![]() |
2018 Saison Une saison... tout en continuité... au Tennis Club de Crépy en Valois ! |
|
1 - Le principe du couteau suisse.
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
On savait déjà le statut un peu particulier de ce salarié autorisé par le président de l'association à être aussi membre-militant en assemblée générale.
Mais on reste pleinement surpris de lire dans le compte-rendu de la réunion du Comité du 1er septembre 2017, que c'est ce même salarié de l'association qui fait le compte-rendu de la réunion du CDOT (instance départementale de la FFT), puis dans celui de février 2018 que c'est encore ce salarié qui représente l'association à l'assemblée générale de la Ligue ?
Avis de recherche : toute personne qui aurait vu le président de l'association est prié de le signaler à... ben oui, à qui au fait puisqu'il n'y a apparemment plus personne à la barre du Tennis Club de Crépy en Valois ?
Alors certes, on découvre que ce salarié AMT de l'association, ex-président de l'association, membre de fait, même illégalement, militant en assemblée générale, est aussi... secrétaire générale du... CDOT, membres de plusieurs commissions dont une au niveau de la Ligue.
Mais on ne peut que regretter que l'association ne soit ainsi pas représenté dans ces instances autrement que par ce salarié de l'association. Et, étant donné les prérogatives que donnent ainsi le président de l'association à ce salarié, on peut ainsi craindre cette énigmatique proposition du Comité pour une assemblée générale extraordinaire afin de "modifier les modalités d'élection des membres du Comité".
Un projet pour une nouvelle loi-maison-bidon apte à donner un cadre légal à l'omniprésence de cet ex-président, salarié de l'association et peut-être bientôt à nouveau... élu du Comité de Direction de l'association ? A voir.
"Chez le Président", on travaille au salon en prenant connaissance du compte-rendu d'un salarié qui est aussi "membre" les jours d'assemblée générale ainsi que représentant de l'association pour des élus restés... dans leur salon.
Extrait de la page 2 du compte-rendu de la réunion du Comité du 3 mars 2017
Extrait de la page 2 du compte-rendu de la réunion du Comité du 2 février 2018
"Julien Coconi remercie Patrick Carrel"... d'assurer à sa place ses missions de président de l'association !
Un président de l'association débordé assurément !
On reste heureux d'apprendre que cet ex-président a reçu "la médaille de Bronze du CDOT".
Membre du Comité de Direction du club durant 8 ans (1989 à 1995) puis président du club durant un mandat inachevé (3 ans, de 2010 à 2013), juge-arbitre depuis quatre ans, AMT depuis deux ans, secrétaire général du CDOT depuis quelques mois... assurément, il va falloir au CDOT acheter un stock important de breloques pour récompenser tous les responsables de clubs qui présenteront, eux aussi, un cv aussi... fourni !
D'autant que là encore, se faire représenter par un salarié de l'association n'est pas ce qui est vraiment prévu par les statuts de l'association, lorsque le président en place ne peut pas assister à une assemblée générale de la Ligue.
Mais le président de l'association ne voit pas en quoi il serait dans la nécessité de respecter ces textes... puisqu'il ne voit là que des paillassons.
Un président de l'association qui estime que son temps de travail pour l'association est de "1h par jour" !
On se demande bien à quoi il peut consacrer un tel volume de travail d'autant qu'il ne peut pas y intégrer son temps de présence à ces diverses réunions avec les instances départementales et régionales de tennis !?
Alors si, tout de même, pour cette réunion du CDOT, en novembre 2017.
Mais c'est "en couple" que se présente le président de l'association puisque, sans faillir donc, cet ex-président siège également à ses côtés.
Jeu :
Trouver le président du Tennis Club de Crépy en Valois ?
(une chance sur deux)
L'on peut craindre que cette proposition du Comité (mitoyenne dans ce compte-rendu) ne soit une modification très opportuniste destinée à légitimer ces multiples et dangereuses confusions de genres entre salariés et membres et élus de l'association ?
Tout s'éclaire quant aux prérogatives accordées par le président de l'association pour un salarié de l'association dont le statut hors association lui vaut de tels égards au sein de l'association :
Au niveau du Comité Départemental Oise de Tennis :
- secrétaire général du CDOT,
- membre de la Commission des Jeunes,
- membre de la Commission Développement,
Au niveau de la Ligue des Hauts de France :
- membre de la Commission Développement.
Fermer
2 - Un AMT en situation illégale avec la validation des élus du Comité ?
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
L'entrainement féminin du mercredi soir aurait été encadré durant toute la saison par un Assistant Moniteur de Tennis, en l'occurence cet ex-président dont il est question dans le point précédent.
On ne peut l'illustrer avec en appui les documents précis, une méthode pourtant de rigueur dans ces écrits. En effet, malgré trois demandes transmises aux élus du Bureau, ces derniers refusent toujours de diffuser le planning des cours collectifs mis en place dans l'association. Un document qui sera peut-être transmis après l'assemblée générale, comme l'an passé (et encore, après une enième relance) ?
Une indignité de plus pour ces élus qui veulent ainsi rendre impossible toute question sur ce sujet correspondant pourtant au plus gros budget de l'association. Des élus assurément honteux de leurs décisions ! Une attitude qui aura donc été la leur durant les quatre années de leur mandat.
Mais on peut d'ores et déjà évoquer cette question puisque ce dispositif est confirmé, de manière indirecte, par les joueuses qui en sont les "bénéficiaires", sans pouvoir s'en satisfaire d'ailleurs apparemment. Un dispositif également constaté de visu, par deux fois.
Une responsabilité confiée à cet AMT débutant, tout jeunot dans cette mission, qui pose bien des problèmes.
En effet, le texte précisant les conditions d'exercice d'un AMT (le CQP) est très clair : un AMT n'est pas habilité à encadrer des cours collectifs adultes (+ de 18 ans). Or ces entraînements concernent bien des joueuses adultes.
Une situation qui est donc non seulement dangereuse pour l'association et son président qui devraient assumer cette responsabilité devant la justice en cas de problèmes pour une situation d'enseignement avec un personnel non qualifié. Une situation dangereuse pour les joueuses elles-mêmes à qui l'on prodiguerait des conseils émanant d'un enseignant non qualifié pour cela. Une situation dangereuse aussi parce que cette situation pourrait faire l'objet d'un recours des enseignants moniteurs BE/DE pour une situation d'enseignement illégal du tennis ?
Mais aussi une situation potentiellement pleinement immorale puisque cet AMT salarié par l'association est aussi un élu du CDOT et de la Ligue des Hauts de France (voir point précédent), deux instances dont on doit rester assuré d'une certaine exemplarité avec une grande rigueur dans l'application des textes de la FFT et de la loi française. Sans parler de cette incohérence a avoir refusé, en tant que président, l'embauche d'un enseignant d'EPS mais non AMT et... quatre ans plus tard, s'autoriser une même situation... pour soi même !?
Le Comité refuse de répondre aux questions portant sur cette situation problématique (courriel du 3 mai 2018). On reste en attente des réponses de l'alerte transmise au président du CDOT (courriel du 15 mai 2018) ? En espérant ne pas avoir à solliciter la Ligue des Hauts de France, la FFT et la DDJS.
Un dispositif mis en place depuis le mercredi 27 septembre 2017.
4h réservées dans des courts couverts et regroupant les joueuses des équipes dames.
2 courts couverts réservés pour... 3 joueuses sur les deux séances où j'a pu le constater de visu.
A noter que 2h sont réservées alors que cet entraînement n'est prévu que pour 1h30. Soustraire ainsi 30 minutes de deux courts couverts n'est pas une donnée susceptible d'émouvoir les élus du Comité.
Quand on aime, on ne compte pas ! Et tant pis pour les autres adhérents.
Cet ex-président est Assistant Moniteur de Tennis depuis l'an passé comme le confirme l'annuaire de la Ligue de Picardie de 2016/2017.
Le Certificat de Qualification Professionnel (CQP) concernant les conditions d'exercice des Assistants Moniteurs de Tennis (AMT) est pourtant très précis :
"Le titulaire du CQP d'assistant moniteur de tennis participe exclusivement à l'initiation au tennis sous forme collective des jeunes âgés de 18 ans au maximum."
