Publication : 21/06/2017 | Mise à jour : 21/06/2017

 

3 - Pour rejeter mes recours devant l'AG ? Il n'y qu'à bidouiller le règlement intérieur ! Aussitôt dit, aussitôt fait de la part des trois membres du Bureau, qui n'en sont pas à un mensonge près !

 

Publication : 21/06/2017 | Mise à jour : 21/06/2017

 

Dans l'ordre du jour transmis aux adhérents pour la prochaine assemblée générale du 30 juin 2017 et transmis à l'ensemble des adhérent(e)s par courriel le 17 puis 19 juin (des fois qu'on bégaie), le président J. Coconi a décidé d'un rajout au texte que j'ai transmis concernant trois recours contre les trois exclusions dont j'ai été l'objet cette saison. Ces deux paragraphes en vert qui sont censés être la "bonne version" de l'article 15.

Et une nouvelle fois le président J. Coconi utilise le mensonge. Il est accompagné en cela par les deux autres membres du Bureau : T. Jacquet, le trésorier et K. Breton, la secrétaire. Trois élu(e)s qui signent cette "note" mensongère !

Déjà le président J. Coconi et la secrétaire ont diffusé un mensonge en octobre 2016 dans une citation qui est présentée comme un propos que j'aurais tenu, une citation pleinement imaginaire, pourtant consignée dans un compte rendu de réunion du Comité et mis à la disposition de l'ensemble des adhérents qui doit ainsi comprendre que je suis un personnage pleinement excessif...

Depuis, le président J. Coconi et la secrétaire de l'association ont de de nouveau diffusé un mensonge, un très gros, dans le procès verbal de l'assemblée générale de juin 2016 en affirmant que la dite assemblée avait "validé le projet de création de courts tout temps" pour ensuite aller faire voter le conseil municipal sur un financement qui n'est pourtant pas voté par l'association...

Et voilà que le trésorier de l'association T. Jacquet rejoint le président et la secrétaire pour encore diffuser un mensonge au nom du Bureau, qu'ils constituent ensemble, pour se livrer à leur autre exercice favori : tout faire pour ne jamais avoir à répondre de leurs décision. La politique de l'autruche... mais une autruche qui aurait aussi la capacité à user de méthodes immorales pour parvenir à ses fins.

En prétendant que la possibilité d'un recours n'est possible que pour la "radiation" (paragraphe rajoutée l'an passé dans le règlement intérieur à l'initiative du président J. Coconi qui n'en finit plus de renforcer "l'état d'urgence" au sein du club), le président J. Coconi et les deux autres membres du Bureau de l'association diffusent un nouveau mensonge en oubliant très volontairement que le recours est une possibilité qui existait bien avant ce rajout sur mesure de l'an passé.

N'en déplaise à ces élu(e)s qui bidouillent le règlement intérieur à leur sauce, un paragraphe concernant les recours possibles qui reste donc toujours à sa place, bien disctinct, plus que jamais s'appliquant aux différentes sanctions décidées par le Comité de Direction, dont "l'avertissement, l'exclusion temporaire ou définitive".

Autant de mensonges, autant de méthodes indignes et inacceptables au service d'une présidence qui ne souffre pas de contestations, d'aucune sorte.

Et pourtant je gage que ce enième argument mensonger du président J. Coconi suffira, une nouvelle fois, pour écarter d'autorité mes trois recours du moindre examen de la part de l'assemblée générale. Une assemblée qui confirmera les yeux fermés l'instruction et la sentence prononcée par le maître incontesté et incontestable des lieux... le président J. Coconi.

 

1 - Recours irrecevables selon les membres du Bureau

 

Voici ce rajout (en vert) qu'on trouve, intercalé dans le texte présentant mes recours, un ensemble présent dans l'ordre du jour officiel transmis aux adhérents pour cette assemblée générale du 30 juin 2017 (page 8).

 

 

Les trois membres du Bureau font visiblement la démonstration suivante : mes recours ne sont pas valables et ne seront donc pas examinés par l'assemblée générale parce que la possibilité d'un recours n'est ouverte que pour une mesure de "radiation" : "(NOTE DU BUREAU : L'alinéa intégral concerné de l'article 15 cité par M. Carré est le suivant et concerne la radiation d'un membre de l'Association".

