1 - Ne pas entretenir la terre battue : la meilleure façon de justifier sa transformation en... "terre battue artificielle" ?
Publication : 21/06/2017 | Mise à jour : 21/06/2017
Quoi de mieux pour "vendre" aux adhérents le projet de "terre battue artificielle" que de tout faire pour démontrer que le court en terre battue est un problème ?
C'est tout d'abord la date d'ouverture pour un court mis à disposition des adhérents seulement le 14 juin pour cette saison 2017 et c'est assurément un record pour une ouverture aussi tardive dans la saison !? Quand ailleurs les courts en terre battue sont déjà jouables depuis plus d'un mois et demi, on se dit bien que faire ce qu'il faut pour réduire à peau de chagrin la durée d'utilisation de ce court est un argument dont on pourra toujours se servir.
C'est ensuite l'absence de moyens d'entretien suffisants depuis sa rénovation. Achevé le 10 juin, ce court meurt de soif littéralement dès le 14 juin et présente des crevasses jamais vues, des crevasses qui traduisent l'état catastrophique des couches essentielles ainsi "assoiffées" jusque dans leur partie la plus profonde.
C'est enfin la communication en direction des adhérents, une communication inexistante pour tout d'abord annoncer la mise à disposition de ce court. Et bien évidemment strictement rien sur les contraintes à respecter pour l'utilisation de ce court et assurer la perennité de la surface de jeu.
Jugez-en plutôt : le tuyau d'arrosage... était un assemblage de deux bouts de tuyaux, ce qui fait que le raccord nécessaire entre ces deux bouts, fuyait abondamment, inondait et dégradait les parties du court où il reposait. La lance d'arrosage, d'une utilisation plutôt malaisée, propose toujours un volume d'eau insuffisant, alors même que l'arrivée d'eau est d'une section importante. Là encore, les fuites rendaient l'arrosage des plus pénibles, des plus malaisés, on en sortait, au mieux, trempé.
Depuis, Jacky CARON, toujours présent, a remis en état ce qui pouvait l'être mais sans miracle pour un arrosage toujours plus que problèmatique, impropre à permettre un entretien suffisant de ce court, assurément la meilleure façon pour que les adhérents ne le fassent pas correctement.
Et pourtant, des solutions sont possibles, des solutions à moindre coût.
Oui mais voilà, il ne semble pas que le bon état de ce court soit une priorité. Il faut dire que les organisations de la "fête" du club, du loto de septembre et sa tombola délirante, en attendant la couscous party, la patinoire apéritif dinatoire, la crêpe surprise, etc... mobilise toutes les énergies des responsables festifs de cette association. On a les priorités qu'on veut.
Comment fonctionne un court en terre battue ?
Quatre couches dans un court en terre battue :
- Couches 1,2 : la fondation, des cailloux, de granulométrie différentes, qui vont permettre un bon drainage du court.
- Couche 3 : le machefer (résidus de houille qu'on peut aussi le remplacer par de la pouzzolane, roche d'origine volcanique) est le matériau qui va permettre de constituer une réserve d'eau qui pourra être restituée à la couche supérieure selon ses besoins.
- Couche 4 : le craon (chape calcaire) qui va véritablement être la surface de jeu, compacte mais pas bêtonnée, tout l'art d'une bonne terre battue.
- Couche 5 : le rouge (la brique pilée) qui reste la plus fine couche (2 mm). Une couche qui doit remédier à l'éblouissement d'un court tout blanc (calcaire) et qui assure aussi les glissades.
Bref un court en terre battue, c'est un fonctionnement à mettre au point entre ces quatre couches. Il faut de l'eau au niveau 3, mais pas trop (niveaux 1 et 2), pour qu'au niveau 4 le calcaire reste compact et que le niveau 5 reste bien de la brique pilée et... rien que de la brique pilée !
Qu'un désordre intervienne dans l'une de ces quatre couches... et c'est la catastrophe !
Quel entretien pour un court en terre battue ?
L'apport en eau est crucial. Pas d'eau, le craon s'effrite, le rouge s'y mélange, donnant un conglomérat poussièreux qu'on ne parviendra plus à rendre compact.
Une règle d'or : l'arrosage du soir (jours ensoleillés). Il est vital d'arroser ce court pour permettre au craon de garder toute sa cohérence. Il est vital d'arroser ce court pour constituer, dans la couche du machefer, une réserve d'eau qui sera captée par le calcaire au fur et à mesure de ses besoins.
On peut aussi arroser en journée mais dans la mesure où cet arrosage restera bref (on est tous pressés de jouer) et avec 90 % d'évaporation quasi immédiate (sec après 5 minutes), cet arrosage reste un arrosage de confort, loin des besoins du court.
Et qu'en est-il de l'entretien de l'unique court en terre battue du club ?
Sans arrosage du soir, pas de salut pour un court en terre battue. Et faute de cet opération d'entretien qui n'est jamais effectuée, le court en terre battue du club est déjà dans un état de dégradation inquiétant, à peine quelques jours après sa rénovation et sa mise à disposition des adhérents !
Pour être honnête, voilà vingt ans que les différents responsables (dont j'ai fait partie) se montrent incapables de trouver une solution pleinement satisfaisante, pleinement pérenne.
Sauf qu'avant... on essayait !
Dès son ouverture mercredi 14 mai, ce court présentait déjà des signes d'assèchement avec des crevasses sur toute sa partie nord.
J'ai passé plus d'une heure à tenter, ce mercredi soir, d'arroser à saturation, comme il se doit, ce court. Peine perdue. A peine ai-je réussi à humidifier superficiellement les deux zones de jeu, sans jamais parvenir à saturation.
Il faudrait passer au moins 45 minutes sur chaque côté de ce court pour parvenir à un arrosage à saturation. 1h30 pour l'ensemble du court !
Et dès le samedi, nos fameux petits tas de poussière se répartissaient de ci de là. Des paquets qui sont les résultats d'un mélange entre l'effritement de la chape calcaire (ce ne sont pas les petits points blancs, phénomène normal pour un court neuf) et la brique pilée. Un conglomérat qui ne présentera plus aucune capacité à se compacter prochainement.
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En l'état actuel des moyens mis à disposition, il est impossible d'assurer convenablement l'entretien de ce court !
Des solutions pour entretenir convenablement ce court ?
Je m'autorise ces quelques suggestions pour ce matériel (peu coûteux) et ces dispositifs :
1 - Il faudrait deux tuyaux d'arrosage, suffisamment longs pour ne pas nécessiter de raccord et permettant également de se positionner dans le sens du vent (avec le tuyau en place, on n'arrive même pas à moitié de moitié de court) et éviter le refoulement par journée venteuse ! L'un de ces tuyaux peut-être branché sur l'arrivée d'eau du court et servir aux arrosages de journée notamment. Pour l'arrosage à saturation du soir, par contre, il faudrait installer un second tuyau branché sur une arrivée d'eau autre (il me semble qu'il y en a une à proximité du vestiaire football).
