1 - Alors ? Répondez moi M. Carré !

 

Publication : 6/12/2016 | Mise à jour : 6/12/2016

 

Après une première salve, voici que, dans ce numéro de comiques troupiers, c'est au tour du président de s'adonner à la provocation immature.

Ainsi, lorsque j'assiste à un match du tournoi open, M. COCONI s'adresse à moi, haut et fort, on est comme ça dans le sud : Bonjour ? Alors ? Vous m'envoyez des mails... répondez-moi !?

Voilà un président qui, depuis trois ans maintenant, refuse de répondre à la moindre question sur son bilan catastrophique, voilà un président qui prend plusieurs minutes en Assemblée Générale pour lire un texte où il vous répond... qu'il ne vous répondra pas, sur rien, voilà un président qui, depuis plus de cinq mois, se tait dans un silence de béton pour ne pas s'expliquer sur un compte de résultat incohérent, en pratiquant notamment la rétention de documents...

Et c'est le même élu qui vous agresse pour que... vous lui "répondiez" (sur on ne sait quoi d'ailleurs) !?

Mais, attention, il ne le fait pas n'importe où. Surtout pas dans une réunion de travail, pleinement au coeur des dossiers, mais bien dans ce club house qui lui sert de salon, assuré du soutien de ses plus proches troupes. Quel courage ! Quelle bravitude !

Or, on peut-être assuré de s'en prendre plein la figure si l'on avait le malheur de tenter de mettre cet élu devant ses multiples incohérences, comme à l'occasion de cette dernière pitrerie, pour un élu qui ne répond jamais, sur rien, devant personne... et qui vient vous reprocher... ce pour quoi il est plus que largement mis en cause !? Un retournement de situation sous la forme la plus grotesque et la plus pitoyable qui soit !

Il reste que devant des juridictions indépendantes (voir point 2 de cette lettre), non soumises à l'approbation aveugle et compromise de tout ce que ce président dit ou fait, M. COCONI se sent un peu plus en peine de se justifier. A tel point qu'il n'ose ainsi même plus s'y présenter.

C'est assurément sa meilleure défense, ce que me confirmait une amie autruche.