 

Les trois membres du Bureau en présentent comme preuve que cette possibilité d'un recours décrite dans le réglement intérieur ("L'intéressé, invité à fournir ses explications préalablement à toute décision, pourra exercer un recours auprès de l'Assemblée Générale Ordinaire" (article 15 du règlement intérieur)) n'est réservée que pour la sanction de "radiation" puisque cette phrase est la dernière phrase d'un seul et monolitique paragraphe qui concerne les conditions d'une "radiation".

 

En ayant fait l'objet "d'exclusions", je ne suis donc pas "radié" de l'association. Pas de "radiation", pas de "recours" possible pour mon cas. CQFD !

 

2 - La version de l'article 15 du règlement intérieur validée par l'assemblée générale de juin 2016.

 

Voici la version de l'article 15 du règlement intérieur (page 5) tel qu'il existait avant les interventions très opportunes du président en place :

Et voici la proposition de modification transmise à l'assemblée générale du 17 juin 2016 et qui reste bien la seule version votée par cette assemblée générale, une version disparue du site de l'association mais encore disponible sur mon site (page 5).

 

Au besoin cette version, escamotée du site de l'association, pourra être retrouvée dans les archives courriels de la propre messagerie de chaque adhérent un peu curieux (ordre du jour de l'assemblée générale du 17 juin 2016).

 

 

On retrouve d'ailleurs cette nouvelle version, non traficotée, dans le procès-verbal officiel de cette assemblée générale, sur le site de l'association (page 8) (mais jusqu'à quand avant bidouillage ?), et sur mon site (page 16).

 

Ainsi, en jaune ci-dessous, on repère pleinement ce rajout, cette modification qui s'intercale et reste bien distincte du dernier paragraphe précisant les conditions d'un recours.

 

Les trois points clotûrant ce paragraphe laissent ouverte la porte à d'autres "motifs" de radiation, des fois qu'il faille en inventer de nouveau, à la tête du client, pour m'interdire de dévoiler d'autres dysfonctionnements de cette association :

 

 

3 - La version traficotée de l'article 15 par les trois membres du Bureau : le président, le trésorier, la secrétaire.

 

Voici donc désormais la seule version actuellement disponible sur le site de l'association (page 4), une version pleinement mensongère dans sa mise en page et qui ne correspond pas au texte voté par l'assemblée générale de juin 2016.

 

 

Et cette version montre bien, de façon ô combien spectaculaire, toute la duplicité dont sont capables ces trois membres du Bureau de l'association, le président J. Coconi, le trésorier T. Jacquet et la secrétaire K. Breton.

 

En accolant ces deux derniers paragraphes de l'article 15 pourtant clairement distincts dans la proposition de modification du règlement intérieur et la version adoptée par l'assemblée générale de 2016, le président J. Coconi et les deux autres membres du Bureau font ainsi croire, de façon totalement mensongère et indigne, que la possibilité d'un "recours" n'est réservée que pour une sanction telle que la "radiation".

 

 

Une version mensongère de cet article 15 du règlement intérieur au service des échapattoires du président J. Coconi et des membres du Bureau de l'association qui n'hésitent donc pas à modifier les textes officiels de l'association pour qu'ils servent leurs lamentables desseins.

 

4 - Une vérité demeure : mes recours sont pleinement recevables !

 

Qui peut ne pas se convaincre que pour toute sanction, le principe même de la justice fait que l'on rend possible le recours, une seconde procédure "en appel", la confirmation ou non de la sanction devant une seconde juridiction, une juridisction présentant une souveraineté plus grande, plus incontestable, non soumis à l'arbitraire de magistrats locaux, pas forcément pleinement indépendants ?

 

C'était tout le sens de ce paragraphe sur la possibilité d'un "recours" présent depuis... toujours dans le règlement intérieur de l'association.

 

Qui peut se compromettre et ne pas dénoncer la manipulation des élu(e)s du Bureau pour justifier que la possibilité d'un "recours", qui se rapportait jusque là à chacun des trois types de sanctions décidées par le Comité de Direction ("avertissement", "exclusion temporaire", "exclusion définitive") serait désormais limitée au seul cas "d'exclusion définitive", c'est à dire de "radiation" ? Qui est capable d'un raisonnement aussi inepte ?

 

Avec cette vile manoeuvre des élu(e)s du Bureau, assurément une très lourde faute, sans doute même un délit tel que l'entendent les tribunaux, c'est bien la confirmation spectaculaire que les sanctions qui m'ont été infligées ont un caractère illégal, injuste, indigne.