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2 - Pour permettre l'utilisation de ces deux branchements, le responsable désigné doit disposer de la clef du cadenas de la porte du fond du court n°2 (un peu bête d'avoir soudé la porte du fond du court n°1). D'ailleurs, pourquoi fermer cet accès ? Ce n'est assurément pas par là que les fraudeurs vont passer (proximité de la maison du gardien) !
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3 - Peut-être opter pour des raccords cuivres qui devraient moins fuiter à la longue (?).
4 - Ces deux branchements pourraient permettre d'installer deux arroseurs oscillants (50 € pièce), diminuant de moitié le temps nécessaire à cette arrosage à saturation. La durée de cette intervention restant une contrainte à réduire au mieux.
5 - Les rampes d'arrosage pourraient être disposées sur les côtés de chaque court et non sur la surface de jeu, avec un arrosage d'un quart du court à la fois, une position que l'on intervertira au bout d'une vingtaine de minutes (voire un investissement dans 4 de ces arroseurs si l'expérience est probante). Cette disposition évitera les inondations au pied de ces arroseurs, sur la surface de jeu même (les raccords fuient toujours un peu).
Le TC Creil, qui vient de refaire entièrement six courts en terre battue traditionnelle, a mis en place ce genre d'équipement. Un investissement qui semble aussi à portée du TC Crépy en Valois et ses 160 000 € de trésorerie !
5 - Resterait la question épineuse du responsable de cet entretien. Plusieurs pistes dont celle du gardien du stade municipal et donc gardien... des installations municipales de tennis ! On ne peut pas dire pour l'instant que ce gardiennage des installations municipales de tennis soit une charge pour la commune ! Mais aussi la possibilité de l'intervention d'adhérents volontaires, voire de jeunes du club, voire un planning répartissant les interventions d'un petit peu toutes ces personnes, quitte à indemniser cette astreinte.
6 - Une autre difficulté étant de gérer les horaires de cet arrosage du soir avec les réservations des adhérents, un arrosage qui ne rend plus praticable le court après coup, quitte là encore à imposer la fermeture de ce court à partir de 21h, voire 20h.
Il faut bien pouvoir se donner les moyens de cet entretien. Et c'est ça... ou la Bérézina !
7 - Et enfin, un investissement dans deux balais ad hoc, une façon d'optimiser le temps d'intervention des adhérents entre deux réservations ! Pour l'instant un unique balai de ménagère (ceci dit sans être le moins du monde condescendant avec les ménagères) !
Finalement, pourquoi ne pas remplacer ce court par un court "tout temps" ?
Évidemment, on est bien tenté de se dire qu'avec toutes ces contraintes, on n'en aura plus du tout avec un court qui ressemblerait à une terre battue, sans pour autant en être une, un court "sans entretien", une "terre battue artificielle".
Mais on peut aller lire tous les articles sur le sujet, si l'on étend son champ d'investigation à autre chose qu'à la plaquette commerciale du vendeur de ces surfaces dites "sans entretien", on s'aperçoit que le "sans entretien" reste bien un mythe ! Comme le confirme le Tennis Infos, il n'existe pas de surface "sans entretien".
On pourra finir de s'en persuader en allant lire également ces précisions.
Et si l'entretien d'un court en terre battue traditionnel présente un coût annuel d'entretien plus visible parce que régulier, chaque année, c'est assez vite oublier que le coût de la rénovation/entretien d'un autre court, tous les 10/15 ans, s'élève à des montants autrement plus conséquents. Et, au final, les budgets nécessaires présentent bien des amortissements pleinement comparables, voire à l'avantage d'un court en terre battue !
C'est aussi ne pas tenir compte de l'impact environnemental de la mise en oeuvre et de l'entretien de ces surfaces "sans entretien", quand une terre battue n'utilise, elle, que des apports naturels.
Quant à la notion de court "tout temps", c'est être au mieux bien dupe, au pire parfaitement de mauvaise foi que de croire une seule seconde en cette sornette commerciale ! (voir "toutes les raisons pour rejeter ce projet de courts extérieurs "tout temps").
A signaler la lecture très intéressante également du site de Bruno Renoult et l'Association pour le Développement de la Terre Battue (notamment sur ces surfaces miracles dites faussement "tout temps") :
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Question aux élu(e)s du Comité :
1 - Pourquoi les élu(e)s du Comité ne prennent-ils pas à bras-le-corps cet enjeu de l'entretien du court en terre battue (à l'évidence, rien n'est tenté alors que des solutions sont à mettre en oeuvre) ?
2 - Le tournoi jeunes : l'image désolante de la politique sportive des élu(e)s de l'association !
Publication : 21/06/2017 | Mise à jour : 21/06/2017
Tournoi jeunes homologué du club, version juin 2017 : 36 inscrits ! Un record dans le moins ! Un record en plus !
Il est ainsi des évolutions qui traduisent de façon spectaculaire le bilan des élu(e)s en place. Et si l'on n'a pas attendu une image aussi évidente de l'absence de politique sportive de la part de ces élu(e)s, il faut redire combien, depuis plusieurs années maintenant, on a pu dénoncer ces dérives comme l'abandon des missions premières de cette association.
Ainsi la deserrance qui frappe ce tournoi open jeunes, qui n'est plus que l'ombre de lui-même, reste un curseur qui en dit long sur le bilan de ces élu(e)s : la pratique du tennis n'est plus l'objet de cette association !
En 2010, on pouvait lire à propos du tournoi jeunes de l'époque : "un bilan très positif du point de vue du nombre." Effectivement, on atteignait à cette époque la centaine d'inscrits ! On en était même réduit à prévoir de limiter les inscriptions pour la version 2011 ! Jusqu'en 2014, une politique volontariste de l'association se concrétisait par un tarif préférentiel pour les jeunes licenciés crépynois (5 € au lieu de 8 €) assurant ainsi, entre autres mesures, le succès de cette épreuve.
Mais depuis 2015 (tiens, cela correspond avec la date de ma révocation), rien, aucune décision des élu(e)s du Comité pour poursuivre une telle politique sportive en direction des jeunes adhérent(e)s. Bien au contraire !
Et 2015... c'est bien le début de la fin avec 38 inscrits. 2016 confirme cette tendance uniquement crépynoise : 45 inscrits quand, au TC Creil, un exemple parmi tant d'autres, le tournoi jeunes en accueille 180 !
On attend donc avec impatience la réaction du président pour ce record par le bas : 36 inscrits en juin 2017 (voire même 35, un même joueur étant inscrit dans deux tableaux différents) !
Un bilan sur les trois dernières années de la présidence de J. Coconi qui s'avère donc pleinement catastrophique pour ce tournoi jeunes... à moins que ce président ne trouve encore d'autres coupables pour se dédouaner de ces échecs, lui et les membres du Comité de Direction ?
Ainsi, vite, vite... soyons ébahis sur le bilan des animations, des soirées gastronomiques, des sorties et des fêtes du canard, ravissons-nous sur celles à venir... pour se bercer dans l'illusion d'une association qui fonctionne correctement !
En juin 2010 (page 3) , le Comité se félicite de l'organisation du tournoi jeunes, allant même jusqu'à limiter le nombre d'inscrits pour la version 2011 !