Un entraînement n'est donc pas une situation "d'initiation" d'autant qu'il s'agit de joueuses adultes.
Un AMT qui semble donc pleinement dans une situation illégale, avec toutes les conséquences éventuelles pour une situation où l'association serait amenée à répondre de cela en justice.
Et si l'on est un peu... "étourdi", il y a encore le diplôme remis à cet AMT pour rappeler solennellement les restrictions de l'exercice de l'enseignement du tennis pour un AMT :
"dans le domaine de l'encadrement de l'initiation au tennis des jeunes".
Ben là... il devrait y avoir le planning des cours collectifs indiquant ces deux heures réservées pour ces entraînements dames avec le nom de l'enseignant en charge de ce groupe ainsi que la composition précise de ce groupe.
Oui, mais voilà... ce planning est un document top secret qu'on ne peut obtenir qu'après de longs, très longs mois, voire après l'assemblée générale... ce qui évite pour les élus qui en décident qu'un adhérent trop curieux puisse poser des questions sur cette organisation des cours collectifs de l'association, la plus grosse partie de l'activité de l'association !
Pour cette organisation sans doute illégale et dangereuse pour l'association, on comprend bien la gêne qui est celle de ces élus pour publier un tel document.
On trouve seulement ces rares informations dans le compte rendu de la réunion de février 2018.
Le nom de cet AMT n'est pas mentionné pour cet "entrainement équipes femmes plateforme" alors même qu'il encadrerait pourtant ce groupe !?
Un aveu pour une situation dont les responsables savent sans doute qu'elle n'est pas légale et qu'ils ne veulent ainsi pas voir écrite noir sur blanc ?
Questions transmises au président de l'association... mais aucune réponse.
Comme d'habitude.
Fermer
3 - Un trésorier qui est un adhérent Classe Affaires !?
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
Drôle de mésaventure pour cet adhérent qui a expérimenté la curieuse conception de l'égalité dans cette association "conviviale" avec ces élus aux applications des textes à géométrie très variable, toujours favorables aux amis des élus, voire aux élus eux-mêmes. C'est le cas ici.
En 2015/2016, cet adhérent inscrit aux cours collectifs avait demandé à remplacer son père, lui même inscrit dans un autre cours collectif mais blessé pour plusieurs semaines. Réponse du triumvirat sollicité (le président COCONI J., le trésorier JACQUET T. et le moniteur LEMAIRE M.) : impossible, cela ne serait pas équitable pour les autres inscrits de ce cours qui ne pourraient plus "bénéficier" d'un groupe moins... dense !?
On peut déjà s'étonner d'un argumentaire aussi peu pertinent. La position du Comité lorsque j'en étais membre était bien de refuser ce genre de modification mais tout simplement par souci d'équité, une même organisation s'appliquant à tous, sans avoir à choisir quel adhérent pourrait bénéficier des absences des uns ou des autres. Une situation qui aurait été, pour le coup, pleinement ingérable, la foire aux embrouilles. Un raisonnement d'ailleurs pleinement compris par cet adhérent qui, à l'époque, s'était plié à cette décision.
Grosse surprise donc pour cet adhérent de constater que, par deux fois, le trésorier Thomas JACQUET a été autorisé à remplacer un joueur absent dans un cours collectif !? Une situation pourtant rigoureusement identique à la demande de cet adhérent à qui on avait dit non. Pour le trésorier Thomas JACQUET... c'est oui !?
Et grosse déception pour cet adhérent qui comprend vite que cette remarque de sa part est... "malvenue" lorsque le président lui même lui répond, visiblement agacé : "on l’a invité !" ou encore "c’est pour tous les services qu’il rend au club" !
Comme toujours avec cette glorieuse équipe, c'est la loi de leur petit groupe qui prime... une loi qui s'écrit au cas par cas et qui peut se réécrire, s'il le faut. Le trésorier Thomas JACQUET est donc un adhérent avec des privilèges, un adhérent Classe Affaires. Son "bénévolat" mérite bien un petit dédommagement, en loucedé. C'est vrai que les comptes qu'il rend pour l'association sont tellement incohérents qu'on peut bien lui accorder le bénéfice d'une extension de ses incohérences pour ce bénévole qui fait bien attention à s'auto-récompenser !
4 - Des équipes par "affinités" ! Les classements... on s'en fout !?
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
Vendredi 16 mars 2018 : réunion de préparation des championnats par équipes.
Après une lecture sans intérêt du président qui se contente d'ânonner les textes déjà disponibles sur le sujet, ce président, dont on sait la passion pour le tennis de compétition, indique qu'il cède la parole au responsable des championnats de l'association... un moniteur salarié par l'association ! La pleine mesure d'une association où pas un des bénévoles élus n'est disponible pour tenir ce rôle. Un président qui a donc besoin de verser un salaire pour que quelqu'un s'occupe de cette partie essentielle de la vie de l'assocation !?
Le président cède donc la parole à ce responsable non sans avoir ponctué son intervention par une information toujours au firmament de sa compétence en matière de tennis : "on a composé les équipes par affinités" !
Un bel aveu pour un principe qu'on savait déjà s'appliquer à tous un tas de décisions du Comité, la fameuse gouvernance par copinage. On ne savait pas que cela s'appliquerait aussi aux championnats par équipes !?
Ainsi c'est ce moniteur salarié qui confirme cette information : oui, avec la fusion des deux Ligues, on doit faire comme avant dans les Flandres, on a le droit de composer les équipes sans tenir compte du classement. Nous, ça nous parait bizarre mais dans les Flandres, c'est la façon de faire en Picardie qui faisait bizarre !
Après consultation des textes réglementaires du CDOT et de la Ligue des Hauts de Flancres sur le sujet... on ne trouve pas exactement cette version.
Encore des questions en attente et transmises au CDOT et à la Ligue. Le Président du CDOT vient de répondre (après une relance lui étant directement adressée) qu'il transmettait au responsable de l'arbitrage du CDOT... Peut-être une réponse avant la fin des championnats ?
En gros, le courriel adressé au responsable des championnats du CDOT :
Le président et le responsables des championnats de l'association nous ont indiqué que la fusion des deux ligues avait entraîné une modification au sujet de la manière de composer les équipes de championnats par équipes.
I - Auparavant, on composait l'équipe dans l'ordre du classement.
Et si une équipe avait un joueur défaillant, elle pouvait :
- soit faire monter un joueur de l'équipe inférieure (qui, au bout de deux rencontres jouées avec cette équipe ne pouvait plus redescendre en équipe inférieure),
- soit faire jouer un joueur de 4e série ou non classé, comme remplaçant, ce joueur ne pouvant jouer qu'une seule fois comme remplaçant.
Il semble même que, dans le règlement de l'an passé, cette dernière possibilité était ouverte pour une seule occasion pour l'équipe "défaillante", sur les 5 rencontres du championnat ?
Mais en aucun cas un joueur ayant ainsi un classement inférieur au premier joueur de l'équipe "inférieure" ne pouvait jouer plusieurs fois dans cette équipe supérieure et ainsi être "titularisé" x fois dans cette équipe.
II - Apparemment, désormais, le président et le responsable des championnats de l'association nous ont indiqué que, dès le départ du championnat, on pouvait intégrer dans l'équipe supérieure, un joueur ayant un classement inférieur au premier joueur de l'équipe inférieure !?
"C'est comme ça que ça se passait dans la Ligue des Flandres et composer les équipes en respectant le classement a semblé une curiosité pour les licenciés de la Ligue des Flandres au moment de la fusion !?"
1 - Le règlement du championnat départemental par équipes été - Saison 2018 - CDOT
Extrait du règlement des championnats par équipes 2018 - CDOT - Page 3
Pour ce qui est du championnat départemental, le règlement spécifique semble préciser que la composition des équipes suit bien l'ordre des classements des joueurs : des joueurs "susceptibles" de jouer en équipe supérieure ne peuvent pas jouer en équipe inférieure, le caractère "susceptibles", c'est à dire "capable de", étant lié à leur classement !?
