Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017


Juillet 2017 - Les brèves d'assemblée générale


 

 

7 - Mieux que des salariés, des militants ! C'est pourtant interdit par les statuts de l'association !

Publication : 07/07/2017 | Mise à jour : 07/07/2017

Ne sont admis aux travaux de l'assemblée générale que les "membres" de l'association (article 20 des statuts, page 3). Et les salariés de l'association ne peuvent pas être membres de l'association (article 6 des statuts, page 1). C'est clair, c'est écrit, c'est la "loi" de notre association.

 

Non seulement, les salariés ne devraient pas être présents physiquement dans la salle accueillant cette assemblée générale, mais bien plus encore, ils ne devraient pas être autorisés à intervenir spontanément. Ces deux conditions sont pleines de bon sens et visent à protéger les intérêts de l'association. Et si l'on peut admettre qu'un salarié puisse-être invité à prendre la parole sur une ou quelques questions qui nécessiteraient son expertise professionnelle, c'est pour ensuite lui demander de quitter la salle. L'assemblée générale doit pouvoir travailler en toute indépendance.

 

Que ce soit le moniteur à temps plein, M. Lemaire, ou P. Carrel, tout jeune Assistant Moniteur de Tennis (AMT), salarié par l'association, aucune de ces deux personnes n'auraient du être admises dans la salle.

 

Et leurs nombreuses interventions dans les débats de l'assemblée générale restent bien illégales au regard des statuts et de l'absolue nécessité pour l'association de rester maître en ses murs.

 

D'autant que l'un comme l'autre y ont défendu des positions polémiques, à plusieurs reprises, ne se privant pas de militer fortement contre des points de vue exprimés par des adhérents. Ainsi, on garde en écho cette intervention du moniteur à temps plein : "moi, je sais que j'ai raison" (cf. création d'un second club-house, voir brève n°...) et celle de l'AMT salarié prétendant que le club a déjà compté 470 adhérents, ce qui reste un mensonge (455, une seule saison).

Des interventions illégales et inadmissibles qui ne gênent en aucune manière le président de l'association, ni personne d'autre.

 

Du moment que tout cela reste en famille... heu... entre amis...

 

Et puis, ce sont bien dans ces mêmes conditions particulières que le président actuel a été élu (d'abord trésorier puis président), avec un salarié qui a fait campagne à sa place... on comprend donc bien que rien ne le choque dans ce type de dysfonctionnement pourtant majeur et dangereux pour la défense des intérêts de l'association.