Jusqu'en juin 2014 (page 5), le tournoi jeunes acceuille une centaine d'inscrits, bon an, mal an.
Normal, on en fait la promotion avec de belles affiches (elles ne sont pas belles mes affiches ?), et l'on propose aux jeunes crépynois un tarif préférentiel (5 € au lieu de 8 €) !
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Des dispositions simples à mettre en place et qui sont de nature à assurer le succès de cette épreuve. Des dispositions comme la partie émergée d'un iceberg avec plus de 40 enfants encore aidés par le club en 2013.
Bon c'est vrai qu'en juin 2013 elle fait un peu plus peur cette première version de l'affiche "jeunes". Ce premier jet montre aussi qu'il faut encore combattre pour défendre ce tarif préférentiel pour les crépynois ! Rendez-vous compte, 3 € en moins pour... au mieux une cinquantaine de crépynois, cela aurait fait tout de même possiblement 150 € en moins dans les caisses du club ! 150 € pour un résultat excédentaire net de l'exercice de cette saison là de + 13 270.35 € et une trésorerie de + 117 868.35 € !
C'est là qu'on voit tout de suite tout le sérieux des responsables du club qui vont me révoquer un mois plus tard ! Un manque à gagner de... 150 €, au bénéfice des plus jeunes adhérents de l'association ? De la pure folie !
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En juin 2015, je suis placardisé et c'est la rupture totale avec les saisons précédentes. C'en est finit de la centaine d'inscrits pour un tout autre bilan à faire sur ce tournoi jeunes de l'association : 38 inscrits ! Des inscriptions qui s'effondrent spectaculairement. Un premier "accident" qui aurait du être un électrochoc pour des élu(e)s en charge de la pratique du tennis dans l'association, notamment en direction des jeunes adhérents !?
Et surtout il faut n'y voir aucun lien avec le fait que ces élu(e)s ont décidé, la même année, de ne plus aider que... 17 jeunes (10 % de l'effectif) quand on en aidait encore 49 (26 % de l'effectif) trois saisons auparavant !
Et bien évidemment je soulève toutes ces questions sur la disparition du tarif préférentiel pour les jeunes licenciés crépynois (5 € au lieu de 8 €), toutes ces questions sur la communication en direction de ces enfants avec aucune affiche au sein du club, toutes ces questions sur la politique sportive bêtement élitiste... autant de réflexions qui mettent en lumière le sabordage de cette épreuve, autant de questions jamais examinées en assemblée générale !
2015, la réaction du président de l'association, terriblement gêné sur ce constat, sera même d'essayer de rendre responsable le juge-arbitre de l'époque (le stagiaire BE, K. Figiel) pour cette session inquiétante, en rupture avec la réussite affichée jusque là !
Juin 2016 (page 9), force est de constater un deuxième échec avec seulement 45 inscrits ! Ce deuxième bilan catastrophique ne sera suivi d'aucune autre décision pour mettre en oeuvre une politique plus volontariste des élu(e)s du club et ne pas se résoudre à cette fatalité de voir ce tournoi jeunes culminer désormais à une petite quarantaine d'inscrits, deux fois moins que les saisons antérieures !
Mais attention, plus question de demander des comptes au juge-arbitre. Le constat d'échec est le même mais dans la mesure où le nouveau juge-arbitre (P. Carrel) est un proche du président comme l'on sait trop bien... plus question de faire porter cet échec sur le juge-arbitre ! Le président Coconi sait garder à l'esprit les vrais enjeux de l'association. Ceci dit en reconnaissant pleinement au juge-arbitre actuel (P. Carrel) une réelle bonne volonté, du dévouement et de la passion pour animer cet évènement, autant que faire se peut.
Persiste tout de même... l'action du Comité de Direction, totalement passif sur cette question. Un Comité de Direction sans doute débordé par ses animations festives dont il croit être en charge pour les démultiplier et résumer l'association à ce village gaulois d'une vingtaine de familles.
Une chose est sûre, depuis 2015... aucune nécessité à prévenir que le nombre d'inscrits est "limité à 80" pour ce tournoi jeunes !
Aussi, en ce mois de juin 2017, les mêmes causes ayant les mêmes effets, ou plutôt les mêmes responsables, les mêmes politiques restant coupables des mêmes échecs, ce ne sont plus que 36 inscrits que l'on dénombre !
Un parent d'élève m'indique que le Comité de Direction aurait oublié de procéder à l'homologation de ce tournoi dans les délais impartis pour figurer sur les affiches papier du challenge Christian Salier (corrigé sur l'affiche en ligne, voir ci-dessous) ! A vérifier.
Mais on se confirme bien la possibilité d'une telle bourde en constatant que les tableaux faméliques de ce tournoi comportent 26 crépynois pour 36 inscrits (en fait 35 car un crépynois est inscrit dans deux tableaux) !
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Ce ne serait donc que tout récemment que la liste des tournois Salier référencerait le tournoi jeunes de l'association. Ceci expliquant cela.
Il n'y aurait donc aucun élu(e) de l'association pour veiller à ce genre de démarche (au moins dix minutes de travail) ?
Quoi qu'il en soit, une évolution pleinement catastrophique pour ce tournoi jeunes, des échecs successifs pleinement à l'image de l'investissement des élu(e)s de ce Comité de direction qui n'ont, très visiblement, aucune volonté de "développer la pratique du tennis" au sein de l'association !
Un Comité des Fêtes à défaut de Comité de Direction !
Et l'on peut se montrer plus qu'ironique sur l'affiche 2017, qui soit dit en passant ressemble un peu plus à une célébration de la fin d'un tournoi ou une pub pour un stage (cf. photos) qu'à une incitation à s'inscrire à un tournoi à venir, sur la présence sur cette affiche du président d'une association qui se montre aussi passif sur cet évènement, aussi peu réactif aux bilans désastreux de ces trois dernières saisons !?
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Questions aux élu(e)s du Comité :
2 - Après trois bilans désastreux, et malgré l'implication importante des juges-arbitres successifs, pourquoi les élu(e)s du Comité de Direction ne prennent-ils strictement aucune décision pour relancer le tournoi jeunes ?
Pourquoi ne pas rétablir le tarif préférentiel pour les jeunes adhérent(e)s de l'association ?
Pourquoi ne pas veiller aux délais des démarches d'homologation ?
Pourquoi ne pas instaurer une "contrainte" à participer à ce tournoi pour un certain nombre d'élèves de l'Ecole de Tennis ?
Pourquoi ne pas engager une véritable politique sportive jeunes sans faire croire qu'avec deux cours particuliers et moins d'une vingtaine de jeunes aidés sur 170 (bilan 2016) on a trouvé des solutions de nature à développer la pratique du tennis chez les jeunes de l'association ?
3 - Pour rejeter mes recours devant l'AG ? Il n'y qu'à bidouiller le règlement intérieur ! Aussitôt dit, aussitôt fait de la part des trois membres du Bureau, qui n'en sont pas à un mensonge près !