La formulation de ce 2e paragraphe aurait pu être plus claire, à l'image de ce qu'on trouve dans le règlement de Ligue : "Il y a lieu de respecter la hiérarchie des classements dans les équipes d'un même club". Ça semble clair et net.
Une demande de précision transmise au CDOT. Attente (longue, très longue) de réponse.
Quant à la notion de "remplaçant" (joueur dont le classement ne lui permettrait pas d'être titularisé dans une équipe) cette possibilité de compléter une équipe à l'effectif défaillant est cadrée de la même manière qu'auparavant : pour une équipe, possible mais une seule fois durant tout le championnat, "à titre exceptionnel".
2 - Règlement du championnat régional par équipes été - Saison 2018 - Ligue des Hauts de France
Extrait du règlement des championnats par équipes 2018 - Ligue des Hauts de France - Page 3
Une nouveauté avec ce dispositif des "joueurs brûlés".
On aurait pu trouver une autre expression assurément. On pense notamment aux gens qui sont victimes de ce genre d'accident... !? "Joueur titulaire", par exemple, eut-été même plus valorisant pour les joueurs concernés.
Ce dispositif fixent donc quatre joueurs par équipe (ce qui ne change pas trop d'avant, dans la pratique).
On peut aussi comprendre avec l'organisation des paragraphes de cet article que ce dispositif de "joueurs brûlés" ne concernent que le cas où le club a une équipe évoluant en championnat de France ou D.Q.D.N.4. (?) ?
Et donc pas de "joueurs brûlés" dans aucune des équipes évoluant en championnat régional sans que le club ait une équipe dans un championnat supérieur ?
Question transmise. Attente longue, très longue...
Mais, et c'est bien toute la question, dans ce règlement de Ligue on précise que la composition des équipes d'un même club "respecte la hiérarchie des classements" !?
Or pour le statut de "remplaçant" on comprend les précisions suivantes :
- il peut s'agir de n'importe quel joueur ayant un classement inférieur au dernier joueur de l'équipe participant à la rencontre (et non plus seulement un NC ou 4e série comme avant).
- ce joueur ne pourra pas jouer deux rencontres avec cette équipe puis ensuite redescendre en équipe inférieure.
- il peut y avoir pour chaque équipe en championnat régional, un remplaçant à chaque rencontre de championnat.
Manque donc des précisions pour cette première voire cette deuxième question :
1 - Ce joueur "remplaçant" a-t-il le droit de disputer un simple (ou même un double) lorsque les 4 "joueurs brûlés" de l'équipe, si cette notion est applicable dans le club concerné, sont présents pour une rencontre ?
Et dans le cas où le club pourrait ne pas être concerné par cette notion de "joueurs brûlés", ce "remplaçant" NC ou 4e série ou au classement inférieur aux joueurs de l'équipe inférieure peut-il jouer dans la même situation où les quatre joueurs "habituels" sont présents mais où l'un d'eux ne joue qu'en double ?
2 - Un joueur, par exemple NC ou 4e série ou au classement inférieur à tous les joueurs de l'équipe inférieure, peut-il jouer plus d'une fois avec cette équipe supérieure ?
En d'autres termes, ce "remplaçant" peut-il toujours être le même joueur ou faut-il que ce soit un "remplaçant" différent à chaque fois ?
A la lecture de cet article, on croit comprendre que oui puisque ce "remplaçant" "perd le droit de jouer dans toute équipe inférieure" s'il joue plus d'une fois dans l'équipe supérieure.
Et si cela peut être le même joueur pour plusieurs "remplacements", cela revient à dire que ce joueur, au classement inférieur au premier joueur de l'équipe inférieure (voire à tous ces joueurs), peut être titularisé dans les faits et jouer toutes les rencontres d'un championnat dans l'équipe supérieure si, par exemple, il manque (pour x raisons) pour chaque rencontre un "joueur brûlé", voire (cf. question 1) même lorsque les 4 "joueurs brûlés" sont présents mais que l'un d'eux ne joue pas de simple mais simplement en double ?
Il ne s'agit donc plus du tout d'un "remplaçant" mais bien d'un "5e titulaire" !?
Ce qui parait assez curieux tout de même puisque, en laissant la possibilité de titulariser un joueur au classement "inférieure" à ce qu'il devrait être dans telle équipe, cela revient à laisser faire le contraire de ce que précise le début de cet article 13 : "il y a lieu de respecter la hiérarchie des classements" dans la composition des équipes ?
Reste toujours, bien sûr, le cas de ce joueur au classement équivalant au n°1 de l'équipe inférieure, de jouer deux, trois, quatre, cinq fois (selon la sélection du capitaine) puisque, à partir de la 2e fois, il ne pourra redescendre.
Ce qui dans ce cas n'est pas choquant puisqu'il a le classement pour y prétendre (entre le 1er de l'équipe inférieure et le dernier de l'équipe supérieure).
Ce courrier de la Ligue en date du 12 février 2018 évoque bien un exemple plus précis. Mais on n'a pas de réponses aux questions évoquées ci-dessus.
Cet exemple de 15/5 intégrant l'équipe 1 correspond au règlement de l'an passé.
Et indiquer le nom de 4 suppléants tendrait bien à confirmer qu'un "remplaçant" ne peut pas jouer plus de deux fois et donc être intégré dans une équipe s'il n'a pas le classement suffisant pour l'intégrer (supérieur ou égal au premier joueur de l'équipe inférieure) !?
Courrier de la Ligue du 12 février 2018 - page 2
Questions transmises aux responsables du CDOT et de la Ligue des Hauts de France.
Pour l'instant... pas de réponse.
Fermer
5 - Entraînements... vers le bas !
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
Les entraînements d'équipes sont toujours un dispositif aussi polémique, un enième exemple d'une association qui fonctionne plus sur des principes claniques que véritablement associatifs.
Des chasse-gardées dont sont exclus des adhérents pourtant pleinement légitimes dans leur demande.
Un adhérent, classé 15/5, s'est vu refuser cet accès. Pour quelle raison : "tu n'as pas le niveau". C'est la réponse que lui a faite le moniteur en charge de cet entraînement !?
Est-ce que c'est là le seul exemple ?
Cet adhérent est pourtant un membre de l'association en règle de tout, actif, investi dans la compétition et la vie de l'association, son classement lui permet pleinement de postuler à ces entraînements. Mais non, rien n'y fait. Pas même la désertion de ces entraînements par ces autres joueurs pourtant invités à y participer, une désertion indiquée par un participant régulier à ces entraînements !?
Quel responsable peut s'imaginer un seul instant que c'est ainsi qu'on peut motiver des adhérents, en leur signifiant de la sorte tout le mépris qu'on peut avoir pour leur "niveau", leur motivation, pour le coup pleinement réelle ?
On peut se rassurer en confirmant que cet adhérent a bien reçu... les invitations aux diverses fêtes de l'association. Là, il semble qu'on ait considéré qu'il avait... le "niveau" !
Quant à moi, je n'ai pas été sollicité. J'ai pourtant le "niveau", mon investissement dans la compétition est visible...
J'ai donc transmis une demande (13 février 2008) pour pouvoir intégrer ces entrainements... réponse du curieux président de l'association... ... ... ... ... ... (lire ici un long silence qui dure... encore aujourd'hui).
Je suis donc exclu à vie semble-t-il de ces entraînements !? Exclure un adhérent du bénéfice d'un dispositif financé par l'association, sans le justifier d'aucune manière (l'an passé, le même triste monsieur m'avait exclu car je posais "trop de questions"), sans aucune possibilité de recours reste bien la loi d'un clan, celui de ce président qui se comporte comme quelqu'un qui estime qu'il n'a pas d'obligation à se soumettre aux lois et aux textes de l'association.
Quant aux entraînements des dames... là aussi, on y constate, à priori, une grande désertion. Entre autres problèmes (voir point 2).
