen de connaître la situation financière réelle de l'association.

Une première demande à ces deux responsables pour pouvoir consulter et obtenir une copie de ce document.

En effet, cela reste le seul moyen pour avoir connaissance des recettes réelles de l'association sur la saison sportive (sept à août).

Une obligation pourtant pour le trésorier de l'association qui doit bien rendre compte d'une réalité (la saison sportive) et non d'une virtualité (ces saisons comptables).

L'application que les élu(e)s de l'association, ou le cabinet comptable (?), font de la comptabilité d'engagement aboutit en effet à l'impossibilité pour les adhérent(e)s d'avoir une image exacte de la réalité financière d'une saison sportive, la seule qui ait une pertinence pour notre association et les décisions à prendre en assemblée générale. Une situation d'aveuglement forcé, imposée à l'ensemble des adhérent(e)s qui approuve donc, les yeux fermés, la tenue des comptes pour une situation pleinement virtuelle, totalement déconnectée de la réalité financière de l'association. Un comble, assurément une faute.

Rendez-vous donc, peut-être, dans 11 mois, pour quelques rares minutes d'une consultation sans copie.

 

J'ai, durant toute la saison 2016/2017, sollicité des réponses de la part du cabinet comptable Axelle Expertise. Son représentant n'aura eu de cesse que de se défausser.

Même lorsque le Comité lui aura laissé la possibilité de me répondre enfin précisément sur ce genre d'interrogations pour un compte de résultats plus que troublant, ce représentant du cabinet comptable aura refusé d'assumer complètement cette mission que lui a confiée l'association : tout mettre en oeuvre pour que la sincérité et l'exactitude des comptes de l'association puissent être démontrées suffisamment précisément.

Compte-rendu de la réunion du Comité d'octobre 2016 (page 6) : "Christophe Carré [peut] se rapprocher du cabinet comptable, qui répondra s'il le juge opportun".


M. le représentant du cabinet comptable Axelle Expertise, avec un compte de résultats 2016/2017 encore plus aberrant que celui de 2015/2016 (qui était déjà une pièce remarquable), ne croyez-vous pas qu'il est plus que "opportun" que vous jugiez nécessaire de fournir les précisions que l'on est en droit d'attendre de votre part dans le cadre de cette mission que vous a confiée l'association ?

 

 

30 - Le président retranché dans son fortin : article 14, article 14, scande-t-il en niant les évidences !

Publication : 16/07/2017 | Mise à jour : 16/07/2017

Lorsque j'évoque mes questions d'intérêt général et notamment cette première question (page 12) sur l'impossibilité décrétée de façon totalement arbitraire par le président de l'association pour voir organisées les élections intermédiaires au Comité de Direction, ce même président indique qu'il reste sur sa même réponse en s'en tenant au contenu de l'article 14 et notamment ce passage : "En cas de vacance d'un des membres du bureau, le Comité pourvoira au remplacement de ce membre, par bulletin secret à la majorité absolue."

Or cette indication du "bureau" dans ce paragraphe est une coquille, une erreur dans ces statuts. Tout le confirme ! L'évidence, la réflexion, la logique... tout, sauf l'interprétation totalement opportuniste d'un président barricadé dans son fortin, apeuré de devoir se confronter à un élu indépendant, au "vif esprit critique". Un défaut dans cette association.

Le président de l'association refuse donc de reconnaître que si ce paragraphe concernait effectivement le remplacement d'un des membres du "bureau" comme il le prétend, et que ce n'était pas une coquille, une erreur comme je l'affirme, alors :

1- Ce paragraphe ne serait pas dans l'article consacré à "l'élection du Comité de Direction", "l'élection du Bureau" faisant l'objet de l'article suivant, l'article 15 !?

2 - Il n'y aurait aucun besoin de "procéder [au] remplacement définitif par la prochaine Assemblée Générale", comme le précise pourtant cet article 14, puisque les trois membres du "Bureau" ne peuvent être élus... que par les membres du Comité qui, eux-mêmes, ne peuvent être élus que... par une assemblée générale !?

3 - Lorsqu'on lit ce même passage dans les statuts de 1999, on ne trouverait pas cette expression on ne peut plus claire sur cette volonté de pouvoir compléter le Comité lorsqu'il compte moins de 12 membres !? "En cas de vacance, le Comité pouvoira au remplacement par la prochaine assembée générale". Il n'y a eu aucune volonté de modifier, dans un sens ou dans l'autre, le contenu de cet article, avec le vote des nouveaux statuts. A l'évidence, il s'agit d'une coquille.

Tout est dit dans ces statuts de 1999 concernant ce principe, et ne comprend pas que celui qui confond cette association... avec sa propriété, son chateau fort.

4 - Même si on suit ce président dans sa tour d'ivoire, pour ne pas voir cette coquille, rien d'autre n'interdit la tenue de ces élections intermédiaires dans les statuts de l'association.

5 - C'est ne tenir aucun compte de la jurisprudence de l'association qui affirme et impose l'organisation d'élections complémentaires d'un Comité de Direction incomplet.

6 - Il faudrait que J. Coconi n'ait jamais participé à ce genre d'élections complémentaires, ce qu'il a pourtant fait, régulièrement, en parvenant même ainsi à rassembler des amis (notamment par l'élection de S. Legay).

 

Un président, qui est assurément pleinement conscient que sa décision est totalement opportuniste et toute personnelle, est donc un président fautif d'avoir transformé ce Comité de Direction en fortin, une enclave à l'expression démocratique, un monde où il faut, par tous les moyens, empêcher un candidat trop curieux, de venir compléter un Comité restreint à des membres, pour le coup, très peu curieux, bien trop peu, c'est le moins que l'on puisse dire.

Cette barricade dressée arbitrairement par ce président autoritaire est assurément une volonté indigne.