Publication : 21/06/2017 | Mise à jour : 21/06/2017
Dans l'ordre du jour transmis aux adhérents pour la prochaine assemblée générale du 30 juin 2017 et transmis à l'ensemble des adhérent(e)s par courriel le 17 puis 19 juin (des fois qu'on bégaie), le président J. Coconi a décidé d'un rajout au texte que j'ai transmis concernant trois recours contre les trois exclusions dont j'ai été l'objet cette saison. Ces deux paragraphes en vert qui sont censés être la "bonne version" de l'article 15.
Et une nouvelle fois le président J. Coconi utilise le mensonge. Il est accompagné en cela par les deux autres membres du Bureau : T. Jacquet, le trésorier et K. Breton, la secrétaire. Trois élu(e)s qui signent cette "note" mensongère !
Déjà le président J. Coconi et la secrétaire ont diffusé un mensonge en octobre 2016 dans une citation qui est présentée comme un propos que j'aurais tenu, une citation pleinement imaginaire, pourtant consignée dans un compte rendu de réunion du Comité et mis à la disposition de l'ensemble des adhérents qui doit ainsi comprendre que je suis un personnage pleinement excessif...
Depuis, le président J. Coconi et la secrétaire de l'association ont de de nouveau diffusé un mensonge, un très gros, dans le procès verbal de l'assemblée générale de juin 2016 en affirmant que la dite assemblée avait "validé le projet de création de courts tout temps" pour ensuite aller faire voter le conseil municipal sur un financement qui n'est pourtant pas voté par l'association...
Et voilà que le trésorier de l'association T. Jacquet rejoint le président et la secrétaire pour encore diffuser un mensonge au nom du Bureau, qu'ils constituent ensemble, pour se livrer à leur autre exercice favori : tout faire pour ne jamais avoir à répondre de leurs décision. La politique de l'autruche... mais une autruche qui aurait aussi la capacité à user de méthodes immorales pour parvenir à ses fins.
En prétendant que la possibilité d'un recours n'est possible que pour la "radiation" (paragraphe rajoutée l'an passé dans le règlement intérieur à l'initiative du président J. Coconi qui n'en finit plus de renforcer "l'état d'urgence" au sein du club), le président J. Coconi et les deux autres membres du Bureau de l'association diffusent un nouveau mensonge en oubliant très volontairement que le recours est une possibilité qui existait bien avant ce rajout sur mesure de l'an passé.
N'en déplaise à ces élu(e)s qui bidouillent le règlement intérieur à leur sauce, un paragraphe concernant les recours possibles qui reste donc toujours à sa place, bien disctinct, plus que jamais s'appliquant aux différentes sanctions décidées par le Comité de Direction, dont "l'avertissement, l'exclusion temporaire ou définitive".
Autant de mensonges, autant de méthodes indignes et inacceptables au service d'une présidence qui ne souffre pas de contestations, d'aucune sorte.
Et pourtant je gage que ce enième argument mensonger du président J. Coconi suffira, une nouvelle fois, pour écarter d'autorité mes trois recours du moindre examen de la part de l'assemblée générale. Une assemblée qui confirmera les yeux fermés l'instruction et la sentence prononcée par le maître incontesté et incontestable des lieux... le président J. Coconi.
1 - Recours irrecevables selon les membres du Bureau
Voici ce rajout (en vert) qu'on trouve, intercalé dans le texte présentant mes recours, un ensemble présent dans l'ordre du jour officiel transmis aux adhérents pour cette assemblée générale du 30 juin 2017 (page 8).
Les trois membres du Bureau font visiblement la démonstration suivante : mes recours ne sont pas valables et ne seront donc pas examinés par l'assemblée générale parce que la possibilité d'un recours n'est ouverte que pour une mesure de "radiation" : "(NOTE DU BUREAU : L'alinéa intégral concerné de l'article 15 cité par M. Carré est le suivant et concerne la radiation d'un membre de l'Association".
Les trois membres du Bureau en présentent comme preuve que cette possibilité d'un recours décrite dans le réglement intérieur ("L'intéressé, invité à fournir ses explications préalablement à toute décision, pourra exercer un recours auprès de l'Assemblée Générale Ordinaire" (article 15 du règlement intérieur)) n'est réservée que pour la sanction de "radiation" puisque cette phrase est la dernière phrase d'un seul et monolitique paragraphe qui concerne les conditions d'une "radiation".
En ayant fait l'objet "d'exclusions", je ne suis donc pas "radié" de l'association. Pas de "radiation", pas de "recours" possible pour mon cas. CQFD !
2 - La version de l'article 15 du règlement intérieur validée par l'assemblée générale de juin 2016.
Voici la version de l'article 15 du règlement intérieur (page 5) tel qu'il existait avant les interventions très opportunes du président en place :
Et voici la proposition de modification transmise à l'assemblée générale du 17 juin 2016 et qui reste bien la seule version votée par cette assemblée générale, une version disparue du site de l'association mais encore disponible sur mon site (page 5).
Au besoin cette version, escamotée du site de l'association, pourra être retrouvée dans les archives courriels de la propre messagerie de chaque adhérent un peu curieux (ordre du jour de l'assemblée générale du 17 juin 2016).
On retrouve d'ailleurs cette nouvelle version, non traficotée, dans le procès-verbal officiel de cette assemblée générale, sur le site de l'association (page 8) (mais jusqu'à quand avant bidouillage ?), et sur mon site (page 16).
Ainsi, en jaune ci-dessous, on repère pleinement ce rajout, cette modification qui s'intercale et reste bien distincte du dernier paragraphe précisant les conditions d'un recours.
Les trois points clotûrant ce paragraphe laissent ouverte la porte à d'autres "motifs" de radiation, des fois qu'il faille en inventer de nouveau, à la tête du client, pour m'interdire de dévoiler d'autres dysfonctionnements de cette association :
3 - La version traficotée de l'article 15 par les trois membres du Bureau : le président, le trésorier, la secrétaire.
Voici donc désormais la seule version actuellement disponible sur le site de l'association (page 4), une version pleinement mensongère dans sa mise en page et qui ne correspond pas au texte voté par l'assemblée générale de juin 2016.
Et cette version montre bien, de façon ô combien spectaculaire, toute la duplicité dont sont capables ces trois membres du Bureau de l'association, le président J. Coconi, le trésorier T. Jacquet et la secrétaire K. Breton.
En accolant ces deux derniers paragraphes de l'article 15 pourtant clairement distincts dans la proposition de modification du règlement intérieur et la version adoptée par l'assemblée générale de 2016, le président J. Coconi et les deux autres membres du Bureau font ainsi croire, de façon totalement mensongère et indigne, que la possibilité d'un "recours" n'est réservée que pour une sanction telle que la "radiation".
Une version mensongère de cet article 15 du règlement intérieur au service des échapattoires du président J. Coconi et des membres du Bureau de l'association qui n'hésitent donc pas à modifier les textes officiels de l'association pour qu'ils servent leurs lamentables desseins.
4 - Une vérité demeure : mes recours sont pleinement recevables !