Plutôt que ces entraînements contreproductifs, qui marquent tout le mépris qu'à ce Comité pour les compétiteurs n'ayant pas le "niveau", il y avait pourtant tellement d'autres actions à mettre en oeuvre, pour le plus grand bénéfice de tous et de l'association... Mais pour ça, il eut fallu être suffisamment motivé par le développement de la pratique du tennis, un objet qui n'est pas celui d'un Comité de Direction simplement festif.
6 - Quand on veut qu'un contrôle soit couronné de succès !
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
Aucune réponse, pas même polie, de la part du maire de la commune lorsque je l'ai alerté sur l'incohérence totale du compte de résultats publié par l'association en juin 2016. Un maire qui ne semble s'intéresser à vous que durant les campagnes électorales.
Une alerte de ma part pourtant détaillée, reposant sur des documents officiels (compte de résultats, liste des adhérents, etc...), de très fortes interrogations sur les comptes d'une association bénéficiant d'argent public, notamment sous la forme de subventions versées par la commune, via l'USC. Mais rien, pas une démarche, pas une question en retour à cette association de la part du maire de la commune !?
Aussi est-on perplexe d'apprendre, en septembre 2017, que, notamment sur la base d'une simple "rumeur", le maire de la commune diligente un contrôle complet des comptes du Football Club crépynois, alors que, sur la base bien plus inquiétante de questions précises, portées par un adhérent identifié (moi), s'appuyant sur l'analyse plutôt sérieuse (j'en ai la prétention) de documents officiels publiés par l'association sportive crépynoise du Tennis Club, le même maire ne diligente... qu'un assourdissant silence, une totale passivité, rien, pas une question !?
On est bien en droit de se demander ce qui vaut au président du Tennis Club autant de mansuétude de la part du maire de la commune, qui se montre ainsi férocement suspicieux pour les uns et aveuglément bienveillant pour les autres !?
Pour la petite histoire : l'audit des comptes du Football club crépynois n'a strictement rien révélé. La "rumeur" n'était qu'une... rumeur. Quant aux comptes du Tennis Club de Crépy en Valois... aucune vérification, jamais... suspicions pour l'éternité !
Qu'on se rassure, en cette saison 2017/2018, "la mairie contrôlera [les] comptes" du Tennis précise le président du club, croyant rassurer tout le monde.
Contrôler la saison 2017/2018 pour trouver des explications aux incohérences de la saison 2015/2016... quelle pertinence ! On tremble de tant de révélations à venir pour un "contrôle" annoncé deux ans avant de l'effectuer, deux ans de retard, deux ans après le compte de résultats problématique !
Une alerte adressée au maire de la commune et à l'ensemble (ou presque) des conseillers municipaux en septembre 2016.
Une alerte restée sans aucun retour, d'aucune sorte. Le mépris à l'état pur.
Durant la campagne électorale qui a permis au candidat de devenir le maire actuel de la commune, je me rappelle pourtant avoir été abordé par lui en à peu près ces termes : pour ce qui se passe au tennis, il faudra venir m'en parler.
Un intérêt très opportuniste, sans doute lié à l'opposition de deux listes de la "majorité" de l'époque...
Oui mais voilà, les campagnes électorales, c'est comme une fracture dans l'espace temps, une sorte d'ailleurs où l'on n'est plus vraiment soi même.
Après... tout redevient... "normal".
Un "audit des comptes" du Football Club crépynois, imposé par le maire de la commune, durant l'été 2017, notamment sur la base d'une "rumeur".
Une simple rumeur aurait donc suffit !?
"Tout a été contrôlé dans le moindre détail, avec entre autre l'épluchage durant deux heures de tous les relevés bancaires et le rapprochement avec les recettes de l'association" me précise le trésorier du Football Club !
Le tout se soldant par une conclusion sans équivoque : aucune trace d'aucune sorte du moindre doute sur la tenue des comptes de cette association.
Mais, un an plus tôt, le maire de la commune n'a pas trouvé que les 11 000 € versés par la commune au Tennis Club de Crépy en Valois méritaient un "audit des comptes" pour "tout controler", y compris des variations aussi extraordinaires dans les recettes de l'association !?
Après tout, il ne s'agit que de l'argent des crépynois !
Quelle curieuse mansuétude pour le président et le trésorier du Tennis Club de Crépy en Valois !?
Fermer
7 - Simplement rendre hommage.
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
C'était fort tristement qu'il avait fallu constater ces manquements répétés aux devoirs d'un président de la part de J. Coconi qui n'avait pas trouvé nécessaire de rendre hommage, ni durant l'assemblée générale, ni même après dans le procès verbal de cette dernière, à la mémoire de cet adhérent membre de l'association depuis fort longtemps, membre du Comité de l'association et trésorier de l'association durant 7 ans, décédé sur un court de tennis.
Peut-être faudrait-il à ce président en dessous de tout, qu'il aille s'inspirer d'autres prévenances que les siennes en allant se promener à quelques dizaines de mètres seulement du club, pour constater que les élus du Football Club de Crépy en Valois n'ont pas la même conception que lui de la reconnaissance qu'on peut avoir pour les bénévoles de l'association dont on est président.
Assurément une leçon toujours pas comprise pour un président indigne.
8 - Des bancs stockés durant un an et un court n°6 encore dénaturé !
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
On doit régulièrement déplorer l'usage qui est fait du court n°6, un court que le Comité a une forte tendance à confondre avec un espace de stockage, une zone de rebus où l'on peut entreposer tout et n'importe quoi.
Cette fois-ci c'est quasiment durant un an que ces bancs auront encombrés cette partie du court n°6, avec tous les problèmes liés à cette pratique : dégradation de la surface, dégradation de la bâche, danger potentiel.
Un élu du Comité, M. Caron, qui se dévoue régulièrement pour ces petits travaux qui trainent en longueur de la part de la municipalité, indique que les services municipaux ont refusé que les bénévoles du club installent ces bancs. Mais il reste bien que les élus du Comité pouvaient parfaitement prendre la décision de trouver un autre espace de stockage. Voire de demander à la municipalité de les stocker dans un endroit prévu à cet effet !?
Car oui, en plus de dénaturer ce court n°6, cela se fait au mépris de la sécurité pour des joueurs qui pourraient, en bout de course, venir se blesser sur ces piétements en fer. Avec toutes les conséquences, à nouveau, en cas de recours contre l'association et ses élus peu responsables. Et on aurait au minimum pu veiller à placer ce mobilier dans le milieu du court, évitant ainsi de l'amasser dans ces zones de fin de courses pour des joueurs évoluant sur ce court.
On peut aussi remarquer que cette incompétence qui consiste à encombrer les abords d'un court est également valable pour l'extérieur avec ces dépôts à l'angle du court n°6 toujours, depuis plus d'un an. Sans doute trop fatiguant d'envisager de stocker tout cela dans le "grenier" au dessus du club house, voire directement la déchetterie puisque ces conditions de stockage n'ont pas du améliorer l'état de ces matériels !?
9 - Quand la honte le dispute à l'incompétence : deux forfaits généraux !
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
Quand on est uniquement préoccupé par autre chose que le tennis, on en arrive à démontrer spectaculairement son incompétence ! Une honte pour l'association.
Ainsi ce n'est pas une mais deux équipes, pourtant engagées en championnats départementaux par équipes d'été, qui sont déclarées forfait général par les responsables du club ! Une première au club ! Un trophée pour ce Comité en dessous de tout.
Forfait général pour l'équipe du CREPY EN VALOIS TENNIS CLUB 7, en 4e division départementale hommes !
Forfait général pour l'équipe CREPY EN VALOIS TENNIS 3, en 3e division départementale dames !
Pourtant ces deux équipes avaient participé aux championnats par équipes au printemps 2017 !?
Pourquoi les élus du Comité s'y prennent-ils aussi tard dans la saison (16 mars soit seulement trois semaines avant la première rencontre) pour organiser une réunion de préparation de ces championnats ?
Comment les élus du Comité peuvent-ils traiter avec autant de légèreté l'évènement le plus fédérateur de toute la saison sportive ?