 

Quel plus bel aveu que ces filouteries ainsi mises en oeuvre par le président J. Coconi et les membres du Bureau ?

 

 

Pour les autres mensonges de J. Coconi, voir les liens suivants :

 

- Compte-rendu de la réunion du Comité de Direction du 21 octobre 2016 : "détournement"

 

- Procès-verbal de l'assemblée générale de juin 2016 "validation du projet de création de courts tout temps"

 

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Questions aux élu(e)s du Comité :

 

Mes recours font visiblement très peur aux élu(e)s du Bureau. Des élu(e)s totalement effrayés d'avoir à assumer les trois sanctions qui m'ont été infligées cette saison, trois exclusions pour des motifs aussi farfelus et aussi illégaux qu'indignes.

 

Pour ne pas avoir à assumer devant l'assemblée générale le caractère injuste et illégal de ces trois sanctions, les trois élu(e)s du Bureau n'ont pas hésité à falsifier un article du règlement intérieur, l'article 15, en effectuant une modification de sa mise en page afin de, insidieusement, rogner les implications de cet article 15 et bloquer avant examen mes trois recours.

 

Ainsi, ces trois élus n'ont pas hésité à diffuser à l'ensemble des adhérents cet écrit modifié volontairement, de façon pleinement mensongère, pour défendre l'idée que mes recours ne sont pas recevables (cf. "note du Bureau"), un écrit diffusé dans l'ordre du jour officiel de la prochaine assemblée générale de juin 2017.

 

Écrire un faux, utiliser un faux en écriture, autant de faits qui sont graves, très graves et qui sont à sanctionner.

 

3.1 - Mme Milon, M. Audouin, M. Caron, M. Chambon, M. Fleury, allez-vous laisser Mme Breton, M. Coconi, M. Jacquet utiliser un écrit aussi gravement mensonger et vous compromettre définitivement dans des méthodes aussi détestables ?

 

3.2 - A votre avis, comment la justice qualifierait-elle des méthodes aussi particulières : écrire un faux règlement intérieur et diffuser un faux réglement intérieur dans le but de bloquer mes recours ?

 

3.3 - Jusqu'où peut-on mentir quand on est détenteur d'une autorité quelconque ? La moralisation de la vie de cette association n'est, elle, pas d'actualité ?

 

3.4 - Qui d'entre vous peut ne pas se convaincre qu'il y a là un fait extrêmement grave qui pourrait rentrer pleinement dans le cadre de ces précisions voulues par le président J. Coconi et votre Comité : "des faits et actes mettant en danger l'association" ?

 

3.5 - Et, dans la mesure où vous n'auriez pas été tenus informés de ces bidouillages de dernière minute, pourquoi ne pas faire jouer cette ridicule disposition, mais pourtant pleinement pertinente ici, disposition pour réprimer "la diffusion intempestive d'informations auprès des membres de l'association [...] sans accord préalable du Comité de Direction" ?

 

3.6 - Pour les faits établis à l'encontre des trois élu(e)s du Bureau, je souhaite que le Comité de Direction se prononce sur une décision de révocation concernant chacun des trois membres du Bureau.

 

3.7 - Je vous fais la demande expresse que soit transmis un message correctif à l'ensemble des adhérents. Nous ne parviendrons sans doute jamais à nous mettre d'accord sur ce texte. Mais il parait comme inconcevable de ne pas mentionner les éléments suivants :

 

- les trois élu(e)s du Bureau ont diffusé un extrait de l'article 15 du règlement intérieur de l'association qui ne correspond pas à la dernière version effectivement votée par les adhérents présents à l'assemblée générale du 17 juin 2016.

 

- les trois élu(e)s du Bureau ont regroupé volontairement, dans un dessein très opportun (bloquer mes recours), deux paragraphes pourtant disctincts et exposant chacun des prérogatives spécifiques.

 

- les recours que j'ai déposés sont parfaitement recevables, parfaitement conformes à ce dernier paragraphe de l'article 15, et, par conséquence, auront une pleine légitimité à faire l'objet d'une délibération en assemblée générale.

 

Ne pas diffuser ce "correctif" constitue une grave atteinte à ma démarche, contribuant fortement à instaurer ce climat où l'on s'accorde, le plus normalement du monde, pour ne pas me reconnaître des droits pourtant inaliénables en tant qu'adhérent de cette association.