Qui peut ne pas se convaincre que pour toute sanction, le principe même de la justice fait que l'on rend possible le recours, une seconde procédure "en appel", la confirmation ou non de la sanction devant une seconde juridiction, une juridisction présentant une souveraineté plus grande, plus incontestable, non soumis à l'arbitraire de magistrats locaux, pas forcément pleinement indépendants ?
C'était tout le sens de ce paragraphe sur la possibilité d'un "recours" présent depuis... toujours dans le règlement intérieur de l'association.
Qui peut se compromettre et ne pas dénoncer la manipulation des élu(e)s du Bureau pour justifier que la possibilité d'un "recours", qui se rapportait jusque là à chacun des trois types de sanctions décidées par le Comité de Direction ("avertissement", "exclusion temporaire", "exclusion définitive") serait désormais limitée au seul cas "d'exclusion définitive", c'est à dire de "radiation" ? Qui est capable d'un raisonnement aussi inepte ?
Avec cette vile manoeuvre des élu(e)s du Bureau, assurément une très lourde faute, sans doute même un délit tel que l'entendent les tribunaux, c'est bien la confirmation spectaculaire que les sanctions qui m'ont été infligées ont un caractère illégal, injuste, indigne.
Quel plus bel aveu que ces filouteries ainsi mises en oeuvre par le président J. Coconi et les membres du Bureau ?
Pour les autres mensonges de J. Coconi, voir les liens suivants :
- Compte-rendu de la réunion du Comité de Direction du 21 octobre 2016 : "détournement"
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Questions aux élu(e)s du Comité :
Mes recours font visiblement très peur aux élu(e)s du Bureau. Des élu(e)s totalement effrayés d'avoir à assumer les trois sanctions qui m'ont été infligées cette saison, trois exclusions pour des motifs aussi farfelus et aussi illégaux qu'indignes.
Pour ne pas avoir à assumer devant l'assemblée générale le caractère injuste et illégal de ces trois sanctions, les trois élu(e)s du Bureau n'ont pas hésité à falsifier un article du règlement intérieur, l'article 15, en effectuant une modification de sa mise en page afin de, insidieusement, rogner les implications de cet article 15 et bloquer avant examen mes trois recours.
Ainsi, ces trois élus n'ont pas hésité à diffuser à l'ensemble des adhérents cet écrit modifié volontairement, de façon pleinement mensongère, pour défendre l'idée que mes recours ne sont pas recevables (cf. "note du Bureau"), un écrit diffusé dans l'ordre du jour officiel de la prochaine assemblée générale de juin 2017.
Écrire un faux, utiliser un faux en écriture, autant de faits qui sont graves, très graves et qui sont à sanctionner.
3.1 - Mme Milon, M. Audouin, M. Caron, M. Chambon, M. Fleury, allez-vous laisser Mme Breton, M. Coconi, M. Jacquet utiliser un écrit aussi gravement mensonger et vous compromettre définitivement dans des méthodes aussi détestables ?
3.2 - A votre avis, comment la justice qualifierait-elle des méthodes aussi particulières : écrire un faux règlement intérieur et diffuser un faux réglement intérieur dans le but de bloquer mes recours ?
3.3 - Jusqu'où peut-on mentir quand on est détenteur d'une autorité quelconque ? La moralisation de la vie de cette association n'est, elle, pas d'actualité ?
3.4 - Qui d'entre vous peut ne pas se convaincre qu'il y a là un fait extrêmement grave qui pourrait rentrer pleinement dans le cadre de ces précisions voulues par le président J. Coconi et votre Comité : "des faits et actes mettant en danger l'association" ?
3.5 - Et, dans la mesure où vous n'auriez pas été tenus informés de ces bidouillages de dernière minute, pourquoi ne pas faire jouer cette ridicule disposition, mais pourtant pleinement pertinente ici, disposition pour réprimer "la diffusion intempestive d'informations auprès des membres de l'association [...] sans accord préalable du Comité de Direction" ?
3.6 - Pour les faits établis à l'encontre des trois élu(e)s du Bureau, je souhaite que le Comité de Direction se prononce sur une décision de révocation concernant chacun des trois membres du Bureau.
3.7 - Je vous fais la demande expresse que soit transmis un message correctif à l'ensemble des adhérents. Nous ne parviendrons sans doute jamais à nous mettre d'accord sur ce texte. Mais il parait comme inconcevable de ne pas mentionner les éléments suivants :
- les trois élu(e)s du Bureau ont diffusé un extrait de l'article 15 du règlement intérieur de l'association qui ne correspond pas à la dernière version effectivement votée par les adhérents présents à l'assemblée générale du 17 juin 2016.
- les trois élu(e)s du Bureau ont regroupé volontairement, dans un dessein très opportun (bloquer mes recours), deux paragraphes pourtant disctincts et exposant chacun des prérogatives spécifiques.
- les recours que j'ai déposés sont parfaitement recevables, parfaitement conformes à ce dernier paragraphe de l'article 15, et, par conséquence, auront une pleine légitimité à faire l'objet d'une délibération en assemblée générale.
Ne pas diffuser ce "correctif" constitue une grave atteinte à ma démarche, contribuant fortement à instaurer ce climat où l'on s'accorde, le plus normalement du monde, pour ne pas me reconnaître des droits pourtant inaliénables en tant qu'adhérent de cette association.
4 - Projets d'investissement de l'association : jamais aucun vote de l'Assemblée Générale mais le Comité de Direction a réduit trois choix à... un seul ! Le sien.
Publication : 28/06/2017 | Mise à jour : 28/06/2017
Dans l'ordre du jour transmis aux adhérents pour la prochaine assemblée générale du 30 juin 2017 (page 6), le Comité de Direction fait part des "options" qui sont celles qu'ont les adhérent(e)s concernant "le" projet d'investissement de l'association.
Et pourtant, depuis 4 ans que cette idée est lancée d'investir dans les infrastructures de manière à assurer le développement de l'association, jamais aucune de ces 3 assemblées générales n'a procédé à un vote, aucun, sur l'une ou l'autre de ces "options" envisageables.
Et il faut bien réaffirmer que ces options de projets sont au nombre de trois, voire quatre, et pas une seule comme l'ont décidé, sans aucune légalité, les élu(e)s du Comité de Direction.
Transmettre un ordre du jour où n'apparait que "l'option" choisie par le Comité de Direction reste bien une méthode des plus contestables, une de plus de la part du Comité de Direction.
Il y a donc une grande nécessité à informer les adhérents sur ces trois autres options possibles :
- la couverture d'un court existant (un devis de 98 000 € était présenté en 2013).
- l'éclairage de deux courts extérieurs (voire d'un seul). Et là encore, on n'est pas au bout des surprises en matière de méthodes contestables voire de démarches pleinement mensongères, de la part des élu(e)s, du président notamment.
- la création d'un court de padel.
Quant à ce projet de courts extérieurs "tout temps", on note qu'il a changé de dénomination pour se présenter désormais sous l'appellation de "terre battue artificielle". On note également que "l'option" où l'on détruit le court n°2 pourtant parfaitement rénové et jouable encore une trentaine d'années, est à nouveau présentée, malgré toute l'hérésie et la gabegie d'une pareille option.