Cela reste affolant de voir le président de l'association durant cette réunion de préparation, se borner à constater qu'il y a des chances pour que ces deux équipes ne soient pas complétées !? Il n'a rien fait, ne fait rien, et ne fera rien pour remplir ces engagements auprès du CDOT !? Et ce président s'en amuse presque... du moment qu'il a son petit ventre plein...
Comment les élus du Comité peuvent-ils ne pas comprendre que ces forfaits désorganisent ces championnats en rayant une rencontre sur les seules cinq prévues dans ces poules Hommes et Dames, ce qui va réduire d'autant le nombre de matchs et le plaisir des joueuses et joueurs des autres clubs de ces poules qui, eux, vont honorer cet engagement ?
Le président de l'association reproche toujours à ce site de donner une mauvaise image du club ! Mais se rend-t-il compte quelle désastreuse image il donne, lui, de l'association, quand il ne fait rien pour éviter ces deux forfaits généraux ?
Quand on est à ce point désintéressé par les activités tennistiques d'une association ayant pourtant pour unique objet le "développement de la pratique du tennis", on doit se faire une raison : il y a surement un Comité des Fêtes orphelin quelque part où l'on pourrait sévir avec un peu plus de pertinence !
Prévenus le 11 février 2018 par courriel, pour une réunion prévue le 23 mars 2018 (seulement 2 semaines avant le début des championnats).
Puis, deux semaines plus tard, la dite réunion est avancée le 16 mars 2018 sans doute parce que les responsables venaient de s'apercevoir que le championnat démarrait... 15 jours après la réunion fixée le 23 mars 2018... pour un délai d'organisation au niveau des équipes un peu court.
Un délai évidemment ridicule pour un capitaine qui aurait eu envie de mettre en place des matchs de préparation, des doubles de préparation, etc...
On se demande bien ce qui empêche les responsables de ces championnats, élus et salariés, de lancer toutes ces activités autour des championnats dès le début de la saison afin de mettre en oeuvre une vraie motivation, une organisation transparente autour de ces championnats par équipes, moment phare de la vie sportive de l'association !?
Reste, reste ces entraînements où la sélection laisse sur le carreau des joueurs intégrant des équipes mais dont le "niveau" n'est pas le bon d'après les responsables en place !?
Résultats de cette improvisation, à la va-comme-je-te-pousse :
1 - Forfait de l'équipe 7 hommes du Tennis Club de Crépy en Valois !?
Une forte honte pour des élus qui ne sont même pas capables de trouver suffisamment d'adhérents pour s'engager dans ces championnats !
L'exacte image d'un Comité pour qui la pratique du tennis... n'est qu'une activité secondaire.
2 - Forfait général pour l'équipe 3 dames du Tennis Club de Crépy en Valois, 3e division du championnat départemental.
181 adhérents adultes est une incapacité des élus du Comité à trouver au moins une trentaine d'entre eux suffisamment motivée par la pratique du tennis en compétition ?
Une explication au passif de ces élus, une explication fondée sur leur désintérêt plus qu'évident pour la pratique tennistique !
Au printemps 2017, une équipe hommes 7 avait pourtant été constituée avec un résultat certes "en devenir" mais l'essentiel est bien de participer.
Idem pour cette équipe dames 3 qui avait obtenu un résultat modeste mais qui avait le mérite... d'exister !
Quelles sont les conséquences d'un forfait général pour une équipe ?
Le règlement du CDOT concernant ces championnats par équipes prévoit : "une descente de 2 divisions".
Une sanction très forte !
Mais une sanction... sans conséquence pour ces deux équipes inscrites dans les dernières divisions de leur championnat respectif !
Et toujours cette capacité admirable, portée à son firmament pour un président qui sera une nouvelle fois en faute mais qui n'aura pas à souffrir des sanctions prévues par les textes de la FFT.
Fermer
10 - Le démoussage des courts extérieurs.
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
Certains se souviennent peut-être de cette rénovation (peinture) catastrophique de ces trois courts par une société choisie par les services techniques municipaux de l'époque (son directeur où des élus municipaux ?) et qui avait repeint ces bétons poreux (perméables à l'eau, c'est le principe même de ces courts plats) avec une peinture... imperméable, une malfaçon les dégradant fortement, à jamais. Une malfaçon que M. Gourdain et moi même avions signalé en personne au directeur technique de l'époque... sans jamais aucune autre poursuite engagée !? Autant dire que ce n'est pas d'aujourd'hui que l'absence de communication entre l'association et la municipalité nuit à l'entretien de ces courts extérieurs.
On se souvient de l'état catastrophique des courts extérieurs durant et à la sortie de l'hiver 2016/2017. Un voile verdâtre s'étant répandu abondamment sur d'importantes portions des courts 2, 3 et 4. Du jamais vu, assurément du à l'absence d'entretien annuel préventif depuis... un trop long temps. La faute aux élus du Comité qui ne se sont pas préoccupés de cela ? La faute aux services municipaux pour l'entretien d'installations... municipales ? C'est pas moi, c'est lui ?
La FFT préconise pourtant un entretien annuel avec traitement anti-mousse et évacuation des résidus, soit par un nettoyage au jet d'eau ou simplement... par la pluie, soit avec projection d'eau haute pression, quand il y a nécessité.
Autant de préconisations qui doivent permettre d'entretenir saison après saison ces courts extérieurs pour conserver ces surfaces en bon état.
Le problème que peuvent poser ces nettoyages haute pression est que, trop appuyés, trop fréquents, ils peuvent contribuent à dégrader la surface d'un béton poreux en désolidarisant les graviers... pire que bien.
Le traitement des mousses avec un produit adapté est donc essentiel. Sans cela, les mousses persistent à l'intérieur des alvéoles du béton poreux et, avec l'humidité qui s'y accumule, par temps de gel, ce sont alors des plaques de graviers qui peuvent être éclatées, une surface qui devient injouable.
Aussi est-on légitime quand on se pose des questions sur l'entretien qui vient d'être mis en oeuvre (du 14 au 17 mai) .
Dès le lundi 14 mai 2018, on débute par... un nettoyage haute pression !? Pas de traitement préalable des mousses !?
Pourtant, en constatant la situation pour ce printemps 2018, il semble bien qu'il y avait matière à réflexion sur les nécessités de l'entretien à mettre en oeuvre : peu de mousses, voire pas de mousses sur des zones entières. Ne fallait-il pas alors faire le choix d'un simple démoussage par pulvérisation, sans nécessité d'un nettoyage par projection d'eau ?
Il semble bien que ce soit l'inverse qui ait été mis en oeuvre : un nettoyage par projection d'eau mais sans traitement des mousses ?
Des questions transmises...
Cette photographie n'est pas celle d'un court du club.
Mais c'était, peut-être en un peu plus accentué, l'état que présentaient les trois courts extérieurs de l'association au printemps 2017.
Une invasion spectaculaire de mousses.
Un état comme la conséquence de l'absence de traitement des mousses depuis un certain temps.
La faute à... à qui ?
Les préconisations de la FFT en matière d'entretien annuel des courts en béton poreux :
traitement des mousses, puis évacuation des résidus par jet d'eau.
Un nettoyage haute pression, qui peut altérer la surface de jeu, n'est pertinent que lorsque le court présente des mousses apparentes et importantes.
Sinon la préconisation de la FFT est bien de ne procéder quà un traitement des mousses, avec un produit adapté.
L'évacuation des résidus, en faible volume, se faisant même naturellement avec... la pluie.
Un protocole permettant de préserver la surface de jeu de "l'agression" que consistue un nettoyage par projection d'eau.
Lundi 14 mai : branle-bas de combat, les 4 courts en trois jours !
Et tout de suite cette question :
mais comment s'organise la pulvérisation du produit de démoussage, puisque le délai nécessaire à son action ("quelques jours", voir ci-dessous) n'est pas mis en oeuvre ?
Sachant que la pulvérisation doit se faire par temps sec ! (sinon la pluie lessive le produit qui n'a pas le temps d'agir).
Les travaux sont confiés à la société Sandmaster.
Un contrat passé avec la municipalité, en charge de cet entretien.
Et dès le lundi 14 mai, le court n°3 est le premier à faire l'objet d'un nettoyage par projection d'eau.