Et l'on reste bien estomaqué du procédé qui consiste à demander à l'assemblée générale de voter sur le principe d'une "enveloppe budgétaire" !? Des élu(e)s du Comité de Direction qui ont tellement travaillé leur dossier, qu'ils ne sont pas même capables de communiquer aux adhérents les devis chiffrés, un budget précis. Il parait bien impensable que l'assemblée générale signe ainsi un chèque en blanc !
Mais cela relève bien d'une méthode bien connue au Tennis Club de Crépy en Valois : demander à l'assemblée générale de dire "oui" à ce que dit le Comité, "oui"... les yeux fermés, "oui"... les oreilles bouchées et "oui"... le cerveau en berne !
Et, bien évidemment, toujours hors de questions de s'assurer plus qu'une représentativité d'une trentaine d'adhérents sur ce choix qui engage pourtant l'association sur au moins une dizaine d'années !
Les étapes du travail du Comité sur ce projet de création/transformation de courts existants en "courts tout temps".
Après une première allusion dans le compte-rendu d'avril 2015 (page 4, "mise en place d'une terre battue tout temps"), c'est en mai 2015 (page 4) qu'on voit pour la première fois apparaître ce projet de "terrains tout temps".
Durant l'assemblée générale de juin 2015 (page 16), ce projet de remplacement du court en terre battue et du court n°2 par deux courts "tout temps" est donc présenté aux adhérents.
A l'issue de cette assemblée générale, le projet de 4e court couvert sera, dès lors, purement et simplement enterré par les responsables du Comité, sans autre vote d'aucune assemblée générale (voir "En savoir plus... sur les autres options").
La conclusion des "travaux" de cette assemblée de juillet 2015 concernant ces courts "tout temps" est donc la suivante :
Le Red Court : une surface dont la fiche technique nous précise que sa garantie ne dépasse pas les cinq ans. Assez sympathique pour une surface encore expérimentale...
On trouve ensuite cette précision dans le compte-rendu de la réunion du Comité de septembre 2015 et la même dans celui d'octobre 2015 :
Le résultat de cet "essai" dans le compte-rendu de la réunion du Comité de décembre 2015 :
En février 2016 (page 2), on trouve bien ce point à l'ordre du jour mais rien dans le compte-rendu :
En avril 2016, on a cette fois-ci une précision... pour préciser... qu'on a rien de plus précis à présenter. Et une nouvelle fois, on comprend que le Comité fait les choix pour l'assemblée générale !? Mais... après tout... c'est bien le fonctionnement "normal" dans cette association.
Dans le compte-rendu de septembre 2016 (page 5), on trouve l'évocation de cette visite au Tennis Club d'Ozoir-la-Ferrière et de sa transformation (avril 2016) de deux courts extérieurs en béton poreux construits dans les années 80 (ils avaient donc 35 ans et étaient "laissés à l'abandon") en deux "terre-battue artificielles" composées d'une "moquette et de brique pilée", le tout pour 100 000 €, indications du président du club et du maire de la commune (Tennis Infos, mai 2016, page).
En fait, il s'agit d'un Clay-Tech comme l'indique ce même article de Tennis Infos, avec comme entretiens nécessaires : humidification de la brique pilée (suivant conditions météo avec risque de gel si trop de brique pilée), passage du filet après chaque heure de jeu, recharche en brique pilée, nécessité de repeindre les lignes de jeu de façon régulière, nécessité tous les 3 ou 5 de changer complètement la brique pilée (nettoyage haute pression), traitement éventuellement nécessaire pour herbes et mousses...
On se demande donc bien où est la "solution" d'un court "sans entretien", "tout temps" dans un pareil procédé ?
Dans le compte-rendu d'octobre 2016 (page 6), on se confirme que le Comité de Direction a décidé qu'il n'y avait plus qu'un projet en lice, un seul projet digne d'être présenté aux élu(e)s municipaux, celui choisi tout seul par le Comité :
Dans le compte-rendu de décembre 2016 (page 5), la secrétaire procède par copier-coller pour ne faire état de rien de nouveau sur ce dossier.
Dans le compte-rendu de février 2017 (page 7), on n'oublie pas de rappeler que c'est bien à l'assemblée générale de décider de ce projet...
... mais c'est pour l'oublier tout aussi vite puisque dans le compte-rendu de mars 2017 (page 5), avec un nouveau copier-coller de la secrétaire en avril 2017, on apprend de façon stupéfiante ce fameux vote des conseillers municipaux sur une dépense financée par l'association qui n'en a pourtant pas encore décidée !?
Dernières informations transmises par les élu(e)s du Comité transmises dans l'ordre du jour de l'assemblée générale de juin 2017 (page 6) :
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1 - Un ordre du jour qui présente 3 options, toutes au service d'un unique projet : un non choix !
La création/tranformation de courts extérieurs "tout temps", c'est le crédo des élu(e)s du Comité de Direction qui ne veulent pas entendre parler d'autres options pourtant tout à fait envisageables comme la couverture d'un court existant ou l'éclairage de courts extérieurs.
L'assemblée générale prochaine est donc priée de ne s'exprimer que sur ces trois fausses options puisqu'elles ne portent toutes que sur un seul projet : des courts "tout temps".
Enfin... plus tout à fait "tout temps" puisque le Comité utilise désormais une autre dénomination pour ce projet de "terre-battue artificielles". Sans doute s'est-il résolu à reconnaître ce que je clame depuis le début de cette présentation pour une dénomination commerciale trompeuse.
Quelques remarques sur la présentation de ce projet ainsi diffusée à l'ensemble des adhérent(e)s :
1 - Ce petit paragraphe sur la mairie où les élu(e)s de l'association utilisent le conditionnel pour évoquer la participation financière du club alors qu'il suffit d'aller consulter le budget voté par les conseillers municipaux en mars 2017 pour s'apercevoir que cette dépense, pas même validée par l'assemblée générale, est déjà actée officiellement au niveau de la municipalité. Une révision des temps à faire d'urgence pour des élu(e)s du club qui mettent "la charrue avant les boeufs", simple expression.
2 - L'option n°1 est toujours un scandale sans nom. Après avoir rénové le court n°2 avec, en partie, des fonds municipaux, voilà que les élu(e)s du Comité de Direction n'hésitent pas à proposer sa destruction (il faut faire des trous dedans, y répandre de la colle pour y plaquer un géotextile, y répandre des matériaux, etc...) pour remplacer ce court jouable encore trente ans... par un autre court... pas plus jouable !?
En matière de gachis d'argent public, un projet des élu(e)s du Comité de Direction qui revient à la charge et qui méritera, à ce titre, une bonne place au palmarès des élu(e)s incohérents et pleinement irresponsables dans l'utilisation des fonds publics.
3 - Et, pour l'option 1 comme pour l'option 2, l'absence des nombreux arguments que j'ai pu présenter pour dire toute l'incohérence de ce projet de création de courts extérieurs "tout temps" (voir En savoir plus sur toutes les raisons...) quand les courts extérieurs existants sont déjà spectaculairement sous-utilisés également par "beau temps". Deux arguments qui devraient à eux seuls suffire pour convaincre de l'incohérence d'un tel projet.
Mais, bien sûr, dans la mesure où le Comité de Direction ne partage pas cet argumentaire étoffé, cela correspond aux méthodes du Comité que de le passer sous silence.
4 - La troisième "option" vaut le détour, une "non-option" en fait : "Option 3 : aucune de ces deux options". Assurément l'option la plus sage s'il n'y avait que ces trois "options" en trompe l'oeil pour l'association.
Mais heureusement, il y a d'autres "options" pour d'autres projets pour l'association ! Et il eut été un peu plus honnête de les présenter aux adhérents.
2 - Des "courts tout temps", des "courts sans entretien"... ce qu'en disent les défenseurs des terre-battue traditionnelles.
Voilà ce qu'en dit l'Association pour le Développement de la Terre Battue, une association créée en 1985 par un ancien joueur pro.
Quand l'on vend ce type de surface en mettant en avant le fait que l'on pourra jouer dessus par "tout temps", il faut être sacrément dupe pour se leurrer d'un tel avantage, un véritable trompe l'oeil ! Cet article évoque "10 à 15 %" de temps supplémentaire dans une année pour l'utilisation de ces courts dits "tout temps". "10 à 15 %" puisqu'il faut déduire toutes ses périodes où les conditions météo ne permettront tout simplement pas de jouer dehors !?
"10 à 15 %" de temps de jeu supplémentaire sur les courts extérieurs... pour un projet qui va avaler la plus grosse partie dela trésorerie de l'association avec un montant à financer de l'ordre de 80 000 € HT !?
L'association a-t-elle la nécessité d'un gain de temps de jeu sur des courts extérieurs aussi faible et finalement, à ce point hors de prix ?
Assurément le pire des projets que l'association a pu porter ! Une faute... pour au moins dix ans !
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1 - Projet 1 : La couverture d'un court extérieur existant.
Si vous osez évoquer à nouveau ce projet, vous risquez assurément une agression verbale comme cela m'est arrivé en assemblée générale.
On va donc le faire discrètement ici, autant que faire se peut.
Le procès-verbal de l'assemblée générale de 2014 (page 8) présente la "feuille de route" du Comité pour la saison suivante, sur ce projet de couverture d'un court extérieur.
Dans le dossier de couverture d'un court extérieur qui est évoqué dans ce procès-verbal d'assemblée générale, il y avait la proposition d'une couverture toile sur structure d'alu, un projet conçu comme un court couvert d'appoint dès le départ.
En effet, ce projet de couvrir un court extérieur existant visait deux objectifs :
- une réalisation à court terme de façon à permettre le développement de l'association pour accueillir plus d'adhérents, plus d'activités, plus de compétitions.
- une réalisation sur fonds propres (une demande de subvention auprès du Conseil Départemental ayant un cheminement d'une dizaine d'années) et donc un budget cohérent avec cet objectif.
D'autant que ce 4e court couvert n'aurait été destiné qu'à accueillir du tennis loisir ou des activités de cours. Les trois autres courts permettant l'organisation de différentes épreuves hivernales.
Un court couvert "low cost" car un court couvert d'appoint.
Ainsi la société Veldeman avait transmis un devis de l'ordre de 98 000 € HT (sans les ancrages).
Un projet cohérent en tous points donc, en correspondant aux besoins de l'association (ni plus, ni moins) et à ses finances, le tout dans un délai propre à permettre de développer l'association.
Un projet cohérent en tous points donc, en correspondant aux besoins de l'association (ni plus, ni moins) et à ses finances, le tout dans un délai propre à permettre de développer l'association.
La seule difficulté venait de la détermination du court extérieur à couvrir. Le court n°3 était le plus apte mais cette localisation n'avait pas un aspect paysager très enthousiasmant. Le court n°4 ou le court n°2 nécessitaient quant à eux, probablement, la réalisation de plots béton pour les axes de la structure, un surcoût qu'on devait donc chiffrer.
Alors ? Le Comité a-t-il poursuivi cette étude ? A-t-il obtenu des réponses aux questions énoncées dans ce dossier ? Le Comité a-t-il chiffré ces surcoûts du devis Veldeman ? Le Comité est-il allé au bout d'une piste aussi cohérente pour l'association ?
Et non ! Rien de rien ! Aucune réponse. sur rien.
C'est tout d'abord le président Legay qui va rencontrer tout seul le responsable de la Ligue, histoire de ne pas poser les bonnes questions, m'écartant volontairement de ce rendez-vous. Donc toujours pas de réponses. Puis il fera ensuite tout ce qu'il peut pour... ne rien faire. Et il le fera bien.
Puis ce sera au tour du président Coconi de reprendre le flambeau de l'enterrement de ce projet.
Un enterrement tout en faux semblants puisqu'il prendra la forme de la présentation de projets totalement incohérents lors de l'assemblée générale de 2015.
Des projets parfois pleinement farfelus : un préau ? ... mais pour couvrir deux courts !? ... et avec un coût équivalant... à la construction d'un nouveau court couvert ?
Ou des projets de construction de court couvert avec des budgets hors de portée des finances de l'association, allant de 198 000 € HT (Mathis) à plus de 260 000 € HT (SMC2).
Voilà, ce sera la dernière fois qu'on entendra parler de ce type de projets. Depuis... plus rien !
Le tout sans que jamais aucune assemblée générale ait décidé d'écarter ce type de projet !
Une méthode, une seule, celle du Comité de Direction du Tennis Club de Crépy en Valois.
2 - Projet 2 : l'éclairage de courts extérieurs.
Un projet qui serait peut-être un compromis satisfaisant pour tous en réunissant certains avantages d'un court couvert et certains avantages pour une utilisation plus importante des courts extérieurs.
Mais, là encore, cela ne semble pas correspondre aux choix des élu(e)s du Comité de Direction. On peut s'en convaincre avec les éléments suivants.
Voilà comment ont été présentées les options pour ce projet d'éclairage des courts extérieurs durant l'assemblée générale de juillet 2015 (page 16) :
La société Cephée LED a transmis un devis au président J. Coconi en avril 2015. Ce devis n'a pas été présenté par J. Coconi ?
Il semble pourtant qu'il était plus intéressant ? Étonnant. (voir plus bas).
Quoi qu'il en soit, à l'issue de cette assemblée générale de juillet 2015, une nouvelle "feuille de route" est donnée par l'assemblée générale aux élu(e)s du Comité :
En décembre 2015 (page 7), on apprend que c'est un projet qui sera "inclus" dans l'amélioration des éclairages des courts couverts 5 et 6.
En février 2016 (page 8), on revient à l'étape des devis, pour trois autres entreprises.
En avril 2016 (page 7), on a ces précisions, pour conclure qu'il faut "approfondir les études pour les courts extérieurs".
Et, pour finir, la reprise de ce paragraphe dans le procès-verbal de l'assemblée générale de juin 2016 (page 16).