Suivra le mardi 15 mai le nettoyage du court n°4 et, à partir de 15h, le nettoyage du court de mini tennis.
Puis le mercredi 16 mai, le court n°2.
Il n'y a donc pas eu de traitement des mousses par pulvériation d'un produit ad hoc au préalable !
La fiche technique du produit de traitement anti-mousse utilisé par cette société précise bien qu'il faut "laisser agir quelques jours ce produit".
Et qu'ensuite qu'on peut procéder à un "rinçage éventuel par la suite, mais non nécessaire, au jet d'eau".
Nos courts ne présentant pas de mousses visibles et ayant fait l'objet d'un récurage en règle l'an passé, on se demande donc bien pourquoi ce protocole, sans "rinçage" mais avec "traitement" n'a-t-il pas été mis en oeuvre ?
Perplexe devant cette mise en oeuvre, le responsable de la société Sandmaster me précise qu'on peut éventuellement ne pas procéder à ce traitement anti-mousse.
La FFT ne semble pas envisager ce type d'intervention.
Très peu de mousses, voire quasiment pas en ce printemps 2018.
Exemple du court n°2 :
1 - Court n°2
2 - Dalle à l'extrémité Nord-Ouest.
3 - Centre du court côté nord.
4 - Centre du court côté sud.
Si l'on observe quelques mousses sur le côté le plus à l'ombre de ce court (nord-ouest), c'est pour ne plus en observer aucune sur la partie la plus ensoleillée de ce court.
Nécessité d'un traitement avec projection d'eau ?
Une machine qui frotte et aspire en même temps.
Les dégradations d'un béton poreux.
Exemple du court n°4
1 - Court n°4
2 - Côté nord
3 - Surface déjà dégradée côté sud de ce court.
4 - Même côté avec un état de la surface déjà inquiétant.
Photos prises après le nettoyage de ce printemps 2018.
Un nettoyage qui n'a visiblement pas aggravé l'état de ces terrains.
Les altérations observées étant fort probablement le résultat de l'absence d'entretien dans les normes, dont on a pris conscience au printemps 2017.
Y a-t-il eu traitement par pulvérisation des trois courts le jeudi 17 mai ? Il ne m'a pas été possible d'aller le constater sur place.
Il semble que cela se fasse (voir l'exemple de cette société (à 0.54 min)). Sans doute cela permet d'éviter à une entreprise de patienter le temps nécessaire à l'action du produit ?
Mais on conviendra que c'est sans doute beaucoup plus approprié de traiter en profondeur les mousses pour ensuite aller les déloger avec un nettoyage par projection d'eau et aspiration (ce que fait la machine de Sandmaster), plutôt que de faire ce nettoyage puis ensuite traiter les mousses en profondeur !?
Reste cette question : l'entretien des courts extérieurs a-t-il été proportionné à l'état de ces courts ?
Assurément un coût qui n'aura pas été le même (entre une simple pulvérisation d'un traitement anti-mousses et nettoyage "naturel" et ces quatre jours d'intervention avec des machines spéciales...).
Demande transmise à la municipalité pour avoir connaissance du devis.
Attente.
Fermer
11 - Faire campagne... dans un champ de barbelés !
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
Le Tennis Cub de Crépy en Valois est mort !
L'assemblée générale de l'association qui se tiendra le vendredi 29 juin 2018 sera une assemblée générale invitée à se prononcer sur le renouvellement des membres du Comité de Direction, et donc indirectement sur les membres du Bureau, président, trésorier, secrétaire. A moins que le président de l'association se fasse voter une loi pour devenir président à vie ? Ne pas rire... cela reste dans la veine de sa gouvernance.
Dans une association soucieuse d'organiser une vie démocratique normale, ce qui reste une préconisation de nos statuts, on pourrait penser que des candidats à ces élections pourraient avoir la possibilité de rencontrer les adhérents, dans le club house de l'association, afin de leur présenter un "programme", de défendre des points de vue, des projets, des analyses, des regrets et de proposer ce temps d'information mais aussi et surtout d'échanges, voire de confrontations... bref d'éclairer et enrichir le projet de l'association, de participer au "développement de la pratique du tennis", de mettre en oeuvre les principes même d'une démocratie !
On peut aussi penser que ces candidats auraient également la possibilité de diffuser ces points de vue auprès de l'ensemble des adhérents (tous ne se déplacent pas), par voie numérique, pour proposer ainsi les documents nécessaires à ces exposés... faire "campagne" quoi !
Julien Coconi, président en place, et une très courte majorité de son Comité déjà pleinement riquiqui le voit tout autrement. Nul étonnement !
Ainsi à une demande pour organiser une réunion invitant les adhérents qui le souhaitent à venir rencontrer ce candidat que je suis, J. Coconi répond, avant même de consulter aucun autre élu de l'association : "Le Club House n'est pas une salle de meeting. Je ne souhaite pas que vous puissiez disposer du club house".
Quant à ce droit démocratique que je vais mettre en oeuvre en m'adressant aux adhérents de l'association appelés à se prononcer sur tel ou tel candidat, J. Coconi me transmet d'emblée le reproche suivant : "Vous allez communiquer auprès des adhérents selon votre bon-vouloir".
La définition même de la démocratie ! Une surprise pour ce président, un reproche en guise de délire pour un président qui ne sait plus où il habite.
Il n'y a pas à dire, voilà un personnage qui reste fidèle à lui-même, qui reste cohérent avec les multiples efforts qu'il aura su mettre en oeuvre pour faire taire toutes les critiques sur sa gouvernance, museler tous les contradicteurs, n'hésitant jamais sur aucune décision, fussent-elles pleinement illégales, pleinement indignes.
Un président qui se croit dans son salon et qui dicte une loi, la sienne, pour garder ce bastion qui lui appartient : le Tennis Club Julien Coconi de Crépy en Valois.
Que la démocratie repose en paix ! Le Tennis Club de Crépy en Valois est mort !
A noter que la juxtaposition des mots "COCONI" et "fripouille" dans les adresses courriels apparaissant sur cette copie de courriel (daté du 22 avril, le deuxième ici) envoyé par J. Coconi n'est pas de mon fait.
"fripouille" étant le début simplement facétieux de l'adresse courriel d'un autre membre du Comité et qui est ainsi accolée dans l'ordre de la liste de diffusion utilisée par J. Coconi lui même.
Et l'on peut se rassurer en supposant que la notion de lapsus numérique n'existe pas encore ?
A noter également l'efficacité du Bureau de l'association qui n'est pas en mesure de répondre à cette simple demande et rendra réponse le 18 mai pour autoriser ou non une réunion souhaitée le... 21 mai !?
Pour la liste de diffusion dont on me fait reproche, celle que j'aurais pu conserver lorsque j'étais secrétaire, cette lsite daterait donc de... 2014 !
J. Coconi n'est donc pas sérieux quand il prétend ainsi que je détiendrais une "liste de diffusion" des adhérents de l'association.
Une vieille rengaine pour un président qui ne souffre pas qu'on puisse proposer aux adhérents une autre information que la propagande et les mensonges diffusés dans les documents officiels de l'association.
Quant à cette adresse "secretaireclub@gmail.com", là encore, J. Coconi cherche tout ce qui pourrait lui suffir pour m'interdire ce droit à s'exprimer reconnu par toutes les démocraties du monde.
Cette adresse que je n'utilise pas mais qui reste le compte sur lequel toutes mes adresses courriels sont connectées apparait effectivement parfois, par devers moi, puisque ce compte est bien réglé pour ne laisser apparaître que mon adresse .free. Il suffit de lire deux lignes de n'importe quel article de ce site pour comprendre que je ne suis pas le Tennis Club de Crépy en Valois...
Qu'on ne s'y trompe pas donc, un simple écran de fumée pour J. Coconi, puisque j'ai parfaitement le droit d'utiliser l'adresse courriel que je souhaite. D'autant que je peux parfaitement fonder une association qui s'appelerait "La Face cachée du Tennis Club de Crépy en Valois" et dont je serais le secrétaire...