Avec comme conclusion du Comité de Direction : "Ainsi le Comité souhaite plutôt s'engager dans la création de deux terrains tout-temps".
Et si l'on en juge par les "options" présentées dans l'ordre du jour de l'assemblée générale du 30 juin 2017 (page 6), là encore un enterrement sans fleurs ni couronnes pour ce projet d'éclairage de courts extérieurs, sur la seule décision du Comité de Direction.
Là encore un fonctionnement qui ne correspond pas aux statuts de l'association pour une assemblée générale souveraine ni même à l'idée d'association tout simplement puisque les adhérents ne sont pas invités à se prononcer sur tous les projets possibles mais uniquement sur ceux que le Comité aura décidé de ne pas écarter d'autorité.
Et pourtant, ce projet d'éclairage de courts extérieurs reste tout à fait un choix possible pour l'association.
Le président en place semble bien avoir fait le nécessaire pour que ce projet ne paraisse pas envisageable.
Ainsi, si le coût global de cette installation reste effectivement de l'ordre de 25 000 € HT (13 960 € pour les spots et si l'on considère que la pose serait de l'ordre de 10 000 € ce qui reste un coût à chiffrer précisément), on s'étonne d'entendre le président Coconi expliquer que réaliser des plots béton est "techniquement très compliqué, [...] voire impossible" !?
Le responsable de cette société m'indique clairement que cela n'a rien de "compliqué" et encore moins "d'impossible" ! On imagine effectivement que faire deux plots béton ne fait pas appel à de l'ingéniérie de haut niveau et n'est pas de nature à déstabiliser la structure de terrains en béton poreux réalisés par dalles disjointes l
D'autant que dès le mois d'avril 2015, le président Coconi a deux devis en mains, l'un pour une installation de 4 mâts par court et l'autre pour l'installation de deux mâts entre nos deux courts jumelés.
On ne comprend d'ailleurs strictement rien de la description faite par J. Coconi dans son paragraphe avec "la pose d'un mât dans l'allée" et "la pose d'un mât entre les courts 3 et 4", une configuration qui n'est proposée par aucun constructeur, absolument aucun !
Et cette configuration de deux mâts entre les deux courts jumelés laisse aussi la fameuse allée sans aucune intervention d'aucune sorte, les nombreux réseaux bien à l'abri des interventions nécessaires.
Un président qui vient donc présenter ce projet d'éclairage comme "impossible", ne suivant en cela que la logique de son choix : ne jurer que par la création de deux courts "tout temps".
Donc c'est niet pour l'éclairage et s'il faut un peu mentir au passage sur le projet d'éclairage, il ne faut pas hésiter.
3 - Projet 3 : un court de padel ?
C'est le président J. Coconi qui, en décembre 2016 (page 5), s'interroge sur le coût de la réalisation d'un tel court.
Bon, on n'aura plus de nouvelles par la suite, ni d'autres propositions. Mais bon, l'essentiel était de faire croire que.
Le paddel, c'est quoi ?
Pour une présentation complète, on pourra aller visiter cette page du site de la FFT et trouver des réponses à toutes les questions.
Pour l'association, quelle pertinence pour un tel projet ?
Si l'association est prête à investir financièrement dans une structure, cette démarche doit bien répondre à l'objet de l'association.
La création d'un court de padel tennis est-elle une façon de "développer la pratique du tennis", l'objet de l'association ?
On peut le défendre puisque en proposant de varier et la forme et le format de jeu, cette variation de la pratique du tennis est bien une façon de coller aux attentes des pratiquants de 2017.
Et de ramener du monde au club... à défaut de les trouver sur les courts de tennis.
Pour le coût d'une telle réalisation, si le président J. Coconi n'a semble-t-il pas été jusqu'au bout de cette idée, ou pas voulu nous en tenir plus informé, l'article sur le Tennis Club d'Ozoir-la-Ferrière nous propose un ordre de grandeur d'environ 30 000 € TTC.
Et une très rapide recherche semble plutôt situer cet investissement variant entre 16 000 € et 19 000 €. (différence éclairage ?)
Au final, là encore, un projet qui pourrait parfaitement être présenté aux adhérent(e)s de l'association durant la prochaine assemblée générale et qui ont au moins une expertise aussi pertinente que celle des élu(e)s du Comité de Direction qui pensent que "développer la pratique du tennis", c'est proposer d'investir 80 000 € simplement pour rajouter des courts à ceux qui ne sont déjà pas utilisés par les adhérent(e)s !?
Au moins, dans ce type de projet, l'offre de l'association serait de nature à attirer d'autres adhérent(e)s ou à renouveler l'intérêt de ceux que l'association compte déjà parmi ses rangs.
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Questions aux élu(e)s du Comité :
1 - Il y a une grande malhonnêteté à sélectionner, dans cet ordre du jour, les projets possibles pour n'en présenter qu'un seul sur quatre.
Pourquoi l'ordre du jour de la prochaine assemblée générale ne présente-t-il que les "options" choisies par le Comité de Direction, c'est à dire, en fait, un unique projet : la réalisation de courts "tout temps" ?
Il y a une très grande nécessité à rectifier cet ordre du jour.
2 - Le projet de 4e court couvert n'a jamais été écarté par aucune assemblée générale, sur la base d'un vote entre tous les projets possibles.
Pourquoi ce projet n'est-il toujours pas présenté au vote des adhérent(e)s ?
Pourquoi le Comité de Direction n'a-t-il pas poursuivi l'étude du devis Veldeman et ensuite totalement écarté ce projet des travaux des assemblées générales successives ?
3 - Pourquoi le président Coconi a-t-il fait une présentation à charge du projet d'éclairage des courts extérieurs dont la faisabilité est tout à fait confirmée par les professionnels, contrairement à ce qu'en dit J. Coconi qui le trouve "compliqué, voire impossible" sur la base d'un exposé sur le sujet qui reste d'ailleurs incohérent ?
4 - Pourquoi d'autres projets comme la création d'un court de padel n'a-t-il pas, lui aussi, fait l'objet d'une étude plus sérieuse des élu(e)s du Comité, et finir par ne pas être proposé au choix des adhérent(e)s en assemblée générale ?
5 - Pour un choix d'une telle importance, pourquoi les élu(e)s du Comité communiquent-ils à minima (voire moins) sur les devis précis, les budgets précis ?
Il est inimaginable que le Comité de Direction fasse la demande à l'assemblée générale de lui signer un chèque en blanc pour un dossier mal ficelé, pleinement imprécis.
6 - Pour un choix d'une telle importance, pourquoi ne pas aller solliciter l'ensemble des adhérent(e)s via un sondage présentant les 4 projets possibles ?
La légitimité de la vingtaine d'adhérent(e)s présents en assemblée générale, pour une question d'une telle importance, reste plus que polémique et insuffisante.
7 - Il reste une question essentielle : cet investissement va engloutir la plus grande partie de la trésorerie de l'association. Il y a donc une très grande nécessité à faire un choix qui soit le plus à même de garantir le "développement de la pratique du tennis". Ne pas se montrer attentif à cette dimension reste une faute qui aura des conséquences sur la prochaine dizaine d'années.