D'ailleurs ce n'est pas une si mauvaise idée que cela puisque je n'ai aucune chance d'être élu pour ce Comité. A voir donc.
Samedi 19 mai.
Le président de l'association me transmet la réponse du Comité sur cette demande de pouvoir organiser un moment de rencontre avec les adhérents de l'association, dans le cadre de la campagne des élections au Comité de Direction du Tennis Club de Crépy en Valois.
Sur les 6 derniers rescapés de ce Comité de Direction moribond (ils ne sont plus que 6 sur 12 en juin 2014), 2 se sont abstenu et 4 se prononcent contre cette demande.
C'est donc non.
On ne comprend pas comment ce président et son tout petit Comité, ne constituant qu'une mini-pseudo-majorité de 4 personnes, peut ainsi interdire toute vie démocratique au sein de cette association ?
Comment ces quatre élus peuvent-ils ne pas se rendre compte que leurs décisions sont totalement indignes ?
Le Tennis Club de Crépy en Valois est mort !
Fermer
12 - Le court n°5 inaccessible... même totalement libre !
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
A l'occasion du championnat individuel organisé par le CDOT, une demande est transmise à la secrétaire de l'association pour pouvoir réserver le court n°5. Le match est organisé un mardi matin. Aucune réservation au moment de cette demande.
Réservation effectuée par la secrétaire : court n°6.
Le court n°6 est le plus dégradé des trois courts couverts. La bâche est devenue très opaque avec un dépôt grisâtre. Même en pleine journée, cela nécessite très souvent d'allumer les lumières. Les lumières de ce court ? Pas aux normes. Un éclairage difficile à gérer (surtout quand on est myope et astigmate) avec cette nuance orangée qui atténue les contrastes. La surface : pleinement usée, voire dégradée, notamment par l'humitidité qui envahit régulièrement ce court. Un court par ailleurs encombré (cf. point 7) et donc dangereux.
Demande argumentée et transmise, cette fois ci directement au président de l'association, pour préciser à nouveau ce souhait de pouvoir utiliser le court n°5.
Réponse de la secrétaire : le 6. Pour le 5, on pourra... s'il n'y a personne dessus !
Et pourtant...
Et pourtant pour organiser les cours collectifs adultes dont font partie plusieurs membres du Comité, dont deux membres du Bureau, c'est systématiquement le court n°5 qui est réservé. Aussi le court n°6 puisque certains groupes (dont faisaient partie président et trésorier l'an passé) s'étalent largement sur deux courts couverts. Quand on paie, on a plus de droit que tout le monde !
Ce court n°5 peut donc être très largement utlisé pour donner de simples cours mais quand on souhaite y voir organiser un match de compétition, dans les normes, les élus du Bureau trouvent pleinement pertinent de ne vous donner accès qu'au court couvert le moins apte à les recevoir de toutes nos installations !
Là encore, un enième exemple de cette aptitude à ne jamais s'oublier dans les décisions prises par les élus incompétents du Bureau ! Ne pourrons que le déplorer tous les adhérents qui auront du se voir imposer ce genre de décision.
Et comment ne pas se désoler de se rappeler que pour organiser une Couscous Party, ces élus s'accordent pour réserver le court couvert n°5 (octobre 2016) et refusent ensuite de laisser des matchs officiels se dérouler sur ce même court !?
C'est toute l'image d'un Comité de Direction terriblement incompétent, pleinement indigne !
En jaune, les réservations pour les matchs du CDOT.
Systématiquement la secrétaire réserve le court n°6, le court le moins à même de recevoir un match officiel puisque le court n°6 est un court qui ne respecte plus les normes suffisantes (éclairage notamment).
Par contre, en orange, les réservations pour les cours collectifs, elles, sont systématiquement passées d'abord sur le court n°5 !?
Et bien plus symbolique de la mentalité détestable de ces élus du Bureau qui se servent d'abord au mieux, le mardi soir, ces deux courts couverts réservés le sont pour ce fameux groupe qui bénéficient de la réservation des deux tiers de nos structures couvertes pour leurs ébats !
Et là, la secrétaire ne fait surtout pas l'erreur de réserver le court n°6 ! Ho que non !
Messieurs Coconi et Jacquet, président et trésorier, ont droit aux courts 5 et 7 (cf. planning 2016/2017) !
De même les entraînements équipes (en vert et en rose (pour le dames)) sont eux aussi passées systématiquement sur les courts 5 et 7. Jamais sur le court n°6 ! Ben non. L'entraînement à la compétition... c'est sur les meilleurs courts. Par contre la compétition... sur le 6 ! Très grande cohérence !
On n'est jamais si bien servi que par soi même !
Un adage qui reste comme la devise de ces élus au service d'eux mêmes d'abord ! Des élus en tous points indignes !
Et tant pis pour tous ces compétiteurs qui doivent jouer leurs matchs dans les plus mauvaises conditions possibles au sein de l'association !
Pour les cours particuliers, la secrétaire réserve le court n°5.
Pour les cours collectifs de l'Ecole de Tennis, la secrétaire réserve le court n°5.
Pour les cours collectifs adultes, où l'on trouvait encore l'an passé (pour cette année, comme le planning des cours collectifs reste un document secret...), pour un certain J. Coconi et un certain T. Jacquet, la secrétaire (ho tiens... les trois ensemble... constituent le Bureau de l'association !?) réserve le court n°5.
Par contre pour des matchs officiels nécessitant un éclairage dans les normes, une surface de jeu correcte, les abords du court sans danger... la secrétaire réserve... le court n°6.
Un court n°6 qui reste très souvent le seul court accessible aux adhérents qui n'ont pas fait l'effort de payer la double cotisation : celle due à l'association (la seule nécessaire à priori) et celle versée pour prendre des cours collectifs !
Le court n°5 : une option payante dans cette association !
Même libre... on ne peut pas y passer une réservation pour ces matchs du CDOT !?
Un court de tennis où on ne peut pas jouer... un match de tennis mais où les élus du Comité, à ce point à côté de leurs chaussures, considèrent qu'on peut y organiser une soirée Coucous Surprise !
Un autre symbole de l'incompétence pathétique d'une pareille équipe !
Fermer
13 - Abandon des projets tennis au profit de l'aggrandissement de la salle des fêtes du club !?
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
L'assemblée générale ordinaire de juin 2017 avait décidé d'organiser un "sondage des adhérents" pour évaluer la pertinence des différents projets d'amélioration des installations de tennis. Sans doute le président a-t-il été submergé de travail et a donc décidé de s'essuyer une nouvelle fois les pieds sur une décision qui s'imposait pourtant à lui ! Aucun sondage proposé aux adhérents de l'association !
Et l'on reste à nouveau totalement incrédule devant la décision prise par J. Coconi, qui n'a toujours rien compris du fonctionnement d'une association, en engageant financièrement l'association, pour la seconde fois, auprès de la municipalité, sans aucune délibération l'y autorisant de la part de l'assemblée générale, ni même du Comité.
On ne voit pas comment J. Coconi pourrait ainsi engager l'association pour deux projets à hauteur de 40 000 €, alors même que l'assemblée générale avait décidé d'un sondage des adhérents avant de s'engager sur les projets à financer par l'association !?
Exit donc, une nouvelle fois, tous ces autres projets d'amélioration des installations. J. Coconi, (seul apparemment ?), a décidé de ne pas examiner ce projet d'éclairage de deux courts extérieurs, pas plus que ce projet de la couverture d'un court extérieur, les deux projets pourtant les seuls permettant "le développement de la pratique du tennis" !
A la place, il semble que ce soit la maintenance du court n°6 qui doive être financée par l'association !? Un court n°6 (1985) que l'association a pourtant déjà financé quasi à 100 % (hors viabilisation du terrain) avec 865 000 francs de l'époque (167 000 €) versés par l'association en remboursements étalés sur plus de dix ans ! L'association n'a t-elle pas suffisamment donné pour ce court ? Ne peut-on attendre de la municipalité qu'elle assume la maintenance de cette installation qu'elle n'a pas financée mais qui lui appartient pourtant et dont il faudrait maintenant, aussi, financer la maintenance avec un impôt supplémentaire pour les contribuables crépynois jouant au tennis !? Une charge que nul autre contribuable crépynois, nulle autre association crépynoise n'accepteraient d'assumer !?
Et à la place également de ces projets mille fois plus pertinents, il semble que J. Coconi et son Comité se soient aussi mis d'accord pour financer un "aggrandissement du club house", un projet seulement porté jusque là par deux salariés de l'association !?
En quoi ce projet permet-il de "développer la pratique du tennis" !? En quoi ? Ces élus et ceux qui les suivront vont-ils valider une telle gabegie et trahir ainsi le seul objet de l'association : "développer la pratique du tennis" !? Si tous ces gens veulent faire la fête, qu'ils s'invitent mutuellement dans leur salon respectif ou qu'ils louent d'autres vraies salles des fêtes ?
Agrandir le club house ? Pour quoi faire ? Ces élus ne sont même pas capables d'aller assister à la finale dames du tournoi open !? La finale homme regroupe tout au plus une dizaine de personnes !? Ce club house est parfaitement adapté aux utilisations qu'en a l'association !
Le zéro pertinence pour ces deux propositions du Comité, qui ne prennent en compte aucun des enjeux premiers à relever par l'association.
Ainsi, avec 450/500 adhérents aurons-nous besoin d'un "agrandissement du club house" ou d'un 4e court couvert !?
Pour un projet d'amélioration des installations de l'association, on se dit qu'il faut, au moins, avoir une décision de l'assemblée générale pour qu'il soit légitime.
Et quoi de plus naturel que de consulter les adhérents pour jauger de la pertinence d'un projet qui engage de façon importante les finances de l'association ?
Oui, mais c'est sans compter avec un président de l'association qui ne se sent lié par aucun texte, aucun devoir.
Et, de sondage, il n'y en aura eu... aucun !
Extrait du compte-rendu de la réunion du Comité du 2 février 2018 - page 7
M. Claux est Adjoint aux Sports et non "représentant du Service des Sports".
Décidément, un président qui ne comprend rien au fonctionnement d'une association.
Pour engager un budget de 40 000 € il ne lui parait d'aucune nécessité de consulter l'assemblée générale !?
Pas plus que le Comité apparemment (dont on ne doute pas de l'unanimité acquise par avance) ?
Et une deuxième faute du genre pour un président qui avait déjà engagé financièrement l'association pour la réalisation de deux courts "tout temps" qui, finalement, ont été rejetés par l'assemblée générale suivante !
Une leçon apparemment pas comprise par ce président pleinement en faute !?
Fermer
14 - Le tournoi interne en juillet !? Et pourquoi pas un NTC plutôt ?
Publication : 28/05/2018 | Mise à jour : 28/05/2018
Dans le compte-rendu de réunion du Comité de février 2018, on apprend que le tournoi interne sera organisé du 1er au 15 juillet 2018 !
Traditionnellement organisé en septembre, le tournoi interne de l'association avait ces avantages d'être un évènement qui clôturait la saison sportive (30 septembre), tout en démarrant la saison suivante de l'association (la "rentrée" pour tout le monde).
On se demande donc bien les raisons qui motivent ce changement ?
D'autant qu'il y a encore peu (trois ans ?), sur cette période était organisée un NTC, un tournoi dont la formule permet aux compétiteurs, à la mi-saison (juillet/août), de disputer des matchs à leur niveau, des occasions plutôt rares !?
En effet, en tournoi individuel (l'essentiel d'une saison), un joueur affronte des adversaires au classement inférieur (premier tour) et, parfois, passe directement à un classement supérieur. Et peut-être encore plus à l'occasion des cinq matchs de championnats par équipes ou rencontrer un adversaire de même classement est finalement rare. Ainsi, les matchs "à égalité" pour un compétiteur ne sont pas légion dans une saison. C'est pourtant là que, théoriquement, on est le plus apte à défendre ses chances. C'est aussi là qu'on peut s'assurer au moins son "maintien".
Pourquoi avoir laissé en déshérence le NTC qu'organisait, avec la convivialité qui était la sienne, Alain NOWAK, pour maintenant mettre à la place un tournoi interne, qui ne fera que proposer un tableau minimaliste pour certains classements (forcément peu d'inscrits) et impropre à corriger les inconvénients des tournois classiques ?
D'autant, qu'à cette période, de très nombreux autres tournois proposent encore des possibilités aux compétiteurs : Creil, Montataire, Pont Sainte Maxence, Senlis... entre autres ! Un embouteillage qu'on n'avait pas au mois de septembre !?
Le tournoi interne du 1er au 15 juillet ?
Mais quelles sont donc les raisons qui ont poussé les élus du Comité à faire ce changement ?
Avec ce genre de compte-rendu laconique... on n'en saura pas plus.
Pas moins d'une dizaine de tournois individuels sont accessibles aux compétiteurs crépynois sur ce début juillet.
On se dit donc qu'organiser le tournoi interne sur cette période n'est pas très pertinent, d'autant qu'en septembre l'offre de tournois est nettement moins fournie !
Fermer
15 - Le "Tennis Club de Crépy en Valois" n'a aucun compte bancaire !?
Publication : 24/06/2018 | Mise à jour : 24/06/2018
A la lecture des pièces comptables de l'associaton, étonné de voir autant de virements avec le libellé suivant : "USC Tennis", on se demande bien quel montant astronomique verserait l'USC au Tennis Club de Crépy en Valois !?
Mais c'est en voyant des photocopies de chèques que l'on comprend que le trésorier et le président de l'association ne connaissent même pas le nom de l'association dont ils sont les élus !?
Le compte bancaire de l'association "Tennis Club de Crépy en Valois", le seul nom de l'association, est donc un compte ouvert à ce nom : "USC Tennis de Crépy en Valois" * ?
Officiellement, le "Tennis Club de Crépy en Valois" n'a donc aucun compte bancaire !?
Un trésorier et un président qui sont donc deux champions du monde d'incompétence en ayant réussi le tour de force de placer l'argent de l'association sur un compte... qui n'est pas celui de l'association !?
D'autant que nos deux "responsables" ont également fait indiquer sur les chéquiers et les relevés bancaires de l'association, leur adresse personnelle respective, ce qui, là encore, deuxième bourde, n'est pas conforme à la loi, puisque seule l'adresse du siège social de l'association doit figurer sur ce genre de document officiel.
Gageons que de tels talents ne vont éprouver aucune difficulté à se voir reconduits dans leur fonction respective car, c'est notoire dans cette association, on élit avant tout des gens compétents, loin, très loin d'un vote plus clanique où, les yeux fermés, on vote pour les amis.
Reste cette remarque : ne pourrait-on pas attendre du cabinet comptable chargé par l'association de gérer les paies, de superviser les écritures de fin d'exercice et de valider l'exactitude et la sincérité des comptes de l'association, qu'il souligne ce genre d'incohérence ?
* "USC Tennis", c'est sûr. "... de Crépy en Valois" à vérifier. Ma consultation des pièces comptables ayant du se faire en une heure, c'était un peu la panique et je n'ai pas eu le réflexe de noter le nom entier, le début m'interloquant suffisamment.
On a bien trouvé cet article précisant que le chéquier d'une association, de même que ses relevés de compte, ne peuvent mentionner que l'adresse du siège social de l'association et non les adresses personnelles du trésorier ou du président.
Mais, définitivement non, impossible de trouver quoi que ce soit sur une association qui aurait ouvert un compte au nom... d'une autre association !?
Ça, ça n'existe qu'au "Tennis Club de Crépy en Valois", pardon qu'à "l'USC Tennis de Crépy en Valois", enfin, bref... on ne sait plus trop !
Pour le palmarès de l'élu d'association le plus incompétent, l'association à toutes les chances d'être lauréate. Nous avons deux champions du monde !
On sait bien que ces élus n'ont sans doute jamais lu les statuts, ce qui explique leur propension à les piétiner.
Mais, tout de même, il suffisait de lire la première ligne pour apprendre ensuite par coeur le nom de l'association et ne pas se tromper chez le banquier !
Trop difficile apparemment.
Fermer